>> Burin
Pseudonyme : Burin on a dit
Age: 35
Sexe : aucune importance
Race : Poulpe
Métier :sculpteur
Groupe : (civil) aucun et tous, celui du mécène qui voudra de mon Talent
But : être très riche et très célèbre, en faisant des statuts de ces mégalomanes de pirates
Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : sculpteur de génie
Équipement : petit bateau individuel
Codes du règlement :
Parrain :
Personnage:
Tentaculiss Armando Corail, est un sculpteur et artiste de Génie, sa renommée et très importante, pas chez la plèbe, bien sûr, mais chez les grands et les super riches. Ce qui tombe bien car Mr Corail ne travaille que pour eux. Qui d'autre pourrait se payer son effigie taille dix en marbre blanc ? Et pourtant son admission dans la haute société n'était pas gagnée d'avance, vu que Tentaculiss est un Poulpe. Mais sa politesse, sa discrétion et sa capacité a travailler les matériaux les plus nobles lui ont permis d'accéder au sommet de la reconnaissance artistique.
Son œuvre phare, la plus connue est la statue géante de l'amiral Yamoto en corail rouge et en or. Sa renommé et ses nombreux mécènes ont fait de lui un poulpe honteusement riche et prétentieux.
Il est originaire d’une petite île dont lui-même ne sais rien mais qui est réputé pour deux choses, sa pauvreté et la mauvaise habitude de ses habitants à profiter des naufrages qu’ils provoquent. La possibilité des autochtones à nager sous la surface, adhérer aux surfaces et à manipuler toute sorte d’outil en font des naufrageurs hors-pair. ces céphalopodes ont été plusieurs fois mit au pas par la marine, et c’est au cours d’une de ses expéditions punitives que le jeune artiste fut récupère par un officier surement désireux d’utiliser les propriétés de cette race à des fins plus utile. Toutefois le projet n’aboutit pas, car la façon dont Corail sculptait ses pâtés de sables convainquis son tuteur qu’il avait misé sur le mauvais poulpe. Bonne pâte le déjà vieux militaire le posta à une école d’art classique.
Les débuts y furent quelque peu chaotique car l’institution eu du mal à répondre aux besoins spécifiques d’une créature comme celle la, mais le poulpe fini par s’adapter et à trouver une nouvelle motivation dans les brimades de son entourage. Son narcissisme lui fut d’ailleurs fort utile pour paraître sur de lui et s’imposer comme grand artiste.
Tentaculiss, a énormément travaillé pour que sa silhouette paraisse la plus normal possible, apprenant a se déplacer comme un bipède en plaçant ses tentacules de telle façon que dissimulé sous de grande cape elles ne soit pas visible. Inutile de dire que cela ne trompe personne, mais il est mieux accepté en se comportant ainsi et il ne fait pas peur aux enfants. Haut de seulement un mètre vingt debout, il est toujours habillé avec élégance, couvert de tissu de prix et de dentelle, son crane énorme est couvert d'un immense chapeau haut-de-forme vernie. Il parle peu car l'emplacement de sa boucle lui donne une voix caverneuse et humide. Quoi que agile et gracieux il a bien vite arrêtait de tenter de danser en société, les réactions n'étant pas très enthousiaste.
Sans vêtement, il mesure plus de quatre mètres d'envergure et pèse cent kilos, mais pour le voir ainsi il faudrait forcer la porte de son atelier, car il ne s'autorise à sortir de sa réserve que lorsqu'il crée. Dans ces moment là ses huit membres semblent dotés d'une volonté propre et armés de toute sorte d'instruments s'activent avec frénésie.
Une des clef de son succès est la technique d'ombrage en profondeurs de ses œuvres, inimitable par toute la concurrence et pour cause il utilise les propriétés de son encre subtilement travaillé par une alimentation spécifique.
Mr Corail ne s'est jamais battu, il n'en a jamais eu besoin, il a bien fait de la lutte pour le jeu mais n'a jamais trouvé d'adversaire voulant continuer à pratiquer avec lui. Si jamais il devrait se retrouver dans une situation de rixe (improbable vu où il vit) il peut compter sur plusieurs atouts, le principal est sa peau flasque et résistante, pour lui nuire il faudra beaucoup frapper (pour l'attendrir), l'autre et sans doute sa prédisposition morphologique pour l'empoignade au corps a corps.
Dépendant de commande pour vivre, et se sachant seulement toléré dans son milieux il est complètement apolitique, ou au besoin sais adopter les convictions de son client du moment. La misère, les troubles, les injustices n'ont pas d'intérêt pour lui qui jouis du luxe, et qui en tant qu'artiste ne vit que pour le Beau. Une vie non consacré à un art ou à son financement n'a aucune valeur. Une existence passaée dans un atelier, ne le prédispose pas a jouer les meneurs d'homme, et la vision qu'il a du monde est plus que parcellaire se qui risquerait de lui être très dommageable s'il se retrouvait dans un environnement plus hostile qu'un jardin d'agrément, ou un palais en fête. Il n'est pas un aventurier, le monde extérieur lui fait peur, et sa protection personnel justifie toutes les contorsions. En bref son apparence mise de coté, il est parfaitement à sa place parmi les courtisans et autre pique-assiette qui vivent au crochet du pouvoir.
Ce respectable individu, suit donc une paisible et plus que confortable existence, que seul pourrait contrarier un procès injuste, ou l'ire d'un puissant.
Burin, n'a bien sur rien à voir avec Tentaculiss Armando Corail, vu qu'il n'est pas riche, semble très amère envers les hautes sphères sociales et ne parle que de sculpter les bustes des plus infâme personnalisées des mers. Le plus grand artiste dans cette génération, aurait jamais accepté de porter des vêtements aussi simplement fonctionnel ni parcourut les flots sur un bateau aussi petit. Et si vous souhaitez demander au génie des précisions sur une éventuel ressemblance avec cet aventurier, trop tard ! Car il paraîtrait que Mr Corail a disparu.
>> Test RP
Un terrible et malveillant capitaine pirate, entendant parler de ton talent, t'engage pour réaliser la figure de proue de son navire, à son effigie bien sûr. Seulement, une fois le travail accompli, celui-ci n'est absolument pas satisfait du résultat, et refuse de te payer pour ce "déchet", te menaçant d'horribles représailles si tu ne lui fournis pas quelque chose de mieux rapidement et pour la moitié du prix.
Raconte-nous comment tu vas t'en sortir.
Délicatement, Burin lustrait au chiffon huilé les derniers détails de sa nouvelle création, il aimait bien travailler le bois, façonner cette matière vivante était toujours un défi, un nœud non repéré une fibre contrainte et l’œuvre était raté, mais la pièce de bois choisi était parfaite avec juste ce qu’il faut de défauts pour s’amuser un peu. Le sujet traité n’était certes pas passionnant, mais la partie réalisation était réussie.
Il sorti de la cabane de toile, qu’il s’était confectionné pour travailler dans l’intimité et en replia les bâches pour contempler son travail. Haute de trois mètres le sosie de son client le regardait en ricanant, la ressemblance était impeccable, parfaite même, convenablement peinte elle pourrait servir de leurre pour les moucheurs. Tout y était : l’uniforme, les armes, le rictus, Burin pour flatter le capitaine lui avait juste légèrement grossi les muscles et bien remplie la braguette. Cet être frustre serait satisfait et lui serait un peu plus riche.
Un pirate passa par là et intrigué s’approcha, il semblait vraiment impressionné, constata le sculpteur, normal, pensa t il vu le niveau artistique de ces primates. Tiens ? Pourquoi blêmit-il tout à coup ? Burin regarda son travail avec un œil nouveau, mais ne vit rien qui justifiait cette étrange réaction. Et voila l’autre qui s’esquive comme si il avait peur d’être vu ici. Il est peut être fou ?
Une énorme silhouette s’approcha. Massif comme un taureau et agile comme un tigre, son client, alerté par la chute des bâches venait voir ce que lui rapportait l’argent versé. Comme tout bon dominant il était accompagné d’une foule de suiveurs. L’instant où le commanditaire découvre sa commande était depuis longtemps l’un des moments préférés de l’artiste, là où son orgueil était conforté jusqu'à l’écœurement. Et aujourd’hui encore l’éclair de fierté que Burin détecta dans les yeux du capitaine le gonfla d’aise. Il était le meilleur. Mais soudain le sourire se crispa, un pirate de la suite s’étrangla et Burin ne vit même pas venir le poing qui s’écrasa sur son visage.
La puissance du choc le fit rebondir la tête sur le sol, et le temps que ses yeux ne retrouvent le trou des orbites une botte colossale lui écrasa la base de ses tentacules le plaquant au sol. La pointe d’un harpon fissura la roche à un centimètre de son crane.
TU TE FOUS DE MOI, PAUVRE FIENTE !
Bon visiblement, cet homme n’est pas content, arriva à penser l’artiste terrifié.
JE VAIS TE FAIRE MOURIR SALEMENT, BOUFFON !
La pression de la chaussure disparu subitement avant de s’abattre de nouveau sur sa tempe cette fois, l’envoyant voler à plusieurs mètres dans un bruit flasque. La mort semblait inévitable maintenant, souhaitable même vu les traitements infligés. Mais…
« Calme-toi, tonton. Dit une voie sifflante. Tuer le mollusssque ne nous apportera rien. Il est désssolé. Pas vrai que t’es désssolé ? »
« Je suis désolé, articula faiblement Burin »
TU AS TROIS JOURS POUR REFAIRE TON TRAVAIL, MERDOUILLE OU J’TE BOUFFE LES PATTES SUR DU RIZ !
« Et gratuitement » compléta l’autre pirate.
Le sculpteur redressa un peu la tête, le capitaine brisait la figure de proue avec une rage et une sauvagerie dont seuls les humains de trois mètres sont capable. Tous les autres avaient disparu sauf un homme poisson anguille, le commandant en second.
« Trois jours, rappela celui-ci. Sssurpasse-toi l’artissste. »
Et il rajouta plus doucement : « le capitaine est cassstré » avant d’exploser d’un rire étouffé.
Travailler toute la journée ne dérangeait pas Burin, travailler toute la nuit non plus, mais les deux d’affilée nuisaient à la précision de son travail, inutile donc de dire qu’après trois jours de travail ininterrompu le résultat était à peine regardable pour le perfectionniste qu’il était. Les dernières heures le virent à peine capable de lever un outil mais peu importait.
Le travail de précision était achevé dès le deuxième jour. Le plus difficile se passa au plus noir de la nuit, les pirates de quart était à leur poste sur le navire, mais les mouillages sur les rendaient négligents, aussi personne ne remarqua le gros corps de la créature sortir silencieusement de l’eau pour se coller à la paroi du bâtiment. Il était tard et la somnolence empêcha l’équipage de voir la pieuvre se fixer au sabord tribord arrière. Le bruit du vent dans les gréements couvrit le bruit du ciseau qui s’activait à ouvrir une fente dans le volet et l’absence de patrouille dans la coursive n’empêcha pas la pointe d’un tentacule de s’y introduire et de déverrouiller le panneau. L’ile regorgeait d’aliment exotique aussi, avalé en grande quantité, leur digestion obligeait Gustave le préposé à la garde de la porte de la sainte-barbe à déféquer souvent. Lorsqu’il retourna à son poste il était ébloui par sa lampe et ne constata pas qu’un trou avait été foré dans la porte. Comment aurait il pu, le trou ayant était dissimulé par une technique de plaquage sur bois ? A l’intérieur de ses murs épais la salle de stockage des munitions était presque identique aux débuts de la soirée, l’artilleur en chef n’aurait pas pu s’apercevoir de la disparition d’un petit fut d’explosif, ou du moins pas tous de suite. Ainsi la nuit se passa paisiblement et rien ne viens en perturber le déroulement.
Le troisième et dernier jour fut consacré à évider discrètement un orifice dans l’épaisseur du bois juste assez large pour un tonneau de petit taille, les marins qui manœuvreraient les poulies pour mettre en place la statue n’en détectèrent même pas le bouchon.
Le rendu final n’était pas à la hautement du talent du sculpteur, c’était juste un buste à la posture menaçante. Mais l’équipage n’était pas très connaisseur et les dernières retouches à l’étrave effectuée, Burin put paisiblement se faire spolier de son salaire.
Quelques jours plus tard il regardait s’éloigner le navire pirate avec de curieux sentiments, Il en voulait bien sur au capitaine pour son manque de parole, et la trempe qu’il lui avait mise mais après tout il s’en sortait vivant et avec pas mal de matière à réflexion sur les changements à effectuer dans sa manière d’être au contact de cette lie.
De plus le danger avait réveillé des zones de son cerveau jusqu'à là endormies et c’était plutôt un bon point pour la suite, vu la vie qu’il menait.
Pour finir il se consolait en pensant à ce qui arriverait lorsqu’un boulet frapperait la figure de proue et c’est la tête pleine d’explosions vengeresses qu’il appareilla sur son petit bateau.
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Informations IRL
Prénom : jules
Age : 35
Aime : les sushis, les combats
N'aime pas : le poulpe
Personnage préféré de One Piece : /
Caractère : Calme, parfois poli.
Fait du RP depuis : du type forum je débute
Disponibilité approximative : a voir j'ai un emploi du temps chaotique
Comment avez-vous connu le forum : recherche internet
Pseudonyme : Burin on a dit
Age: 35
Sexe : aucune importance
Race : Poulpe
Métier :sculpteur
Groupe : (civil) aucun et tous, celui du mécène qui voudra de mon Talent
But : être très riche et très célèbre, en faisant des statuts de ces mégalomanes de pirates
Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : sculpteur de génie
Équipement : petit bateau individuel
Codes du règlement :
Parrain :
Personnage:
Tentaculiss Armando Corail, est un sculpteur et artiste de Génie, sa renommée et très importante, pas chez la plèbe, bien sûr, mais chez les grands et les super riches. Ce qui tombe bien car Mr Corail ne travaille que pour eux. Qui d'autre pourrait se payer son effigie taille dix en marbre blanc ? Et pourtant son admission dans la haute société n'était pas gagnée d'avance, vu que Tentaculiss est un Poulpe. Mais sa politesse, sa discrétion et sa capacité a travailler les matériaux les plus nobles lui ont permis d'accéder au sommet de la reconnaissance artistique.
Son œuvre phare, la plus connue est la statue géante de l'amiral Yamoto en corail rouge et en or. Sa renommé et ses nombreux mécènes ont fait de lui un poulpe honteusement riche et prétentieux.
Il est originaire d’une petite île dont lui-même ne sais rien mais qui est réputé pour deux choses, sa pauvreté et la mauvaise habitude de ses habitants à profiter des naufrages qu’ils provoquent. La possibilité des autochtones à nager sous la surface, adhérer aux surfaces et à manipuler toute sorte d’outil en font des naufrageurs hors-pair. ces céphalopodes ont été plusieurs fois mit au pas par la marine, et c’est au cours d’une de ses expéditions punitives que le jeune artiste fut récupère par un officier surement désireux d’utiliser les propriétés de cette race à des fins plus utile. Toutefois le projet n’aboutit pas, car la façon dont Corail sculptait ses pâtés de sables convainquis son tuteur qu’il avait misé sur le mauvais poulpe. Bonne pâte le déjà vieux militaire le posta à une école d’art classique.
Les débuts y furent quelque peu chaotique car l’institution eu du mal à répondre aux besoins spécifiques d’une créature comme celle la, mais le poulpe fini par s’adapter et à trouver une nouvelle motivation dans les brimades de son entourage. Son narcissisme lui fut d’ailleurs fort utile pour paraître sur de lui et s’imposer comme grand artiste.
Tentaculiss, a énormément travaillé pour que sa silhouette paraisse la plus normal possible, apprenant a se déplacer comme un bipède en plaçant ses tentacules de telle façon que dissimulé sous de grande cape elles ne soit pas visible. Inutile de dire que cela ne trompe personne, mais il est mieux accepté en se comportant ainsi et il ne fait pas peur aux enfants. Haut de seulement un mètre vingt debout, il est toujours habillé avec élégance, couvert de tissu de prix et de dentelle, son crane énorme est couvert d'un immense chapeau haut-de-forme vernie. Il parle peu car l'emplacement de sa boucle lui donne une voix caverneuse et humide. Quoi que agile et gracieux il a bien vite arrêtait de tenter de danser en société, les réactions n'étant pas très enthousiaste.
Sans vêtement, il mesure plus de quatre mètres d'envergure et pèse cent kilos, mais pour le voir ainsi il faudrait forcer la porte de son atelier, car il ne s'autorise à sortir de sa réserve que lorsqu'il crée. Dans ces moment là ses huit membres semblent dotés d'une volonté propre et armés de toute sorte d'instruments s'activent avec frénésie.
Une des clef de son succès est la technique d'ombrage en profondeurs de ses œuvres, inimitable par toute la concurrence et pour cause il utilise les propriétés de son encre subtilement travaillé par une alimentation spécifique.
Mr Corail ne s'est jamais battu, il n'en a jamais eu besoin, il a bien fait de la lutte pour le jeu mais n'a jamais trouvé d'adversaire voulant continuer à pratiquer avec lui. Si jamais il devrait se retrouver dans une situation de rixe (improbable vu où il vit) il peut compter sur plusieurs atouts, le principal est sa peau flasque et résistante, pour lui nuire il faudra beaucoup frapper (pour l'attendrir), l'autre et sans doute sa prédisposition morphologique pour l'empoignade au corps a corps.
Dépendant de commande pour vivre, et se sachant seulement toléré dans son milieux il est complètement apolitique, ou au besoin sais adopter les convictions de son client du moment. La misère, les troubles, les injustices n'ont pas d'intérêt pour lui qui jouis du luxe, et qui en tant qu'artiste ne vit que pour le Beau. Une vie non consacré à un art ou à son financement n'a aucune valeur. Une existence passaée dans un atelier, ne le prédispose pas a jouer les meneurs d'homme, et la vision qu'il a du monde est plus que parcellaire se qui risquerait de lui être très dommageable s'il se retrouvait dans un environnement plus hostile qu'un jardin d'agrément, ou un palais en fête. Il n'est pas un aventurier, le monde extérieur lui fait peur, et sa protection personnel justifie toutes les contorsions. En bref son apparence mise de coté, il est parfaitement à sa place parmi les courtisans et autre pique-assiette qui vivent au crochet du pouvoir.
Ce respectable individu, suit donc une paisible et plus que confortable existence, que seul pourrait contrarier un procès injuste, ou l'ire d'un puissant.
Burin, n'a bien sur rien à voir avec Tentaculiss Armando Corail, vu qu'il n'est pas riche, semble très amère envers les hautes sphères sociales et ne parle que de sculpter les bustes des plus infâme personnalisées des mers. Le plus grand artiste dans cette génération, aurait jamais accepté de porter des vêtements aussi simplement fonctionnel ni parcourut les flots sur un bateau aussi petit. Et si vous souhaitez demander au génie des précisions sur une éventuel ressemblance avec cet aventurier, trop tard ! Car il paraîtrait que Mr Corail a disparu.
>> Test RP
Un terrible et malveillant capitaine pirate, entendant parler de ton talent, t'engage pour réaliser la figure de proue de son navire, à son effigie bien sûr. Seulement, une fois le travail accompli, celui-ci n'est absolument pas satisfait du résultat, et refuse de te payer pour ce "déchet", te menaçant d'horribles représailles si tu ne lui fournis pas quelque chose de mieux rapidement et pour la moitié du prix.
Raconte-nous comment tu vas t'en sortir.
Délicatement, Burin lustrait au chiffon huilé les derniers détails de sa nouvelle création, il aimait bien travailler le bois, façonner cette matière vivante était toujours un défi, un nœud non repéré une fibre contrainte et l’œuvre était raté, mais la pièce de bois choisi était parfaite avec juste ce qu’il faut de défauts pour s’amuser un peu. Le sujet traité n’était certes pas passionnant, mais la partie réalisation était réussie.
Il sorti de la cabane de toile, qu’il s’était confectionné pour travailler dans l’intimité et en replia les bâches pour contempler son travail. Haute de trois mètres le sosie de son client le regardait en ricanant, la ressemblance était impeccable, parfaite même, convenablement peinte elle pourrait servir de leurre pour les moucheurs. Tout y était : l’uniforme, les armes, le rictus, Burin pour flatter le capitaine lui avait juste légèrement grossi les muscles et bien remplie la braguette. Cet être frustre serait satisfait et lui serait un peu plus riche.
Un pirate passa par là et intrigué s’approcha, il semblait vraiment impressionné, constata le sculpteur, normal, pensa t il vu le niveau artistique de ces primates. Tiens ? Pourquoi blêmit-il tout à coup ? Burin regarda son travail avec un œil nouveau, mais ne vit rien qui justifiait cette étrange réaction. Et voila l’autre qui s’esquive comme si il avait peur d’être vu ici. Il est peut être fou ?
Une énorme silhouette s’approcha. Massif comme un taureau et agile comme un tigre, son client, alerté par la chute des bâches venait voir ce que lui rapportait l’argent versé. Comme tout bon dominant il était accompagné d’une foule de suiveurs. L’instant où le commanditaire découvre sa commande était depuis longtemps l’un des moments préférés de l’artiste, là où son orgueil était conforté jusqu'à l’écœurement. Et aujourd’hui encore l’éclair de fierté que Burin détecta dans les yeux du capitaine le gonfla d’aise. Il était le meilleur. Mais soudain le sourire se crispa, un pirate de la suite s’étrangla et Burin ne vit même pas venir le poing qui s’écrasa sur son visage.
La puissance du choc le fit rebondir la tête sur le sol, et le temps que ses yeux ne retrouvent le trou des orbites une botte colossale lui écrasa la base de ses tentacules le plaquant au sol. La pointe d’un harpon fissura la roche à un centimètre de son crane.
TU TE FOUS DE MOI, PAUVRE FIENTE !
Bon visiblement, cet homme n’est pas content, arriva à penser l’artiste terrifié.
JE VAIS TE FAIRE MOURIR SALEMENT, BOUFFON !
La pression de la chaussure disparu subitement avant de s’abattre de nouveau sur sa tempe cette fois, l’envoyant voler à plusieurs mètres dans un bruit flasque. La mort semblait inévitable maintenant, souhaitable même vu les traitements infligés. Mais…
« Calme-toi, tonton. Dit une voie sifflante. Tuer le mollusssque ne nous apportera rien. Il est désssolé. Pas vrai que t’es désssolé ? »
« Je suis désolé, articula faiblement Burin »
TU AS TROIS JOURS POUR REFAIRE TON TRAVAIL, MERDOUILLE OU J’TE BOUFFE LES PATTES SUR DU RIZ !
« Et gratuitement » compléta l’autre pirate.
Le sculpteur redressa un peu la tête, le capitaine brisait la figure de proue avec une rage et une sauvagerie dont seuls les humains de trois mètres sont capable. Tous les autres avaient disparu sauf un homme poisson anguille, le commandant en second.
« Trois jours, rappela celui-ci. Sssurpasse-toi l’artissste. »
Et il rajouta plus doucement : « le capitaine est cassstré » avant d’exploser d’un rire étouffé.
Travailler toute la journée ne dérangeait pas Burin, travailler toute la nuit non plus, mais les deux d’affilée nuisaient à la précision de son travail, inutile donc de dire qu’après trois jours de travail ininterrompu le résultat était à peine regardable pour le perfectionniste qu’il était. Les dernières heures le virent à peine capable de lever un outil mais peu importait.
Le travail de précision était achevé dès le deuxième jour. Le plus difficile se passa au plus noir de la nuit, les pirates de quart était à leur poste sur le navire, mais les mouillages sur les rendaient négligents, aussi personne ne remarqua le gros corps de la créature sortir silencieusement de l’eau pour se coller à la paroi du bâtiment. Il était tard et la somnolence empêcha l’équipage de voir la pieuvre se fixer au sabord tribord arrière. Le bruit du vent dans les gréements couvrit le bruit du ciseau qui s’activait à ouvrir une fente dans le volet et l’absence de patrouille dans la coursive n’empêcha pas la pointe d’un tentacule de s’y introduire et de déverrouiller le panneau. L’ile regorgeait d’aliment exotique aussi, avalé en grande quantité, leur digestion obligeait Gustave le préposé à la garde de la porte de la sainte-barbe à déféquer souvent. Lorsqu’il retourna à son poste il était ébloui par sa lampe et ne constata pas qu’un trou avait été foré dans la porte. Comment aurait il pu, le trou ayant était dissimulé par une technique de plaquage sur bois ? A l’intérieur de ses murs épais la salle de stockage des munitions était presque identique aux débuts de la soirée, l’artilleur en chef n’aurait pas pu s’apercevoir de la disparition d’un petit fut d’explosif, ou du moins pas tous de suite. Ainsi la nuit se passa paisiblement et rien ne viens en perturber le déroulement.
Le troisième et dernier jour fut consacré à évider discrètement un orifice dans l’épaisseur du bois juste assez large pour un tonneau de petit taille, les marins qui manœuvreraient les poulies pour mettre en place la statue n’en détectèrent même pas le bouchon.
Le rendu final n’était pas à la hautement du talent du sculpteur, c’était juste un buste à la posture menaçante. Mais l’équipage n’était pas très connaisseur et les dernières retouches à l’étrave effectuée, Burin put paisiblement se faire spolier de son salaire.
Quelques jours plus tard il regardait s’éloigner le navire pirate avec de curieux sentiments, Il en voulait bien sur au capitaine pour son manque de parole, et la trempe qu’il lui avait mise mais après tout il s’en sortait vivant et avec pas mal de matière à réflexion sur les changements à effectuer dans sa manière d’être au contact de cette lie.
De plus le danger avait réveillé des zones de son cerveau jusqu'à là endormies et c’était plutôt un bon point pour la suite, vu la vie qu’il menait.
Pour finir il se consolait en pensant à ce qui arriverait lorsqu’un boulet frapperait la figure de proue et c’est la tête pleine d’explosions vengeresses qu’il appareilla sur son petit bateau.
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Informations IRL
Prénom : jules
Age : 35
Aime : les sushis, les combats
N'aime pas : le poulpe
Personnage préféré de One Piece : /
Caractère : Calme, parfois poli.
Fait du RP depuis : du type forum je débute
Disponibilité approximative : a voir j'ai un emploi du temps chaotique
Comment avez-vous connu le forum : recherche internet
Dernière édition par Burin le Mer 3 Sep 2014 - 19:40, édité 12 fois