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Rencontre, baston, amusement [PV: Reyson.D.Anstis]

J’avais envie de sang, oui, comme à mon habitude je voulais tuer et torturer, me repaître de la souffrance de mes victime qui était, la plupart du temps des marines. Bien que le faite de tuer un civil ne me dérangeait absolument pas, c’était bien plus excitant de tuer un marine qui sait se défendre et ainsi défier l’autorité. Oui, encore une fois j’allais défier l’autorité mais, j’allais servir à quelque chose, alors que d’habitude j’attaquais simplement pour tuer, cette fois je devais récupérer des médicaments pour le médecin, ainsi que du matérielle pour soigner. C’était l’unique ordre du capitaine et cela me convenais parfaitement, en effet, j’allais défier une fois des plus les autorités en me fournissant directement dans le QG du coin, qu’elle endroit parfait pour trouver tout le matériel nécessaire ainsi que tuer lentement. Oui, tout cela serait au programme et grâce à mon capitaine, c’était grâce a lui que je me trouvais ici et que j’allais pouvoir m’amuser. Mon ventre gargouilla et je soupirai, je n’avais pas envie de faire du grabuge en ville, j’allais devoir manger un marine et j’espérais qu’il serait bon. Oui, le goût d’une personne change à chaque fois, chaque fois que l’on mange quelqu’un une surprise attend la personne qui ose le faire, le goût, une chose étrange qui change à chaque personne.

Je marchais lentement dans les rues de la ville, un katana à la hanche, un sabre dans le dos, ma dague à ma ceinture, j’étais prêt à me battre et à faire un carnage de sang et de souffrance. J’aperçue le QG au loin, juste au bord de la ville, il était bien placé pour permettre au marines d’intervenir rapidement en cas de problème, mais, cette fois-ci ils n’auraient même pas à ce déplacé puisque tout ce passerais à l’intérieur de ce QG. Le sang allait se rependre et j’allais m’amuser, seul. Après quelques minutes de marche je finis par arriver devant le QG, à une distance suffisamment éloigné pour que celui qui gardait le portail ne me voie pas. J’allais faire ce que j’appelais l’impossible, être discret, oui, pour pénétré dans cette endroit tranquillement il fallait que je sois un minimum discret et cela je n’en avais pas l’habitude. Je regardais le soleil, en face de moi, il crée de l’ombre avec l’enceinte de ce QG, c’était parfait. Je reculais à nouveaux et emprunter une ruelle latéral afin de m’éloigner du portail, tranquillement. Une autre rue me donna à nouveau accès au mur et j’en profité pour me coller à lui, dans l’ombre, cela ne servais pas à grand-chose dans l’immédiat mais, lorsque je rencontrerais le garde, cela devenais essentiel.

Je retournais près du garde, il ne se retourna pas immédiatement et je l’appelais afin qu’il vienne me voir, celui-ci, se demandant ce que je voulais s’approcha et lorsqu’il remarqua mes armes, il dégaina la sienne.

-Qu-que veut-tu ?

Sa voix trembler légèrement, c’était un délice de l’entendre parler ainsi et je ne répondit rien, je me mît simplement à tourner autours de lui, silencieusement et je disparue à ses yeux, ma technique du ‘ in'toku hikage’ était toujours aussi efficace. Le marine sursauta se demandant ce qui se passait, il ne s’attendait surement pas à ce que je disparaisse à sa vue. Je passais tranquillement derrière lui, silencieusement, mes pieds foulant doucement le sol sans faire de bruit puis, dégainant silencieusement mon sabre, je lui mis un coup de pommeau dans la nuque afin de le rendre inconscient. Le marine s’écroula d’un seul coup, rengainant mon sabre, je le soulevais avant de l’emmener un peu plus loin, il était lourd mais cela ne me dérangeais pas. Heureusement pour moi, personne ne me remarqua et je le jetais dans un fourré puis, dégainant à nouveau mon sabre, je le lui enfonçais dans la gorge. Aucun survivant ne devait me rencontrer, enfin si peut-être un, je verrai bien. Je retournais tranquillement vers l’entré en léchant la lame de mon sabre, le sang et j’arrivais à nouveau devant l’entré qui était maintenant libre, tout aller pouvoir commencer.

      Soif... Le soleil tapait fort aujourd'hui. J'étais allongé sur mon petit bateau de pêche qui dérivait sur la mer. Mon ventre allait bien, il me suffisait de pêcher pour avoir de quoi manger. Par contre, ma gorge était sèche. J'étais couché, les yeux à demi-clos tournés vers le soleil. Soif... L'eau salé de la mer ne faisait qu'augmenter le besoin de boire. Je commençait à regretter la vue de la neige sur l'île où j'étais. Là il n'y avait pas le moindre nuage en vue. Juste une boule jaune en plein milieu du ciel. Soif...

      Une secousse. La sensation d'être bercé par les mers était parti. Je me suis levé lentement et mon regard quitta le ciel pour voir devant moi. Du sable, une plage, une île. Je posai pied à terre et m'avançais avec la bouche ouverte comme si j'espérais que les rares brises qui venaient me rafraichiraient la gorge. Des maisons au loin, un village, des habitants, de l'eau. Je me dirigeais vers ces bâtiments qui se dressaient un peu plus loin. Légèrement penché vers l'avant, les bras tombant le long du corps, marchant lentement. C'était ainsi qu'on me vit arriver dans ce village.

      Avec mes cheveux bleus, ma chemise rouge, ma démarche bizarre, j'attirais pas mal de regard. Mais je n'y faisais pas attention. Je me dirigeais vers le premier bâtiment qui avait l'enseigne d'une taverne. La salle était pleine, il ne restait plus une seule chaise de libre. Remarque, avec cette chaleur il était normal que tout le monde vienne boire. Je me dirigeais vers le bar et je demandais toute sa réserve de saké. Mais il dut refuser, expliquant que son stock était vide et qu'il n'avait plus rien. Je regardais autour de moi, ils avaient tous de quoi boire. Avaient-ils tout acheter ? Ma main droite s'approcha de ma poche. Je voulais prendre mon couteau et faire un carnage pour ce scandale. Mais j'avais trop soif. Je n'avais pas envie de me battre, juste de boire. Je sortis donc ma main de la poche sans prendre l'arme et je continuais avec ma démarche d'assoiffé jusqu'à la porte d'entrée. Au moment où je l'ouvris, un homme me tint l'épaule en me présentant une sorte de bouteille en forme de vase qui contenait du saké. Il me dit que j'avais l'air d'en avoir plus besoin que lui. Répondant avec un sourire, je pris lentement la boisson que j'apportais à mes lèvres. Les gorgés furent bruyantes et rapides. En même pas 2 secondes j'avais fini de boire tout le contenu et ma gorge allait mieux. Tout en remerciant l'homme, je lui rendis la bouteille et je sortis de la taverne.

      Me revoilà dans la rue principale. Les habitants de cette île avaient l'air gentils. Je regardais à droite et à gauche à la recherche d'un divertissement pour passer le temps maintenant que ma soif était étanchée. L'un des bâtiments était plus grand que les autres. Je me suis donc décalé de façon à mieux le voir. Le mot marine était écrit en grand sur l'édifice ! Même ce petit village avait une base ? Mon envie de carnage de tout à l'heure revenait et je voulais rendre une petite visite à la marine.

      Comme d'habitude, je marchais d'un pas lent mais assuré. Ma main droite n'allait jamais très loin de ma poche pour parer à toute éventualité. Cela me prit quelques minutes, mais me voilà devant la base marine. Je m'approchais de l'entrée principale en remarquant l'absence de garde. A la place se trouvait un homme drôlement bien armé, mais il ne portait pas l'uniforme des membres de la marine. Il léchait la lame de son épée qui arborait une couleur particulière. Du rouge... Du sang ! Ma main s'était déjà enfuit dans ma poche et serrait le manche de mon couteau. Mon regard fixait le visage de l'homme.
      " Qui es-tu ? "

      Allié ou ennemi ? Je l'ignorais encore. Mais s'il avait tué le garde, il s'agit probablement d'un allié. Je ne savais pas qui il était, et on n'est jamais trop prudent.
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    J’observais tranquillement la base marine, il n’y avait plus personne pour garder l’entrée puisque je venais d’éliminer le garde, il fallait maintenant que j’agisse avant qu’il n’y ait la relève, j’avais encore du temps, du moins normalement. Léchant mon sabre jusqu’à qu’il n’y ait plus de sang dessus, je finis par le ranger dans son fourreau, lentement, tout mes geste était lent, précis et voulu, je ne faisais rien que je jugeais inutile et j’économiser ma force. Oui, il fallait que j’économise ma force, j’allais maintenant affronter tout une base de marine et pour survivre cela allait être compliqué mais surtout amusant. Je sentais que quelque chose allait se passer, une douleur sans aucun doute, après tout, il n’y a pas de combat sans souffrance. J’entendis un bruit derrière moi, des paroles pour être précis, une question et, en l’entendant, je me retournais brusquement la main gauche posé sur mon katana. La droite était beaucoup moins rapide ces temps si, en effet, elle avait était brûler ainsi que l’avant bras lors d’une explosion ce qui n’était pas bien pratique pour tenir quelque chose bien que je me débrouillais plutôt pas mal.

    L’homme qui venait de m’interpellez était assez étrange, possédant des cheveux bleu comme ceux de mon capitaine, à croire que c’était maintenant la mode de posséder cette couleurs, il portait aussi sur lui une chemise rouge et avait une main dans la poche. Etrange tenu surtout qu’il avait du me voir lécher mon sabre, il ne semblait même pas avoir peur cela en pouvait pas être un simple civil. Je le regardais tranquillement, peut-être était-il dangereux, ou pas, je ne pouvais pas le deviner d’un simple regard. Je ne répondis pas, pourquoi aurai-je répondue a un inconnue pour lui dire que j’étais un pirate, cela aurait était la pire chose à faire, le meilleurs moyen pour que tout le monde soit alerté. Je me détournais et pénétré à l’intérieur de l’enceinte, tout cela allait devenir intéressant, allant en direction de l’entrée je me demandais comment j’allais trouver l’infirmerie, l’endroit ou il y aurait des médicaments ainsi que du matériel de soin tel que des bandages et autre. Je ne m’y connaissais pas beaucoup mais je prendrais tout ce qu’il y avait de disponible. Je me dirigeais vers l’entrée et, au moment ou j’allais l’ouvrir d’un simple mouvement avec la poignet, celle-ci s’agita. Je me collais contre le mur à côté et celle-ci s’ouvris vers l’extérieur me cachant des gens qui sortaient. Une seul personne sortie d’ailleurs, un marine qui referma la porte derrière lui et m'aperçue. Il sursauta et avant qu’il n’articule un mot il reçu mon poing gauche dans la figure. Dans le même mouvement, je saisi mon katana et alors qu’il reculait je le dégainais, la lame fendit l’air lui entaillant le ventre. Il cria et, tournant sur moi-même, je lui fît une nouvelle entaille verticale, mortel si il n’y avait aucun soin mais il mettrait du temps à dormir. Un air sadique sur le visage, alors qu’il tombait sur le sol, je lui entaillais profondément les deux chevilles l’empêchant de se relever. Oui, il allait mourir, lentement et il cria de plus belle. Secouant mon katana, je le rengainais lentement pénétrant à l’intérieur du bâtiment, j’avançais tranquillement, il n’y avait personne.

    J’ouvris toute les porte sur mon passage, déserte, il s’agissait de simple pièce vide pour le moment, pour je ne savais qu’elle raison et, alors que pour la 3 ème fois je me remettais en route j’entendis un crie.

    -Hey toi ! Qu’est-ce que tu fais là !

    Je tournais la tête et aperçue un marine, je le regardais en souriant, comme si de rien était.

    -Ce que je fais là ? Je cherche l’infirmerie.

    -Pourquoi donc ?

    -Ba pour me soigner.

    Je lui montrais mon bras droit brûlé, il était stupide, très stupide et cela m’amusais beaucoup, presque plus que de tuer quelqu’un, non c’est faux, rien ne peut me faire plus plaisir que de torturer une personne.

    -1 er étage troisième porte à droite.

    Il avança vers moi sans se méfier, il pensait sans aucun doute que j’étais vraiment venus me soigner, il passa lentement à coté de moi, ma main droite se baissa se posant sur la garde de ma dague et je dégainais celle-ci, discrètement. Alors qu’il passait à côté de moi, juste à ce moment précis ou deux personne ce croise, un instant qui ne dure même pas une demi seconde, je lui plantais ma dague dans le ventre, il s’immobilisa, tétanisé et sans aucun doute surpris, je ne voyais pas son visage mais je me doutais ce qu’il devait montrer. De la peur et de la souffrance, la peur de mourir ce qui allait arriver, et la souffrance pour la blessure mais surtout pour la soude qui recouvrais ma lame qui se répandait maintenant dans son organisme. Ses mains se levèrent et entourèrent mon cou entreprenant de m’étrangler et, d’un mouvement, j’élargie la blessure en remontant la lame.

        L'inconnu se retourna vers moi, la main prête à dégainer son arme. De même, je serrais d'avantage le manche de mon couteau. Plusieurs mètres nous séparaient. S'il venait m'attaquer, j'aurais largement le temps de riposter. Il me regarda, je le regardais. Un face à face d'autant plus impressionnant que le silence régnait. Chacun avait son étrangeté. Moi avec des cheveux bleus, lui avec un bras calciné. Personne ne dit rien. Il ne répondit même pas à ma question. Se détournant de moi, il pénétra dans l'enceinte non gardé de la base.

        J'attendis quelques secondes, relâchant légèrement mon étreinte sur mon arme. Je m'avançais à mon tour du portail que je franchis. Je vis l'entrée un peu plus loin avec quelque chose ou quelqu'un par terre. En tout cas, il y avait une belle flaque de sang. Je rejoignis cette porte d'entrée, laissant ma main droite sortir de la poche sans la laisser s'éloigner trop loin. C'était un marine qui gisait là, par terre. De nombreuses entailles montraient le passage de l'inconnu au katana. L'homme avait la respiration lourde, il était encore en vie malgré ses nombreuses blessures. Voilà mon invitation ! Je pris le marine blessé sur mon dos et j'entrai dans la base.

        Ainsi, si un marine me demandait ce que je faisais là j'avais déjà une explication toute préparée. Par contre, l'homme risquait d'y laisser la vie s'il n'était pas bientôt soigné. Je marchais lentement. Le poids du marine ne me gênait pas. C'était son sang qui s'écoulait sur moi qui m'embêtait. Il allait tâcher tout mes habits ! Remarque, du sang rouge sur une chemise rouge...

        Un couloir centrale qui allait tout droit et de nombreuses portes de chaque côté. Sur la droite se trouvait aussi un couloir, mais légèrement plus petit. Ayant une bonne excuse d'être là, j'avançais dans le couloir principal. Je fis à peine quelques pas et une porte s'ouvrit. Un marine sortit d'une salle qui ressemblait à un dortoir et il me fixa. Son visage devint pale à la vue de l'homme sur mon dos et je m'exprimai avant qu'il ne demande quoi que ce soit.
        " Il était dans cet état devant l'entrée. Dites moi rapidement où se trouve l'infirmerie ou il y laissera la vie ! "

        " Venez... "

        Ce fut le seul mot qui arrivait à sortir de la bouche du marine. On dirait que c'était la première fois qu'il voyait un blessé. N'y avait-il jamais de pirate ou de criminelle sur cette île ? Le marine passa devant moi et marcha rapidement. Il voulait me guider jusqu'à l'infirmerie. Je voulais juste qu'il m'indique sa position, pas qu'il vienne avec ! Comme ça je serais obligé de le suivre jusqu'au bout au lieu de partir à la recherche du chef pour le tuer. Je marchais donc derrière le marine au rythme rapide de ses pas. J'étais contrarié, mon plan ne fonctionnait pas comme je l'avais prévu. Il me faudra trouver autre chose...

        Le marine s'arrêta brutalement et je me cognais légèrement la tête à lui. Je fis un pas sur le côté pour voir ce qui se passait. L'homme au katana était là, et il ajoutait un autre nom à sa liste de blessé. Voir même de mort. Le marine semblait paralysé devant cette image. Je lui posai le blessé que je portais sur ses épaules en lui disant de l'amener à l'infirmerie rapidement. Il me regarda d'un air décontenancé, il fallait donc que je lui fournisse un prétexte.
        " Il s'agit d'un de nos patient. Il s'est échappé de l'hôpital psychiatrique ce matin. Allez vite soigner ce marine. Je m'occupe de ce fou. "

        Le marine ne bougeait toujours pas. Il fallut que je le pousse un peu pour qu'il se mette enfin à bouger et qu'il parte en courant en direction de l'infirmerie. Dans ce couloir ne se trouvait plus que l'inconnu, sa dernière victime qui tombait à terre, et moi. Je sortis le couteau de ma poche et tendit mon bras armé dans sa direction.
        " J'ignore qui tu es. Mais je n'accepterais pas que tu interfères dans mon plan. L'alerte va sûrement être donné et l'autre marine a vu ton visage. Je te laisse deux choix. Soit tu t'enfuis pour que je puisse continuer, soit je modifie ton corps pour qu'ils ne te reconnaissent pas. Choisis, ou meurs de ma main. "

        Dans ma main droite se trouvait le couteau que je brandissais vers l'inconnu. Mon autre main était l'option de la transformation. Les doigts ressemblaient à des aiguilles, prêts à injecter des hormones à qui que ce soit. J'attendais que l'assassin fasse son choix tout en étant prêt à toute éventualité.
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      Le sang s’écoulait sur moi, rapidement, s’écoulant de la blessure du marine, ses mains serrant doucement mon cou, il voulait m’étrangler, il était mort. Il s’effondra ses mains se desserrant lentement, il tomba comme au ralenti, j’entendis des bruits derrière moi et je me retournais tranquillement. J’avais entendue le mot fou, un mot que je n’appréciais pas vraiment bien que d’après beaucoup de gens ce soit un des qualificatifs les plus adapté à ma personne. Il s’agissait de la même personne que celle de l’entrée, cette même personne qui m’avais demandé qui j’étais et qui maintenant me menaçais avec un petit couteau. Ridicule. Je souris et l’écoutais, il me menacé clairement et je faillis rire, la fuite, non, je ne pouvais pas fuir maintenant, je n’avais pas encore récupéré le matériel demandé par mon capitaine. Cette option était donc à proscrire, il fallait juste que je trouve l’infirmerie mais cette homme en chemise rouge me gênais. Je remarquais alors une jolie tache de sang sur le sol, l'homme ne semblait pas blessé et, pourtant, la flaque de sang était toute neuve. Ce sang devait pourtant bien appartenir à quelqu'un, mais cela ne m'intéressais pas, seul comptais le faite que cette homme me dérangeais

      J’essuyais lentement ma dague sur mes habits avant de la rengainait, il fallait absolument qu’il n’y ait plus d’eau dessus lorsqu’elle retournait dans son fourreau pour éviter toute réaction avec la soude présent dans ce dernier. Je soupirais cette rencontre me ralentissais et, pour avoir cette assurance il devait avoir un minimum de niveau dans l’art du combat. C’est alors que mon esprit tilta, il menaçait de me transformer, on ne pouvait pas transformer quelqu’un afin que les marines ne reconnaisse plus la personne. Peut-être que cette homme en chemise rouge possédait le pouvoir d’un fruit du démon mais malheureusement, je ne savais pas si cela était vraie et si oui, lequel il possédait. Je dégainais lentement mes deux lames, tenant mon sabre de la main droite bien que j’avais assez de mal à le tenir à cause de la brûlure et, de la main gauche, je dégainais mon katana. Curieusement je n’avais pas envie de le tuer, il semblait lui aussi vouloir faire quelque mort dans cette endroit et cela allait m’aider bien que pour le moment cette homme veuille juste me gêner. C’est d’un ton sec et agressif que je m’adressais à lui.

      -Dégage, ne me gêne pas.

          L'inconnu m'adressa la parole pour la première fois. Par contre, sa réponse ne m'enchanta guère. Comme si j'allais fuir. J'ai pénétré une base marine et n'ai encore tué personne et je devais partir ? L'assassin semblait très mal me connaître. Tant pis s'il voulait jouer à ça. Bien qu'il ne fasse pas parti de la marine, je n'aurais aucune pitié à le tuer s'il me gène. Or, c'était le cas en ce moment. Par contre, j'avais l'air malin avec mon petit couteau en face de ses deux katanas. C'était dans ce genre de moment que je regrettais d'avoir vendu mon dernier trophée, une épée de qualité supérieure.

          Des bruits de pas commençaient à s'approchaient derrière moi. Mais je ne voyais personne pour l'instant. Ça ne pouvait être que des marines alertés par celui qui allait à l'infirmerie. Le hic c'était que comme il était parti avec le blessé, je n'avais plus d'excuse d'être là. Et je ne suis pas sûr que le coup du malade mental fonctionne sur des marines en bonne état. L'autre était tellement choqué qu'il n'avait pas la force de répliquer, c'était tout.

          Je rangeais le couteau dans ma poche. Mes mouvements se voulaient lents pour faire comprendre à l'inconnu qu'il ne s'agissait pas d'une attaque. Je lui tournais le dos pour faire face à la direction d'où provenaient les bruits de pas et je reculais lentement. Ma main droite était assez éloigné de ma poche pour que l'assassin ne m'embrochait pas en pensant que j'allais dégainer. Je m'approchai de lui, sans le voir. Mon corps s'arrêta au moment où je sentis quelque chose toucher mon dos. Je pensais qu'il s'agissait de la lame d'un des katanas, mais je n'en étais pas sûr. Ma position était dangereuse et je risquais de me faire trancher à tout moment. Cela dépendait du comportement de l'inconnu.

          Devant moi apparaissaient trois hommes vêtus du costume de la marine. Deux d'entre eux brandissaient chacun un katana, l'autre nous visait avec un pistolet. Bien évidemment, les questions habituelles sur l'identité et la raison de notre présence ici fusèrent. Et je mis mon nouveau plan de couverture à l'œuvre.

          " Aidez moi s'il vous plait. Cet homme me menace de me tuer si je ne fais pas ce qu'il dit. Son arme touche en ce moment même mon dos. Je ne veux pas mourir ! Sauvez moi ! "

          Je devais avouer que je possédais un magnifique talent d'acteur. Il ne manquait plus que des larmes pour achever le tableau, mais je trouvais déjà cela suffisant. Le pistolet du marine pointa le visage de l'inconnu qui se dressait au dessus de mon épaule. Me croyait-il ? Par contre, ce jeu était plutôt dangereux. Un mauvais tir du marine et j'étais touché, un mouvement de l'assassin et j'étais tranché. Franchement, j'aurais pu trouver un meilleur plan... Histoire que ce ne soit pas vain en cas de mort, ma main gauche avec les doigts pointus comme des seringues se trouvait aussi dans mon dos. Si je sentais son arme me menacer, je lui injecterai des hormones pour le rendre gravement malade et lui faire payer. Trois marines en face, un inconnu derrière. Comment cela allait-il finir ?
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        La tension monté, j’attendais ce qu’il allait faire, je n’avais pas l’intention de le tuer, pas tout de suite, il était amusant ainsi à me faire face avec son petit couteau, une arme ridicule qui n’avait pas grande utilité face a un sabre et un katana qui eux donné une allonge beaucoup plus importante. Je le regardais un sourire ce formant sur mon visage, je n’avais pas envie de bouger, peut-être allait-il encore m’amuser un peu, il était tâché de sang, peut-être le sien, ou pas, peu m’importais. Soudain, il rangea son arme dans sa poche avant d’écarter ses mains et de se retourner. Il marcha en arrière vers moi, à croire qu’il voulait faire du moonwalk sauf que lui, ne savait absolument pas en faire. Il recula ainsi jusqu’à ma lame, et il s’immobilisa. Devant nous, trois marines débarquèrent d’un seul coup et la déclaration du civil qui venait de ce coller à ma lame me surpris légèrement. Ainsi je l’avait prit en otage, étrange chose alors que c’était lui qui venait de se coller à ma lame.

        -enfoiré …

        Ce mot ne fût qu’un murmure, seul le civil en chemise rouge devant moi pouvait l’entendre, de plus, il était maintenant en très mauvaise posture puisque le marine qui me visé pouvait très bien rater son tire tendit que moi, derrière lui, je pouvais lui trancher la tête, ou bien lui planter une arme dans le dos afin qu’il se vide de son sang. Je possédais tellement de possibilité qu’il ne pouvait même pas imaginé et pourtant, il se trouvait la. Je baissai légèrement les yeux et remarquais une main étrange, possédant des aiguille au bout des doigts, cette homme pouvait se défendre, il n’était pas un simple civile inconscient du danger. Un rictus traversa mon visage et je rengainais rapidement mon sabre, je n’avais plus le choix. Utilisant mon fruit du démon, je donnais l’impression au marine qu’il avait le bras cassé grâce à ma technique ‘kossetsu’. Au moment où il tirait, criant de douleurs il appuya tout de même sur la gâchette mais son tire fût absolument imprécis et la balle se logea dans un mur. Reculant d’un seul coup, je mît un coup de pied dans le dos le projetant en avant, vers les marines, alors que mon pied était toujours en l’air retournant vers le sol et je murmurais.

        kossetsu

        Je réutilisais encore une fois la même technique, sur la cheville de cette homme aux cheveux bleu, la cheville droite, je ressentis bien entendue la même douleur qui ne dura que une seconde dans cette même cheville mais, mon pied étant en l’air, je ne tombais pas. Alors que la douleur disparaissait, je fît demi tour et couru le plus rapidement possible. Après plusieurs mètres, je tournais vers la gauche parvenant à un escalier, je le monter rapidement avant d’arriver devant un marine très surpris qui avait sans doute entendue le coup de feu. Un coup de boule le cueillis sur le nez et le sang gicla, il cria de douleurs et, dans le même mouvement, je tournoyais sur moi-même avant de lui faire une large entaille sur le ventre. Il tomba sur le sol en criant et je me remis en route ouvrant toute les portes. A la 4 ème porte je trouvais l’infirmerie et j’y pénétrais au même moment qu’un groupe de marines surgissait dans le couloir.

        Refermant la porte qui s’ouvrais vers l’intérieur de la pièce je regardais qui était présent, il y avait un blessé très grave, celui que j’avais tailladé à l’entrée, un autre qui semblait perdue, sous le choc et un médecin qui se retourna a mon entré.

        -Qui es-tu ?

        Il remarqua le sang sur mon arme et recula d’un pas, il n’eut pas le temps de faire plus que je lui sauté dessus afin de le tuer. Il manquer visiblement d’entrainement mais parvînt à esquiver le premier coup.

        Kizu

        Une entaille profonde, voilà ce qu’il cru qu’il avait reçu et il s’immobilisa de surprise en se tâtant le ventre, préoccuper par cette fausse blessure, il n’évita pas mon coup qui lui trancha la gorge, il s’écroula sur le sol alors que le marine sous le choc, se mettait à crier. Je me dirigeais lentement vers lui tendit que paralyser de terreur, il ne pouvait que crier, je lui plantais ma lame dans la gorge en l’enfonçant lentement. Il s’éteignit dans un gargouillis lamentable. Tout cela c’était passé en quelque secondes et, avisant la porte, je saisis un lit juste à coté avant de le pousser afin de le coller contre l’entrée. Cela me donnerait un peu de temps, juste un peu, je saisis une caisse avant de la mettre sur le lit bloquant la poignet, l’entrée serait difficile mais les marines finiraient par venir. J’entendais déjà tambourinais à la porte puis un choc sourd qui la fît trembler. Me retournant, je remarquais un bureau avec un sac portant le signe des médecins, je le saisit et l’ouvris remarquant qu’il était plein d’outil ainsi que quelque bandage et autre produit. Le posant sur un lit, je saisis une étagère avant de le remplir en rajoutant des bandages, des crème ainsi que des liquide non identifiable, du moins d’après moi mais après tout, je n’y connaissais rien en cuisine. J’entendis un crac et en regardant la porte je remarquais qu’elle se fissurait. Refermant le sac, je le mît sur mon dos et saisit mes armes prêt au combat.

        Me posant sur le côté gauche de la porte, j’attendis patiemment, un troue apparue et, d’un mouvement rapide, j’enfonçais mon sabre dans celui-ci, un crie, la lame revînt recouverte de sang, j’avais touché quelqu’un bien que j’ignorais si cela était grave. Je devais maintenant attendre, je ne pouvais rien faire d’autre, une petite fenêtre était présente mais passer par cette endroit était suicidaire. Il me fallait combattre.

            On pouvait se demander si mes actions touchaient à l'ingéniosité ou à la folie. Et très sincèrement, je n'en avais pas la moindre idée.Toujours était-il que j'avais un assassin dans le dos et des soldats de la marine devant moi. Pourtant, je ne regrettais rien. Mais j'espérais tout de même que j'allais en sortir sans trop de blessure...

            Une détonation ! Un coup de feu ! Un trou dans le mur ! Comment ça le mur ? Ce marin ne savait pas se servir de son arme ou quoi ? En tout cas, je devais admettre que j'avais eu un léger sursaut.

            Une légère douleur dans le dos. Mais pas celle d'une entaille. Ma peau était intacte. L'assassin m'avait asséné un coup de pied et je fus éjecté en direction des marines. Je me suis affalé à leurs pieds. Quel déshonneur pour un pirate de se retrouver ainsi en face de marines. L'assassin allait me payer ça ! Je voulus me relever lorsque je sentis une douleur à la cheville droite. Je roulai sur le côté en regardant ma jambe. J'avais mal mais il n'y avait aucune blessure apparente et l'assassin n'y avait pas touché. Un fruit du démon était à l'œuvre ? La douleur disparaissait et je me levais lorsque l'assassin quittait déjà le couloir.

            Les marines étaient déjà parti à sa poursuite. Quant à moi, j'avançais lentement en suivant les bruits pour connaître le chemin. J'étais pensif. Quel était ce pouvoir ? J'avais l'impression que ma cheville était brisé alors qu'il n'y avait même pas touché. Pouvait-il en faire de même pour les autres parties du corps ?

            Les bruits me firent monter les escaliers. Une fois en haut, je vis plusieurs soldats de la marine entrain de frapper contre une porte qui semblait bloquée. Je marchais lentement vers eux et l'un de ces hommes me dit qu'il vaudrait pour moi de partir d'ici car c'était dangereux. Je lui répondis simplement de ne pas s'en faire pour moi et je m'approchais du marine qui tapait la porte. Tout en lui disant de ne pas s'inquiéter, je lui enfonçais mes doigts dans le bras. Bien sûr, tout les fusils se braquèrent sur moi au cri de surprise de l'homme. Mais lorsque je sortis mes doigts de son bras, celui-ci avait doublé de volume. Les marines alentours me regardèrent un air ébahi pendant que l'homme fier de sa nouvelle force frappa une nouvelle fois contre la porte qui produit un bruit sourd mais sembla commencer à fléchir.

            Je m'assis par terre, dos au mur en attendant que le gaillard finisse d'ouvrir la porte. Les autres marines regardèrent tour à tour le bras de leur camarade et moi. Quelques uns me demandèrent même de faire pareil à leur bras. Et il y eut encore plus de demande lorsque la porte commença à fissurer. Mais j'ignorais leurs paroles, fermant les yeux pour mieux entendre la résistance de la porte baisser petit à petit. Le marine se mit à crier, ce qui me fit ouvrir les yeux. Il se recula jusqu'à toucher le couloir d'en face, tenant sa main qui a doublé de volume avec l'autre. Des gouttes de sang coulaient et je pus voir l'espace d'un instant une entaille entre deux de ses doigts qui semblait plutôt profonde. Me levant, je regardais la porte qui était toujours fermée mais qui semblait craquer au moindre coup.

            D'après la blessure du marine, cela a été fait par une épée. L'assassin était donc encore dans cette salle. Il n'avait pas d'échappatoire. Il était tel un oiseau en cage. Mais un oiseau dangereux tout de même. Un rapace serait plus proche de la réalité. N'étant pas très confiant au sujet de la porte, je m'approchais de l'homme qui me demanda en premier d'augmenter sa force. Je lui demandais de me tendre son bras mais il me répondit qu'il ne voulait pas le faire. Il m'avait fallu lui faire comprendre qu'il fallait ouvrir cette porte afin de pouvoir capturer l'assassin derrière pour venger ses camarades et qu'il n'y ait plus de tuerie. Que c'était le devoir d'un marine ! Hésitant, il me tendit le bras et je lui ai injecté des hormones. Il alla finir le boulot de son collègue et la porte finit par céder.

            Laissant d'abord quelques marines pénétrer dans la salle, je décidais de rentrer voir ce qui se passait. Et surtout ce que faisait l'assassin.
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          Un silence, long, cela discuter derrière la porte mais je n’entendais pas exactement ce qu’ils se disaient, je n’entendais même rien et pour faire simple, cela n’avait pas d’importance. Le dos posé contre le mur, j’attendis patiemment, de toute façon les marines allait entrer et, quoi que je fasse je ne pourrais les en empêcher. En plus, si je voulais sortir de cet endroit il fallait bien que la porte s’ouvre et que je tue ceux qui allaient maintenant m’attaquer. Soupirant, mes deux lames posé a coté de moi, je fermais les yeux en me concentrant, l’esprit brouiller je réfléchissais trop, c’était mauvais pour moi, très mauvais. La réflexion abîme l’esprit, je me le suis toujours dit, elle empêche de se battre correctement et donc de survivre. Soupirant, je sortie ma dague de son fourreau avant de retrousser ma manche droite jusqu’au milieu du bras. Je poser ma lame sur mon poignet avant de l’enfoncer lentement dans la chaire, la douleur commença à parvenir à mon cerveau mais je n’y prêtais même pas attention. Remontant lentement la lame, traversant uniquement la chaire en faisant bien attention à ne pas toucher au muscle et au tendon ce qui m’handicaperait pour le combat à venir. Je fermais les yeux en souriant et lorsque je les rouvris, tout était limpide, clair et précis autours de moi. Je ne pensais plus à rien, le sang coulait lentement sur mon bras et je le léchais ne gaspillant pas ce doux nectar. Le tambourinement reprit, des morceaux de bois volaient dans la pièce tendit que j’essuyais ma lame avant de la ranger, la soude qui était présente sur celle-ci réagis avec mon sang brûlant mon bras, je saisis mes lames avant de me relever prêt au combat.

          Alors que la douleur emplissait mon corps, lentement, me faisant sourire, la porte explosa, je voyais clair, tout était limpide et je remarquais 5 soldats pénétrant rapidement dans la pièce, et, curieusement le premier possédait un bras plus gros que l’autre. J’agis presque immédiatement, le deuxième marine qui entra ne pût entièrement esquiver mon coup, devant grimper à chaque fois sur le lit qui barrer la porte, cela gênait leurs entrer et il roula sur le sol répandant son sang un peu partout. Le premier se retourna en entendant le crie de son compagnon et me remarqua, son bras plus gros semblait plus puissant, c’était lui qui avait défoncé la porte et cela m’amusa. J’avançais lentement vers lui, mes lames pointé vers le sol comme si de rien était et, juste devant lui j’agis. Bougeant rapidement, je fis un pas sur la droite et donner un coup de sabre vers son ventre afin de le transpercer. Mon coup ne l’atteignit pas, il me logea un magnifique coup de poing dans le ventre qui me projeta en arrière me coupant le souffle. Je ratérie contre le mur et glissais sur le sol, le marine avança vers moi tendit que ces compagnon pénétraient dans la salle. Je me relevais en souriant, c’était intéressant, ce bras beaucoup plus gros frappait fort, enfin quelqu’un qui s’opposerai à moi. Il m’attaqua à nouveau et je m’effacer, esquivant tranquillement avant de lui mettre un coup de coude dans le nez puis, dans un mouvement circulaire, lui tailladez profondément le ventre.

          Il s’écroula, apparemment sont bras ne lui donnait pas plus de résistance. Il me restait trois adversaire à abattre, l’un était sur le lit et les deux autres sur le sol, prêt à ce battre, l’un des deux sur le sol avança brusquement et je parer, déviant sa lame de mon katana, je lui enfonçais d’un coup sec mon sabre dans la gorge, il s’étouffa dans un gargouillis de sang et s’effondra au moment même ou ma lame se retirait de son corps. Ils manquaient d’entraînement, c’était visible et, pourtant, je parvenais tout de même à m’amuser, celui sur le lit me sauta dessus en criant, le sac me gênait pour esquiver correctement et je parais de mes deux lames, le dernier restant fonça sur moi me prenant en tenaille. Avant qu’il ne m’atteigne, je levais ma jambe droite et utilisais mon fruit du démon sur le marine encore en l’air, sur sa cheville.

          Kossetsu


          Il cria, rattérie sur sa jambe et s’effondra, j’en profiter pour abréger ses souffrances en lui enfonçant la lame de mon katana dans le ventre, dans le même moment, j’arrêter d’utiliser mon fruit du démon et envoyer un coup de sabre vers mon dernier adversaire et je l’attaquais. Tournant le dos à la porte, je m’amusais avec lui, je n’allais pas le tuer directement mais m’amuser un peu, j’avais mon temps maintenant, jusqu’à que d’autre marine arrive dans le coin je pourrais faire souffrir celui-ci. Frappant son poignet d’un coup bien placé, je l’obligé à lâcher son arme et, tout en lâchant mon katana, le sang coulant toujours sur mon bras droit, sur la brûlure, je le saisit à la gorge de la main gauche entreprenant la longue tâche de l’étranglement.

              Près de cinq marines entraient les uns après les autres. Et à chaque fois que l'un d'entre eux pénétrait dans la salle, des cris s'en suivaient. Preuve que l'assassin se trouvait bel et bien là. Le problème, ces cris provenaient de lui ou d'un marine ? Comme ils avançaient l'un derrière l'autre, je ne pouvais voir ce qui se passait dans la pièce. Je ne pouvais suivre la bataille qu'au son des lames qui se percutaient et des hurlements des blessés.

              Enfin ils étaient tous entrés. Je m'approchai de l'entrebâillement de la porte et fus surpris de voir un lit devant mes pieds. Plus étonnant encore, les corps des marines étaient parsemés un peu partout dans la salle. L'assassin me tournait le dos et était entrain d'étrangler le dernier soldat qui tentait de se débattre.

              Faisant le moins de bruits possible, je m'accroupis devant le lit. Croisant les bras pour que mes mains touchent l'autre, j'injectais des hormones dans chacun de mes bras qui doublèrent de volume. Je posai ensuite mes mains en-dessous du lit et dans un léger grognement, je lançais le lit dans les airs. Tournant sur lui-même, ce qui servait habituellement à se reposer volait dans la direction de l'assassin. Et bien qu'il m'avait sûrement remarqué à cause de mon petit cri d'effort, je lui souhaitais bonne chance pour l'éviter. La seule façon serait de se coucher à plat par terre pour que le lit passe au-dessus. Et s'il se tournait avec le marine et que ce ne soit donc pas lui qui prenne le lit de plein fouet, il sera tout de même bien éjecté.

              Toujours accroupie, je plantais mes doigts dans mes jambes tout en fixant le lit du regard. Mes bras reprirent leur taille normale, par contre les muscles de mes jambes étaient maintenant dopés. Ma vitesse augmentée, je courais droit devant. Prenant un katana sur l'une des dépouilles, je continuais de m'avancer vers le lit volant contre l'assassin. Tout était clair dans ma tête. S'il esquivait en se couchant au sol, je lui assénerai un coup vertical. S'il se faisait avoir par le lit, je planterai ma lame dans le matelas afin d'avoir mon ennemi en estimant sa position à l'aide de ses pieds. Bien sûr, le marine qui se faisait étranglé risquait de mourir à cause de cela, mais je ne voyais pas la raison de me soucier de la vie de ce marine étant donné que je l'aurais probablement tué moi-même après.

              C'était une situation étrange tout de même. Dangereuse et violente certes, mais bizarre. Deux personnes qui tuent des marines dans un de leur base se battent l'un contre l'autre...
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            La vie était entrain de quitter celui que j’étranglais, lentement, les mains de ma victime se serrèrent difficilement autours de mon poignet pour me faire lâcher prise malheureusement c’était trop tard pour lui. Lentement il perdait sa vie, virant au rouge de plus en plus foncé, suffoquant, ces yeux se révulsèrent lorsque j’entendis un bruit de raclement derrière moi et un grognement. Je tournais la tête et, surprit, je vis un lit m’arriver dessus en tournoyant. Je voyais tout, clairement, limpide, chaque mouvement du lit, je n’avais pas le temps de réagir, je commençais à pivoter pour me protéger avec le corps de ma victime, trop lentement. Tout se passer u ralentis, j’avais l’impression de bouger lentement, comme si le temps c’était ralentis pour me laisser le temps de voir ma déchéance. Oui, ma déchéance, recevoir un coup comme sa ne me serait pas fatal mais donnerait un avantage énorme à celui qui l’avait projeté dans ma direction. Je regardais le lit, un matelas en plume qui ne ferait aucun dégât, des pieds de fer qui eux risquaient de faire mal et des lattes elles aussi en fer.

            J’avais peu de chance d’en sortir indemne, je n’étais pas encore assez puissant pour couper le fer du lit, et j’avais donc, une chance sur deux de recevoir des blessures a l’atterrissage du lit sur mon corps sans compter l’attaque qui allait sans aucun doute arriver directement après. Je n’eus pas le temps de mettre le marine devant et je reçu le lit du mauvais coté, les lattes de fer cognèrent contre moi et m’emportèrent me projetant conte un autre lit. J’entendis un crac, puis deux et je souris, la douleur se propager dans ma main droite qui ne tenait plus, à ma grande surprise mon sabre, je devais avoir un doigt ou deux de casser. J’étais dans une position précaire, très précaire, désarmé, blessé et dans l’incapacité de parer une attaque je repousser lentement le lit. Grimaçant, j’avais mal à la jambe droite et cela me fît sourie, mon sac était tombé je ne savais pas comment, mais il n’était plus sur mon dos préservant ainsi les objet que j’avais récupéré et qui allait servir plus tôt que prévue.

                Mon adversaire n'eut pas le réflexe de se plaquer contre le sol. Il se prirent, lui et le marine, le lit. Avec l'étranglement et ça, je ne pensais pas que le soldat soit encore en vie. Mais je n'étais pas touché par la possibilité de sa mort. Par contre, j'étais concentré sur ma course afin d'attenter à la vie de l'assassin. Il était sous le lit, assis contre un autre. Mais ses pieds dépassaient et je pouvais ainsi prédire l'endroit où frapper. Sautant pratiquement sur le lit que mon adversaire écartait, je plantais le katana à travers le matelas.

                Je retirais le katana qui passait de nouveau par le matelas et que je retrouvais donc propre. S'il y avait du sang sur la lame, on le verrait de l'autre côté du matelas. Lentement, sans détourner le regard de l'endroit où se trouvait mon ennemi, je descendis du lit que je poussais pour voir l'état de l'assassin. Bien sûr, je gardais le katana dans l'une de mes mains et je pointais le bout vers le visage de mon ennemi. Mes yeux regardaient tour à tour chacun des membres de l'assassin au cas où il tenterait encore quelque chose.
                " Tu n'es pas un marine et tu en as même tué quelques uns. Donne moi ton nom et ton but étranger. Je les inscrirais sur ta tombe. "

                Je tenais le katana qu'à une main. L'autre longeait mon corps, prête à agir au moindre mouvement. J'attendais que l'assassin décline son identité. Comme il avait l'air d'être lui aussi un ennemi de la marine, je tenais à savoir qui il était. Et surtout, sa raison d'être ici. Car je ne pensais pas qu'un simple civil puisse faire cela. Ensuite, le katana pourrait de nouveau gouter au sang de cet homme et ainsi venger son ancien détenteur.
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              Alors que je poussais lentement le lit de façon à me libérer, une poussé importante s’effectua sur celui-ci et il me revînt dessus m’écrasant, l’aire que contenait mes poumons s’échappa brusquement et, une seconde plus tard, une lame s’enfonça en moi. Transperçant ma chair sur le coté gauche de mon ventre, il ne causa pas de dommage important, néanmoins, je lâchais un hoquet et je toussais, crachant du sang. La douleur se répandait de plus en plus en moi, le lis s’écarta et je pus enfin respirer, le sang coulait de ma blessure et mon bras droit ne réagissait plus, il n’était pas cassé, sans doute le lit avait-il frappé sur un nerf l’immobilisant ainsi pour un court moment. Ma vue se troubla pendant un court moment et je remarquais une lame pointé vers mon visage. L’homme qui me menaçait parla, il comptait me tuer mais d’abord il voulait mon nom et mon but, je n’avais aucune raison de cacher ses deux choses mais, mourir ne faisait pas partie de mon objectif. Toussant, du sang giclant sur le sol, je regardais l’homme avant de sourire. Il était amusant comme cela à me menacer de la sorte, c’était une situation que je n’avais encore jamais affronté, cela m’amusais, beaucoup d’ailleurs. Les doigts de ma main droite tremblèrent légèrement, peu a peur je parvenais à bouger un peu plus et je dit d’une voix rauque.

              -Shippû Kurushimi, pirate et mon but du moment et de partir d’ici.

              Il me surveillait, je ne le voyais pas mais je le savais, c’était quelque chose d’intuitif et de certain, toute personne qui prend quelqu’un en otage afin de lui poser des questions surveille ce dernier. Heureusement pour lui, je n’avais aucune raison de cacher les informations que je venais de lui révéler, je ne considérais pas mon existence comme un secret. Il faut dire que avec ce que je faisais un peu partout, surtout depuis que j’appartenais à un équipage, je n’étais pas passé inaperçue. J’attendis sa réaction, si il voudrais me tuer, j’utiliserais mon pouvoir pour lui faire lâcher son arme, je ne pensais pas avoir la force de le combattre maintenant, mon sang coulait sur le sol, lentement.

                  Un pirate ? Non, cela n'était pas possible. Je n'étais tout de même pas entrain de tuer l'ennemi juré des marines ? Tout à coup, je me sentais honteux de ce que j'avais fait. S'il était dans un état si piteux, c'était de ma faute. Et je n'allais certainement pas le laisser là, à la merci de la marine. Surtout après l'avoir si grièvement blessé. Je lançais le katana sur le côté, comme pour montrer que je ne voulais plus continuer ce combat.
                  " L'ennemi de mon ennemi est mon ami. Et je suis moi-même pirate... "

                  Me retournant, je cherchais des yeux quelque chose pouvant m'aider. Nous étions dans une infirmerie, je devais bien trouver quelque chose pour les blessures de l'assassin. Un sac attira mon regard et je le pris entre mes mains. Voyant son contenu, je le lançais vers Kurushimi pour qu'il puisse panser un minimum ses plaies. Ou au moins arrêter les saignements. Je commençais ensuite à dépouiller un cadavre de ses habits tout en jetant des coups d'œil à la porte d'entrée au cas où d'autres soldats arrivaient. Je me dénudai ensuite pour enfiler les habits que portait le cadavre. J'ôtai ensuite les habits d'un autre marine et les lançais vers le pirate pour qu'il les enfile aussi.

                  Je ressemblais tout à fait à un marine. De plus, je n'étais pas assez renommé pour que l'on me reconnaisse et pouvais donc garder cette apparence. Pour le pirate par contre, son portrait avait certainement dû être dépeint suite aux nombreux actes qu'il avait commis ici. Je m'approchais donc de lui avec des doigts pointus en le prévenant que c'était pour que personne ne le reconnaisse. Je lui plantai doucement ma main dans sa peau et lui injectai la totale pour le transformer totalement. Et pour être sûr de mon coup, je décidai de changer aussi son sexe.

                  Le temps que le pirate se transforme et enfile l'uniforme, je me tournais vers l'un des seuls lits encore intacts de cette salle. Le marine blessé de l'entrée était encore installé là. Kurushimi ne l'avait pas tué, et le docteur avait stoppé ses saignements avant de mourir. Il allait donc survivre. Et je n'avais pas envie de le tuer pour le moment, je voulais plutôt qu'il me serve à transmettre un message.
                  " Pour cette fois je te laisse la vie sauve. Mais dis bien au responsable en charge de cette base que je reviendrai un jour. Ce jour-là, tu n'auras pas la chance que tu as eu cette fois. Profite bien de ce qui te reste à vivre. "

                  Je me dirigeai ensuite vers l'entrée de l'infirmerie maintenant dénudée de porte. Et je me tournais vers le pirate afin de voir où il en était et s'il était prêt à me suivre. Ou devrais-je dire "elle" maintenant ?
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                Sa réaction me surpris, il lança son arme sur le côté, comme si il n’en avait plus besoin et se déclara pirate, je me demandais pourquoi il m’avait attaqué alors que je défiais clairement l’autorité et qu’il venait de déclarer que les ennemis de ses ennemis était ses amis. Phrase un peu stupide d’après moi mais, pour le moment son raisonnement m’arrangeait. Il se dirigea vers le sac que je devais emporter avec moi et me le lança, sans doute pour que je me soigne, je l’ouvris, saisit un bandage et le serrer autours de moi, au niveau de la blessure. C’était précaire mais suffisant pour le moment, alors que je finissais d’attacher le bandage, je reçue des vêtements dans la figure, de marine pour être précis, je devinais la pensais du pirate et, après m’être déshabillé sans aucune gêne, j’enfiler cette tenue que je trouvais pour le moins inconfortable. Il s’approcha de moi alors que je finissais de m’habiller, des doigts pointue, surnaturelle qu’il planta dans mon corps, j’eu un mouvement de recule et il retira ses doigts.

                Quelque chose se passa en moi, je sentais mon corps changer, progressivement, mes cheveux pour ce que je pouvais en voir, changèrent de couleurs devenant plus claire mais restèrent de la même taille, une poitrine apparue, à ma grande surprise, tout mon corps changea, lentement, sans que je ne puisse rien faire. Un hoquet de surprise m’échappa et je regardais celui qui venait d’accomplir cela. Je n’étais pas en états de protester ma bouche pâteuse sans doute à cause de la transformation et des blessures qui se suivait rapidement. Je mît le sac sur mon dos avant d’accrocher, encore plus lentement, mes armes à ma ceinture. Je me dirigeais vers la sortis en me jurant d’obliger cette homme à me rendre mon apparence normal après être sortie, il était peut-être ma seul chance de sortir vivant mais je ne comptais pas passer ma vie sous l’apparence d’une fille. Oui, j’allais l’obligé à me rendre mon apparence normal puis, malgré son aide je le tuerais. Je n’ai pas d’amis, seulement des gens qui me serve pour accomplir mes objectif et dont je me débarrasse une fois utilisé. Il était près de la porte et je le rejoignis lentement, ce corps était étrange, ce n’était pas évident de se déplacer surtout avec ma blessure.

                La main gauche posée sur ma blessure, laissant ma main droite pendre le long de mon corps, je le dépassais lentement sortant de la pièce avant de m’appuyer contre le mur, j’avais du mal à me déplacer, beaucoup de mal. J’avançais lentement dans le couloir reprenant mon chemin inverse en espérant ne pas tomber sur un marine, j’avais beau être déguiser, la soif de tuer était toujours présente en moi et je ne pensais pas résister à cette envie si je croiser l’un d’eux.


                Dernière édition par Shippû Kurushimi le Ven 15 Avr 2011 - 20:44, édité 1 fois

                    Au fond, j'étais assez fier de ma création. Du moins, si je pouvais appeler cela ainsi. Rien à voir avec le Shippû mâle, personne ne pourrait le reconnaître ainsi. Je le laissais passer devant moi et le rejoignis dans le couloir. Ce n'était que là que je pris vraiment conscience dans l'ampleur de ses blessures en voyant qu'il devait s'aider du mur pour avancer. Bien sûr, je pouvais l'aider en lui injectant des hormones de vigueur pour qu'il puisse avancer correctement. Mais le voir en si piteux état me donna une idée. Ou plutôt une excuse au cas où on nous demandait ce qu'on faisait.

                    Avançant vers le pirate, je passais ma tête sous le bras qui lui servait d'appui sur le mur. Il fallait tout de même que je l'aidais un peu, surtout que c'était de ma faute s'il se trouvait dans cet état. Je lui servais donc d'appui pour avancer dans ce chemin menant à la sortie. Les escaliers furent le plus dur. Nous devions descendre lentement afin d'éviter que Shippû ne tombe, et moi avec étant donné que je le soutenais.

                    U
                    ne fois au bas des marches, un groupe de marines passa devant nous et nous interpella. Eux voyaient deux marines dont l'un blessé, sauf que nous n'allions pas dans la bonne direction pour rejoindre l'infirmerie, ce qui était plutôt louche. Je leur expliquai donc qu'il y avait eu un carnage là bas et que même le docteur était mort. C'était pour cela que je menais mon collègue à l'extérieur de la base à la recherche d'un médecin tandis que le pirate responsable de ce massacre devait encore se promener dans la base. Je vis le groupe de marines gravirent les marches quatre à quatre avec l'intention d'aller à l'infirmerie voir l'ampleur des dégâts.

                    Pendant ce temps, nous continuions vers la sortie qui se trouvait juste au bout du couloir. Mon plan était infaillible et nous allions nous en tirer tranquillement. Sauf qu'une fois à la hauteur de la porte d'entrée, le groupe de marine redescendait l'escalier et pointait leur fusil vers nous.
                    " Halte là ! Nous savons qui vous êtes ! "

                    Comment était-ce possible ? Mon plan était parfait ! Shippû ne ressemblait pas du tout à ce qu'il était avant... Ah ! Le marine blessé sur le lit de l'infirmerie ! Je l'avais laissé en vie et il avait vu le pirate se transformer ! Je claquais la porte d'entrée derrière nous et entendis les bruits de pas des marines courant vers nous. Heureusement, cette porte nous protégeait de leurs armes. Mais pendant combien de temps ? Dos contre la porte afin de la garder fermée s'ils arrivaient à notre hauteur, je tournais la tête vers mon collègue.
                    " Je crois qu'il va falloir s'enfuir. A moins que tu aimes avoir du plomb dans le corps. Voici un petit coup de pouce pour t'aider... "

                    Plantant mes doigts dans le corps de la femme, je lui injectais des hormones de vigueur pour qu'elle ne ressente plus la douleur de ses blessures. Par contre, ses plaies étaient encore là ! Dès que cela fut fait, je commençais à courir tout droit avant que les marines ne sortent de la base. Laissant Shippû à la porte. Mais il allait certainement me suivre ou prendre une autre voix pour s'enfuir. Pour ma part, je courais vers les maisons les plus proches afin de les semer dans les petites ruelles et rejoindre le port par après...
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                  Alors que j’étais appuyé contre le mur, respirant calmement, je sentis mon bras gauche se désister, croyant que j’allais tomber sous le choc, je compris avec quelque seconde de retard qu’il s’agissait simplement du pirate qui venait de passer sous mon bras gauche avant de le prendre afin de me soutenir. Marchand lentement, je faisais bien attention a mettre mes pied l’un devant l’autre en m’appuyant lourdement sur le pirate. Atteignant les escaliers, je les regardais en me demandant si il ne serait pas plus pratique de les descendre d’un seul coup, en roulant, malgré la douleur que cela ne manquerais pas de causer, cela rester la solution la plus simple et la plus rapide. Avant que je ne fasse quoi que se soit, il m’entraîna lentement dans les escaliers. La descente fût longue et éprouvante et, arrivée en bas, un groupe de marine arriva. Le baratin que leur servie le pirate paru les satisfaire, bien sur nous n’étions pas reconnaissable. Ils nous contournèrent et montèrent rapidement les escaliers, c’est d’un pas déjà plus rapide que nous nous dirigions vers la sortie.

                  Arrivée au portail, une voix cria de nous arrêter, nous étions découvert sans doute à cause du marine laissé en vie, je souris lorsque mon soit disant compagnon me dit qu’il fallait fuir. Il m’avait lâché et je tanguais légèrement sur mes jambes, la porte avait claqué et maintenant, je me demandais comment j’allais pouvoir fuir dans cet état. La réponse me vînt au moment ou il me piqua à nouveau, le moment même ou je compris la fin de sa phrase. Je le vis s’enfuir du coin de l’œil en direction des bâtiments et sa piqure agis sur mon corps, d’un seul coup, un coup de jus me parcourus et, bizarrement, je ne sentis plus la douleur de mes blessure, comme si elles n’avaient jamais existé, pourtant en les regardant je voyais bien que je saignais encore. Derrière moi la porte s’ouvris, ils étaient prudent mais, je la refermais d’un seul coup de pied entendant un crie de douleurs. Sans aucun doute un marine était-il derrière et c’était prit le battant en pleine figure. A mon tour, je me mis à courir afin de ne pas me faire attraper, mon sac me gênais mais, j’atteignis facilement les maisons, au moment même ou les marines rouvrait la porte je disparût dans les ruelles a la poursuite du pirate.

                  Oui, je devais l’attraper et vite, celui-ci devait me rendre ma forme originel, je ne comptais pas passer ma vie sous la forme d’une fille, c’était hors de question. Courant de toutes mes forces, je traversais la petite ville sans le retrouver, je n’avais vraiment pas de chance. Abandonnant pour le moment, sachant pertinemment que j’allais me vider de mon sang à cette vitesse, je passé la dizaine de minutes suivante a récupéré le matériel nécessaire pour me faire une torche que j’allumais. Enlevant mon bandage d’où le sang s’égouttait toujours, je me poser dans une petite ruelle sombre avant d’appliquer la torche dessus, appuyant de toutes mes forces. La souffrance pénétra en moi, d’un seul coup pendant que la torche refermais la chaire. Une odeur de viande brûler s’éleva dans l’air.

                  -ça va aller ?

                  Je tournais la tête vers l’homme qui venait de me parler, je ne l’avais même pas entendue arriver, me retenant de crier pour ne pas attirer l’attention. Ma colère s’éveilla, jusqu’à recroiser ce pirate je devrais rester dans ce corps, cela j’en étais certain puisqu’il avait utilisé un fruit du démon, lui seul pouvait annuler son action. Je voulais tuer, mais il n’était pas la, par contre, ce malheureux civil lui était la. J’acquiesçais et il s’approcha de moi en regardant ma blessure.

                  -Mais vous êtes folle, vous auriez du aller voir un médecin pour soigner sa au lieu de vous brûler.

                  Il était assez près, je ne répondis même pas, cela ne m’intéressais pas, projetant mon poing gauche dans son visage qui recula d’un seul coup, je projeté mon pied droit dans les partie sensible de ma victime qui se plia en deux en lâchant un petit crie. La piqure semblait faire toujours effet, heureusement pour moi, je saisis sa tête a deux main pendant qu’il gémissait et la claquait contre mon genoux lui brisant le nez. A mon grand plaisir, il cria et s’écroula sur le sol. M’asseyant à califourchon sur son ventre, je dégainais mon sabre et mon katana et plantais le premier dans sa jambe droite, et le deuxième dans la gauche, traversant la chaire les deux lame se plantèrent dans le sol. Il cria à nouveau mais, de mes deux mains, je lui refermais la bouche avant de déchirer un morceau de mon kimono et le lui mît dans la bouche. Ainsi, personne ne viendrais nous déranger, je pourrai profiter de lui encore un peu avant de partir rejoindre mon capitaine.

                  C’est avec délice que je lui saisit la main droite avant de lui briser le petit doigt, d’un mouvement sec de la main, un craquement et un crie étouffé. Je rigolais doucement, comme si de rien était pendant que ma victime pleurait et se vidait de son sang par les jambes. Souriante, je penchais mon visage vers lui, lentement avant de lui attraper son nez avec mes dent et de serrer le plus fort possible, du sang coula tendit que mes incisives s’enfonçais progressivement dans la chair, ma victime se débattit mais, de mes deux mains, je le retînt, jouant un peut de la mâchoire, j’élargis les plaies avant d’arracher un petit bout de chaire que je recracher sur le sol. Je sentais que ma victime aller s’évanouir, me posant a coté de lui, je posais mes deux mains sur son corps comme pour faire un massage cardiaque puis, j’appuyais très fort, d’un seul coup, puis une deuxième fois. Les yeux de celui que je venais de torturer un tout petit peux se révulsèrent, sans doute lui avais-je brisé une cote ou deux ou bien au moins fissuré, quelque chose de peu agréable à subir dans son états. Enfin je le dénudé, juste le bas, baissant le pantalon je lui coupais les parties sensible avec ma dague et il s’évanouit. J’essuyais celle-ci avant de la rengainais, satisfait je me préparais à partir, cette homme allait mourir, il n’avait aucune chance ou presque de s’en sortir et il garderait des marque jusqu’à la fin de ses jours.

                  J’entendis un bruit venant de derrière, je me retournais et remarquer 3 marines qui débarquer, un sourire aux lèvres, je leurs jetait les partie sensible de l’homme a terre et, sans attendre, je récupérais d’un seul mouvement mes deux lames et parti dans la direction opposé. J’entendis un crie de dégout, plus personne ne me courrait après, sans doute c’était-il arrêté prêt de l’homme plutôt amochée. Je disparue à nouveau me préparant à quitter la ville, je savais qu’il me faudrait trouver un médecin rapidement mais, pour le moment je ne pouvais pas rester ici. Je quittais donc rapidement la ville sans me faire repéré afin de rejoindre mon équipage.

                  [HRP: fini pour moi ;)]