Mizashi Hideki
Pseudonyme : Votre surnom s’il y a lieu. Age: 25 ans Sexe : Homme. Race :Humain. Métier : Aucun Groupe : Marine puis Chasseur de prime. But : Payer la dette de son père s'élevant à 10 Millions de berrys. Découvrir pourquoi il est mort. Errer sur les mers et s'amuser. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Fruit de l'Aigle. Équipement : Un sabre en bois. Codes du règlement : Parrain :... Ce compte est-il un DC ? : Non Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
Physique
Son corps svelte avoisine le mètre soixante-dix, il détient une épaisse et longue chevelure en son sommet. Souvent coiffée de la même manière, une frange à l'avant toujours perturbée par le vent ainsi qu'une queue de cheval à l'arrière. Il se les coupe peu et ne les trouve pas dérangeants, ni pour entendre, ni pour voir, ils sont coiffés idéalement. Il es souvent obligé de se recoiffer car l'air ambiant les déplace en venant gêner ses sens. Il ne souhaite pas se les couper car il trouve que ça lui donne un air plus sérieux.
Son regard est bien la particularité physique qui le différencie des autres. Parfois contraignante, cette originalité dévoile rapidement son identité. Ils ne sont pas communs grâce à deux détails, leur couleur et la forme des pupilles. Des couleurs chaudes dominent dont une nuance entre l'orange et le jaune. Deux petits soleils capables de réchauffer et réconforter le cœur des jeunes femmes, qui en tombent sous le charme. Deux faibles armes destinées au plus sensibles dames. A première vue, la pupille de ses billes ambrées n'a rien d'humain. Elle est aussi fine que celle d'un félin sorti de l'obscurité se retrouvant face à la lumière. Il s'en sert également comme force supplémentaire de persuasion.
Son teint pâle reflète une peau propre. Il prend soin de son apparence et reste quelqu'un de simple.
Son timbre de voix est grave à souhait, il a été éduqué mais il parle fort en se laissant aller, selon son humeur. Niveau éloquence, il n'est pas celui qui arrivera à vous manipuler par les paroles. Rare seront les moments où il saura se montrer plus convainquant. Son défaut particulier est qu'il pense à voix haute. Cela lui a valu quelques ennuis et il n'arrive pas à s'en empêcher, cela est naturel.
Il porte un long kimono en harmonie avec son apparence, il tient à ce présent offert par l'homme qui lui a fait découvrir la mer. Ses mouvement ne sont pas dérangés par ce seul vêtement. Sa musculature n'est pas imposante, seuls ses bras sont étonnamment résistants grâce à d'intenses entraînements.
A trop entendre des villageois parler de se serrer la ceinture, cette expression s'est gravée dans sa tête en créant une réaction. Depuis tout petit, il se noue trop souvent la ceinture de son kimono pour le maintenir même lorsque c'est inutile. Désormais, son ventre porte une longue marque rouge, aussi sensible et douloureuse qu'une brûlure.
Mizashi ne supporte pas d'avoir ses pieds gênés par des chaussures, il a bien essayé mais il n'est pas à l'aise. Il préfère de loin se balader avec des chaussettes blanches, pas très protectrices et trop salissantes.
Sa démarche est légère, il n'est pas parvenu à défier l'agilité des chats mais face à des humains sa discrétion est suffisante pour espionner ou prendre en filature.
Il ne porte aucun accessoire tels que des bagues, colliers, cicatrices ou tatouages, détails qui ne feraient que gâcher son apparence. Au niveau de l'équipement, un sabre dans un fourreau d'acier est attaché à la ceinture de son kimono.
Psychologie
Mizashi n'a pas l'allure d'un homme riche ou effrayant. Veiller à son apparence est quelque chose qu'il calcule. Il aime donner l'impression de ne pas savoir se battre et de ne pas être équipé en conséquence. Simple atout stratégique, certainement pas aussi efficace qu'une bonne armure.
Depuis qu'il s'est fait agresser, il a prit goût aux combats. Cela a engendré un problème majeur dans sa tête. Un simple coup sur le crâne lui fera ressentir la douleur de son passé. Par conséquent il voudra reproduire les douleurs physiques.
Impulsif, un coup peut vite accompagner ses paroles. Il prend plaisir à déstabiliser ses ennemis en les rendant impuissants plutôt qu'ôter leur vie, comme un chat jouerai avec une souris. Les faire saigner représente pour lui un échec. Échec qu'il différencie d'une défaite.
Aimant exécuter les mauvais, il n'en reste pas moins quelqu'un ayant toute sa tête, un homme sensible et compréhensible.
Mizashi juge les personnes sans gêne. Cela peut être aussi bien des compliments que des mots dégradants.
Par ailleurs, il n'apprécie pas le calme. Pour lui, être au milieu de bruits naturels est un enfer. Il préfère créer du bruit, ce qui le soulage.
Sa vision de la vie ? Chacun est libre de choisir son chemin. Après, il faut être assez fort pour l'assumer.
Biographie
Mizashi est né en 1600 au village Kawai, à Shimotsuki.
D'un père paysan et d'une mère herboriste. Dès qu'il savait marcher, il a commencé à travailler dans les champs. Sa famille s'en sortant à peine, il fallait qu'il rapporte de l'argent le plus vite possible.
A huit ans, ses parents déjà adeptes des entraînements au sabre comme loisir, inscrirent leur unique fils dans l'espoir qu'il devienne un guerrier célèbre qui les sortira de leur vie de misère.
A l'école, aux côtés de Chun, l'entrainement dura trois ans et se stoppa net. Un tragique événement survint, son père décéda. Arrêt cardiaque ou assassinat propre, l'affaire avait été classée sans suite.
Mizashi hérita du soucis financier de son père. Une dette de 10 millions prévue à la restauration de son magasin de légumes. Même s'il n'eut pas le choix, par respect pour son père, il accepta. C'est à partir de ce moment là qu'il commença à se demander si le motif de sa mort n'étaient pas ces fichues dettes.
C'est avec des boulots ingrats, car il n'y avais que ça, qu'il commençai à rembourser. Réparation d'outils de paysans, entretien de locaux et même vaisselle dans des restos.
Il eu le temps de faire ça quelques semaines durant, avant que sa mère lui demande comment il gagnait son argent.
Lorsqu'il lui dit, ce fut un choc pour elle.
A ses propos, il déshonorais son défunt père en exécutant ces métiers. Elle le vira de la maison, ne voulant plus le voir. Préférant la réputation de son homme qu'à celle de on fils vivant.
C'est décomposé et sans repères qu'il partit de la famille. A onze ans, trois années durant, il parcourait l'île, sans aucun but, errant en se laissant mourir. Jeune et sensible, il ne connaissait rien de la vie, n'avait pas de rêve alors il abandonna si facilement l'espoir de vivre. A le voir, il avait l'allure d'un clochard et encore, le mot est un compliment, il se laissait trop aller.
En 1614 des pirates l'ont accosté. S'en prenant au seul bien qu'il lui restait, son sabre. C'est effrayé et épuisé qu'il refusa gentiment de leur céder mais ils n'hésitèrent pas à lui rentrer dedans avec agressivité.
Après le fait, il est resté agonisant au sol. Le crâne brisé, baignant dans son bain de sang.
Il ne lui restait plus de forces, yeux clos, seules ses oreilles écoutaient le silence, le vide. Ce bruit l’agaçait, il se sentait seul, abandonné. Le silence, le vent dans les feuilles des arbres, tellement de calme alors qu'il avait tellement mal, ça le mit hors de lui mais inerte au sol, il ne pouvait que subir cette horrible symphonie naturelle. Il se jura de rendre cette souffrance à ceux qui la mériteraient. Qu'eux aussi, se rendent compte qu'ils y a pire que la douleur, la solitude de l'agonie. Ce moment qu'il ne voulait plus vivre, celui de souffrir en attendant son dernier souffle.
Par chance, un dénommé Tagaki Suzukawa l'a trouvé. Un soit disant chasseur de prime, assez généreux pour le remettre sur pied et l'inviter à voyager quelques temps à ses côtés.
Durant six années, jusqu'en 1620, c'est sur East et South Blue qu'il suivait ses traques, il apprécia les combats. Il apprit beaucoup de choses, notamment la dure loi des mers, ce qui influa sur son comportement. Il ne serai plus aussi gentil et faible qu'avant et surtout, ne plus se retrouver dans un état physique aussi répugnant.
Tagaki le ramena sur Shimotsuki, au port de la ville de Nagaya. Il refusa de devenir chasseur de prime pour le moment, ne se trouvant pas assez fort et encore trop ignorant du monde. Ils remirent le recrutement à plus tard.
Pendant trois années, il s'offrais le luxe d'avoir sa propre boutique de légumes. Tagaki lui avais offert sa part sur les traques auxquelles il avait contribué. Son emploi du temps était constitué de son travail dans les champs, chose qu'il a su remettre à jour grâce à son enfance. Il s’entraînait au sabre de bois et en plus de ses entraînements intensifs, il intégra discrètement les rangs de la marine pour son propre plaisir, de refaire des combats. C'est donc au sein de l'unité Katana qu'il participa à quelques missions.
C'est lors d'une mission plus compliquée où son aide fut décisive pour la capture d'un pirate pyromane, qu'il décida d'intégrer officiellement la marine, abandonnant son magasin.
Dans un premier temps pendant deux ans il reprenait plaisir à naviguer sur les mers, les missions le menaient sur East et South Blue. Il appréciait la simplicité du système, être le chien qu'on envoyait faire le ménage. Monter en grade ne l’intéressait pas, être marine lui suffisait. Surtout que devenir sergent représentait d'avoir des hommes sous ses ordres. Il n'était pas fait pour cela, d'une enfance cloîtré dans sa famille, sans amis, il avait du mal à se sentir à l'aise et encore plus de diriger, préférant exécuter.
Lors d'une énième mission, une erreur lui bouleversa l'esprit. Il exécuta une civile et décida de se faire muter à Shimotsuki, histoire de revoir du pays le temps de reprendre ses esprits. Souhait exaucé, il intégra l'unité Katana, celle pour qui il avait travaillé autrefois.
>> Test RP
•••
Tu t'arrêtes à l'abri, sous un chêne.
- Quel temps de chien. Je préférerai être au dessus des nuages qu'en dessous.
Durant de longues secondes tu consultes ta carte. Enfin, plutôt ce croquis sur papier que le QG t'as donné en te disant "Ton campement se trouve près d'un volcan, c'est celui chargé des recrutements !". Autant d'informations... C'est pour cela que depuis des heures tu tournes en rond. Tu es heureux, des larmes de joies coulent sur ton visage. Tu es tellement ému que tu en es trempé de la tête au pieds. Tu veux leur sauter dans les bras comme une fillette trop joyeuse et... les serrer bien fort jusqu'à briser leurs os sous ton étreinte.
Oui, tu es furieux, perdant patience. Tu continues de regarder la carte, tenue entre tes deux poings trop serrés. Elle ne risque pas de s'envoler ! Tu cherches ton chemin, examinant les quatre coins de la feuille, alors qu'il faut plutôt regarder au milieu. Tu la tournes dans tout le sens, t'y arrives pas.
Tu lève la tête et fouilles le triste horizon face à toi à la recherche d'une solution. Tu vois des arbres, des arbres et, des arbres. Rien de plus.
D'un geste colérique, tu froisses la carte délavée dont les coups de crayons s'effacent de plus en plus sous la pluie.
- Je vais faire au plus simple, grimper à l'arbre pour trouver le volcan.
Tu pousses un long soupir récupéré par une bonne bouffée d'air fraîche. Cela te calme l'espace d'un instant. Tu jettes la carte au sol et la piétines comme un mégot. Tu l'écrases plutôt, l'enterre. Sa se voit, tu souhaites lui faire subir tout le temps perdu par sa faute, mais ce n'est qu'un bout de papier.
Soudain, tu sens des picotements à travers ta chaussette. A côté de ton pied tu aperçois une fourmilière, tu viens aussi d'écraser des fourmis qui continuent désormais le chemin en bravant l'obstacle qu'est ton pied.
- Au moins vous, vous l'avez trouvé votre mini volcan.
Intrigué, tu suis la lignée de fourmis en te retournant. Puis tu aperçois au loin l'imposant volcan. Il était derrière toi. Tu ne réfléchis pas, tu prends sur toi et t'élances en courant droit devant.
•••
Le temps ne s'est pas arrangé, la long trajet a été bien mauvais. C'est avec des chaussettes recouvertes de boue et trempé jusqu'au cou que tu finis par apercevoir une grange en excellent état. Une imposante plaque de métal orne la façade principale, le symbole de la marine y est gravé. Sans esquisser un sourire signifiant une once de joie, ta démarche accélère en reprenant le rythme de la course. Ta démarche prouve que tu es quand même content d'être finalement arrivé.
Les quelques mètres rapidement réalisés, tu entres sans hésiter en terminant ta course à l'intérieur.
-En retard le premier jour, ça l'fais pas mon gars !
Sans même le temps pour toi de reprendre ton souffle, tu t'es déjà attiré l'attention du public. Ils ne t'acclament pas, pourtant ce n'est pas tout les jours que tu réalises de tel sprints, un exploit pour toi.
On t'a parlé avec un air impatient mais tu regardes le sol, courbé, les bras sur les genoux. Essoufflé, tu l'ouvres entre deux souffles.
-Seules... nos mission... sont nos horaires... tais-toi donc.
-De quoi ? Tu veux que je m'énerve ?
*Clic, clic*
- Ca va Astra, il a pas tord le nouveau.
Tu te redresses et observes rapidement l'endroit bien éclairé. Cinq tentes sont disposées en rond autour d'un feu de bois, dont trois personnes présentes en train de se réchauffer, une est couchée. A la vue du feu tu se mets à sourire, source de chaleur dont émanent des flammes qui remontent le moral en rendant l'endroit plutôt convivial. Sans plus attendre à la femme, tu répliques.
-Toi me met pas sur les nerfs ! J'viens de courir un marathon en chaussettes dans la forêt et qui plus es, avec ce temps de déprimé !
-Ouais, il fait vraiment pas beau.
-Quoi tu le défend Eiji ?
-Viens te réchauffer.
- Sans hésiter !
Tu prends place sur l'une des cinq couchettes autour du feu. Ce nombre t'intrigue par rapport au nombre de personnes mais tu ne t'en soucie pas plus. Tu prend plutôt ton temps à dévisager tes nouveaux compagnons. Évidemment, tu commences par celle qui t'a le plus causé, la femme. Mais plus tu la regardes, plus t'as l'impression d'être face à... autre chose qu'une femme. Elle porte un kimono, comme toi, mais loin de toi l'idée d'aller vérifier en dessous. Pourtant elle a bien les cheveux longs, un visage d'ange mais les couleurs gâchent le spectacle. Violets, blancs et même noirs, bizarre, ce sont les couleurs de ses cheveux. Après tout, toi tu les as bleus donc bon, pourquoi pas. Mais ses yeux t'intriguent au point de les fixer de longues secondes, elle a vite fait de remarquer que tu la dévisages en étant inquiet. Cernés, sont ses yeux, mais pas des petits cernes normaux. Pour atteindre des poches pareilles, aussi noires, il faut ne pas dormir, le temps d'une vie ! Ou, se les dessiner avec un épais marqueur noir indélébile, aussi. C'est étrange. Finalement, tu lui souris en voyant ses pupilles, elles ont des tons dorés qui te rappellent les tiennes. Elle te rend le sourire mais tu préfères voir son visage neutre finalement, moins effrayant.
- Il est agréable ce feu, j'en oublie même mes vêtements trempés.
- L'avantage, c'est que si t'as soif, tu transportes de l'eau.
Pulup-pulup-pulup-pulup
Tu remarques vite que c'est le gars sombre qui a l'appareil autour de son poignet. Pendant qu'il est concentré sur l'objet, tu le dévisages vite fait.
Cheveux longs, ondulés. Un regard vide qui inspire le respect avec le pouvoir de déstabiliser enfin, un œil. L'autre est bandé. Cet homme à tout à fait l'allure d'un pirate, en plus d'être borgne. Il ne lui manquerai plus que la belle balafre au visage. Quoique, elle est peut-être cachée sur l'autre oeil. Il t'inspire pas confiance mais à l'avoir entendu parler, les liens n'auront pas de mal à se créer, à moins qu'il fasse exprès de paraître gentil. Tu as remarqué qu'il tire sur sa clope avant de parler et souffle la fumée après, drôle d'habitude, comme s'il en avait besoin pour parler.
Habillé tout de noir, le flammes du feu le rend encore plus sinistre. Tu commences à te demander où tu es tombé.
Tu accompagnes les autres et regardes aussi le den den mushi sonner. L'autre se remet à te regarder.
Pulup-pulup-pulup-pulup
Gotcha !
Troupe 5-E, des civils signalent un individu bourré.
- Toi, je vais pas te blairer.
Vous semblez les plus proche de la fôret Hadoc.
- T'as traité qui de blaireau ?
- J'aimerai entendre le den den !
-On t'as pas causé !
Le gars te regarde sévère avec le ressenti qu'il fusille ton esprit, avant de s'occuper de celui de la zombie.
Les premiers arrivés se chargent de le calmer. Ca va chez vous ?
- Parfaitement, il y avait un peu d'animation, simplement. On s'y rend.
Bwéhé, hic !
Gotcha.
-Mugetsu, debout. Un bourré à s'occuper.
Le mec se réveille et se lève, l'air mécontent. Il te regarde, porte surtout son attention à tes cheveux. Alors lui, il te fous vraiment mal à l'aise. Euh, à première vue, il a les mêmes yeux que le premier gars, enfin, lui il a encore les deux. Tu n'arrives pas à te décider sur une chose, si son tatouage sur l'épaule, représentant un serpent, est plus effrayant que son regard. Heureusement qu'il est de ton côté, en plus d'un bras en fer forgé, tu n'as pas envie de te retrouver à le combattre. Tu ne le regardes pas plus, t'as trop l'impression qu'au moindre faux pas, il va te trancher avec son épée.
- J'aurai préféré être avec la troupe que je connais, ça aurai évité les présentations, je vais avoir du mal à m'habituer à vos gueules. Pour des marins vous m'avez l'air bourrins. Mais bon, ça peut me plaire !
- Présentons-nous oui. Je suis Eiji Hattori, celui qui vous dirige. Voici Astra Kana, celle avec qui tu te chamailles. Les bonnes amitiés commencent comme ça, je m'en fais pas, vous allez réussir à vous supporter. Et celui qui dormait, c'est Mugetsu Enpatsu, mon second, il ne parle pas alors ne lui prête pas trop attention. Ton prénom ?
- Mizashi, Mizashi Hideki.
- Faut qu'il enfile la tenue basique du marin, pour le reconnaître !
-Quoi, je dois enfiler ça ? Vous avez vu vos tenues ! J'ai les cheveux bleus, ça vous suffit pas ?
- Il est vrai que c'est pas commun, je suis d'accord.
- Héé ! Moi on m'avait obligéée ! Uh, uh, tu vas y aller trempé comme t'es ?
- Ca marche pas la compassion, je mettrai pas vos fringues.
- Ni même les chaussures ?
- Lâche moi bordel !
D'un bond, te te lèves et assènes un puissant coup de poing dans le crâne d'Astra. Assise, elle tombe et se rassoit aussitôt, reprenant sa posture initiale, l'air de rien puis t'adresses ce sourire que tu n'aimes pas.
*Clic*
Eiji rallume la fin de sa cigarette.
- C'est qu'on va pas s'ennuyer avec toi. Tu as fait un marathon alors, tant mieux car on y va en courant.
Franche poignée de main entre hommes suivi d'un simple regard provocateur à l'espèce de femme. Eiji écrase son mégot et tous prennent leurs katanas. Des civils attendent des héros.
•••
Le trajet dure de longues minutes, te commences à t'inquiéter pour le civils en espérant qu'une unité soit déjà sur place. Entre deux foulées tu arrives a tenir une conversation.
- Y'a juste un gars bourré ?
- Juste, oui.
- On t'accompagne en fait.
- Comme ça le boulot c'est moi qui le fait ?
- Ouais, on reste en retrait. Sauf si t'as des difficultées mais bon, ça reste une mission banale, tu devrai pas avoir de mal.
- Impeccable pour me mettre dans le bain.
- Tu l'es déjà dans le bain, regarde tes fringues.
Eiji me réponds sans fumer, il ne peut pas donc courir parler et fumer sous la pluie. Toi qui croyais avoir découvert si rapidement ses habitudes, tu es déçu. Tu adresses un regard furieux au zombie et il se tait.
- Ah, je t'ai faite taire ? L'homme commence a dominer ?
- On arrive Hashi.
- MI-ZA-SHI ! Même pas capable de retenir trois syllabes, con.
Effectivement, tu reconnais l'endroit et vous êtes les premiers arrivés. Tapi dans la forêt t'observes la cabane en bois délabrée qui se situe au milieu de la clairière. Une cabane, tu te demandes plutôt si elle ne serai pas d'une meilleure utilité transformée en radeau. Un grand arbre implanté juste derrière, y monter est un plan que tu dois pouvoir faire. Tu l'observes mieux et tu te rend compte qu'il n'a pas de branches assez basses pour grimper tant pis, tu verras sur place. Tu te rends compte que la pluie s'est arrêtée. La mission va se passer dans de bonnes conditions, sous le nostalgique clair de lune.
- Ça a pas changé depuis le temps.
- Arrête de parler, tu vas te faire griller.
- Ouais je sais, arrête de répondre alors !
Elle te lanca un regard méchant, tu lui renvoies et réponds après quelques secondes.
- Là je t'ai faite taire.
Elle t'adresse un regard furieux, menaçant accompagné de son sourire dégouttant. Tu comprend alors qu'il faut que toi tu la fermes avant de faire foirer la mission. Pour des marins, l’accueil se passe pas très bien, ou c'est que tu t'y prend vraiment mal.
D'un geste de la main, te leur fait comprendre de rester ici le temps que t'ailles t’occuper de l'individu. Geste inutile, tu le sais. Leurs regards confirment cette conclusion, ils ne comptent pas bouger. Le zombie sourit tandis que les deux autres observent la cabane calmement. Euh aussi entendent du bruit là-bas.
Motivé, t’avances à grandes enjambées. D'ailleurs une odeur t'es désagréable au nez, tu commences à sentir mauvais. Faute à la transpiration mais t'as pas le temps de t'en soucier, va falloir vite terminer la mission si tu veux te laver.
Venant côté forêt, la clairière n'a rien de particulier te permettant de me camoufler, l'herbe trop coupée, un buisson trop éloigné et un ruisseau mal placé. Il n'est non plus possible de ramper. Pressé, tu ne peut pas courir, tu te ferai de suite repérer par le bruit des pas sur le sol encore humide et boueux.
- Fait chier, en fait la pluie aurai été un bon camouflage de bruit.
Une cinquantaine de mètres. Cette distance t'éloignes de la battisse. Un homme casse des choses à l'intérieur, le vent te porte un bruit de planches. T'observes les murs de bois mais sans le voir, il ne la détruisais donc pas. Tu profites de l'occasion, t'empresses et marches plus vite tant qu'il es occupé.
- Si il sort et qu'il fait un tour de cabane, il me repère, c'est tendu.
Tendu oui, mais avec des "si" par-ci et des "si" par-là, on refait un monde. C'est alors que tu te rappelles du sourire immonde de l'autre et tu te rends compte que tu viens de parler. Tu te reprends en gardant le contrôle de la situation. Tu décide de ne plus rien prononcer, car au fur et à mesure tu t'approches. Moins de 20 mètres désormais.
Soudain, regard figé vers l'endroit, comme si t'arrivais à deviner la présence du gars à travers les planches de bois, tu chutes sur un rondin en bois. Tu te ramasses sur le sol humide et profond. T'ouvres la bouche pour rager mais le goût de la boue t’empêche de formuler une phrase. D'un côté, n'est pas plus mal, là ta présence aurai été détectée, tu voulais vraiment gueuler.
Là, le bourré arrête son vacarme. Tu reste sur place, couché, t'a pas le choix. Tu commences à stresser en priant pour qu'il ne sorte pas. Tu relèves lentement la tête, ton regard exprime du dégoût. En plus d'être crade, puant e qui te rendait malade, tu le vois tourner autour de la cabane. Tu ne peut rien faire à part garder ton calme, sans céder à la panique. Tu attends en espérant qu'il ne me repère pas.
C'est ainsi que tu restes dans ton bain de boue pendant pas moins d'une demi-heure, enfin tu suppose.
Il n'a pas osé s'aventurer dans la boue, heureusement pour toi. Il décide enfin à revenir dans la cabane et reprendre ses occupations bruyantes.
Impatient, tu te relèves et parcours la vingtaine de mètres en marchant vite, essayant de faire le moins de bruit en posant bien tes appuis. Tu es si proche que tu peux toucher la cabane. Ce mur est en bon état, le seul d'ailleurs. Puis là sur le côté, miracle, une échelle !
Nerveux, tu n'hésites pas et y grimpe rapidement. Tu comptes le prendre par surprise en lui sautant dessus.
Arrivé sur le toit tu ne manques pas d'y glisser. Il es humide mais l'odeur ne te rappelle pas celui de la pluie. Mais tu t'inquiètes davantage sur un bruit.
*Clic, clic* *Clic, clic*
Tu as déjà entendu ce bruit mais où. Tu cherches dans ta tête mais tu ne parviens pas a réfléchir. Soudain, révélation.
- Eiji ? Un briquet ?
Alors que tu viens de trouver l'origine du bruit, tu regardes sous tes pieds. Un feu immense est né. Les parois de la cabane sont en train de cramer.
Tu entend alors un gars courir en ricanant, un rire qui ne t'es pas inconnu mais tu ne peut pas réfléchir où tu l'as déjà entendu.
- Bwéhéhé.
Entre les flammes, tu crois apercevoir qu'il es blond et court vers la forêt. A moins que la lueur des flammes te trompe. Ton cœur s'accélère, quel enfer...
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________
[justify]Informations IRL
Prénom : Gaël
Age : 19 ans.
Aime : La musique (Pour les principaux: Trance, Dubstep, Electro.)
N'aime pas : Les longs post effacés par erreur ou coupure du net.
Personnage préféré de One Piece : Pell, Mihawk.
Caractère : Calme.
Fait du RP depuis : Pas longtemps.
Disponibilité approximative : 5/7
Comment avez-vous connu le forum ? Google.
Dernière édition par Mizashi Hideki le Lun 1 Sep 2014 - 13:37, édité 55 fois