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Ed' Fawlk

>> Edward Fawlk


Ed' Fawlk 898776raynorbyzaebraeld28kozf
Pseudonyme : -
Age: La cinquantaine
Sexe : Homme
Race : Humain

Métier : Ancien charpentier dans la Marine
Groupe : Civil pour le moment
But : Trouver un remède à sa maladie et s'occuper de sa fille

Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Rope Action
Équipement : Rien s'il obtient le Rope Action, sinon un pistolet et un poignard.

Codes du règlement :

Parrain : C'est Volesprit qui m'a fait revenir. :-D

Ce compte est-il un DC ? : C'est plutôt un reroll de Mahach, ce dernier et Socrate étant en stand by.
Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Lilou

>> Physique

Edward avait établi un campement de fortune à l'entrée d'une grotte pour y passer la nuit. Il s'était allongé prêt du feu de camp qu'il avait allumé lui même.

Jora, sa fille, était couchée de l'autre côté du petit brasier et dévisageait son père à la lueur dansante des flammes. Elle commençait à peine de trouver le sommeil, mais cela n'empêcher pas ses pensées de fuser dans sa tête.




Malgré tout, il est beau mon père. Malgré toutes les horreurs que j'ai pu lui dire. Une chance qu'il a été Marine, c'est grâce à lui que je suis encore vivante ...

Son ancien travail lui avait sculpté le corps mais cela faisait quelques années qu'il avait démissionné. Rien d'exceptionnel pour autant, pas de musculature développée à outrance. Il avait d'ailleurs conservé de beaux restes, mais l'âge prenait lentement le dessus. Il n'était pas aussi fort qu'avant et des rides venaient silloner sur son visage. Il manquait de sommeil, ses yeux en parlaient encore, creusant des cernes dans sa peau maltraitée par la vie dure qu'il menait. L'alcool maltraitait également son visage et sa forme en général, sans compter les cigarettes qui lui coupaient petit à petit le souffle et rendaient sa voix rauque. Seul son regard n'avait pas changé, malgré les rides et les cernes qui le contournaient. Il se faisait perçant, mais bien veillant. A l'affût de chaque danger.




Dommage qu'il n'ait pas pris soin de lui ... Remarque, il n'a pas le temps, avec la vie que je lui fais mener ... Je m'en veux un peu.

Ses cheveux grisonnaient et sa barbe poussait librement. Il lui arrivait parfois de la tailler comme il pouvait, mais jamais de prêt. Comme c'était un homme habitué à vivre à la dure, en pleine nature, son style vestimentaire était bien loin des smokings et des cravates. Il portait des vêtements dans lesquels il était à l'aise. Souvent sa vieille chemise et son vieux jean. Malgré les kilomètres qu'il avait pu parcourir, ses bottes étaient toujours à ses pieds, comme de fidèles compagnons de voyage qui en voyaient de toutes les couleurs. Mais elles ne l'avaient jamais lâché.




Je suis désolée de t'imposer tout ça mais tu es le seul qui puisse me protéger ... Et le seul en qui j'ai confiance.

Les douleurs liées à l'âge commençaient à le gagner mais il ne se plaignait jamais. Le seul signe physique visible était quand il serrait des dents en grimaçant. Pourtant, quand il s'agissait de sa fille, il jouait les cascadeurs comme un gamin aurait pu les jouer. Bien sur, il lâchait souvent un grognement juste avant, maigre contribution mais plus en signe de ras-le-bol que de douleur. Non, la douleur revenait quand il se calmait. Il savait encore se battre malgré les années et il trainait sa carcasse sans rien dire.




Il était comme ça. Silencieux et réservé. S'il devait parler, il était direct et un peu sec, usant parfois d'ironie. Il savait faire preuve de tact, mais bien souvent s'il ouvrait la bouche, c'était pour râler après sa fille ou pour se prendre la tête avec elle. Et c'était souvent. Après tout, les chiens ne font pas des chats, et comme ils avaient tout deux fort caractères, cela faisait souvent des étincelles et le ton montait facilement avant qu'il ne s'impose d'un ordre tonitruant qui ravisait sa fille.




Mon pauvre Papa ...


>> Psychologie

Edward se réveilla soudainement sur sa fille qui le contemplais. Aussitôt, elle se sentit mal à l'aise et cacha son mal-être en se retournant en râlant. Mais cela n'avais pas empêché l'ironie de son père.




- Tu préfèrerais pas dormir au lieu de m'admirer ?





Il aimait taquiner sa fille, surtout qu'il savait que, comme lui, elle n'aimait pas être piquée dans son amour propre. Jora avait le physique de sa mère mais le caractère de son père, et aucun des deux ne se laissait marcher sur les pieds. Alors elle lui répondit aussi soudainement que brutalement. Il avait suffit d'une phrase pour mettre le feu aux poudres.




- Et ça y est tu recommences ! Quand tu râles pas, tu me gueules dessus !




Il est vrai qu'Edward avait le ton sec. Il usait souvent d'ironie. Sa fille aussi.




- Je gueule p ... commença-t-il.


- Si, tu gueules ! T'es tout le temps après moi !


Elle s'était retournée pour lui dire ça les yeux dans les yeux.



- Tu rigoles ? C'est normal ! C'est toi qui m'embarque dans tout ça ! Moi je demandais rien !


La tension montait petit à petit, à coups d'ironie et de mauvaise foi.



- Oh oui, je sais bien, tu préférais crever dans ton coin moisi !




En plus d'être souvent un ours mal léché, même si derrière cela se cachait un véritable amour pour sa fille, Edward aimait la tranquillité. Il vivait chichement, se contentait de peu, pourvu qu'il ait son petit cigare et sa bouteille de sky. Bas de gamme, bien entendu. Il se laissait aller sans rien demander à personne, pour ne pas dépendre de qui que soit.




- Oh ! N'oublies pas que si tu es encore en vie, c'est grâce à moi !




Il savait faire preuve d'autorité quand il le fallait, tout comme il était prêt à se battre s'il jugeait que cela en valait la peine. Mais il préférait ne pas avoir à le faire, son âge commençait à être bouffé par la rouille. Il était toujours autant déterminé, mais plus aussi souple ni aussi résistant qu'auparavant.




- Oui ... Je sais ... Je ... Je suis désolée, Papa ...




Comme sa fille, il n'avait pas un mauvais fond mais il fallait vraiment forcer la carapace pour atteindre son coeur.




- Il faut qu'on se serre les coudes ! On est tous les deux ensemble dans ce monde pourri ! Si on commence à se tirer dans les pattes, c'est fichu !




Edward était moralisateur. Depuis les retrouvailles avec sa fille, il avait tout fait pour la protéger, quitte à lui mentir, reprendre le chemin et les combats, s'accrocher à nouveau à la vie. Mais ne savait que trop bien que ce ne serait certainement pas une partie de plaisir, que rien n'est tout blanc ou noir en ce monde. Certains Marines ou du Gouvernement Mondial sont des pourris, la majorité des Pirates sont des crapules finies et certains peuvent faire preuve de la plus grande cruauté. Sans compter les Civils qui ne sont pas tous dignes de confiance et les Révolutionnaires qui veulent renverser l'ordre établi mais qui feront qu'établir l'anarchie. Dans un monde comme celui là, il faut rester soudé dans un groupe qui partage les mêmes idéaux. On peut avancer grâce à la confiance et la puissance de nos proches.

S'il tolère la hiérarchie, il ne supporte pas l'abus de pouvoir. Il a défendu les couleurs de la Marine il y a quelques années mais déplorait les supérieurs aux méthodes douteuses. Il peut comprendre la motivation des Révolutionnaires mais ne cautionne pas tous leurs gestes. Ceux qui détiennent le pouvoir doivent être exemplaires et compréhensifs. Ce n'est pas parce que la pomme contient des vers qu'il faut la jeter couper et la jeter. Il faut contenir et éliminer la pourriture. Et c'est parce que la pomme est juteuse que les vers s'y réfugient. Il peut donc aussi comprendre les Pirates sans approuver leurs actes. Si la pomme redevient saine, alors il n'y a de raison pour la contestation et la révolte continuent.




Oui, derrière son caractère brut, Edward pouvait aussi faire preuve de compassion.


>> Biographie

- Oui, je sais ! Je t'ai dit que j'étais désolée !

- Je veux juste que tu comprennes qu'on pourrait en arriver à se dire des choses impardonnables ...




Jora marqua un blanc. Elle avait baissé les yeux et n'osait plus tenir le regard. Elle hésita mais se lança enfin.




- Tu veux dire ... comme avec Maman ?




A nouveau ils se regardèrent, elle pleine de malice. Mais cette fois ci, se fut lui baissa son regard.




- Oui. Exactement.

- Non, arrête de me mentir ! Je sais que tu mens ! Je le sais parce que Maman gardait une photo de toi et toi une d'elle dans ton porte-feuille, dans la poche interne du côté de ton coeur. Je l'ai vue quand tu l'as fait tombé. Alors pourquoi vous vous êtes séparés ? Pourquoi tu nous as laissé seules durant toutes ces années ?




Edward grogna un coup en guise de mécontentement. Il savait qu'il devait lui dire la vérité, et que cette fois ci, il n'y échapperait pas. Il s'était fait à l'idée qu'un jour le sujet reviendrait sur le tapis et qu'un jour il devrait lui dire la vérité.




- Bon, très bien ... Comme tu le sais, je suis rentré très tôt dans la Marine, à mes vingt ans. Mon père y était aussi, ma mère ne travaillait mais dépannait ceux qui avaient besoin de ses talents d'ingénieure. D'ailleurs, tu me rappelles elle. Ton sourire malin, ta passion pour la bricole. Même ton nom provient de celui de ta grand mère, Joraneska. Ils m'ont éduqué du mieux qu'il pouvait, et ce n'était pas gagné. Mon père qui était charpentier voulait que j'aie le même travaille que lui. Surtout que je l'aidais parfois, donc je prenais le coup de main. Mais moi, ce que je voulais c'était cogner et être libre. J'en faisais qu'à ma tête, je leur apportais pleins d'ennuis ...

Comme moi ? Et après tu te permets de m'engueuler !

Non, pas comme toi, c'était moins pire. Et puis si je t'engueule c'est que maintenant je sais que ce sont que des conneries. Mais ça, je l'ai appris quand mes parents ont décidé de m'envoyer dans la Marine. Au moins, je pouvais cogner autant que je voulais mais il y avait des gens pour me recadrer. Petit à petit je me suis calmé. J'ai fait mes classes, je suis monté en grade. Je revenais souvent voir mes parents. Je n'avais pas de chez moi et si je devais en avoir un, je n'y aurais pas été très souvent. J'aimais bien Karnutes, sur l'île d'Inu Town.




Mais un jour, je repartais pour une longue période à bord de mon propre navire. J'ai appris entre temps qu'ils étaient décédés dans un incendie. Le stock de poutres de mon père a brûlé et la maison avec. J'avais vingt-sept à l'époque. J'étais absourdi, mais mon équipage était là pour me soutenir. Tous mes hommes et une femme, June Brighton. Cette femme là, on l'emmenait en mission. Elle faisait partie du Cypher Pol, elle faisait ses missions en solitaire.




Elle a frappé à ma porte, je ne lui ai pas dit d'entrer mais elle l'a fait quand même. Elle m'a présenté ses excuses mais comme je m'attendais à une voix d'homme et que j'avais entendu une voix de femme, j'ai levé les yeux pour la regarder. Elle comprenait ma tristesse et je crois l'avoir fait pleurer avec mon regard de chien battu.




A ce moment là, Edward fut touché par le sourire triste de sa fille qui se dessinait à la lueur des flammes dansantes. Elle s'était tue pour boire les paroles de son pères, pour connaitre le fin mot de son histoire.




- Elle m'a raconté que dans le fond, j'avais de la chance d'être entouré. Elle préfèrait la solitude, ne faire confiance à personne et passer en douceur. C'était efficace mais vraiment très dur, surtout dans ces moments là. Avec des proches en qui ont a confiance, la peine se décharge un peu sur les autres et devient un peu plus supportable. Elle m'a encore présenté ses excuses, me disant qu'elle ne pouvait pas faire plus mais qu'elle aurait vraiment aimé. J'ai couiné un petit "Merci ..." et elle est sortie en silence de ma cabine.

Quelques jours plus tard, toujours en plein voyage, je l'ai invitée, encore dans ma cabine, pour la remercier comme il se fallait. Je l'ai invitée à boire un verre, elle n'a pas refusé mais s'est méfiée. Je lui ai dit que je n'avais aucune intension de la tuer, alors j'ai pris son verre et j'en ai bu une gorgée. Elle a ri, et m'a avoué que c'était une déformation professionnelle : ne jamais faire confiance à personne.

Pourtant elle m'avait ouvert et offert son coeur. Alors on a parlé de tout et de rien, on s'est rapproché et on a fini par s'embrasser.




C'était au tour d'Edward de sourire tristement, les larmes lui venaient presque à l'oeil, en pleine confidence, le coeur grand ouvert, la mélancolie le prenant aux tripes. En voyant cela, Jora devina que ce souvenir lui faisait du mal, et elle se mit elle aussi à raviver de bons vieux moments passés avec sa mère, alors elle chassa assitôt avec une vanne ironique pour le piquer à vif. Il ne pourrait pas s'empêcher de se reprendre.




- Oh, si c'est pas meugnon ! Le vieil ours grincheux va se mettre à chialer ! Dis moi que je rêve !

- Oh, la ferme ! Tu la veux ta vérité ? Bah écoute au lieu de l'ouvrir !

Stupide gamine ... Merci ...




Elle arborait fièrement un sourire satisfait que son père ne remarqua même pas et continua de narrer son histoire.




- Ouais, comme tu l'as deviné, cette femme, c'était ta mère. Mon équipage se doutait de quelque chose, alors ils me taquinaient avec. Ta mère et moi, on s'était promis de nous revoir. C'était très difficile, quand l'un était disponible, l'autre ne l'était pas. Et inversement.




On s'est quand même beaucoup rencontré en quelques années mais ce n'était jamais assez. D'ailleurs quand on était en permission, on rentrait chez nous, une petite bergerie sur Tanuki, au calme. On avait décidé de l'acheter pour ne plus hésiter sur l'endroit de la rencontre. En plus, quand l'un n'était pas là, l'autre pouvait s'occuper du petit troupeau de moutons. Sinon, c'était notre voisin le plus proche.




Et puis un jour, j'ai commencé à avoir des vertiges, des spasmes et à cracher du sang. Je ne voulais pas inquiéter ta mère quand on était tous les deux, mais je ne pouvais pas me contrôler. Elle me tanait pour que j'aille voir un médecin. Mais plus je me tiens loin d'un médecin, mieux je me porte. Mais elle insistait, elle me disait qu'elle tenait à moi, qu'elle ne voulait pas me perdre, qu'elle ne s'en remettrait pas. Alors j'ai consulté un médecin. Il ne pouvait pas me diagnostiquer. Alors il m'a envoyé consulter un confrère. Puis deux, trois. Jusqu'à ce que j'en ai marre et que j'arrête tout ça.

Elle a même voulu m'envoyer jusqu'à Zaun, mais je l'ai rassurée. Je lui ai dit que j'étais prêt à tout pour ses beaux yeux mais que j'allais mourir juste en respirant l'air de là bas en plus de ne pas vouloir devenir une bête de foire, et que pour le moment je vivais tranquillement. Elle m'avait dit "Oui ..." mais je sais qu'elle s'inquiétait quand même pour moi.




Je suis retourné travailler mais c'était de pire en pire. Alors elle m'a suppliée d'arrêter. Ce que j'ai fait. J'ai volontairement démissionné. Pour elle, et pour moi. Quitte à crever, autant crever pénard, heureux, en pleine nature. De toute façon, à cette époque, j'aurais battu la mort en duel pour retrouver ne serait ce que cinq petites minutes avec ta mère.




L'année de mes trente-et-un ans, elle est rentrée à la maison l'air triste. Elle m'a avoué en pleurant qu'il fallait qu'on se quitte. J'avais jamais été aussi triste de ma vie. Il fallait qu'on n'ait plus aucun contact : elle avait reçu l'ordre d'une mission d'inflitration de longue haleine. Elle devait s'installer à Luvneel pour démenteler un réseau révolutionnaire. Pour cela, elle devait se faire passer pour une civile seule qui voulait rentrer dans les rangs des Révolutionnaires.




On a peiné mais on a du se quitter pour vivre chacun de notre côté. Pas de lettre, pas de visite, rien.

Enfin, si. Rien, sauf deux lettres. Elle avait tout fait pour éviter d'être pistée.

Dans la première elle m'avouait être enceinte de moi. Les Révolutionnaires avaient commencé à porter des doutes sur son identité, vu qu'elle aurait du être célibataire. Elle avait réussi à contourner le problème en prétextant que le mec s'était cassé dès le premier soir et qu'elle ne savait pas jusqu'à peu qu'elle était enceinte.

J'étais aussi content qu'en colère. Content d'avoir un enfant mais furieux de ne pas pouvoir le voir. J'espérais un jour au moins le rencontrer ... J'imagine que ta mère devait te parler de moi ...

- Ouais, elle disait que t'étais un mec bien, un mec courageux et romantique ! L'homme parfait. C'est pour ça que j'étais surprise quand je t'ai vu pour la première fois. J'ai trouvé un sac qui ronchonnait de temps en temps ...




Edward éclata de rire mais ce n'était pas un rire franc, tout comme Jora ne vannait que pour détendre l'atmosphère.




- Alors j'ai contacté la Marine et j'ai joué des coudes pour pouvoir donner un petit peu d'argent à ta mère en plus de son salaire. Ils la payaient en toute sécurité. Moi de mon côté je vivotais tranquillement.

La seconde lettre que j'ai reçu, c'était il y a six mois. En fait, le courrier comportait deux lettres. Elles m'annonçaient les doutes que ta mère avait concernant sa couverture, que si toute fois il y avait un souci, j'aurais la charge de notre enfant. C'est là que j'ai appris que tu étais une fille, que tu t'appellais Jora, et qu'il fallait que je fasse attention parce que tu avais mon caractère. L'autre m'annonçait la mort de ta mère et les condoléances de la Marine.




Ils avaient contacté quelques hommes en plus pour entrer en contact avec ta mère pour prendre de ses nouvelles. A sa mort, ils n'ont même pas su te tenir enfermer dans ta chambre. Tu avais réussi à leur échapper et tu voulais te venger. Ta mère t'avait expliquer franchement ce qu'elle faisait, tu avais des noms, tu savais où chercher. Alors tu t'es enfuie avec son arme, prêt à tuer ceux qui avaient tué ta mère.




La suite, tu la connais ...




Elle affichait presque encore son sourire satisfait, elle aimait l'action mais son père l'en dissuader.




- Ouais, t'es arrivé en quatrième vitesse ! Moi j'étais arrivé chez eux, ils étaient en pleine réunion, je savais tout ! Ils m'ont vite faite prisonnière, j'ai voulu me barrer, j'ai fais une mauvaise chute du coup ils m'ont rattrapée et ligotée, toi t'es venu, tu les as tous défouraillés sauf le chef qui s'est barré avec les plans en jurant de me tuer, après t'es parti avec moi sur les épaules, assommée.




Elle racontait cela avec enthousiasme, mais Edward la ramena sur la terre ferme.




- C'est pas glorieux, t'aurais pu mourir tu sais ...

- Rabat-joie ! Je suis en vie c'est l'essentiel non ? Par contre, j'ai tout oublié, impossible de me rappeler. Et puis quand je me suis réveillée, j'ai trouvé mon Papa que j'ai tout de suite adoré !

- C'est ça, ouais ! J'en ai pris plein la tronche et je te courrais tout le temps après, toujours à chercher des ennuis ! C'est une seconde nature chez toi ! C'est pour ça que je veux que tu dormes, c'est pour être tranquille !




Ils éclatèrent de rire à nouveau, mais cette fois ci, le rire était franc. Edward embrassa Jora sur le front et lui souhaita une bonne nuit, un sourire radieux aux lèvres.

Reposes toi tranquillement, je suis là pour veiller sur toi ; je ne donnerai jamais à personne l'occasion de te perdre.
>> Test RP

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Dernière édition par Edward Fawlk le Dim 7 Sep 2014 - 22:21, édité 11 fois
    Hoy et la re-bienvenue !

    Tu connais la procédure, j'vais pas t'embêter avec, donc up pour demander ton test Rp quand t'auras fini ! o/

    • https://www.onepiece-requiem.net/t9683-elie-jorgensen
    • https://www.onepiece-requiem.net/t9508-elie-jorgensen
    Salut et re-merci donc. :-)

    Pas de souci, je n'y manquerais pas !
      Evening there !

      Voilà, je crois que tout y est, c'est tout bon ! :]
        Oh, on a zappé de te filer ton test ! Désolée ! Le voici donc avec un peu de retard o/

        Les enfants, c'est pas toujours simple à gérer, surtout lorsqu'ils n'ont qu'une envie : se rebeller contre l'autorité parentale. C'est ce que tu découvres lorsque ta fille s'éprend d'un jeune soldat au fort caractère, un peu bad boy. Toi, forcément, tu n'approuves pas forcément cette relation mais ta fille n'en fait qu'à sa tête et est bien décidée à passer un moment romantique avec son Don Juan. Tu n'as plus qu'à la suivre discrètement pour veiller à ce qu'il ne lui arrive rien...

        Voilà, si le test ne te convient pas, n'hésite pas à le dire, on changera !

        Bon courage o/
        • https://www.onepiece-requiem.net/t1247-louise-mizuno-la-m-des-sm
        • https://www.onepiece-requiem.net/t1145-louise-mizuno
        Haha, y'a pas de mal ! Je m'y suis attelé directement, j'étais vraiment inspiré. Du coup, je m'excuse pour la longueur, héhé.

        ---


        Ewdard et Jora avaient débarqué la veille sur une petite île tranquille. Ils avaient aussitôt rejoint la plus grande ville pour y louer une chambre d'auberge et pavaner pour le reste de la journée, consacrant leur temps à la visite des lieux et à un bain de soleil encore agréable pour cette période.

        L'île vivait principalement de l'artisanat et du commerce mais comme chaque ville prospère, elle attirait bandits et pirates. L'activité avait diminué lors de l'importation d'un petit bataillon pour maintenir la paix et la sécurité. Les gens y étaient accueillants et l'île abritait toujours un petit flot de touristes.

        La nuit dernière avait été bonne, comme peu de nuits précédemment, le réseau révolutionnaire y allant de son plus bel effet ; après tout, les ennemis de mes amis sont mes ennemis. Mais avec la Marine en ville, les ardeurs s'apaisaient. Sauf pour Edward qui se méfiait toujours de tout le monde. En tant qu'ancien soldat, il était bien placé pour savoir qu'un civil n'est pas toujours qu'un simple civil.

        Jora, elle, profitait pleinement de ce moment de répit. Après tout, c'était elle qui était visée, et n'ayant pas l'endurance ni l'expérience de son père -même malade et plus vieux- c'était pour elle que la traque était le plus éprouvant. Alors cette île était une bénédiction grâce à ces conditions idéales pour paresser un peu.

        Au petit matin, ils décidèrent de faire quelques emplettes, profitant par là même de cette nouvelle belle journée qui se profilait. Elle aurait été plus belle encore si la maladie ne relançait pas Edward. Il commença à tousser en essayant de se cacher pour éviter d'alarmer sa fille. Mais au bout de quelques minutes, il commença à ressentir les premiers vertiges. Il tituba dangereusement avant de se reprendre de justesse, puis sortit son mouchoir pour cracher du sang. Il grogna un coup mais Jora n'était pas dupe.

        - Arrête de faire comme si tu allais bien ...

        Elle fit volte-face et écarquilla les yeux en voyant son père au sol, renversant avec lui un couple qui le talonnait.

        - Papa ! s'écria-t-elle.
        - Ca va, ça va ... Je vais bien ...

        Il se retourna pour s'excuser auprès du couple et pour les aider à se relever.

        - Je suis sincèrement navré !
        - Ce n'est rien, plus de peur que de mal ... rassura l'homme.

        Alors qu'il reprit le chemin avec sa femme, Jora prit soin de son père.

        - Papa, tu devrais rentrer, c'est pas raisonnable ! Profites en pour te reposer pendant que tu peux ! Je vais finir de faire les courses, je te rejoins très vite, promis !
        - Merci, grogna Edward. Mais tu traines pas hein.

        Puis ils se séparèrent. Jora continua sa traversée du marché et Edward regagna sa chambre.

        * * *

        Deux heures passèrent. Edward s'était recouché, les premiers instants durant, cloué au lit par les vertiges à cracher du sang de tout son soûl, son mouchoir pouvait en témoigner.
        Mais c'était plus fort que lui. Dès qu'il avait pensé que Jora mettait bien trop de temps, il s'était trainé jusque sur le banc devant l'auberge pour l'attendre.

        Putain Jora, qu'est ce que tu fous bordel ?

        Quelques minutes avant l'heure du déjeuner elle se radina la bouche en cœur, et semblait même surprise de voir son père patienter et même s'impatienter devant l'auberge.

        - Je peux avoir des explications ? Tonna séchèment Edward en la fusillant du regard.
        - Et moi ? Je t'avais dit d'aller te coucher !

        Comme à son habitude, elle réussissait toujours à retourner le problème.

        - Le problème n'est pas là ! aboya son père qui lui avait faire comprendre que l'ironie n'était pas de mise. Tu crois vraiment que je peux me reposer tranquille sachant que tu n'es pas avec moi ?
        - Relax Papa ! Y'a pas de méchants vilains révolutionnaires sur cette île et j'étais même en charmante compagnie !

        A nouveau, il la regarda d'un oeil noir. Et sans rien lui dire, elle savait qu'il était préférable qu'elle déballe immédiatement plus d'informations.

        - Je t'assure ! Essaya-t-elle de se justifier. C'est juste un Marine qui m'a invité à boire un verre !
        - De quoi ?!
        - Ca va ! Rien de méchant ... C'était juste un verre ! Rien de plus !

        L'euphorie engayait sa voix, elle avait le bonheur affiché en grand sur ses lèvres.

        - Tch ! C'est comme ça qu'ils font leur rondes maintenant ces jeunes cons ?! Ah elle est belle la ...
        - Qu'est ce que t'en sais ? Coupa Jora tout aussi sèchement que son père ne l'avait fait, les poings sur les hanches. Il est en permission jusqu'à demain soir !
        - Et alors ?
        - Et alors quoi ?

        Son père avait deviné qu'il y avait anguille sous roche.

        - Me prends pas pour un abruti ! Ces mecs qui draguent la première nana qu'ils croisent dans une taverne ne s'en tiennent pas qu'à un verre ...

        Elle fit la moue, baissant enfin les bras et la tête, attristée qu'Edward ait découvert le pot aux roses.

        - Il m'a invité à un dîner en tête à tête ce soir ...
        - Hors de question ! Gronda son père.
        - Mais Papa ...
        - Nan ! Y'a pas de "Mais Papa !" !
        - Je suis presque majeure et il ne va rien m'arriver !
        - T'en sais rien, t'es pas n'importe qui, et en plus t'es ma fille. Et comme tu l'as dit, tu es "presque" majeure. Donc tu ne l'es pas encore. Donc tu m'obéis, un point c'est tout.

        Il avait mis fin à la discussion en affirmant son autorité. Il s'était ensuite diriger dans la salle de l'auberge pour déjeuner mais Jora monta en furie les escaliers menant aux chambres.

        Enfoiré de branleur !
        * * *
        Après avoir fini son repas, il prit également la direction des chambres et frappa à la porte de celle de sa fille. Pas de réponse. Alors il prit l'initiative de lui parler au travers pour tenter de lui expliquer son point de vue.

        - Chérie, je fais ça pour ton bien ...
        - ...
        - Bientôt il partira, et toi aussi. Tu seras encore plus malheureuse ... Il y a combien de chances pour que vous vous revoyez vraiment ? Hein ?

        Elle répondit enfin timidement.

        - Autant que toi avec Maman ?

        Edward semblait dépité. Mais dans le fond, Jora n'avait pas tord.

        - C'est vrai. D'accord. Tu marques un point. Mais pour combien de filles comme ta mère tu crois que j'ai fait souffrir d'autres filles avant elle ? J'étais comme ton gugusse ...
        - Adrian ! Il s'appelle Adrian !

        Il ne put s'empêcher de retenir un petit ricanement qu'il tenta d'étouffer.

        - Si tu veux. N'empêche que j'étais comme lui avant. Tout ce que je voulais, c'était une aventure d'un soir. Les sentiments des filles, je m'en fichais. Tout comme je parie qu'il s'en fiche des tiens !
        - Nan ! Il m'aime ! J'en suis sur !

        Edward soupira. Déjà que le tact n'était pas son fort, mais si en plus il fallait faire dans le sentimentalisme ... Qu'est ce qu'il ne ferait pas pour sa fille.

        - Bon, d'accord, tu veux le voir ? On ira le voir.
        - Comment ça "on" ? S'indigna Jora.
        - Si tu y vas, je viens avec toi.
        - Nan mais Papa ! Je vais passer pour quoi moi ?
        - Bon, s'écria Edward. Très bien. Personne n'ira nul part. J'essaie de faire des efforts et tout ce que je gagne, c'est ton ingratitude. Je vais me reposer, ne t'avise pas de mettre les voiles !

        Il entra dans sa chambre et claqua la porte sur sa fille qui partait en sanglots dans la sienne.

        * * *

        L'heure du diner approchant à grand pas, Jora prit le risque de sortir en catimini de sa chambre pour écouter à celle de son père. Rien, aucun son. Il osa poser sa main sur la poignée puis insista pour l'ouvrir légèrement. Apparemment, son père dormait toujours. Elle entra non sans paniquer et fouilla rapidement la pièce avant de la quitter. L'occasion parfaite se concrétisait.
        Elle partit chercher ses plus belles chaussures dans sa chambre, vêtue de sa plus belle robe et descendit silencieusement les escaliers avant de se rechausser et partir.

        Quelques instants plus tard, c'était la porte d'en face qui s'ouvrait et un Edward qui en sortit tout aussi silencieux que sa fille.

        Alors comme ça on désobéit ?

        Il la poursuivit tout en assurant qu'elle ne le voit pas. Elle se retournait de temps en temps pour constater qu'elle était bien seule et arriva enfin à destination.

        Elle entra dans la taverne, le fameux et ténébreux Adrian était avec une bande d'ami qui ricanait bêtement.

        - Ah, voilà la plus belle ! S'exclama-t-il en se levant, les bras tendus vers sa belle.
        - Bonsoir, répondit Jora en rougissant. Puis il s'approcha de l'oreille de son bien aimé et lui chuchota "Tu ne m'avais pas dit que nous serions que tous les deux ?".
        - Si, lui répondit-il. Mais j'avais envie de te présenter à mes amis.

        Ses amis continuaient de ricaner bêtement pendant qu'il s'installèrent à table.

        Fort heureusement pour son père, sa fille tournait le dos à l'entrée. Il en profita pour entrer et se tasser dans un coin pour l'épier. Les serveurs prenaient les commandes, Edward commanda "Un truc fort." qu'il avala d'un trait avant d'en commander un deuxième et laisser de l'argent sur sa table.

        Il contemplait le repas que prenaient sa fille et les bleus de la Marine sans en perdre une seule miette.

        * * *

        L'heure tournait, Adrian papillonnait autour de Jora mais elle commençait à se douter que la soirée n'allait pas finir comme elle était sensée se finir. Jusqu'au moment où un des amis d'Adrian posa sa main sur sa cuisse.

        Edward faillit s'étouffer pendant que son sang ne faisait qu'un tour, mais il faut croire que celui de sa fille aussi puisque dans la seconde qui suivait elle dégaina une arme de nul part qu'elle posa sur le front du pervers.

        - T'as deux secondes pour enlever ta main ou je t'éclate la tête comme une pastèque ! tonna Jora.

        Son père manqua à nouveau de s'étouffer : l'arme qu'elle brandissait était la sienne. Alors qu'il se rapprochait de la table à grand pas, Jora braqua Adrian en pleurant.

        - Tu t'es bien foutue de moi, salopard !
        - Eh ! C'est qui le vieux ? Demanda, paniqué, un des amis d'Adrian.

        Mais c'était trop tard. Adrian qui avait le sang chaud, avait tenté de se lever pour asséner un coup à Jora mais Edward l'intercepta, sa main serrant de toutes ses forces le poing du Marine.


        - Qu'est ce que t'as, le vieux ? vomit Adrian.
        - Touche à un seul cheveu de ma fille et je te promets que je t'arrache les testicules et tout ce qui vient avec et je te les fais bouffer ! siffla rauquement Edward. A toi et à tous tes petits potes !

        Le jeune Marine semblait se faire dessus, plus personne n'osait la ramener et se faisait tout petit dans leur coin. Edward relâcha l'étreinte sans le quitter des yeux durant un instant, puis posa le regard sur sa fille en pleurs.

        - Allez, c'est l'heure de rentrer, faut qu'on parle.

        Ils quittèrent la taverne, Jora devant, le calme de la nuit troublé par les bruits de pas du père et de la fille en sanglots.

        - M ... merci Papa ... couina-t-elle toute honteuse.
          Bonjour, bonsoir,

          Je me permets juste un petit up pour ne pas tomber dans les affres de l'oubli au cas où. Je me le permets parce que la petite semaine a été dépassée, mais je fais confiance à la fine équipe. ^^

          Désolé du dérangement. :-D
            Salut Edward, j’suis là pour le premier avis

            On commence par le point forme.
            Il s'était allongé prêt du feu => près
            mais cela n'empêcher pas ses pensées de fuser dans sa tête. => empêchait
            sillonNer
            fortS caractères
            un ordre tonitruant qui ravisSait sa fille.
            sa fille qui le contemplais. => contemplait
            Mais cela n'avais pas empêché => avait
            Il avait suffit => suffi
            C'est toi qui m'embarqueS
            la révolte continuent.=> continue
            se fut lui baissa son regard. => ce fut lui QUI baissa
            Je l'ai vue quand tu l'as fait tombé. => tomber
            Pourquoi tu nous as laisséES
            que j'aie le même travaille que lui. => travail
            J'étais absourdi => abasourdi
            son pères => père
            Elle préfèrait => préférait
            des proches en qui ont a confiance => on a confiance
            aucune intension de la tuer => intention
            elle chassa assitôt avec une vanne ironique => aussitôt
            Elle me tanNait
            Alors elle m'a suppliée d'arrêter => supplié
            Démenteler => démanteler
            on a du se quitter => dû
            'elle aurait du être célibataire => dû
            La seconde lettre que j'ai reçuE
            que si toute fois il y avait un souci => toutefois
            tu t'appellais Jora => appelais
            Ta mère t'avait expliquer => expliqué
            j'ai fais => fait
            Reposes toi => Repose-toi
            ils font leurS rondes
            Il s'était ensuite diriger => dirigé
            Jora n'avait pas tord. => tort
            Personne n'ira nulLE part
            une bande d'amiS

            Niveau description Un non aligné dans toute cette affaire. Des pourris partout, mais compréhensif avec tous. Il ne s’affilie à personne et cherche la paix. Sauf qu’il n’a pas la paix à cause de sa fille et pour sa fille, il est prêt à tout. Fille qu’est comme lui. Une sorte de tension électrique entre eux, mais beaucoup d’affection dans le fond. Du coup, il est un peu en équilibre sur beaucoup de choses et j’ai un peu de mal à visualiser les possibilités d’évolution du personnage dans ce style, en fait. Je le vois plus finir par sombrer dans une « caste » et qu’on va perdre ce semblant d’équilibre. Pour le coup, aussi, avec une gamine qui semble être très importante pour lui et qui serait amené, je pense, à le suivre partout, elle aurait mérité d’être présentée, aussi. Dans le genre, ça passe un peu comme si on peut pas interpréter le personnage sans l’existence de cette fille. Par contre, bon potentiel dans le jeu avec la gamine.
            Plutôt complet pour le reste.

            Niveau bio, quelques passages un peu flous, mais un truc plutôt sympa et cohérent dans l’ensemble. Je pense notamment à ses années de jeunesse qui sont un poil trop éclipsé. Il y a aussi la maladie qui est citée un moment, et qui disparait par la suite comme si t’étais moins affecté. Et sans qu’on sache trop qu’elle est le genre de maladie que t’as là. Un truc que j’ai pas vu non plus, c’est ta situation officielle avec ta cp. Marié ? Enfin, t’es reconnu comme son copain par le GM ? Si c’est un poil secret, tout le pan « je fais pression sur la marine » tombe un peu à l’eau. Et dans le genre, envoyé de l’argent, c’est plus symbolique qu’utile. A priori, le GM a suffisamment de moyens pour financer les opérations des agents, surtout qu’en plus, le salaire des cps est généralement supérieur à ceux des marines. Enfin, toute la période où la CP est en infiltration, c’est pas mal éclipsé. Il doit se passer une paire d’années, non ? Tu vivotes, mais de quoi ? Tu t’occupes comment ? Tu cherches pas à la rejoindre ? Bref, il se passe rien pendant cette période ?

            Niveau test, c’est globalement sympa sur les interactions et le jeu entre père et fils qui fait écho à pas mal de choses, mais j’aime bien. Par contre, c’est plus la tendance du rp à faire du type un con que je trouve pas top. Cette habitude de voir les rps tendre vers un problème parce qu’il y a des mecs chiants et qui se finit bien grâce au héros. Dans ton registre, j’aurais trouvé beaucoup plus sympa que le type soit un marine plutôt sympa et prometteur et de voir le jeu du paternel complètement réfractaire à l’idée de le voir toucher à sa fille alors qu’il passerait presque pour le gendre parfait. Un terreau parfait pour de la mauvaise foi et des dialogues acerbes entre deux personnalités fortes autour d’un type qui ne demande pas tant de violence au final.
            Bref, c’est bien, mais il a manqué cette touche d’originalité dans la direction du rp pour le mettre au dessus des autres.

            ET j’suis sur du 700D.
            Rebienvenue ! Bon rp ! Pluche !
            • https://www.onepiece-requiem.net/t2303-fiche-du-vieux-pludbus
            • https://www.onepiece-requiem.net/t2255-toujours-pas-six-pieds-sous-terretermine-meme
            Merci beaucoup !

            Par contre, je me suis relu au moins deux fois et je suis déçu (de moi même) d'avoir laisser passer autant de fautes.

              Hoy Edward ! Me voilà avec un peu de retard et je m’en excuse pour ton deuxième avis.

              Pas de point forme supplémentaire, Plud s’étant déjà chargé de son sempiternel relevé héhé.

              Côté descriptions, c’est plutôt complet, on cerne bien le physique du personnage et sa personnalité et son rapport aux autres. Mais du coup, je vois mal comment tu vas faire pour ne pas t’enfermer sur toi-même. Tu poses ton personnage comme seul –avec sa fille- contre tous, et du coup, l’interaction avec d’autres Pjs me paraît limitée. Après, il y a un mot que tu réutilises souvent et qui selon moi est en léger décalage avec ce que tu veux dire, c’est l’ironie. Pour moi, ce que tu décris, c’est une sorte d’amour vache, de la mauvaise foi aussi parfois, mais rarement de l’ironie. (Certes, l’ironie c’est assez vaste, mais là, tu l’utilises à outrance). Bref, pas grand-chose à te reprocher là-dessus.

              Niveau bio, y a de grosses périodes de blanc qui mériteraient d’être un poil plus développées. L’enfance, la période entre la disparition de ta femme et l’apparition de ta fille, où, si l’on ne sait pas quel âge tu as au présent, il peut aussi bien s’y être passé cinq, dix, quinze ou vingt ans. En l’occurrence, ça fait une vingtaine d’années, où en tout et pour tout, on sait que tu reçois deux lettres et qu’à la fin, tu vas bourriner des gens pour récupérer ta fille. Mis à part ça, plutôt sympa. Comme Plud, je trouve que la maladie disparaît complètement de ta bio après que tu l’aies mentionnée, alors que c’est quand même un point vraiment important de ta vie, puisqu’encore aujourd’hui, tu cherches à guérir de ça.

              Côté test Rp, c’est bien écrit, on a des relations intéressantes entre la fille et le père. Je trouve cependant que ça manque de difficultés, et d’initiatives par rapport au test de Louise. La fin est assez attendue et tu résous l’ensemble sans vraiment de problèmes face à ces petits cons. Au final, c’est toi qui as raison, on n’a pas ce côté père surprotecteur pour rien, qui aurait été bien plaisant, parce que du coup, ta présence était nécessaire. Et tes « adversaires » manquent de répondant. Dès que tu t’adresses à eux, ils chient dans leur froc sans demander leur reste. Des petits cons dans ce genre-là, en groupe, généralement ne partent pas la queue entre les jambes à la moindre résistance, surtout quand il s’agit de Marines entraînés qui font les fiers. Sinon, point positif, je trouve le personnage vraiment respecté, intéressant, et j’attends de voir ce qu’il va donner par la suite.

              Bref, fiche sympathique dans l’ensemble, avec ces petits points sur la fin qui me font aller sur du 650 Dorikis. Validé à 675 D donc.

              Valà ! Bon jeu, pluche !
              • https://www.onepiece-requiem.net/t9683-elie-jorgensen
              • https://www.onepiece-requiem.net/t9508-elie-jorgensen