NOTE : je sais que les épaulards ne sont pas des poissons, mais j'aurais aimé créer un homme épaulard comme si il s'agissait d'un homme poisson. Si vous y voyez quelque chose qui ne pourrait pas coller à l'univers de One Piece, il n'y a pas de soucis mais pourrais-je demander un changement de nom et un délai supplémentaire ? Merci d'avance.
Informations IRL
Haill to the king baby, on m'appelle Nukem, Duke Nukem. Après une trop longue pause de 14 ans chuis près à reprendre du service. Je n'aurais qu'une phrase à ajouter : I've got balls of steel !
Euh non attendez ... Ah, voilà la VRAI fiche ...
>> Kuufuku Hakala
une image 200*300 | Pseudonyme : Haka Age: la trentaine Sexe : Homme Race : homme-poisson Rang : Métier : Pêcheur Groupe : Pirate Déjà un équipage : Pas encore But : découvrir ce qui s'est produit avec sa tribu et en apprendre plus sur son mystérieux passé. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : a part une maîtrise assez personnelle du combat au sabre, rien Équipements : un chapeau de paille pour se protéger des grandes chaleurs, une canne à pêche spécialement créée pour lui par son père adoptif et un sac contenant son attirail de pêche (hameçon, fil et appât notamment). Il porte aussi un boken de trois mètres cinquante de long en azobé, qui pèse une quarantaine de kilo. Codes du règlement (2) : Parrain : Je connais quelqu'un, mais je n'ai pas de parrain |
>> Physique « On aurait dit un épaulard, mais il avait des bras et des jambes, et puis il portait une chemise et un pantalon. Il était assis sur un roc et y pêchait. Enfin je crois, on entendait des ronflements ... » Henri, client fréquent de la taverne de l'Anguille Crevée. Taille : 5 mètres 60 centimètres Poids : deux tonnes bien remplies Cheveux et barbes : néants, il est totalement imberbe Particularités : une nageoire dorsale de 1 mètre 50 Les hommes-poissons ont des formes diverses et variées, et Hakala n'est pas en reste sur ce point. Plutôt grand, même pour son espèce, il a corps puissant et ce malgré une bonne couche de graisse bien molle. Ses traits sont plus proches de l'épaulard que de l'homme, dont il n'a gardé que l'aspect bipède, et de longs bras. Son « nez », si l'on peut ainsi qualifier cette grosse narine, se trouve sur le sommet de son crâne. Cela se remarque particulièrement quand l'homme poisson sors de l'eau et recrache l’excédant en un geyser qui peut atteindre une dizaine de mètre de haut. Il possède une large mâchoire munie de quarante deux dents tranchantes comme des rasoirs et dures comme le granit. Sa peau de couleur noire est parsemée des marques blanches des orques, si commune à ces mammifères marins. Son sourire qu'il aborde de manière quasi permanente lui donne un air sympathique et zen,toujours prêt à la déconner et faire la fête. Ses yeux sont de couleur blanche, et ils contrastent quasi parfaitement avec la robe noire de l'homme-orque. Il porte sur lui une large chemise hawaïenne à fond jaune, et presque toujours déboutonnée pour laisser apparaître son ventre blanc. Un pantalon blanc plutôt ample et fait de toile recouvre le bas de son corps, ce qui renforce son air de baba-cool. Lors des chauds après midi d'été, Hakala porte un grand chapeau de paille qui met son grand corps à l’abri du soleil. Il ne supporte vraiment pas les grosses chaleurs. >> Psychologie « Les enfants ils l'aimaient bien, parce qu'il était toujours d'accord pour jouer avec eux. Et puis un jour il a disparu. On a trouvé un énorme tas de poisson au milieu du village ce matin là. Je me demande si y avait un rapport ou pas. » Bérangère, mère de quatre bambins Gentillesse et sympathie sont les mots d'ordre d'Hakala. Il est toujours prêt à aider son prochain, et ce qu'il soit humain, homme poisson ou même animal. Serviable au possible, il ne demande généralement rien pour son aide, à part peut être de la nourriture, car même si le poisson c'est bon, il faut parfois varier les plaisirs, (les côtes de porc, c'est délicieux). Très calme et très sage, il préfère discuter tranquillement plutôt que de voir une bagarre éclater, même si il est parfois nécessaire de sortir les armes et de se laisser aller dans un élan de fureur, pour tempérer le karma. Durant les combats, il fait preuve d'une impressionnante férocité, allant jusqu'à relâcher ses instincts primaux les plus violents, il est d'ailleurs préférable de le tempérer, pour ne pas en mettre partout, si vous voyez ce que je veux dire. Néanmoins, ses avis sont toujours bons à écouter, son point de vue global de la situation même en cas de crise, car il ne laisse que très rarement éclater ses sentiments, et a donc une vue bien souvent plus objective de la situation que ses camarades. Hakala adore les enfants, et il est toujours prêt à s'amuser avec eux tant qu'ils ne tripotent pas sa narine (il ne supporte pas ça). Les épaulards sont comme ça : ils peuvent être féroce comme de véritables démons mais sont doux comme des agneaux quand il s'agit de jouer. >> Biographie « C'était il y a longtemps, une histoire entre un pêcheur et son fils... » Hakala, pêcheur homme-épaulard On dit que depuis siècle une tribu d'homme-poisson bien particulière parcours Grand Line. Une bande mystérieuse d'hommes épaulards et de sirènes, vivant de pêche et du butin des gens assez fou pour les attaquer. Ces nomades se font appelés les Konijira, et les légendes en parle comme des véritables démons, des créatures tout droit venues des enfers et prêtent à tuer tout ce qui passe a leur portée. La réalité est pourtant loin d'être aussi obscure, mais les rumeurs ont la vie dure, et les histoires sanguinaires sont plus passionnantes que les analyses objectives des phénomènes. Toutefois les membres des Konijira sont d'excellents combattants, et ils maîtrisent presque instinctivement le maniement du sabre, selon des formes plus ou moins originale. Parmi leurs membres comptaient de terribles manieurs de sabres, comme Tantsurugi, qui pouvait, dit on, trancher les navires de son katana., ou encore la matriarche Kunieda, dont la lame n'avait laissé aucun adversaire vivant, autant que sa beauté n'avait laissé aucun homme de marbre. L'histoire qui va vous être contée ici est l'histoire de l'un des enfants perdus de la tribu, laissé a son destin, seul dans les océans du globe. Il vous suffit de plonger avec moi dans cette épopée … L'aurore pointe à l'horizon, les premiers rayons du soleil viennent lécher une petite île de South Blue. Près de la côte, une petite cabane de pêcheur, silencieuse jusqu'alors, commence à se réveiller. « Papa … » « … » « Papa. » « … » « PAPA ! » « Hein, euh quoi ? » « C'est l'heure ! Le soleil se lève ! C'est le meilleur moment pour aller pêcher ! » « T'es toujours plein d'énergie toi ! Allez, on y va, mais ne fait pas trop de bruit, ta mère donne encore. » répondit le vieux pêcheur en sortant de son hamac. Tout content de pouvoir aller pêcher avec son père, le petit sautilla joyeusement pour aller chercher sa canne et tout son matériel. Il se dirigea vers la sortie. Une douce et fraîche brise caressa son visage. C'était une journée parfaite pour la pêche !Le pêcheur sortit de la petite cabane. C'était un homme approchant de la cinquantaine, assez frêle, aux cheveux gris, coupés courts. Il portait des vêtements très simples, des sandales, un jeans et un t-shirt bleu uni et un grand chapeau de paille recouvrait son crâne. « Allons y Hakala. » dit il joyeusement a son fils Et ils marchèrent sur la plage. Le petit courrait partout d'excitation. Il adorait la pêche, et encore plus quand il était accompagné de son père. En plus il n'avait cours à l'école de kendo qu'en fin d'après midi, il pouvait donc accompagner son père toute la matinée. Ils arrivèrent au petit canoë qui leur servait d'embarcation. Ils s'installèrent et dirigèrent vers le large. Une fois arrivés à un endroit propice, ils jetèrent leurs lignes et attendirent. Il ne fallu pas dix minutes qu'une prise mordit à l'hameçon du père. En deux temps trois mouvements, un superbe dorade d'une cinquantaine de centimètres trônait dans le bateau. C'était une excellente prise si tôt dans la journée, et cela présageait une bonne pêche. Après quelques minutes de joies, le père et le fils reprirent leur canne et attendirent. La matinée passa vite, entre les poissons mordants à la ligne et les vieilles histoires de pirates du pêcheur à son enfant. Il narrait les récits de courageux aventuriers comme celle de Mugiwara No Luffy, le grand Barbe Blanche,ou encore le roi des pirates, le fameux Gold.D Roger. Hakala adorait ces histoires de pirates. Vivre libre et faire ce qui nous plaisait quand on le voulait. Voyager, explorer le monde, vivre des aventures palpitantes sur terre comme sur mer. C'était son rêve de pouvoir voir ce monde de ses yeux. Et il comptait partir à l'aventure quand il serait plus grand. En attendant, il pêcherait et vivrait heureux avec ses parents … Le soleil était haut dans le ciel. La matinée se terminait. Ils retournèrent vers la plage, a bord du canoë un bassin remplis de poissons. Une bonne matinée en somme. Revenant à la maison, ils s'installèrent pour manger un bout. La mère d'Hakala s'enthousiasma devant la pêche. C'était une petite femme à l'air bienveillant. Ses cheveux gris et ses quelques rides marquait son âge, mais elle restait néanmoins une belle femme, aux yeux bleus sombres comme la nuit. « Ben on aura de quoi manger ce soir. Ça te dirais une dorade grillée? » demanda elle. « Oh oui !J'adore ça » répondit l'enfant avec enthousiasme. « D'accord. Mais d'abord, tu vas aller montrer à ton prof combien tu t'es améliore. Allez file, et fait bien attention sur la route. » « J'y vais. Bonne journée papa, bonne journée maman ! » Il attrapa ses affaires, embrassa ses parents et partit comme le vent, laissant le couple seul. « Cela fait déjà 14 ans ... » dit le pêcheur. « Il grandit si vite ... » « Oui … Et il est si grand, il faudra bientôt agrandir la maison si ça continue. » « Ça n'a pas du être facile pour lui. Il est le seul homme poisson de la région, et les gens ont eu du mal a l'accepté ... » « Oui, mais au final il est aimé de tout le village. Ce petit est vraiment admirable … » Cela faisait 14 ans que le couple avait recueilli Hakala. A l'époque ce n'était qu'un bébé de la race des hommes-épaulards. Il aurait été condamné s'il n'avait pas croisé la route d'un pêcheur bien attentionné. Lui et sa femme ne pouvait avoir d'enfant, et voyant la petite créature à la dérive et tremblant de froid, il l'avait recueilli pour l'élever comme son enfant. Au début, l'enfant ne s'adaptait pas à la vie en société. Mais petit à petit, au vu de son comportement on ne peut plus serviable, gentil et sympathique malgré les coups durs, les gens commencèrent à le reconnaître, petit à petit, avant qu'il ne devienne un membre à part entière du village. Il avait trouvé sa place dans l'école de kendo du village, et était devenu l'un des combattants les plus doué, arrivant même à vaincre les adultes. Il avait une petite vie tranquille, avec des parents aimants et des amis dans tout le village, et dans son esprit cela ne changerait jamais. Mais le destin révèle parfois des surprises, au goût amer ... Ce jour là, il avait invité son maître pour le dîner. Il voulait absolument lui faire goûter le premier poisson qu'il avait pêché aujourd'hui, en remerciement de tout ce qu'il lui avait appris durant près de 8 ans. Touché, le professeur accepta la proposition avec plaisir, et ils se dirigèrent tranquillement vers la cabane du pêcheur. « Vous verrez, ma mère est vraiment une excellente cuisinière, et elle prépare le poisson de manière exceptionnelle ! » « Je n'en doute pas une seconde. » dit le vieux maître en souriant. Ils entrèrent dans la petite maisonnette ... « Je suis rentré ! » s'exclama le petit épaulard avec joie. « J'ai ramené Mr Tsurugi pour le dîner . J'espère que ça ne dérange … » La voix de l'enfant s'arrêta net. Deux corps jonchaient le sol. L'un d'eux avait été roué de coup. C'était celui de sa mère. L'autre était celui de son père. Une longue plaie parcourait en haut en bas son dos. Ils étaient morts. Le professeur s'était totalement immobilisé, paralysé par l'atrocité de la scène. Le couple avait toujours eu de bonnes relations avec tout le village, et ils étaient connus pour être de braves gens ne posant jamais de problèmes. Alors pourquoi ? Qui avait bien pu faire cela ? Ensuite, tout se passa très vite. L'enfant, sortit brutalement, et disparu en un instant, sans que le vieil homme, pourtant très vif, ne puisse faire le moindre geste. La vie du jeune épaulard allait à jamais changer. Au large de la petite île, une chaloupe avançait paisiblement sur les flots de ce début de soirée. A son bord, trois hommes armés à l'air menaçant, grognant, râlant haut et fort, persuader être seuls sur cet océan. « On a presque rien choper, le cap'taine va être furax ... » « En même, qu'es ce tu voulais qu'un vieux couple de pauvre nous rapporte ? Et cette île est connue pour ses maîtres en kendo. J'ai pas envie de me faire trancher un bras ! » « Au moins ça a pas été très dur, il a suffit de deux trois moulinets pour les butés. Ahah ! » Les trois pirates ricanèrent grassement. S'en suivit un long silence, que seuls les bruits de rames rythmaient. L'océan était calme, et même les vagues se déplaçait en silence. D'un coup l'embarcation vacilla, et les trois compères se retrouvèrent à l'eau sans rien y comprendre. L'un d'eux se fit alors entraîner vers les flots, ayant à peine le temps de sortir un hurlement. Tout ce qui remonta à la surface étaient des bulles d'air, suivies par une mare de sang. Les deux autres n'eurent pas le temps de comprendre ce qui leur arrivaient qu'un autre était entraîné vers le fond pour être démembré. Paniquant, le dernier sortit son pistolet pour tuer la bête. Il n'en eut pas le temps. La lame noire comme la nuit avançait inexorablement. La gueule de l'animal se dévoila, et ses mâchoires prirent en étau le crâne de sa victime. Un craquement atroce parcouru les alentours. Un silence de mort s’abattit alors, et la lame noire s'évanouit, laissant les déchets de l'attaque aux poissons. Cela fait exactement 16 ans depuis le jour de la mort des parents d'Hakala. Il a été élevé par son maître depuis tout ce temps, jusqu'à sa majorité. Devenu un maître dans le maniement du sabre et un pêcheur exceptionnel, il a décidé de parcourir le monde, à la recherche de ses origines. Un voyage vers l'inconnu, qui l'amènera à vivre de grandes aventures. Prêt à embarquer ? >> Test RP Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation. Faire un test rp avant l'intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas. |
La mer était calme aujourd'hui. Un beau soleil de midi reflétait ses rayons sur les eaux cristallines de cette partie de South Blue. Pas un nuage dans cette chaude journée d'été. Un gros corps flottait là, le visage masqué par un grand chapeau de paille. Une canne à pêche à la main, Hakala attendait paisiblement l'arrivée d'un poisson. Mais sous cet air désinvolte de gros paresseux se cachait un terrible doute. Depuis quelque temps déjà la rumeur courrait sur un chasseur de prime appelé Capitaine Igloo, un humain fanatique qui aurait en horreur les hommes poissons, et était bien décidé à tous les faire passer par-dessus bord. Pour vaincre un homme poisson, il fallait être terriblement fort, et l'homme-épaulard se demandait ce qu'il ferait si il croisait un tel monstre. Ce n'était pas vraiment un bagarreur, et devoir combattre un tel homme le rebutait.
« Au pire je pourrai me cacher … Boah, de toute façon l'océan est vaste, et il n'y a vraiment qu'une très faible probabilité que je le croise ... » se persuada l'homme-épaulard.
Il essaya d'oublier cette histoire, et de continuer à pêcher, dans le silence relatif de la mer. Soudain, le bouchon s'enfonça. Tirant sur sa canne avec force, et moulinant ni trop doucement ni trop fortement, Hakala démontrait ses grands talents de pêcheur. Toutefois, malgré tout ses efforts, il n'y avait aucun moyen de remonter cette prise. Il tira donc de plus en plus fort pour remonter la bête.
Il devait être énorme ! Dans un ultime sursaut de puissance brute, Hakala tira sur sa canne.
C'est alors qu'une énorme boule jaune sortit de l'océan et fut projetée dans le ciel à une hauteur de 20 mètres, avant de retomber dans un fracas terrible. C'était … un sous-marin.
Se rendant compte de sa terrible boulette l'homme-épaulard nagea à toute vitesse vers le vaisseau, pour voir si tout allait bien. Regardant par le hublot, il y vit un gros bonhomme aux cheveux et à la barbe grise. Il avait l'air complètement sonné.
« Monsieur ? Vous allez bien monsieur ? » lui demanda Hakala, inquiet sur l'état de santé du vieil homme.
« Vol … plané … Mal … de l'air ... »
Il finit sa phrase par un énorme vomissement. Ouvrant la trappe du sous-marin, Hakala le sortit de là avec un mal fou, tant l'homme était gras et qu'il passait avec peine l'ouverture.
« Monsieur, reprenez vos esprits ! Monsieur ! » cria Hakala.
Mais c'était trop tard, l'étrange bonhomme s'était évanoui, et commençait à baver. Il avait une haleine de chacal, et était plutôt négligé. Il portait une tenue de capitaine de chalutier, mais elle était mal entretenue, avec des tâches de graisse de-ci de-là.
Hakala était inquiet pour lui. Il avait repéré une île à un kilomètre au sud, il décida donc d'aller là bas pour soigner le vieil homme.
Le jour se levait sous une matinée calme et paisible. Le vieil homme ouvrit les yeux et sentit une bonne odeur de poisson fris. C'était très agréable.
*Et en plus les oiseaux chantent … MAIS COMMENT C'EST POSSIBLE ? * pensa le capitaine Igloo.
Et puis il se souvint avoir été soulevé et projeté au-dessus de l'eau. Il en avait eu le cœur tout retourné et s'était évanoui. Puis plus rien. C'était vraiment étrange. Qu'est ce qui aurait bien pu le projeter si haut dans le ciel ? Un roi des mers ? Ou alors s'était un travail de ses maudits hommes-poissons. Et il n'était pas si loin de la vérité ...
Hakala arriva au camp, avec lui un panier rempli de poisson. Il comptait les offrir au vieil homme pour s'excuser de la veille. L'homme épaulard vit alors que l'homme se levait, péniblement, de sa couche de palmier. Heureux qu'il aille bien, Hakala se précipita vers le camp pour le saluer.
« Bonjour Monsieur. Vous allez mieux j'espère ? »
Maintenant, imaginez vous une seconde à la place de ce pauvre Igloo. Vous venez de vous réveiller dans un lieu inconnu, vous savez même pas où son vos affaires, et là vous voyez débarquez un homme-épaulard de 5 mètres de haut. Même les plus courageux auraient hurlés de frayeur. Et Igloo, en plus d'être fourbe et pas vraiment intelligent, était aussi un trouillard invétéré. A la vue de la créature, il paniqua comme un fou et laissa une longue trace sur tout son pantalon. Même si il chassait l'homme poisson, il n'en avait jamais vu de si gros et si terrifiant. Il restait là sans parler, les yeux rivés sur la créature, transpirant, la bouche béa.
« Ne vous en faites pas pour votre sous-marin, je l'ai tiré jusqu'à la côte. Mais d'abord mangeons, vous avez besoin de reprendre des forces. » dit le monstre.
Igloo balbutia quelque chose d'incompréhensible. Il ne savait pas trop quoi faire. Il s'installa donc et attendit, le visage empli de terreur, et les yeux rivés vers l'homme-épaulard. Il se calma petit à petit, et remarqua que cette occasion était en réalité une chance. Il recherchait un homme-épaulard pour parfaire sa collection, et il n'y en avait qu'un seul dans tout South-Blue. Mais il ne devait pas prendre son adversaire à la légère, il s'attaquerait à lui quand il aurait le dos tourné, comme une grande majorité de ses victimes. Les poissons furent bientôt prêts, et ils mangèrent. Le vieil homme s’empiffrait comme un porc, et il en mettait partout. Il rota de manière grasse et immonde, avant de gratter son ventre rond. Il n'avait vraiment aucune manière, mais Hakala n'osa pas le reprendre. Après tout, il l'avait balancé, lui et son sous-marin, dans les airs …
« Je veux aller voir mon sous-marin ... » dit Igloo, avec d'une voix menaçante.
Bien que css manières choquèrent Hakala, il obtempéra et le mena à son vaisseau. Puis il le laissa seul, allant chercher les derniers poissons restants pour lui donner et reprendre ses affaires pour quitter cette île. Soudain, en à peine une seconde, il fut ligoté avec … un fil de pêche. Il se retourna rapidement, et vu le vieil homme, armé d'une canne à pêche et d'un énorme crochet, rire d'un air sinistre.
« Stupide animal ! Et dire que tu ne m'as pas reconnu, moi le grand Capitaine Igloo ! Maintenant meurs ! »
En un instant, la masse du chasseur bondis rapidement, et il se prépara à donner un coup de son énorme crochet dans le coup de son ennemi. Il frappa un grand coup, ses dents jaunes formant un rictus de satisfaction … qui se mua en un air de terreur. Son terrible crochet avait été stoppé net par la puissante dentition de l'épaulard, qui, en un mouvement de nuque, brisa l'arme en deux.
Igloo recula, visiblement abasourdi par ce qui c'était passé. Son terrible crochet, avec lequel il avait abattu tant d'ennemi, était en morceau à cause de cet horrible homme poisson ! Quel monstre ! Il versa une petite larme, et se jura de lui faire payer.
Hakala était toujours pris dans le fil de la canne à pêche, et il se débattait tant bien que mal. Mais de plus il essayait de s'en libérer, de plus les liens se resserraient, tranchant petit à petit sa chair. Le capitaine l'avait remarqué, et il resserra, avec un plaisir sadique, le fil autour de l'homme-épaulard. Il regardait la pauvre créature se débattre dans son filet, et s'amusait à le torturer.
Hakala tomba à genoux, épuisé par la douleur. Il ne tenait plus et se sentait chavirer. Ses corps était rempli de nombreuses coupures, et le sang perlait sur le fil qui l’étreignait. Soudain, il se rappela qu'il avait lui sa canne à pêche. Tant bien que mal, il arriva à attraper l'hameçon, et dans un dernier sursaut de force, trancha le fil. La seconde suivante, il attrapa le fil qui l'avait fait tant souffrir et tira d'un coup sec. Il attira ainsi Igloo dans à sa portée. Le vieux pêcheur hurla un « Noooon ! » avec une force incroyable, et reçu un poing direct de l'épaulard et plein visage. Il tomba comme un gros sac de riz sur le sol. S'en était fini …
Le lendemain, quand Igloo se leva, il eu deux surprises, toutes deux très mauvaise. D'abord, il n'avait pas réussi à vaincre l'homme-épaulard, et avait échoué lamentablement. Ensuite, ce dernier n'avait rien eu de mieux à faire que briser son sous-marin en milles morceaux.
C'en était fini de la terreur des hommes poissons de South Blue. Et c'est made by Hakala !
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Il essaya d'oublier cette histoire, et de continuer à pêcher, dans le silence relatif de la mer. Soudain, le bouchon s'enfonça. Tirant sur sa canne avec force, et moulinant ni trop doucement ni trop fortement, Hakala démontrait ses grands talents de pêcheur. Toutefois, malgré tout ses efforts, il n'y avait aucun moyen de remonter cette prise. Il tira donc de plus en plus fort pour remonter la bête.
Il devait être énorme ! Dans un ultime sursaut de puissance brute, Hakala tira sur sa canne.
C'est alors qu'une énorme boule jaune sortit de l'océan et fut projetée dans le ciel à une hauteur de 20 mètres, avant de retomber dans un fracas terrible. C'était … un sous-marin.
Se rendant compte de sa terrible boulette l'homme-épaulard nagea à toute vitesse vers le vaisseau, pour voir si tout allait bien. Regardant par le hublot, il y vit un gros bonhomme aux cheveux et à la barbe grise. Il avait l'air complètement sonné.
« Monsieur ? Vous allez bien monsieur ? » lui demanda Hakala, inquiet sur l'état de santé du vieil homme.
« Vol … plané … Mal … de l'air ... »
Il finit sa phrase par un énorme vomissement. Ouvrant la trappe du sous-marin, Hakala le sortit de là avec un mal fou, tant l'homme était gras et qu'il passait avec peine l'ouverture.
« Monsieur, reprenez vos esprits ! Monsieur ! » cria Hakala.
Mais c'était trop tard, l'étrange bonhomme s'était évanoui, et commençait à baver. Il avait une haleine de chacal, et était plutôt négligé. Il portait une tenue de capitaine de chalutier, mais elle était mal entretenue, avec des tâches de graisse de-ci de-là.
Hakala était inquiet pour lui. Il avait repéré une île à un kilomètre au sud, il décida donc d'aller là bas pour soigner le vieil homme.
Le jour se levait sous une matinée calme et paisible. Le vieil homme ouvrit les yeux et sentit une bonne odeur de poisson fris. C'était très agréable.
*Et en plus les oiseaux chantent … MAIS COMMENT C'EST POSSIBLE ? * pensa le capitaine Igloo.
Et puis il se souvint avoir été soulevé et projeté au-dessus de l'eau. Il en avait eu le cœur tout retourné et s'était évanoui. Puis plus rien. C'était vraiment étrange. Qu'est ce qui aurait bien pu le projeter si haut dans le ciel ? Un roi des mers ? Ou alors s'était un travail de ses maudits hommes-poissons. Et il n'était pas si loin de la vérité ...
Hakala arriva au camp, avec lui un panier rempli de poisson. Il comptait les offrir au vieil homme pour s'excuser de la veille. L'homme épaulard vit alors que l'homme se levait, péniblement, de sa couche de palmier. Heureux qu'il aille bien, Hakala se précipita vers le camp pour le saluer.
« Bonjour Monsieur. Vous allez mieux j'espère ? »
Maintenant, imaginez vous une seconde à la place de ce pauvre Igloo. Vous venez de vous réveiller dans un lieu inconnu, vous savez même pas où son vos affaires, et là vous voyez débarquez un homme-épaulard de 5 mètres de haut. Même les plus courageux auraient hurlés de frayeur. Et Igloo, en plus d'être fourbe et pas vraiment intelligent, était aussi un trouillard invétéré. A la vue de la créature, il paniqua comme un fou et laissa une longue trace sur tout son pantalon. Même si il chassait l'homme poisson, il n'en avait jamais vu de si gros et si terrifiant. Il restait là sans parler, les yeux rivés sur la créature, transpirant, la bouche béa.
« Ne vous en faites pas pour votre sous-marin, je l'ai tiré jusqu'à la côte. Mais d'abord mangeons, vous avez besoin de reprendre des forces. » dit le monstre.
Igloo balbutia quelque chose d'incompréhensible. Il ne savait pas trop quoi faire. Il s'installa donc et attendit, le visage empli de terreur, et les yeux rivés vers l'homme-épaulard. Il se calma petit à petit, et remarqua que cette occasion était en réalité une chance. Il recherchait un homme-épaulard pour parfaire sa collection, et il n'y en avait qu'un seul dans tout South-Blue. Mais il ne devait pas prendre son adversaire à la légère, il s'attaquerait à lui quand il aurait le dos tourné, comme une grande majorité de ses victimes. Les poissons furent bientôt prêts, et ils mangèrent. Le vieil homme s’empiffrait comme un porc, et il en mettait partout. Il rota de manière grasse et immonde, avant de gratter son ventre rond. Il n'avait vraiment aucune manière, mais Hakala n'osa pas le reprendre. Après tout, il l'avait balancé, lui et son sous-marin, dans les airs …
« Je veux aller voir mon sous-marin ... » dit Igloo, avec d'une voix menaçante.
Bien que css manières choquèrent Hakala, il obtempéra et le mena à son vaisseau. Puis il le laissa seul, allant chercher les derniers poissons restants pour lui donner et reprendre ses affaires pour quitter cette île. Soudain, en à peine une seconde, il fut ligoté avec … un fil de pêche. Il se retourna rapidement, et vu le vieil homme, armé d'une canne à pêche et d'un énorme crochet, rire d'un air sinistre.
« Stupide animal ! Et dire que tu ne m'as pas reconnu, moi le grand Capitaine Igloo ! Maintenant meurs ! »
En un instant, la masse du chasseur bondis rapidement, et il se prépara à donner un coup de son énorme crochet dans le coup de son ennemi. Il frappa un grand coup, ses dents jaunes formant un rictus de satisfaction … qui se mua en un air de terreur. Son terrible crochet avait été stoppé net par la puissante dentition de l'épaulard, qui, en un mouvement de nuque, brisa l'arme en deux.
Igloo recula, visiblement abasourdi par ce qui c'était passé. Son terrible crochet, avec lequel il avait abattu tant d'ennemi, était en morceau à cause de cet horrible homme poisson ! Quel monstre ! Il versa une petite larme, et se jura de lui faire payer.
Hakala était toujours pris dans le fil de la canne à pêche, et il se débattait tant bien que mal. Mais de plus il essayait de s'en libérer, de plus les liens se resserraient, tranchant petit à petit sa chair. Le capitaine l'avait remarqué, et il resserra, avec un plaisir sadique, le fil autour de l'homme-épaulard. Il regardait la pauvre créature se débattre dans son filet, et s'amusait à le torturer.
Hakala tomba à genoux, épuisé par la douleur. Il ne tenait plus et se sentait chavirer. Ses corps était rempli de nombreuses coupures, et le sang perlait sur le fil qui l’étreignait. Soudain, il se rappela qu'il avait lui sa canne à pêche. Tant bien que mal, il arriva à attraper l'hameçon, et dans un dernier sursaut de force, trancha le fil. La seconde suivante, il attrapa le fil qui l'avait fait tant souffrir et tira d'un coup sec. Il attira ainsi Igloo dans à sa portée. Le vieux pêcheur hurla un « Noooon ! » avec une force incroyable, et reçu un poing direct de l'épaulard et plein visage. Il tomba comme un gros sac de riz sur le sol. S'en était fini …
Le lendemain, quand Igloo se leva, il eu deux surprises, toutes deux très mauvaise. D'abord, il n'avait pas réussi à vaincre l'homme-épaulard, et avait échoué lamentablement. Ensuite, ce dernier n'avait rien eu de mieux à faire que briser son sous-marin en milles morceaux.
C'en était fini de la terreur des hommes poissons de South Blue. Et c'est made by Hakala !
Informations IRL
Haill to the king baby, on m'appelle Nukem, Duke Nukem. Après une trop longue pause de 14 ans chuis près à reprendre du service. Je n'aurais qu'une phrase à ajouter : I've got balls of steel !
Euh non attendez ... Ah, voilà la VRAI fiche ...
- Prénom : tu ne le sauras pas, petit homme devant ton écran ./ (point barre =) )
Age : Compte le nombre de poil sur un orang outang et tu connaîtras mon âge en minutes.
Aime : Je peux mettre un lien youtube pour que ça sois représentatif ? Sinon : le heavy metal (yeah!), les BONS jeux, les tests retro de jeux, manger.
N'aime pas : les méchants, les trucs gluants, la mécanique et la dynamique (horreur !).
Personnage préféré de One Piece : Gold D. Roger, parce qu'en plus d'être méga classe et mystérieux, il a une moustache
Caractère : (définissez vous en quelques mots) Je pense qu'un smiley est parfait pour décrire ça => =D
Fais du RP depuis : je reprends aujourd'hui après 2 ans d'abstinence
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) je me connecterai tous les jours, mais je répondrai surtout le weekend et le vendredi.
Comment avez vous connu le forum ? un petit pote qui est ici et qui est fou. Il se montrera bien de lui même (ou non)
Dernière édition par Hakala Kuufuku le Mar 29 Mar 2011 - 17:45, édité 13 fois