Le Deal du moment : -36%
Aspirateur balai sans fil Dyson V8 Origin
Voir le deal
254.99 €

mizashi hideki

Mizashi Hideki

mizashi hideki 1409050934-sans-titre
Pseudonyme : Votre surnom s’il y a lieu.
Age: 25 ans
Sexe : Homme.
Race :Humain.
Métier : Aucun
Groupe : Marine puis Chasseur de prime.
But : Payer la dette de son père s'élevant à 10 Millions de berrys. Découvrir pourquoi il est mort. Errer sur les mers et s'amuser.

Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Fruit de l'Aigle.
Équipement : Un sabre en bois.

Codes du règlement :

Parrain :...

Ce compte est-il un DC ? : Non
Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ...
Physique

Son corps svelte avoisine le mètre soixante-dix, il détient une épaisse et longue chevelure en son sommet. Souvent coiffée de la même manière, une frange à l'avant toujours perturbée par le vent ainsi qu'une queue de cheval à l'arrière. Il se les coupe peu et ne les trouve pas dérangeants, ni pour entendre, ni pour voir, ils sont coiffés idéalement. Il es souvent obligé de se recoiffer car l'air ambiant les déplace en venant gêner ses sens. Il ne souhaite pas se les couper car il trouve que ça lui donne un air plus sérieux.

Son regard est bien la particularité physique qui le différencie des autres. Parfois contraignante, cette originalité dévoile rapidement son identité. Ils ne sont pas communs grâce à deux détails, leur couleur et la forme des pupilles. Des couleurs chaudes dominent dont une nuance entre l'orange et le jaune. Deux petits soleils capables de réchauffer et réconforter le cœur des jeunes femmes, qui en tombent sous le charme. Deux faibles armes destinées au plus sensibles dames. A première vue, la pupille de ses billes ambrées n'a rien d'humain. Elle est aussi fine que celle d'un félin sorti de l'obscurité se retrouvant face à la lumière. Il s'en sert également comme force supplémentaire de persuasion.

Son teint pâle reflète une peau propre. Il prend soin de son apparence et reste quelqu'un de simple.

Son timbre de voix est grave à souhait, il a été éduqué mais il parle fort en se laissant aller, selon son humeur. Niveau éloquence, il n'est pas celui qui arrivera à vous manipuler par les paroles. Rare seront les moments où il saura se montrer plus convainquant. Son défaut particulier est qu'il pense à voix haute. Cela lui a valu quelques ennuis et il n'arrive pas à s'en empêcher, cela est naturel.

Il porte un long kimono en harmonie avec son apparence, il tient à ce présent offert par l'homme qui lui a fait découvrir la mer. Ses mouvement ne sont pas dérangés par ce seul vêtement. Sa musculature n'est pas imposante, seuls ses bras sont étonnamment résistants grâce à d'intenses entraînements.

A trop entendre des villageois parler de se serrer la ceinture, cette expression s'est gravée dans sa tête en créant une réaction. Depuis tout petit, il se noue trop souvent la ceinture de son kimono pour le maintenir même lorsque c'est inutile. Désormais, son ventre porte une longue marque rouge, aussi sensible et douloureuse qu'une brûlure.

Mizashi ne supporte pas d'avoir ses pieds gênés par des chaussures, il a bien essayé mais il n'est pas à l'aise. Il préfère de loin se balader avec des chaussettes blanches, pas très protectrices et trop salissantes.
Sa démarche est légère, il n'est pas parvenu à défier l'agilité des chats mais face à des humains sa discrétion est suffisante pour espionner ou prendre en filature.

Il ne porte aucun accessoire tels que des bagues, colliers, cicatrices ou tatouages, détails qui ne feraient que gâcher son apparence. Au niveau de l'équipement, un sabre dans un fourreau d'acier est attaché à la ceinture de son kimono.

Psychologie


Mizashi n'a pas l'allure d'un homme riche ou effrayant. Veiller à son apparence est quelque chose qu'il calcule. Il aime donner l'impression de ne pas savoir se battre et de ne pas être équipé en conséquence. Simple atout stratégique, certainement pas aussi efficace qu'une bonne armure.

Depuis qu'il s'est fait agresser, il a prit goût aux combats. Cela a engendré un problème majeur dans sa tête. Un simple coup sur le crâne lui fera ressentir la douleur de son passé. Par conséquent il voudra reproduire les douleurs physiques.
Impulsif, un coup peut vite accompagner ses paroles. Il prend plaisir à déstabiliser ses ennemis en les rendant impuissants plutôt qu'ôter leur vie, comme un chat jouerai avec une souris. Les faire saigner représente pour lui un échec. Échec qu'il différencie d'une défaite.

Aimant exécuter les mauvais, il n'en reste pas moins quelqu'un ayant toute sa tête, un homme sensible et compréhensible.

Mizashi juge les personnes sans gêne. Cela peut être aussi bien des compliments que des mots dégradants.
Par ailleurs, il n'apprécie pas le calme. Pour lui, être au milieu de bruits naturels est un enfer. Il préfère créer du bruit, ce qui le soulage.

Sa vision de la vie ? Chacun est libre de choisir son chemin. Après, il faut être assez fort pour l'assumer.

Biographie

Mizashi est né en 1600 au village Kawai, à Shimotsuki.
D'un père paysan et d'une mère herboriste. Dès qu'il savait marcher, il a commencé à travailler dans les champs. Sa famille s'en sortant à peine, il fallait qu'il rapporte de l'argent le plus vite possible.

A huit ans, ses parents déjà adeptes des entraînements au sabre comme loisir, inscrirent leur unique fils dans l'espoir qu'il devienne un guerrier célèbre qui les sortira de leur vie de misère.

A l'école, aux côtés de Chun, l'entrainement dura trois ans et se stoppa net. Un tragique événement survint, son père décéda. Arrêt cardiaque ou assassinat propre, l'affaire avait été classée sans suite.

Mizashi hérita du soucis financier de son père. Une dette de 10 millions prévue à la restauration de son magasin de légumes. Même s'il n'eut pas le choix, par respect pour son père, il accepta. C'est à partir de ce moment là qu'il commença à se demander si le motif de sa mort n'étaient pas ces fichues dettes.

C'est avec des boulots ingrats, car il n'y avais que ça, qu'il commençai à rembourser. Réparation d'outils de paysans, entretien de locaux et même vaisselle dans des restos.

Il eu le temps de faire ça quelques semaines durant, avant que sa mère lui demande comment il gagnait son argent.
Lorsqu'il lui dit, ce fut un choc pour elle.
A ses propos, il déshonorais son défunt père en exécutant ces métiers. Elle le vira de la maison, ne voulant plus le voir. Préférant la réputation de son homme qu'à celle de on fils vivant.


C'est décomposé et sans repères qu'il partit de la famille. A onze ans, trois années durant, il parcourait l'île, sans aucun but, errant en se laissant mourir. Jeune et sensible, il ne connaissait rien de la vie, n'avait pas de rêve alors il abandonna si facilement l'espoir de vivre. A le voir, il avait l'allure d'un clochard et encore, le mot est un compliment, il se laissait trop aller.


En 1614 des pirates l'ont accosté. S'en prenant au seul bien qu'il lui restait, son sabre. C'est effrayé et épuisé qu'il refusa gentiment de leur céder mais ils n'hésitèrent pas à lui rentrer dedans avec agressivité.

Après le fait, il est resté agonisant au sol. Le crâne brisé, baignant dans son bain de sang.
Il ne lui restait plus de forces, yeux clos, seules ses oreilles écoutaient le silence, le vide. Ce bruit l’agaçait, il se sentait seul, abandonné. Le silence, le vent dans les feuilles des arbres, tellement de calme alors qu'il avait tellement mal, ça le mit hors de lui mais inerte au sol, il ne pouvait que subir cette horrible symphonie naturelle. Il se jura de rendre cette souffrance à ceux qui la mériteraient. Qu'eux aussi, se rendent compte qu'ils y a pire que la douleur, la solitude de l'agonie. Ce moment qu'il ne voulait plus vivre, celui de souffrir en attendant son dernier souffle.

Par chance, un dénommé Tagaki Suzukawa l'a trouvé. Un soit disant chasseur de prime, assez généreux pour le remettre sur pied et l'inviter à voyager quelques temps à ses côtés.

Durant six années, jusqu'en 1620, c'est sur East et South Blue qu'il suivait ses traques, il apprécia les combats. Il apprit beaucoup de choses, notamment la dure loi des mers, ce qui influa sur son comportement. Il ne serai plus aussi gentil et faible qu'avant et surtout, ne plus se retrouver dans un état physique aussi répugnant.
Tagaki le ramena sur Shimotsuki, au port de la ville de Nagaya. Il refusa de devenir chasseur de prime pour le moment, ne se trouvant pas assez fort et encore trop ignorant du monde. Ils remirent le recrutement à plus tard.

Pendant trois années, il s'offrais le luxe d'avoir sa propre boutique de légumes. Tagaki lui avais offert sa part sur les traques auxquelles il avait contribué. Son emploi du temps était constitué de son travail dans les champs, chose qu'il a su remettre à jour grâce à son enfance. Il s’entraînait au sabre de bois et en plus de ses entraînements intensifs, il intégra discrètement les rangs de la marine pour son propre plaisir, de refaire des combats. C'est donc au sein de l'unité Katana qu'il participa à quelques missions.
C'est lors d'une mission plus compliquée où son aide fut décisive pour la capture d'un pirate pyromane, qu'il décida d'intégrer officiellement la marine, abandonnant son magasin.

Dans un premier temps pendant deux ans il reprenait plaisir à naviguer sur les mers, les missions le menaient sur East et South Blue. Il appréciait la simplicité du système, être le chien qu'on envoyait faire le ménage. Monter en grade ne l’intéressait pas, être marine lui suffisait. Surtout que devenir sergent représentait d'avoir des hommes sous ses ordres. Il n'était pas fait pour cela, d'une enfance cloîtré dans sa famille, sans amis, il avait du mal à se sentir à l'aise et encore plus de diriger, préférant exécuter.

Lors d'une énième mission, une erreur lui bouleversa l'esprit. Il exécuta une civile et décida de se faire muter à Shimotsuki, histoire de revoir du pays le temps de reprendre ses esprits. Souhait exaucé, il intégra l'unité Katana, celle pour qui il avait travaillé autrefois.


>> Test RP

•••

Tu t'arrêtes à l'abri, sous un chêne.

- Quel temps de chien. Je préférerai être au dessus des nuages qu'en dessous.

Durant de longues secondes tu consultes ta carte. Enfin, plutôt ce croquis sur papier que le QG t'as donné en te disant "Ton campement se trouve près d'un volcan, c'est celui chargé des recrutements !". Autant d'informations... C'est pour cela que depuis des heures tu tournes en rond. Tu es heureux, des larmes de joies coulent sur ton visage. Tu es tellement ému que tu en es trempé de la tête au pieds. Tu veux leur sauter dans les bras comme une fillette trop joyeuse et... les serrer bien fort jusqu'à briser leurs os sous ton étreinte.
Oui, tu es furieux, perdant patience. Tu continues de regarder la carte, tenue entre tes deux poings trop serrés. Elle ne risque pas de s'envoler ! Tu cherches ton chemin, examinant les quatre coins de la feuille, alors qu'il faut plutôt regarder au milieu. Tu la tournes dans tout le sens, t'y arrives pas.

Tu lève la tête et fouilles le triste horizon face à toi à la recherche d'une solution. Tu vois des arbres, des arbres et, des arbres. Rien de plus.

D'un geste colérique, tu froisses la carte délavée dont les coups de crayons s'effacent de plus en plus sous la pluie.

- Je vais faire au plus simple, grimper à l'arbre pour trouver le volcan.

Tu pousses un long soupir récupéré par une bonne bouffée d'air fraîche. Cela te calme l'espace d'un instant. Tu jettes la carte au sol et la piétines comme un mégot. Tu l'écrases plutôt, l'enterre. Sa se voit, tu souhaites lui faire subir tout le temps perdu par sa faute, mais ce n'est qu'un bout de papier.

Soudain, tu sens des picotements à travers ta chaussette. A côté de ton pied tu aperçois une fourmilière, tu viens aussi d'écraser des fourmis qui continuent désormais le chemin en bravant l'obstacle qu'est ton pied.

- Au moins vous, vous l'avez trouvé votre mini volcan.

Intrigué, tu suis la lignée de fourmis en te retournant. Puis tu aperçois au loin l'imposant volcan. Il était derrière toi. Tu ne réfléchis pas, tu prends sur toi et t'élances en courant droit devant.


•••

Le temps ne s'est pas arrangé, la long trajet a été bien mauvais. C'est avec des chaussettes recouvertes de boue et trempé jusqu'au cou que tu finis par apercevoir une grange en excellent état. Une imposante plaque de métal orne la façade principale, le symbole de la marine y est gravé. Sans esquisser un sourire signifiant une once de joie, ta démarche accélère en reprenant le rythme de la course. Ta démarche prouve que tu es quand même content d'être finalement arrivé.
Les quelques mètres rapidement réalisés, tu entres sans hésiter en terminant ta course à l'intérieur.

-En retard le premier jour, ça l'fais pas mon gars !

Sans même le temps pour toi de reprendre ton souffle, tu t'es déjà attiré l'attention du public. Ils ne t'acclament pas, pourtant ce n'est pas tout les jours que tu réalises de tel sprints, un exploit pour toi.
On t'a parlé avec un air impatient mais tu regardes le sol, courbé, les bras sur les genoux. Essoufflé, tu l'ouvres entre deux souffles.

-Seules... nos mission... sont nos horaires... tais-toi donc.
-De quoi ? Tu veux que je m'énerve ?

*Clic, clic*
- Ca va Astra, il a pas tord le nouveau.

Tu te redresses et observes rapidement l'endroit bien éclairé. Cinq tentes sont disposées en rond autour d'un feu de bois, dont trois personnes présentes en train de se réchauffer, une est couchée. A la vue du feu tu se mets à sourire, source de chaleur dont émanent des flammes qui remontent le moral en rendant l'endroit plutôt convivial. Sans plus attendre à la femme, tu répliques.

-Toi me met pas sur les nerfs ! J'viens de courir un marathon en chaussettes dans la forêt et qui plus es, avec ce temps de déprimé !
-Ouais, il fait vraiment pas beau.
-Quoi tu le défend Eiji ?
-Viens te réchauffer.
- Sans hésiter !

Tu prends place sur l'une des cinq couchettes autour du feu. Ce nombre t'intrigue par rapport au nombre de personnes mais tu ne t'en soucie pas plus. Tu prend plutôt ton temps à dévisager tes nouveaux compagnons. Évidemment, tu commences par celle qui t'a le plus causé, la femme. Mais plus tu la regardes, plus t'as l'impression d'être face à... autre chose qu'une femme. Elle porte un kimono, comme toi, mais loin de toi l'idée d'aller vérifier en dessous. Pourtant elle a bien les cheveux longs, un visage d'ange mais les couleurs gâchent le spectacle. Violets, blancs et même noirs, bizarre, ce sont les couleurs de ses cheveux. Après tout, toi tu les as bleus donc bon, pourquoi pas. Mais ses yeux t'intriguent au point de les fixer de longues secondes, elle a vite fait de remarquer que tu la dévisages en étant inquiet. Cernés, sont ses yeux, mais pas des petits cernes normaux. Pour atteindre des poches pareilles, aussi noires, il faut ne pas dormir, le temps d'une vie ! Ou, se les dessiner avec un épais marqueur noir indélébile, aussi. C'est étrange. Finalement, tu lui souris en voyant ses pupilles, elles ont des tons dorés qui te rappellent les tiennes. Elle te rend le sourire mais tu préfères voir son visage neutre finalement, moins effrayant.

mizashi hideki 1409519564-astra

- Il est agréable ce feu, j'en oublie même mes vêtements trempés.
- L'avantage, c'est que si t'as soif, tu transportes de l'eau.


Pulup-pulup-pulup-pulup

Tu remarques vite que c'est le gars sombre qui a l'appareil autour de son poignet. Pendant qu'il est concentré sur l'objet, tu le dévisages vite fait.
Cheveux longs, ondulés. Un regard vide qui inspire le respect avec le pouvoir de déstabiliser enfin, un œil. L'autre est bandé. Cet homme à tout à fait l'allure d'un pirate, en plus d'être borgne. Il ne lui manquerai plus que la belle balafre au visage. Quoique, elle est peut-être cachée sur l'autre oeil. Il t'inspire pas confiance mais à l'avoir entendu parler, les liens n'auront pas de mal à se créer, à moins qu'il fasse exprès de paraître gentil. Tu as remarqué qu'il tire sur sa clope avant de parler et souffle la fumée après, drôle d'habitude, comme s'il en avait besoin pour parler.
Habillé tout de noir, le flammes du feu le rend encore plus sinistre. Tu commences à te demander où tu es tombé.

mizashi hideki 1409520574-eiji

Tu accompagnes les autres et regardes aussi le den den mushi sonner. L'autre se remet à te regarder.

Pulup-pulup-pulup-pulup

Gotcha !

Troupe 5-E, des civils signalent un individu bourré.

- Toi, je vais pas te blairer.
Vous semblez les plus proche de la fôret Hadoc.
- T'as traité qui de blaireau ?
- J'aimerai entendre le den den !
-On t'as pas causé !

Le gars te regarde sévère avec le ressenti qu'il fusille ton esprit, avant de s'occuper de celui de la zombie.

Les premiers arrivés se chargent de le calmer. Ca va chez vous ?

- Parfaitement, il y avait un peu d'animation, simplement. On s'y rend.

Bwéhé, hic !

Gotcha.

-Mugetsu, debout. Un bourré à s'occuper.

Le mec se réveille et se lève, l'air mécontent. Il te regarde, porte surtout son attention à tes cheveux. Alors lui, il te fous vraiment mal à l'aise. Euh, à première vue, il a les mêmes yeux que le premier gars, enfin, lui il a encore les deux. Tu n'arrives pas à te décider sur une chose, si son tatouage sur l'épaule, représentant un serpent, est plus effrayant que son regard. Heureusement qu'il est de ton côté, en plus d'un bras en fer forgé, tu n'as pas envie de te retrouver à le combattre. Tu ne le regardes pas plus, t'as trop l'impression qu'au moindre faux pas, il va te trancher avec son épée.

mizashi hideki 1409522137-mugetsu

- J'aurai préféré être avec la troupe que je connais, ça aurai évité les présentations, je vais avoir du mal à m'habituer à vos gueules. Pour des marins vous m'avez l'air bourrins. Mais bon, ça peut me plaire !

- Présentons-nous oui. Je suis Eiji Hattori, celui qui vous dirige. Voici Astra Kana, celle avec qui tu te chamailles. Les bonnes amitiés commencent comme ça, je m'en fais pas, vous allez réussir à vous supporter. Et celui qui dormait, c'est Mugetsu Enpatsu, mon second, il ne parle pas alors ne lui prête pas trop attention. Ton prénom ?
- Mizashi, Mizashi Hideki.
- Faut qu'il enfile la tenue basique du marin, pour le reconnaître !
-Quoi, je dois enfiler ça ? Vous avez vu vos tenues ! J'ai les cheveux bleus, ça vous suffit pas ?
- Il est vrai que c'est pas commun, je suis d'accord.
- Héé ! Moi on m'avait obligéée ! Uh, uh, tu vas y aller trempé comme t'es ?
- Ca marche pas la compassion, je mettrai pas vos fringues.
- Ni même les chaussures ?
- Lâche moi bordel !

D'un bond, te te lèves et assènes un puissant coup de poing dans le crâne d'Astra. Assise, elle tombe et se rassoit aussitôt, reprenant sa posture initiale, l'air de rien puis t'adresses ce sourire que tu n'aimes pas.
*Clic*
Eiji rallume la fin de sa cigarette.

- C'est qu'on va pas s'ennuyer avec toi. Tu as fait un marathon alors, tant mieux car on y va en courant.

Franche poignée de main entre hommes suivi d'un simple regard provocateur à l'espèce de femme. Eiji écrase son mégot et tous prennent leurs katanas. Des civils attendent des héros.


•••

Le trajet dure de longues minutes, te commences à t'inquiéter pour le civils en espérant qu'une unité soit déjà sur place. Entre deux foulées tu arrives a tenir une conversation.

- Y'a juste un gars bourré ?
- Juste, oui.
- On t'accompagne en fait.
- Comme ça le boulot c'est moi qui le fait ?
- Ouais, on reste en retrait. Sauf si t'as des difficultées mais bon, ça reste une mission banale, tu devrai pas avoir de mal.
- Impeccable pour me mettre dans le bain.
- Tu l'es déjà dans le bain, regarde tes fringues.

Eiji me réponds sans fumer, il ne peut pas donc courir parler et fumer sous la pluie. Toi qui croyais avoir découvert si rapidement ses habitudes, tu es déçu. Tu adresses un regard furieux au zombie et il se tait.

- Ah, je t'ai faite taire ? L'homme commence a dominer ?
- On arrive Hashi.
- MI-ZA-SHI ! Même pas capable de retenir trois syllabes, con.

Effectivement, tu reconnais l'endroit et vous êtes les premiers arrivés. Tapi dans la forêt t'observes la cabane en bois délabrée qui se situe au milieu de la clairière. Une cabane, tu te demandes plutôt si elle ne serai pas d'une meilleure utilité transformée en radeau. Un grand arbre implanté juste derrière, y monter est un plan que tu dois pouvoir faire. Tu l'observes mieux et tu te rend compte qu'il n'a pas de branches assez basses pour grimper tant pis, tu verras sur place. Tu te rends compte que la pluie s'est arrêtée. La mission va se passer dans de bonnes conditions, sous le nostalgique clair de lune.

- Ça a pas changé depuis le temps.
- Arrête de parler, tu vas te faire griller.
- Ouais je sais, arrête de répondre alors !

Elle te lanca un regard méchant, tu lui renvoies et réponds après quelques secondes.

- Là je t'ai faite taire.

Elle t'adresse un regard furieux, menaçant accompagné de son sourire dégouttant. Tu comprend alors qu'il faut que toi tu la fermes avant de faire foirer la mission. Pour des marins, l’accueil se passe pas très bien, ou c'est que tu t'y prend vraiment mal.

D'un geste de la main, te leur fait comprendre de rester ici le temps que t'ailles t’occuper de l'individu. Geste inutile, tu le sais. Leurs regards confirment cette conclusion, ils ne comptent pas bouger. Le zombie sourit tandis que les deux autres observent la cabane calmement. Euh aussi entendent du bruit là-bas.

Motivé, t’avances à grandes enjambées. D'ailleurs une odeur t'es désagréable au nez, tu commences à sentir mauvais. Faute à la transpiration mais t'as pas le temps de t'en soucier, va falloir vite terminer la mission si tu veux te laver.
Venant côté forêt, la clairière n'a rien de particulier te permettant de me camoufler, l'herbe trop coupée, un buisson trop éloigné et un ruisseau mal placé. Il n'est non plus possible de ramper. Pressé, tu ne peut pas courir, tu te ferai de suite repérer par le bruit des pas sur le sol encore humide et boueux.

- Fait chier, en fait la pluie aurai été un bon camouflage de bruit.

Une cinquantaine de mètres. Cette distance t'éloignes de la battisse. Un homme casse des choses à l'intérieur, le vent te porte un bruit de planches. T'observes les murs de bois mais sans le voir, il ne la détruisais donc pas. Tu profites de l'occasion, t'empresses et marches plus vite tant qu'il es occupé.

- Si il sort et qu'il fait un tour de cabane, il me repère, c'est tendu.

Tendu oui, mais avec des "si" par-ci et des "si" par-là, on refait un monde. C'est alors que tu te rappelles du sourire immonde de l'autre et tu te rends compte que tu viens de parler. Tu te reprends en gardant le contrôle de la situation. Tu décide de ne plus rien prononcer, car au fur et à mesure tu t'approches. Moins de 20 mètres désormais.

Soudain, regard figé vers l'endroit, comme si t'arrivais à deviner la présence du gars à travers les planches de bois, tu chutes sur un rondin en bois. Tu te ramasses sur le sol humide et profond. T'ouvres la bouche pour rager mais le goût de la boue t’empêche de formuler une phrase. D'un côté,  n'est pas plus mal, là ta présence aurai été détectée, tu voulais vraiment gueuler.

Là, le bourré arrête son vacarme. Tu reste sur place, couché, t'a pas le choix. Tu commences à stresser en priant pour qu'il ne sorte pas. Tu relèves lentement la tête, ton regard exprime du dégoût. En plus d'être crade, puant e qui te rendait malade, tu le vois tourner autour de la cabane. Tu ne peut rien faire à part garder ton calme, sans céder à la panique. Tu attends en espérant qu'il ne me repère pas.

C'est ainsi que tu restes dans ton bain de boue pendant pas moins d'une demi-heure, enfin tu suppose.
Il n'a pas osé s'aventurer dans la boue, heureusement pour toi. Il décide enfin à revenir dans la cabane et reprendre ses occupations bruyantes.

Impatient, tu te relèves et parcours la vingtaine de mètres en marchant vite, essayant de faire le moins de bruit en posant bien tes appuis. Tu es si proche que tu peux toucher la cabane. Ce mur est en bon état, le seul d'ailleurs. Puis là sur le côté, miracle, une échelle !
Nerveux, tu n'hésites pas et y grimpe rapidement. Tu comptes le prendre par surprise en lui sautant dessus.

Arrivé sur le toit tu ne manques pas d'y glisser. Il es humide mais l'odeur ne te rappelle pas celui de la pluie. Mais tu t'inquiètes davantage sur un bruit.

*Clic, clic* *Clic, clic*

Tu as déjà entendu ce bruit mais où. Tu cherches dans ta tête mais tu ne parviens pas a réfléchir. Soudain, révélation.

- Eiji ? Un briquet ?

Alors que tu viens de trouver l'origine du bruit, tu regardes sous tes pieds. Un feu immense est né. Les parois de la cabane sont en train de cramer.

Tu entend alors un gars courir en ricanant, un rire qui ne t'es pas inconnu mais tu ne peut pas réfléchir où tu l'as déjà entendu.

- Bwéhéhé.

Entre les flammes, tu crois apercevoir qu'il es blond et court vers la forêt. A moins que la lueur des flammes te trompe. Ton cœur s'accélère, quel enfer...



_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________
[justify]Informations IRL

Prénom : Gaël
Age : 19 ans.
Aime : La musique (Pour les principaux: Trance, Dubstep, Electro.)
N'aime pas : Les longs post effacés par erreur ou coupure du net.
Personnage préféré de One Piece : Pell, Mihawk.
Caractère : Calme.
Fait du RP depuis : Pas longtemps.
Disponibilité approximative : 5/7
Comment avez-vous connu le forum ? Google.


Dernière édition par Mizashi Hideki le Lun 1 Sep 2014 - 13:37, édité 55 fois
    Bienvenue Mizashi !

    Up ta prez dès que tu la sentiras parée, et on viendra te donner ton test RP.

    Si tu as des questions ou un quelconque problème, on est, ici comme sur la CB, à ta disposition pour t'aider.

    Bon courage, bonne inspi', et à bientôt !
    • https://www.onepiece-requiem.net/t10413-fiche-de-craig
    Bonsoir.

    Modo à l'essai, ma présentation est parée, elle attend désormais son test rp !

    Cordialement.
      Me revoici suivi du test RP !

      Raconte nous ton intégration ainsi que tes premiers pas, souvent les plus rudes, au sein de l'unité Katana.

      S'il ne te convient pas, n'oublies pas que tu peux en demander une nouveau !

      Aussi, à la lecture, ta bio m'a paru très floue et truffée de blancs que tu devrais pouvoir combler facilement. Malgré la perte de mémoire du bonhomme, on aime, de notre côté, savoir à quoi nous attendre, savoir précisément ce que tu envisages pour le passé du perso. Histoire d'éviter les mauvaises surprises et les blocages IRP. N'hésites pas à nous éclairer davantage sur tout ça !

      Bon courage et à bientôt !
      • https://www.onepiece-requiem.net/t10413-fiche-de-craig
      Bonjour.

      Je viens de refaire la biographie en modifiant la psychologie, en espérant que cela soit plus cohérent.

      Je m'attaque au rp, maintenant.

      Cordialement.
        Bonjour.

        Rp terminé, (que je continuerai au présent très prochainement). A vous de jouer.

        Bonne journée.
          Yo Hideki ! Me voilà pour ton premier avis.

          Je passerai vite sur le point forme puisque globalement, niveau ortho, c'est très propre. Les coquilles sont rares et ne percutent pas aussitôt au cours de la lecture. Niveau style, beaucoup de bon.

          => Ta description physique est très complète, même si je regrette de ne pas en savoir encore plus sur la démarche du perso, ses éventuelles manies, ou tocs, bref, ce qui insuffle la vie au corps et permet de le visualiser en mouvement. La description de ses chaussettes prend autant de place que celle de sa démarche, j'ai trouvé ça dommage. En jeu, l'empreinte que laissera l'apparence de ton perso chez les autres, c'est aussi la perception de ses manières.

          => Le mental, en comparaison, est sacrément plus flou. Après un coup sur le crâne, il aura tendance à perdre la boule et chercher à transférer les souvenirs de ses propres douleurs sur les autres ? Il aime exécuter les mauvais, mais comment, puisqu'il préfère affaiblir qu'ôter la vie ? Et comment en arrive-t-il à considérer quelqu'un "mauvais", alors qu'il est sensible et compréhensif ? Il juge les personnes sans gêne, mais on n'a pas d'éléments susceptibles de nous éclairer sur les caractères qu'il pourrait supporter, admirer, détester. On ne sait pas comment il peut se comporter en société, ni quelles sont ses valeurs. Globalement, on a rien qui puisse vraiment nous indiquer de quel bois seront faites ses interactions avec d'autres joueurs, ou avec la trame.

          On effleure la surface, avec quelques détails. On sait que le combat lui est important, qu'il doit avoir une vision personnelle de la justice, qu'il a pas sa langue dans sa poche, mais c'est à peu près tout. Rien d'assez approfondi ou relatif au caractère pour qu'on puisse visualiser parfaitement le comportement de Mizashi. Dommage.

          => Bio. J'ai souvenir qu'avant que je ne t'aie conseillé d'éditer pour détailler certains points un peu survolés, tu avais opté pour une forme nettement plus originale, à coup, je crois bien, d'ellipses et de flash backs organisés en chapitres. L'idée était sympa, dommage que tu aies décidé de la remplacer par une narration plus linéaire. Plus claire, plus concise, plus efficace, sûrement, mais moins originale.

          Sinon, bizarrement, on en apprend plus sur la psy de Mizashi dans cette bio que dans la partie éponyme. On comprend sa peur du silence, beaucoup mieux amenée dans la bio que dans la psy, on comprend son amour du combat, on en sait plus sur sa vision du monde et son rapport au malheur.

          Les principales critiques que j'aurais à faire concernant l'histoire du bonhomme, c'est l'utilisation des persos secondaires, et leur manque de profondeur et d'humanité. Notamment les parents. Le père a une importance capitale dans le Mizashi présent et dans son objectif pour l'avenir, mais finalement, on ne connaît rien de lui. On sait qu'il était paysan, qu'il moulinait au sabre par loisir, c'est tout. On est même pas certains des circonstances de sa mort. Ne serait-ce que lui donner un nom et une personnalité aurait pu aider le lecteur à davantage s'attacher à lui, et à mieux comprendre la douleur de Mizashi.

          Idem pour Tagaki Suzukawa, le chasseur de primes. De lui on a qu'un nom. Même pas une petite description du quotidien que Mizashi a partagé avec lui quelque temps. Ne pouvait-il pas s'occuper de son protégé jusqu'au bout et le former lui-même pour le faire devenir peu à peu un vrai chasseur de primes, plutôt que le déposer dans un port et le laisser monter une boutique de légumes ? D'autant que du coup, Mizashi a participé a des traques en sa compagnie. Il n'a pas gagné en expérience et en maturité ? Pourquoi n'a-t-il pas continué sa route aux côtés de Tagaki ? Encore un perso important dans la vie du héros dont on ne sait finalement rien. Dommage.

          Quant à la mère, elle paraît carrément cruelle et injuste. Elle vire son fils unique, la seule famille qui lui reste, parce qu'il se lance dans des petits boulots pour rembourser les dettes du défunt papa ? Résumé comme ça, ça ne paraît pas avoir grand sens. Même, gratuitement violent.

          Plus de détails sur son épanouissement au sein de l'unité Katana et sur ses missions charnières auraient pas été de trop non plus.

          => RP. Je m'attendais pas du tout à te voir user de la seconde personne, et elle sonne bien. Elle distancie du perso et donne la sensation de l'observer se débrouiller dans son calvaire. Et globalement, c'était une bien agréable lecture, très immersive et carrément bien développée. Les persos secondaires sont nombreux et tous rendus suffisamment vivants pour être crédibles.

          Un peu dubitatif concernant le volcan que Mizashi ne remarque pas dans la première partie, alors qu'il est juste derrière lui. Difficile à zapper du paysage, ce genre de truc. Ptet quelques doutes concernant l'envoi de toute une unité canaliser les ardeurs d'un ivrogne, aussi ?

          Sinon, je crois pas avoir grand chose à ajouter. Une agréable surprise, ce test.

          Concernant le bilan, compte tenu que la prez est correcte mais pas exempt de maladresses, jusqu'au test RP que j'ai trouvé très cool, je donnerai un bon 660 D.
          • https://www.onepiece-requiem.net/t10413-fiche-de-craig
          Modo passant pour le second avis, merci de ne lire ce message que lorsque tu auras fini. Merci.


          Bonsoir Craig.

          Je te remercie d'avoir donné un avis aussi précis en pointant du museau ce qu'il faut.

          Merci aussi de m'avoir fait remarquer l'énorme manque d'humanité des persos secondaires, aller jusqu'à ne pas donner de noms au parents, faut le faire. Un bonne critique car je ne m'en étais pas rendu compte.

          Je vais répondre à tes questions car j'en ai lu quelques une, question de principe.

          Après un coup sur le crâne, il aura tendance à perdre la boule et chercher à transférer les souvenirs de ses propres douleurs sur les autres ? Il aime exécuter les mauvais, mais comment, puisqu'il préfère affaiblir qu'ôter la vie ? Et comment en arrive-t-il à considérer quelqu'un "mauvais", alors qu'il est sensible et compréhensif ?

          - S'il se prend un coup sur le crâne, ce qu'il a vécu resurgira, en gros, mode psychopathe activé. Pour se soulager, il faudra que la personne en cause revive cette étape de son passé. Ce sera en fait de futurs meurtres. Les personnes seront immobiles, car il a été inerte au sol. Souffrantes, à cause de son violent coup sur le crâne. Puis, un bruit insupportable mais obligé de l'écouter. Pour lui, c'était les bruits naturels.

          - En fait, lorsque j'ai parlé d’exécuter, j'avais les ordres en tête. Du coup ça fait un beau problème que t'as bien fait de relever. A oublier en gardant la notion de ne pas ôter la vie.
          J'espère que c'est moins flou et j'avoue que ça a été très mal amené.

          - Là aussi, beau problème. J'ai écrit qu'il avait tué la civile, et ensuite j'ai rajouté sensible et compréhensible pour justifier qu'il n'était pas insensible. Mais oui, si on rajoute la notion qu'il juge les gens, alors la notion de "bon et mauvais" perd tout son sens. J'aurai du modifier ce détail lorsque j'ai refait sa psycho, je ne l'ai pas refaite en intégralité, en laissant un peu celle du passé. Mais bref, c'est le temps des réponses, pas des excuses. Du coup, à oublier la sensibilité et le fait qu'il soit compréhensible. Garder en tête l'image du chien qui exécute les ordres sans broncher, grosso modo.


          Ne pouvait-il pas s'occuper de son protégé jusqu'au bout et le former lui-même pour le faire devenir peu à peu un vrai chasseur de primes, plutôt que le déposer dans un port et le laisser monter une boutique de légumes ? D'autant que du coup, Mizashi a participé a des traques en sa compagnie. Il n'a pas gagné en expérience et en maturité ? Pourquoi n'a-t-il pas continué sa route aux côtés de Tagaki ?

          - Alors, gros souci effectivement. Il est vrai que devenir chasseur de prime directement aurai été plus logique. Je me disais en tête, "Tagaki me supporte pendant six ans, je vais pas le faire chier plus longtemps" Mais en y repensant, sa bio ne parle pas de lui comme étant un solitaire donc, oui, il aurai pu devenir son apprenti. (http://oprannexe.forumotion.com/t316-la-bna)
          Du coup, j'ai aussi trouvé une solution pour expliquer cela en flash-backs.

          - Alors oui, il a gagné en expérience et maturité, cela me semblait tellement évident que je n'ai pas eu l'idée de le mentionner. Il a aussi découvert une activité aussi, un savoir faire (vu qu'il n'a pas de métier, j'ai aussi réglé ça).

          - Pour la troisième question, toujours cette idée de ne pas l'embêter donc j'ai aussi foiré. Après à l'avenir, je compte devenir chasseur de primes, je passerai certainement par ce pnj pour le recrutement.

          Sinon pour le test rp, ouais, j'suis quand même étonné qu'il ai plu.
          Pour expliquer quelques coquilles du genre 'se ou me' encore présentes j'ai essayé les trois personnes pour l'écrire. Du coup à la correction, j'en ai zappé.
          A la première, je suis trop dans le perso pour pouvoir expliquer ce qui se passe et à la troisième j'en suis justement trop éloigné. Après j'ai lu des rp dans ces deux personnes, qui sont excellent. Je sais ce que l'emploi de ces personnes valent.
          Moi qui ne souhaites pas que le lecteur se sente concerné par la seconde, si t'a eu l’impression de l'observer, c'est parfait. Car je l'observe également, c'est le bon point de vue.

          Je te remercie d'être si bon modo, d'avoir fait le premier mon perso et d'avoir relevé ces incohérences, car d'elles je suis en train de faire un passé crédible. Un passé que j'aurai sans doute du chercher seul et je n'aurai pas trouvé mon idée actuelle de lier tout les événements. Pour certains détails, sans toi je ne m'en serai pas rendu compte. C'est pas une question d'éloges, mais ton avis, tu l'as vraiment bien fait et il m'a beaucoup aidé.

          Cordialement.

          PS: Craig n'est, ni un modo à laisser, ni à l'essai. Il es, le modo qui a marqué l'essai.
            Et voici ton second avis, avec une petite journée de décalage par rapport à ce que je t'avais dit, désolée >.<

            Côté forme, c'pas dramatique, donc je vais rapidement faire le tour. La plupart des fautes sont liées à l'inattention, je pense (genre du sa/ça, de mauvaises terminaisons ou oublis de pluriels, etc.), mais y'a des soucis dans ton utilisation de la ponctuation et des temps verbaux.

            Toutefois, avant de partir là-dessus, un petit point orthographe :

            Dans l'expression "avoir tort", c'est tort avec un T.
            T-O-R-T, TORT !
            Y'a pas intérêt à ce que je revoie l'expression "il a tord" quelque part dans tes textes è_é

            Bon, maintenant que ça c'est réglé, repassons donc à la ponctuation et aux verbes o/

            Comme c'un peu compliqué à expliquer, je vais reprendre le début de ta bio pour illustrer mon commentaire :

            Mizashi est né en 1600 au village Kawai, à Shimotsuki.
            D'un père paysan et d'une mère herboriste. Dès qu'il savait marcher, il a commencé à travailler dans les champs. Sa famille s'en sortant à peine, il fallait qu'il rapporte de l'argent le plus vite possible.

            A huit ans, ses parents déjà adeptes des entraînements au sabre comme loisir, inscrirent leur unique fils dans l'espoir qu'il devienne un guerrier célèbre qui les sortira de leur vie de misère.

            - Déjà, côté premier paragraphe, la phrase sur les parents ne va pas. Le saut de ligne direct n'est pas utile, et la phrase sans verbe fonctionne pas trop, dans la mesure où c'pas tellement important de mettre l'accent sur ces infos comme ça. Ou alors, il aurait fallu développer plus le contexte et le cadre de vie (mais je t'en recauserai tout à l'heure).

            - "Dès qu'il savait" => mauvais temps. Tu aurais dû dire "dès qu'il sut", parce que quand tu dis "savait", c'est comme si c'était une action continu, donc tu peux pas l'associer à un connecteur logique qui implique un moment précis et arrêté. Et du coup, logiquement, le "il a commencé" aurait dû être "il commença".

            Sinon, de manière un peu générale, fais gaffe à la concordance des temps, tu maîtrises pas toujours correctement et ça cause pas mal de maladresses dans ton texte.

            Petit tableau rappel : http://serouestar.fr/wp-content/uploads/2014/01/Concordance-temps.jpg

            - Pis pour finir rapidement ce point forme, pour la ponctuation, fais attention. Dans ta deuxième phrase, tu isoles qu'à moitié la partie "déjà adeptes des entraînements au sabre comme loisir". Normalement, tu aurais également dû mettre une virgule après "ses parents", sinon on a l'impression que le groupe sujet est "ses parents déjà adeptes des entraînements au sabre comme loisir" et que, de fait, tu fous une virgule entre le sujet et le verbe, ce qui n'est évidemment pas correct. T'as tendance à faire ce genre de chose souvent, donc soit vigilant.

            Voilà, c'est tout pour la forme !

            Maintenant, concernant le fond, j'ai été vachement moins emballée que Craig, donc je vais critiquer un peu plus...

            => Sur le physique, bien qu'on ait quand même une description exhaustive qui nous permette de visualiser correctement le personnage, j'ai quand même trouvé qu'il y avait quelques infos contradictoires, comme l'histoire des cheveux qui gênent pas mais qui gênent quand même. Qui plus est, tu utilises sans arrêt le pronom "il" pour désigner ton perso, ce qui devient vite très répétitif et ça alourdit le style. Du coup, quand tu écris à la troisième personne, essaye quand même de varier les dénominations : le jeune homme, le Marine, le garçon, Mizashi, Miza, Hideki... Y'a plein de choses à utiliser pour remplacer ce "il" que tu imposes de base sans préciser à qui il renvoie.

            => Sur la psycho, je rejoins Craig. Pour le coup, c'était carrément moins détaillé que le physique, donc j'ai vraiment eu l'impression de manquer d'infos. De plus, ce que tu nous poses comme traits de caractère pour Miza est assez contradictoire : impulsif mais qui prend son temps pour jouer avec les autres, le côté sensible et compréhensif (et non compréhensible, attention aux coquilles) qui est un peu paradoxal avec le reste, le problème avec les bruits naturels... Attention avec l'expression "bruits naturels", ça englobe pas mal de choses. Un vent violent ou un orage est un bruit naturel, pourtant c'est loin d'être calme, le bruit d'une ville pourrait être considéré comme naturel, dans la mesure où c'le bruit des pas, de la foule, des paroles, etc. Donc attention aux expressions que tu utilises, elles manquent parfois de précision et peuvent prêter à confusion.

            => Sur la bio, j'ai quand même trouvé ça très bizarre, limite incohérent. Tu es beaucoup trop succin et tu balances des événements de ta vie sans vraiment détailler ou entourer ça de contexte. A plusieurs reprises, je me suis demandée ce qui se passait. C'est surtout valable pour le début de la bio où y'a aucun contexte de posé sinon le fait que tu vis sur une île avec des parents agriculteurs et que tu suis un entraînement au sabre. Pis d'un coup, paf, le père meurt, tu mentionnes la possibilité d'un meurtre, mais on sait pas du tout pourquoi. J'étais un peu en mode "Oo".

            Après, tu commences à vaguement parler d'une dette, mais on sait pas d'où elle sort, on sait pas précisément pourquoi il s'est endetté, ni si sa femme était au courant. Qui plus est, côté logique, comment il peut payer à son fils un entrainement au sabre s'il est criblé de dettes ? Et comment la famille peut-elle vivre correctement ? Bref, trop de points obscurs qui font dangereusement basculer la bio du côté de l'incohérence.

            Ensuite, concernant la vie du gosse après ça, j'ai pas trouvé ça très cohérent non plus. En quoi c'est déshonnorant qu'il se plie en quatre pour sauver sa famille ? Qu'il travaille dur pour subvenir aux besoins de sa mère de lui-même ? La réaction de la mère me parait complètement disproportionnée rapport à la situation, surtout vis-à-vis d'un enfant si jeune. Ensuite, bien que mal dans sa peau, il aurait quand même pu continuer à bosser comme il l'a fait pour gagner de l'argent et subvenir à ses besoins plutôt que se laisser crever de faim dans la rue. Pis en plus, il devait bien connaître des gens, non ? Sa famille était pas isolé, ils devaient avoir des amis, des gens prêts à récupérer Miza plutôt que de le voir trainer les rues toute la journée.

            Ensuite, la remise en question est amenée de manière logique quoiqu'un peu abrupte. Ce qui me dérange un peu, comme Craig, c'est le côté complètement transparent de Tagaki. Mais je reviens pas là-dessus, Craig a déjà dit ce qu'il fallait sur le sujet, et t'es toi-même d'accord.
            Du coup, autre point un peu embêtant : le côté Marine intérimaire. C'juste pas possible de squatter les rangs de la Marine quand ça t'arrange. Soit tu les rejoins, soit tu les rejoins pas, mais tu joues pas les intérimaires en douce. Pis au sujet de la mort du civil qui implique ta mutation, ça aurait été sympa de développer un peu, parce que c'est le genre de chose qui impacte quand même sur la vision des choses d'une personne. Donc y'avait un certain manque de ce côté là.

            => Maintenant, concernant le test RP, j'ai également été surprise par le choix de la deuxième personne. Personnellement, j'ai un peu de mal avec cette forme, même si je conçois que ça permet quelques effets de style sympa. Te concernant, il m'a fallu un moment pour entrer dans ton texte et que le "tu" devienne suffisamment fluide pour ne pas me gêner. Dans la première partie du texte, t'as le même défaut que dans ton physique : la répétition du sujet en début de phrase. J'ai trouvé ça trop lourd et ça empêchait un peu de s'immerger réellement dans les émotions du personnage. Pis c'est mieux passé dans la seconde partie où tu perds ce réflexe et où tu penses à faire des phrases dont "tu" n'est pas le sujet. Donc attention à ça, c'est pas parce que tu RP à la 2ème personne qu'elle doit être systématiquement en avant dans tes phrases.
            Par contre, ça rendait très bien sur les descriptions des différents personnages de l'unité, et j'ai trouvé presque inutile le rajout des images (mais comme j'aime bien quand y'a des images, ça allait o/).
            Le RP était sympathique, coulait tranquillement, donc j'ai pas grand chose à redire dessus à part une dernière chose : la Marine envoyée pour arrêter un ivrogne tout seul dans une cabane ? Illogique. Qui les a prévenu ? Pourquoi ? Il aurait été plus logique que l'homme soit dangereux et entouré d'autres personnes pour que l'intervention de ton équipe soit justifiée.
            Par contre, la fin avec un petit cliffhanger était sympa, et j'imagine que tu développeras ce mystérieux perso dans tes RP à venir...


            Bon, je m'arrête là, j'ai l'impression d'avoir été un petit peu longue sur ton avis... Evidemment, si t'as des remarques ou des questions, n'hésite pas. Ta fiche risque d'être verrouillée avant que tu puisses répondre, donc au besoin, tu peux me trouver par MP ou sur la CB !

            Donc, tout ça pour arriver à un total nettement moins élevé que Craig : 500 dorikis qui te valide donc à 580 dorikis. Bon jeu parmi nous o/

            N'oublie pas d'aller créer ta fiche technique et de faire ta demande de grade ici !
            • https://www.onepiece-requiem.net/t1247-louise-mizuno-la-m-des-sm
            • https://www.onepiece-requiem.net/t1145-louise-mizuno