« Les Ombres du chaos » ces simples mots faisaient désormais officiellement peur et jazzer la majorité des gens à travers le monde, surtout le gouvernement mondial qui fut contraint d’abandonner son projet N après une pression pas possible de certains pirates, nous y compris. Par conséquent nous faisions la une des journaux avec en bonus, une hausse probable de nos primes. Nous ne pouvions espérer mieux comme retombée. Du coup, une fête semblait être bien appropriée pour ces heureux événements.
Nous improvisâmes donc une p’tite fête sur le pont avec boisson à gogo et quelques filles de joie pour détendre l’atmosphère, sous le feu vert du capitaine qui d’ailleurs était de sortie pour la soirée. Nous étions assis, Shiro & moi, à une des tables, séparés par une pinte de bière, tandis qu’un barde à la voix éraillée tentait de faire entendre sa chanson par-dessus le vacarme ambiant. Autour de nous, les frères profitaient à fond de la soirée, courant la gueuse ou se gorgeant de nourriture. Zarechi était à portée de main, le visage enfoui dans un poulet rôti. Il était manifestement tenté par l’idée de l’inhaler.
Demanda Shiro à mon égard.
Répondis-je d’un air débutatif avant de vider à moitié ma pinte. Pendant quelques instants nous écoutâmes Zarechi qui croquait les os de poulet. Shiro revint à la charge, adoptant cette fois une expression alarmante afin que je puisse le prendre au sérieux. Mais qu’est-ce qu’il me faisait là, le bougre ? Il se courba, approchant sa tête encore plus vers l’avant afin que ses mots ne puissent pas atterrir sur l’oreille de n’importe qui.
M’enquis-je à travers une déception qui pouvait se lire à travers le ton adopté tandis que je scrutai ma pinte qui était presque vide. Pourquoi donc étais-je donc déçu, me dirais-vous. Parce que je me savais pour le moment incapable, faible, pour accomplir cet objectif qui me tenait tant à cœur. Cet objectif là même qui était la principale raison de mon enrôlement dans le monde de la piraterie et qui consistaient à venger la mort de mère et père en prenant la vie d’un prétentieux dragon céleste. Je n’oublierais jamais son visage. Geoffrey… tel était son nom.
Je tournai le regard vers l’horizon afin de fuir celui de Shiro. Moi-même j’étais surpris par ces quelques mots qui étaient sortis de ma bouche. Il fut un temps ou j’aurais volontiers accepté son invitation et foncé sans réfléchir dans le tas pour assouvir ma vengeance, mais les faits étaient là : ils nous faillaient devenir encore plus fort afin de faire face aux éventuels obstacles pour atteindre Geoffrey. Huun ! Voilà que je me mettais maintenant à penser comme mon vieux maitre… Smsh ! il fallait croire que j’étais devenu un peu plus mature.
Shiro se courba, approchant sa tête encore plus vers l’avant comme s'il ne voulait pas que ses mots puissent atterrir sur l’oreille de n’importe qui.
Avant même qu’il ne puisse terminer sa phrase, une personne vint l’interrompre dans son élan en s’invitant à notre table. C’était une putain maquillée, cheveux teints au henné, bouche rouge qui s’était laissé tomber sur les genoux de Shiro. Elle avait une bonne paire de nichons, ronds et haut perchés qui remontaient, serrés en un sandwich avenant par un corsage à lacet et à baleine. Mon fidèle compagnon fit un «Ô » d’étonnement avant de se caler au fond de sa chaise pour mieux voir la jeune demoiselle.
Lança-t-elle à Shiro avant de l’enlacer, les mains dans les froufrous de ses jupes. Shiro restait sans voix, peinant à donner formes aux mots qui pourtant lui pendait juste au bout de la langue. Apparemment il n’était pas indifférent à son charme, le coquin.
Elle me décocha une œillade jalouse. Shiro parvint finalement à retrouver la parole
En passant à côté de lui je lui fis une tape amicale sur l’épaule en lui balançant
Par mes « récentes découvertes » je sous-entendais ma part du butin obtenu lors de notre arrêt sur Whiskey Peak : Comme par exemple des bagues en or recueillis sur une poignée de doigts séparée de leurs possesseurs (bien sur), des colliers en or ou encore des objets de valeurs bien contenus dans un vieil sac en filet, un peu poussiéreux, disposé au fond de ma cabine. Je pris donc le sac en question avant de quitter l’Avernus pour me rendre à la Flottebaie.
Ahh ! La flottebaie… Je ne savais guère pourquoi mais l’ambiance malsaine et la déco funèbre qui inondaient ces lieux, parvenais toujours d’une certaine manière à apaiser mon esprit pervers. Ahh ! Je me sentais dans mon élément. On y trouvait une flopée de grands navires de haute mer, hauts de coque, dotés de trois mâts voire d’avantage, et qui viennent de rivages extrêmement étranges et lointains. Il y avait même un grand vaisseau de bois malade, deux fois plus gros que tous les autres, dont les planches grises étaient fondues les unes dans les autres ; presque douées de vie, elles semblaient réfuter la scie du charpentier. La coque, couverte de bernaches grosses comme des assiettes même au-dessus de la ligne de flottaison, était couturée de cicatrices. C’est sur ce vaisseau que le vieux Gemt, l’un des responsables des lieux, passaient généralement son temps à ressasser les souvenirs du passé de ses aventures en tant que pirates à qui voulaient l’entendre, calé au fond de sa chaise, bouteille de Saké dans la main. Je l’aimais bien ce vieux momie et d’ailleurs c’est sur le pont de ce vaisseaux que je me dirigeais.
Ooh ? Qu’est-ce que ? Une chose attira mon attention. Le plus que j’avançais, le plus je remarquais des personnes inertes étendus sur le plancher. Au début je croyais qu’ils avaient peut être forcés sur la bouteille comme à leurs habitudes, mais la multitude de corps que j’avais enjambé, me dissuada de cette idée. Merde, il y avait un problème… Gemt.
Je hâtai le pas pour rejoindre aussi vite que possible le pont du navire et là, je me rendis compte que mes doutes étaient bel et bien fondés. C’était le bordel, des trous dans le décor, deux ou trois chaises brisés et des personnes étendus à peu près partout sur le plancher. Dans ce paysage un seul homme encore debout, semblaient sortir du lot. Un blond de taille moyenne, cheveux un peu long, vêtu d’un kimono rouge qui apparemment était occupé à faire ample connaissance avec l’un de ses victimes. Il piétinait le visage du pauvre homme en buvant à grande gorgée une bouteille de Saké qui m’était d’ailleurs familière, c’était celui du vieux Gemt. En parlant de lui, il était où l’ancêtre ? Je le cherchais du regard parmi les corps avant de le repérer près du gouvernail cassé, allongé sur le ventre, complètement dans les pommes.
Ma présence fut remarquer par le blondinet qui jeta la bouteille de Saké vide par terre et se tourna vers moi. Il passa la paume de sa main sur sa bouche et prononça les mots suivants avec un rictus de psychopathe au coin des lèvres.
Mes lames me démangeaient, réclamant le sang du blondinet debout sur le pont. Etais-ce pour venger le vieux Gemt ? Naaan, pas du tout. C’est juste que j’avais horreur d’être pris de haut et que l’on m’appelle gamin aussi. La seule personne qui s’en était sortit indemne en m’appelant gamin est mon actuel capitaine et Soren hurlevent. Le premier c’est parce qu’elle représentait un moyen de transport et l’autre, baah il a eu de la chance. Mais il ne perdait rien pour attendre le grillon, le transformer en pâté de chat à l’avenir, faisait parti de mes plans.
Le blondinet fit un, deux, trois pas avant d’être soudainement interrompu par une voix :
L’auteur de cette phrase sortit des ombres, cheveux bruns, vêtu d’un kimono blanc, les bras croisés, affichant un air si sérieux que j’aurais été prêt à mettre ma main à couper qu’il était constipé le bonhomme. Merde, je n’avais pas du tout remarqué sa présence et entre les deux, ils semblaient être le plus redoutable. Le dénommé Joe en entendant son ami révéler mon identité, afficha un sourire encore plus jovial comme un enfant qui venait d’ouvrir les emballages de ses cadeaux à Noel.
Quant à moi, je ne bougeais point d’un mètre avec le sac de mon butin que je tenais sur mon épaule, l’air cool. Je restai de marbre face à eux, aussi froid que l’hiver, me contentant seulement de les dévisager pour le moment sans sortir ne serait-ce qu’un son de ma bouche... Bataille psychologique, hé hé !
Nous improvisâmes donc une p’tite fête sur le pont avec boisson à gogo et quelques filles de joie pour détendre l’atmosphère, sous le feu vert du capitaine qui d’ailleurs était de sortie pour la soirée. Nous étions assis, Shiro & moi, à une des tables, séparés par une pinte de bière, tandis qu’un barde à la voix éraillée tentait de faire entendre sa chanson par-dessus le vacarme ambiant. Autour de nous, les frères profitaient à fond de la soirée, courant la gueuse ou se gorgeant de nourriture. Zarechi était à portée de main, le visage enfoui dans un poulet rôti. Il était manifestement tenté par l’idée de l’inhaler.
-Alors, quel est le plan pour la suite ?
Demanda Shiro à mon égard.
-Plan pour la suite ?... Je sais pas moi, se bourrer la gueule jusqu’au petit matin et jouer à la mort ou tchichi avec ces jolies demoiselles ?
Répondis-je d’un air débutatif avant de vider à moitié ma pinte. Pendant quelques instants nous écoutâmes Zarechi qui croquait les os de poulet. Shiro revint à la charge, adoptant cette fois une expression alarmante afin que je puisse le prendre au sérieux. Mais qu’est-ce qu’il me faisait là, le bougre ? Il se courba, approchant sa tête encore plus vers l’avant afin que ses mots ne puissent pas atterrir sur l’oreille de n’importe qui.
-Tu sais très bien de quoi je parle, Kusa. Le plan, « NOTRE » plan à nous deux, notre objectif principal, idiot.
-Ahh ! Ca.
M’enquis-je à travers une déception qui pouvait se lire à travers le ton adopté tandis que je scrutai ma pinte qui était presque vide. Pourquoi donc étais-je donc déçu, me dirais-vous. Parce que je me savais pour le moment incapable, faible, pour accomplir cet objectif qui me tenait tant à cœur. Cet objectif là même qui était la principale raison de mon enrôlement dans le monde de la piraterie et qui consistaient à venger la mort de mère et père en prenant la vie d’un prétentieux dragon céleste. Je n’oublierais jamais son visage. Geoffrey… tel était son nom.
- Je crois qu’il serait peut être temps d’imposer notre requête au capitaine, non ?
- Non, pas tout de suite… (Dis-je avant de prendre une pause de quelques secondes et de continuer ma phrase en hésitant un peu) C’est encore trop tôt.
Je tournai le regard vers l’horizon afin de fuir celui de Shiro. Moi-même j’étais surpris par ces quelques mots qui étaient sortis de ma bouche. Il fut un temps ou j’aurais volontiers accepté son invitation et foncé sans réfléchir dans le tas pour assouvir ma vengeance, mais les faits étaient là : ils nous faillaient devenir encore plus fort afin de faire face aux éventuels obstacles pour atteindre Geoffrey. Huun ! Voilà que je me mettais maintenant à penser comme mon vieux maitre… Smsh ! il fallait croire que j’étais devenu un peu plus mature.
Shiro se courba, approchant sa tête encore plus vers l’avant comme s'il ne voulait pas que ses mots puissent atterrir sur l’oreille de n’importe qui.
- trop tôt ? Kesse tu me racontes ? Tu tes ramolli ou quoi ?... on a un équipage d’enfer à notre disposition, truffé d’utilisateurs de FDD sans compter que notre capitaine est… Que ?!?
Avant même qu’il ne puisse terminer sa phrase, une personne vint l’interrompre dans son élan en s’invitant à notre table. C’était une putain maquillée, cheveux teints au henné, bouche rouge qui s’était laissé tomber sur les genoux de Shiro. Elle avait une bonne paire de nichons, ronds et haut perchés qui remontaient, serrés en un sandwich avenant par un corsage à lacet et à baleine. Mon fidèle compagnon fit un «Ô » d’étonnement avant de se caler au fond de sa chaise pour mieux voir la jeune demoiselle.
-Ou est ton sourire mon beau ? Je suis sûre que je pourrais le trouver.
Lança-t-elle à Shiro avant de l’enlacer, les mains dans les froufrous de ses jupes. Shiro restait sans voix, peinant à donner formes aux mots qui pourtant lui pendait juste au bout de la langue. Apparemment il n’était pas indifférent à son charme, le coquin.
-Sally va tout arranger. Mon beau pirate n’a pas besoin d’un garçon pour lui tenir chaud.
Elle me décocha une œillade jalouse. Shiro parvint finalement à retrouver la parole
-Heu… Sall.. (Il se racla la gorge après s’être rendu compte du timbre de voix aigu qu’il avait maladroitement pris, intimidé par Sally. Il pris un ton un peu plus macho et repris sa phrase.) «Krough ! Krough ! » Sally, ne vois tu pas qu-qu’on était en pleine discussion, jeune fille ?
-Non non, surtout pas. (Intervins-je en me levant de ma chaise avant de finir d’un trait la bière qui restait dans ma pinte) On continuera notre conversation plus tard, mon ami. Je serais toujours là demain, tandis que c’est pas le cas pour elle.[/center
[center]- Mai-mai-mais…
[center]- Mai-mai-mais…
En passant à côté de lui je lui fis une tape amicale sur l’épaule en lui balançant
-Pas de mais qui tienne. Amusez-vous bien. Héhé !
- Tu ne t’en sortiras pas aussi facilement, Kusa. On en reparlera plus tard. (Grondas t’il en lançant un regard au dessus de son épaule alors que je m’éloignais) Où comptes-tu aller ainsi d’ailleurs ?
- Je vais rendre une p’tite visite au vieux Gemt à la Flottebaie histoire de voir ce que je peux tirer de mes récentes « découvertes ».
Par mes « récentes découvertes » je sous-entendais ma part du butin obtenu lors de notre arrêt sur Whiskey Peak : Comme par exemple des bagues en or recueillis sur une poignée de doigts séparée de leurs possesseurs (bien sur), des colliers en or ou encore des objets de valeurs bien contenus dans un vieil sac en filet, un peu poussiéreux, disposé au fond de ma cabine. Je pris donc le sac en question avant de quitter l’Avernus pour me rendre à la Flottebaie.
Ahh ! La flottebaie… Je ne savais guère pourquoi mais l’ambiance malsaine et la déco funèbre qui inondaient ces lieux, parvenais toujours d’une certaine manière à apaiser mon esprit pervers. Ahh ! Je me sentais dans mon élément. On y trouvait une flopée de grands navires de haute mer, hauts de coque, dotés de trois mâts voire d’avantage, et qui viennent de rivages extrêmement étranges et lointains. Il y avait même un grand vaisseau de bois malade, deux fois plus gros que tous les autres, dont les planches grises étaient fondues les unes dans les autres ; presque douées de vie, elles semblaient réfuter la scie du charpentier. La coque, couverte de bernaches grosses comme des assiettes même au-dessus de la ligne de flottaison, était couturée de cicatrices. C’est sur ce vaisseau que le vieux Gemt, l’un des responsables des lieux, passaient généralement son temps à ressasser les souvenirs du passé de ses aventures en tant que pirates à qui voulaient l’entendre, calé au fond de sa chaise, bouteille de Saké dans la main. Je l’aimais bien ce vieux momie et d’ailleurs c’est sur le pont de ce vaisseaux que je me dirigeais.
Ooh ? Qu’est-ce que ? Une chose attira mon attention. Le plus que j’avançais, le plus je remarquais des personnes inertes étendus sur le plancher. Au début je croyais qu’ils avaient peut être forcés sur la bouteille comme à leurs habitudes, mais la multitude de corps que j’avais enjambé, me dissuada de cette idée. Merde, il y avait un problème… Gemt.
Je hâtai le pas pour rejoindre aussi vite que possible le pont du navire et là, je me rendis compte que mes doutes étaient bel et bien fondés. C’était le bordel, des trous dans le décor, deux ou trois chaises brisés et des personnes étendus à peu près partout sur le plancher. Dans ce paysage un seul homme encore debout, semblaient sortir du lot. Un blond de taille moyenne, cheveux un peu long, vêtu d’un kimono rouge qui apparemment était occupé à faire ample connaissance avec l’un de ses victimes. Il piétinait le visage du pauvre homme en buvant à grande gorgée une bouteille de Saké qui m’était d’ailleurs familière, c’était celui du vieux Gemt. En parlant de lui, il était où l’ancêtre ? Je le cherchais du regard parmi les corps avant de le repérer près du gouvernail cassé, allongé sur le ventre, complètement dans les pommes.
Ma présence fut remarquer par le blondinet qui jeta la bouteille de Saké vide par terre et se tourna vers moi. Il passa la paume de sa main sur sa bouche et prononça les mots suivants avec un rictus de psychopathe au coin des lèvres.
-Un nouvel invité à la fête, heiin ? Permet moi de prendre soin de toi, gamin.
Mes lames me démangeaient, réclamant le sang du blondinet debout sur le pont. Etais-ce pour venger le vieux Gemt ? Naaan, pas du tout. C’est juste que j’avais horreur d’être pris de haut et que l’on m’appelle gamin aussi. La seule personne qui s’en était sortit indemne en m’appelant gamin est mon actuel capitaine et Soren hurlevent. Le premier c’est parce qu’elle représentait un moyen de transport et l’autre, baah il a eu de la chance. Mais il ne perdait rien pour attendre le grillon, le transformer en pâté de chat à l’avenir, faisait parti de mes plans.
Le blondinet fit un, deux, trois pas avant d’être soudainement interrompu par une voix :
-Ne le sous-estime pas, Joe. C’est Kusanagi, le célèbre boucher des Ombres du chaos.
L’auteur de cette phrase sortit des ombres, cheveux bruns, vêtu d’un kimono blanc, les bras croisés, affichant un air si sérieux que j’aurais été prêt à mettre ma main à couper qu’il était constipé le bonhomme. Merde, je n’avais pas du tout remarqué sa présence et entre les deux, ils semblaient être le plus redoutable. Le dénommé Joe en entendant son ami révéler mon identité, afficha un sourire encore plus jovial comme un enfant qui venait d’ouvrir les emballages de ses cadeaux à Noel.
Quant à moi, je ne bougeais point d’un mètre avec le sac de mon butin que je tenais sur mon épaule, l’air cool. Je restai de marbre face à eux, aussi froid que l’hiver, me contentant seulement de les dévisager pour le moment sans sortir ne serait-ce qu’un son de ma bouche... Bataille psychologique, hé hé !
Dernière édition par Kusanagi le Ven 03 Juil 2015, 13:35, édité 5 fois