Hey les gens. C'est Scab. Jinx. Et tout le reste.
J'ai les grognards qui se sont barrés. Le temps qu'ils reviennent, je créais un compte, pas un TC, Scab est Pnj maintenant. Dès que j'ai un Grognard qui revient. je lâche celui-là. Si un grognard repart, je fais pas yoyo en reprenant celui-là. Au moins c'est écrit quelque part. Lilou et Craig sont okay. Si possible, je veux pas plus de 25 Dorikis. On va la jouer à la Plud. Cdt.
J'ai les grognards qui se sont barrés. Le temps qu'ils reviennent, je créais un compte, pas un TC, Scab est Pnj maintenant. Dès que j'ai un Grognard qui revient. je lâche celui-là. Si un grognard repart, je fais pas yoyo en reprenant celui-là. Au moins c'est écrit quelque part. Lilou et Craig sont okay. Si possible, je veux pas plus de 25 Dorikis. On va la jouer à la Plud. Cdt.
>> Big Fish
Pseudonyme : Gros poisson. Age: 37 Sexe : Homme Race : Homme-Poisson seiche Métier : Groupe : Civil But : Devenir le plus gros poisson de chaque bassin. Les filets ne devront jamais cesser de grossir pour l’attraper. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Fruit du contrebandier Équipement : 10 000 000 Berrys Codes du règlement : (Il y en a deux, un par charte. Mettez-les entre les balises sans les astérisques.) Ce compte est-il un DC ? : Oui, Jinx et Scab (pnjisé) Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Lilou |
>> Physique
Big est pas si énorme que ça. Bien sur, c’est le genre de type dégoulinant de mucus qu’on peut trouver détestable au premier abord, mais ce n’est pas non plus un gros tas d’écaille. Alors oui, on reste plus ou moins dans le domaine du surpoids, on va pas se mentir. Il n’empêche que certaines sirènes diront que c’est dans les plus grosses marmites qu’on fait le plus à manger. D’ailleurs, si nous passons au-dessus des bourrelets disgracieux, on découvre une peau bicolore très tendance. Alliance parfaite de vert et turquoise, une coloration suffisamment rare pour être agréable aux pupilles. Trop voyante pour la discrétion qui s’impose dans les fonds marins, mais soyons sérieux deux minutes, qui penserait que Big ait besoin de se dissimuler ? Non, quand on est fortement proportionné et assez lent, on cherche pas la cogne ou la discrétion. On se contente de zoner calmement ça et là. Il a des tentacules, oué. C’est un signe de beauté ça. C’est ce que dise les articles sur les magazines beautés et diététiques. Évidemment ça reste d’un point de vue d’Homme-poisson vous vous doutez bien que les humains avec des tentacules, on appelle plutôt ça des lépreux. Que dire de plus ? Vous voyez bien qu’il est chauve, les dents blanches et des grosses mains. C’est pas véritablement intéressant, mais c’est une description en même temps. Il est nul en bagarre. Enfin, il peut encaisser un coup de poing dans le bide, mais il vaut mieux que ce soit un jeune poulpe de dix ans qui frappe. Pas avec toutes ses mains, c’est tout. Mais ça reste un Homme-poisson, il respire sous l’eau et peut soulever un parpaing avec qu’une seule main. Cool, non ? Bon, il y a aussi certaines choses propres à sa race. Le coup de sépia déjà. Mais si, l’encre qui sort de la bouche, vous voyez ? bah ça c’est toujours sympa quand ta plume est vide. L’adaptation au niveau de la couleur de sa peau aussi, c’est pas caméléon, mais on peut presque voir des variations en fonction de la lumière naturelle. Des fois, c’est joli.
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>> Psychologie
Tu me diras, un gros type qu’est pas un foudre de guerre, c’est un cerveau. Et bien là t’as raison. Les seiches ont l’avantage de développer de grosses compétences d’apprentissages et une observation extrêmement développée. Big Fish est un homme intelligent, débrouillard et capable d’anticiper à une vitesse hors-du-commun. Certes, la foudre du guerrier ne grésille pas en lui, mais l’étincelle de la logique s’embrase sur toutes les parcelles. Même si l’on possède l’arme ultime, entre les mains d’un pacifiste, ce n’est guère utile. N’allez pas croire que Fish est pacifiste, ça non, il pense même que le chaos entraîne bien plus d’harmonie que la paix. Il a toujours été du côté des vilains, de ceux qui fructifient leurs capitaux pour s’élargir socialement. Il rêve d’espace, d’avoir plus que personne d’autres et de s’asseoir sur bien plus de biens qu’un noble au sang turquoise. Il ne rêve pas de richesses, mais de renommée. Devenir l’homme le plus inaccessible du monde capable d’écraser, de faire fléchir, d’influencer quiconque pour la simple joie d’en être la cause. Aucune mare ne sera trop petite, tant qu’il continuera d’en ronger les bords. Il veut passer dans la flotte des grands et ne plus être le petit gros avec qui on refuse de jouer à la palourde aux prisonniers.
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>> Biographie
Vous connaissez l’île des Hommes-poissons ? Mais si, la grosse bulle sous l’eau à plusieurs centaines de milles marins. Et bien, vous apprendrez que Big Fish vient de cet endroit là. Fils d’un sirène Calamar et d’une sirène poisson rouge qui ne se sont pas vraiment connus longtemps. Le père était un trafiquant sans trop de moyens et la mère une couturière pour une boutique de fripes. C’était une aventure passagère, mais elle laissa quand même un clandestin dans les baguages. Big Fish était son nom. La ligne génétique des ancêtres parentaux devait compter une seiche, car la grosse boule recouverte de mucus présentait plusieurs tentacules qui fourmillaient sous le menton du gosse.
Envoyé à la crèche dès son plus jeune âge, Big eu très vite la désagréable sensation d’être le petit rejeton rejeté par les autres. Victime des vols systématiques de vêtements, de la destruction régulière de ses constructions en coquillages et la risée des cours de natation physique et sportive. La petite boule se réfugiait dans les livres qu’il lisait à une vitesse impressionnante. Si bien que sa mère, dépassait par les proportions physiques et intellectuelles de son gamin, rappelons que les poissons rouges ne sont pas les plus futés et forts, décida de l’inscrire dans la seule université de l’île des Hommes-poisson : « La Fishing University ». Il fit parti de plusieurs clubs de lectures et de jeux de stratégies. Notons qu’il se démarqua particulièrement aux Perles Busées et devint champion universitaire d’Iconatos, un jeu d’argent prohibé par toutes les facs. A se demander comment il eut ce titre d’ailleurs. Il n’empêche qu’au cours de sa deuxième année, il avait suffisamment d’argent pour financer seul ses études et quitta son foyer pour vivre plus loin de l’université. Il logea dans le quartier des Hommes-poisson, tristement célèbre pour sa courbe exponentielle de criminalité. Fish avait un plan depuis plusieurs années, fricoter avec les mauvaises arrêtes du coin pour leur fournir ce qu’elles n’avaient pas en stock : de la matière grise. C’est ainsi qu’il se fit tabasser, réduire en chair à crabe et voler tout son fric dès le premier soir. Il apprit alors la première leçon : les gros bras sont plus fort que les grosses têtes. Il se paya alors à prix fort les services d’un Homme-poisson requin du campus. Chaque jour, lui et Fish passaient plusieurs heures à zoner dans le quartier des hommes-poisson pour dire à qui le voulait, que Fish pouvait régler n’importe quel problème en moins d’une journée moyennant une somme d’argent intéressante. C’est ainsi qu’il eut son premier travail : fournisseur de solutions.
Au fur et à mesure des années, Fish fut diplômé, sa mère coupa les ponts et le seiche jouissait d’une belle réputation dans certains quartiers. Il était considéré comme un « démêleur », c’est-à-dire qu’il pouvait blanchir une vieille truite mafieuse sur la retraire en la mariant avec un jeune espadon, fils de soldat, désireux d’élever sa condition social. Une fois, il avait même réussi à éviter à un équipage pirate de se faire passer les menottes aux nageoires en transformant leur bateau en hospice flottant qui fournissait les aquariums de retraite du centre-ville. Un prodige qui commençait à avoir une armada de petites nageoires qui battaient l’eau pour lui, moyennant argent évidemment.
Seulement voilà, arrivé à plus de la trentaine, les nouvelles générations arrivent. Il avait toujours l’expérience pour lui, mais les jeunes avaient des pistons. Un soir, Big mangeait dans un restaurant du centre et plusieurs sabreurs déboulèrent dans le lieu. Les hommes de mains de Big, oui Fish pouvait être considéré comme un mafieux, carrément même, se firent dessouder. Après s’être fait ratiboiser le portrait, Big négocia son départ et son gros corps fut balourdé dans le premier bateau sur le départ. Il fut déposé comme un mort sur l’archipel de Shabondy, vendu par une guilde d’esclaves du coin pour une misère à un capitaine pirate qui comptait en faire son « démembreur de bateau ennemis ». Fish lui fit vite comprendre qu’il n’arriverait même pas à arracher un clou avec ses dents et lui promit qu’en moins d’un mois, il réussirait à lui faire gagner le double de ce qu’il avait coûté. Fish lui fit gagner le quintuple. Il devint comptable et trafiquant-assistant.
Un beau matin, l’équipage se fit dézinguer par la Marine. Fers d’esclaves aux mains, les mouettes le libérèrent en lui souhaitant la belle vie. Il en profita pleinement. Allant jusqu’à accumuler suffisamment d’argent en magouilles en tous genres pour réussir à s’imposer dans tous les lieux qu’il visitait. Il devint vite prêt à tout pour vivre et non pas survivre. L’île des Hommes-poisson était trop petite pour lui, il lui faudrait un terrain de contrôle plus étendu. Il prendra le premier qui lui tombera sous la pogne et il ne sera pas seul comme à son habitude. La puissance, on s’en moque, mais le pouvoir moins.
« Dîtes voir mon ami, j’ai cru apprendre que votre capitaine déplore le récent abordage qui lui a coûté dix hommes, treize boulets et deux kilos de poudre pour un maigre butin. Vous savez combien j’en suis attristé pour lui, mais surtout pour vous, c’est vrai, être si courageux face à l’ennemi et ne s’en sortir qu’avec quelques Berrys et une ribambelle de fruits et légumes entassés dans une cale. Mes pauvres amis… Oh ! Mais dîtes voir, j’y pense comme ça. Je connais un ami qui fait les marchés. Peut-être qu’en vous achetant l’ensemble de vos fruits, je pourrai lui les revendre ensuite. Si je peux vous dépanner, honnête homme que je suis, vous, terribles forbans que vous êtes, nous nous en sortirions tous grandis, non ? Combien ? Oh mazette, comme vous y allez avec les sabres et vos pistolets, je n’ose riposter. Je vous en offre 10 000 000 de Berrys. Oh ça oui, vous m’arnaquez, mais je préfère avoir la vie sauve… Bien, je viendrai chercher les fruits demain. Rassurez-vous jamais je n’oserais vous faire un coup tordu. Ça non.»
Envoyé à la crèche dès son plus jeune âge, Big eu très vite la désagréable sensation d’être le petit rejeton rejeté par les autres. Victime des vols systématiques de vêtements, de la destruction régulière de ses constructions en coquillages et la risée des cours de natation physique et sportive. La petite boule se réfugiait dans les livres qu’il lisait à une vitesse impressionnante. Si bien que sa mère, dépassait par les proportions physiques et intellectuelles de son gamin, rappelons que les poissons rouges ne sont pas les plus futés et forts, décida de l’inscrire dans la seule université de l’île des Hommes-poisson : « La Fishing University ». Il fit parti de plusieurs clubs de lectures et de jeux de stratégies. Notons qu’il se démarqua particulièrement aux Perles Busées et devint champion universitaire d’Iconatos, un jeu d’argent prohibé par toutes les facs. A se demander comment il eut ce titre d’ailleurs. Il n’empêche qu’au cours de sa deuxième année, il avait suffisamment d’argent pour financer seul ses études et quitta son foyer pour vivre plus loin de l’université. Il logea dans le quartier des Hommes-poisson, tristement célèbre pour sa courbe exponentielle de criminalité. Fish avait un plan depuis plusieurs années, fricoter avec les mauvaises arrêtes du coin pour leur fournir ce qu’elles n’avaient pas en stock : de la matière grise. C’est ainsi qu’il se fit tabasser, réduire en chair à crabe et voler tout son fric dès le premier soir. Il apprit alors la première leçon : les gros bras sont plus fort que les grosses têtes. Il se paya alors à prix fort les services d’un Homme-poisson requin du campus. Chaque jour, lui et Fish passaient plusieurs heures à zoner dans le quartier des hommes-poisson pour dire à qui le voulait, que Fish pouvait régler n’importe quel problème en moins d’une journée moyennant une somme d’argent intéressante. C’est ainsi qu’il eut son premier travail : fournisseur de solutions.
Au fur et à mesure des années, Fish fut diplômé, sa mère coupa les ponts et le seiche jouissait d’une belle réputation dans certains quartiers. Il était considéré comme un « démêleur », c’est-à-dire qu’il pouvait blanchir une vieille truite mafieuse sur la retraire en la mariant avec un jeune espadon, fils de soldat, désireux d’élever sa condition social. Une fois, il avait même réussi à éviter à un équipage pirate de se faire passer les menottes aux nageoires en transformant leur bateau en hospice flottant qui fournissait les aquariums de retraite du centre-ville. Un prodige qui commençait à avoir une armada de petites nageoires qui battaient l’eau pour lui, moyennant argent évidemment.
Seulement voilà, arrivé à plus de la trentaine, les nouvelles générations arrivent. Il avait toujours l’expérience pour lui, mais les jeunes avaient des pistons. Un soir, Big mangeait dans un restaurant du centre et plusieurs sabreurs déboulèrent dans le lieu. Les hommes de mains de Big, oui Fish pouvait être considéré comme un mafieux, carrément même, se firent dessouder. Après s’être fait ratiboiser le portrait, Big négocia son départ et son gros corps fut balourdé dans le premier bateau sur le départ. Il fut déposé comme un mort sur l’archipel de Shabondy, vendu par une guilde d’esclaves du coin pour une misère à un capitaine pirate qui comptait en faire son « démembreur de bateau ennemis ». Fish lui fit vite comprendre qu’il n’arriverait même pas à arracher un clou avec ses dents et lui promit qu’en moins d’un mois, il réussirait à lui faire gagner le double de ce qu’il avait coûté. Fish lui fit gagner le quintuple. Il devint comptable et trafiquant-assistant.
Un beau matin, l’équipage se fit dézinguer par la Marine. Fers d’esclaves aux mains, les mouettes le libérèrent en lui souhaitant la belle vie. Il en profita pleinement. Allant jusqu’à accumuler suffisamment d’argent en magouilles en tous genres pour réussir à s’imposer dans tous les lieux qu’il visitait. Il devint vite prêt à tout pour vivre et non pas survivre. L’île des Hommes-poisson était trop petite pour lui, il lui faudrait un terrain de contrôle plus étendu. Il prendra le premier qui lui tombera sous la pogne et il ne sera pas seul comme à son habitude. La puissance, on s’en moque, mais le pouvoir moins.
« Dîtes voir mon ami, j’ai cru apprendre que votre capitaine déplore le récent abordage qui lui a coûté dix hommes, treize boulets et deux kilos de poudre pour un maigre butin. Vous savez combien j’en suis attristé pour lui, mais surtout pour vous, c’est vrai, être si courageux face à l’ennemi et ne s’en sortir qu’avec quelques Berrys et une ribambelle de fruits et légumes entassés dans une cale. Mes pauvres amis… Oh ! Mais dîtes voir, j’y pense comme ça. Je connais un ami qui fait les marchés. Peut-être qu’en vous achetant l’ensemble de vos fruits, je pourrai lui les revendre ensuite. Si je peux vous dépanner, honnête homme que je suis, vous, terribles forbans que vous êtes, nous nous en sortirions tous grandis, non ? Combien ? Oh mazette, comme vous y allez avec les sabres et vos pistolets, je n’ose riposter. Je vous en offre 10 000 000 de Berrys. Oh ça oui, vous m’arnaquez, mais je préfère avoir la vie sauve… Bien, je viendrai chercher les fruits demain. Rassurez-vous jamais je n’oserais vous faire un coup tordu. Ça non.»
>> Test RP
Dernière édition par Big Fish le Sam 16 Aoû 2014 - 21:20, édité 1 fois