#1 Un départ fracassant
Partie n°1 ✘ Une vie monotone ✘ Wanks Lowkijy ✘
Le soleil avait atteint depuis moins d'une heure le centre du ciel, il devait donc être douze heures passés. Bien entendu ne vous fiez pas trop à moi, mes connaissances météorologiques ne sont pas très fiable. J'étais allongé dans l'herbe fraîche de Troop Erdu. Cela faisait environ six ans que j'avais amarré sur cette île je n'avais eu aucun ennuie depuis cette date. J'avais choisi ce lieu car celui ci était très calme, aucun marine, aucun pirate et aucun révolutionnaire n'avaient jamais mis les pieds sur l'île. Comme son nom l’indigne c'était un blem paumais au milieu de West Blue. De vieux pécheurs y travailler et vivaient dans de vieille baraques moisies par le temps. C'est d’ailleurs sans nul doute en raison de l'hygiène inexistante que jamais personne y mettait les pieds. Une odeur atroce ne quittait pas le vieux port. Ha ! C’était un lieu atypique, les ruelles étaient sombres et étroites, de temps à autre on croisé des chats noirs et on voyait des ombres, sur les murs en vielles briques des anciennes battisse datant d'environ 1520. Cela ressemblait point à ma magnifique île paradisiaque où j'ai passé la première partie de mon enfance. Dommage je ne pouvais pas y retourner ! En lisant le journal j'ai enfin trouvé pourquoi un marine c'était allié avec un pirate. C'était en réalité un officier déserteur qui avait embrassé la piraterie et le crime. Pour caché ce massacre au yeux du monde, le gouvernement mondial avait prétendu que l'île avait était détruite par des pirates. J'étais le seul à connaître la vérité et personne ne pouvait dire le contraire car la marine avait placé l'île sous une surveillance digne d'Impel Down ! J'ai donc choisi de me caché sur Troop Erdu. Là je savais que le capitaine Yolande ne pourrait pas me retrouver et que je pourrait enfin vivre en paix.
Je mettais installé loin du port et de la cote pour assurer une sécurité maximal. En effet au abord d'un forêt j'avais découvert avec stupéfaction et émerveillement une auberge rustique. Ses poutres en bois formant un contraste avec son crépis blanchâtre m'avais tout de suite plus. Seulement la charpente était totalement a refaire et le lierre parsemé la battisse. Mais cela ne m'a pas fais peur, j'ai aussitôt embauché un artisan avec l'argent que j'avais gagné précédemment. En effet afin de payer les travaux, j'avais durant un moi proposé de l'aide au habitant du port. Et puis il ne fallait pas oublié que j'avais volé quelque pièce au capitaine pirate Yolande. Une fois les travaux terminé j'ai vécu calmement et convenablement. L’avantage de cette habitation et qu'elle a une forte capacité à garder la chaleur. Ce qui m'a énormément étonné !
Cependant ce qui me manquait le plus c'est de la compagnie humaine ou animal. La solitude me rendait fou par moment. Ce qui n’était pas arrangé. Tous les jours il fallait partir chasser du gibier pour pouvoir manger, donc tous les jours je me rendais dans la forêt à côté de mon auberge. Celle ci était sombre, humide et dense. On ne pouvait pas faire de mètre sans trébucher où sans se faire mal. Pourtant ce rendre en ce lieu était une nécessité pour survivre. Je me rappelle encore ma rencontre avec mon aigle Warez. Ce jour j'avais quatorze ans, et je m'étais aventuré environ cinq fois plus loin que d'habitude. Je ne connaissais pas les lieux, les oiseux chantais, je me déplaçai lentement. Au bout de cent mètre j'étais arrivé dans une clairière. Celle ci était magnifique, elle était parsemé de champignon de diverse forme. Mais ce qui étais le plus beau c'était sans nul doute les arbres centenaires. Il y en avait une vingtaine, leur racine gigantesque ce rejoignait en un seul point. Ce point était un chêne. L'arbre faisait au moins une quarantaine de mètre et son feuillage était resplendissant.
Je marchais doucement, je remarquais une inscription sur un des arbres de la clairière :
La vie est une épidémie qui me ronge
Je me rappelle encore de cette journée, a ce moment là je ne savais pas quoi pensé car personne ne venait jamais dans cette forêt. Et en quatre ans je n'avais jamais vu d'inscription pareil. J' avais recopié cette phrase sur un parchemin et je l'avais rangé sous ma veste. Quand tout a coup j'ai entendu un bruit, plutôt un rugissement, le sol s'était mit à trembler. Mon cœur avait failli faire un arrêt cardiaque et j'avais perdu l'équilibre. Ce que j'ai vu par la suite m'avais couper ma voix, m'avais fait frissonner et m'avais glacé les entrailles© Fiche par Ethylen sur Libre Graph'
Dernière édition par Lowkijy le Mar 11 Aoû 2015 - 16:25, édité 2 fois