Retour à la case départ, faut que je me calme moi. Je me casse de Navarone sans faire de provisions et sans en informer mon supérieur. Encore un peu et je laissais le gaz tourner, ça m'aurait fais une belle facture et j'aurai relancé l'économie. Mais bon, c'est pas le propos, va aussi falloir que je fasse le plein de bourbon...j'en aurai besoin , j'devrai aussi vérifier si les rumeurs sur le départ des dogs est véridique.
Je souffle un bon coup pour tenter de calmer mes pensées chaotiques, mais cela n'arrange pas grand chose. Mes fantômes continuent de me poursuivre, j'ai beau avoir le soru, ils courent plus vite, ce sont de bons chiens de chasse après tout. Heureusement, l'alcool fais un parfait nonoss pour occuper les clebs. Malheureusement, avec le temps ils les bouffent de plus en plus vite et il faut donc envoyer de plus en plus de gros nonoss.
J'aimerai rester dans ma cabine, mais ça ne sera pas possible, les hommes se poseraient des questions et je dois m'occuper des taches à terre seul. Je me laisse tomber à terre, et m'avance lentement sur le quai. Pourquoi fallait il que mes souvenirs me rattrapent, je les pensait enfin disparu. Je me force à ne plus y penser, je me concentre sur des trucs à la con, mais ce genre de combines ne marchent qu'un temps. Je me trouve à errer dans les couloirs de la base, à voir des gens me saluer sans les regarder. Je finis par atteindre le bureau de communication, d'une voix vide je demande à des secrétaires de me brancher au Ban. Je ne les regarde pas, les chiens courent derrière mes yeux, ils accaparent la moindre parcelle de mon être. Ils retournent la terre et en ressortent les ossements et je ne suis qu'un vieillard qui les regarde sans pouvoir réagir...un vieillard poursuivi par son passé.
Ils me tendent un den den, je me force à mettre un peu de force dans ma voix. J'informe mon supérieur que j'allai acter sur Grand Line un certain temps. Il râle, il fulmine, il ne comprends pas, il perds un excellent élément sur les blues, mais je n'arrive pas à concevoir ce que cela implique. Je lui explique que l'on m'a donné une mission à remplir au trou...et qu'il fallait que je rattrape quelqu'un. Il finit par m'accorder le droit de rester sur GL, je n'en éprouve aucune émotion.
Comment, une nouvelle que l'on peut considérer joyeuse peut elle tant me troubler. Le retour d'un équipage sur la mer, un coup pour la piraterie...le rappel de mes échecs, des mes interrogations. Je ne préfère penser à rien, ne pas me concentrer, rester dans une certaine léthargie insensible...c'est tout ce qu'il me reste à faire jusqu'à ce que je mette ma main sur de l'alcool. Je sors du bureau et marche d'un pas traînant, j'heurte quelqu'un à terre, il tombe...il semble mal au point...je le regarde...
-Désolé...
Je souffle un bon coup pour tenter de calmer mes pensées chaotiques, mais cela n'arrange pas grand chose. Mes fantômes continuent de me poursuivre, j'ai beau avoir le soru, ils courent plus vite, ce sont de bons chiens de chasse après tout. Heureusement, l'alcool fais un parfait nonoss pour occuper les clebs. Malheureusement, avec le temps ils les bouffent de plus en plus vite et il faut donc envoyer de plus en plus de gros nonoss.
J'aimerai rester dans ma cabine, mais ça ne sera pas possible, les hommes se poseraient des questions et je dois m'occuper des taches à terre seul. Je me laisse tomber à terre, et m'avance lentement sur le quai. Pourquoi fallait il que mes souvenirs me rattrapent, je les pensait enfin disparu. Je me force à ne plus y penser, je me concentre sur des trucs à la con, mais ce genre de combines ne marchent qu'un temps. Je me trouve à errer dans les couloirs de la base, à voir des gens me saluer sans les regarder. Je finis par atteindre le bureau de communication, d'une voix vide je demande à des secrétaires de me brancher au Ban. Je ne les regarde pas, les chiens courent derrière mes yeux, ils accaparent la moindre parcelle de mon être. Ils retournent la terre et en ressortent les ossements et je ne suis qu'un vieillard qui les regarde sans pouvoir réagir...un vieillard poursuivi par son passé.
Ils me tendent un den den, je me force à mettre un peu de force dans ma voix. J'informe mon supérieur que j'allai acter sur Grand Line un certain temps. Il râle, il fulmine, il ne comprends pas, il perds un excellent élément sur les blues, mais je n'arrive pas à concevoir ce que cela implique. Je lui explique que l'on m'a donné une mission à remplir au trou...et qu'il fallait que je rattrape quelqu'un. Il finit par m'accorder le droit de rester sur GL, je n'en éprouve aucune émotion.
Comment, une nouvelle que l'on peut considérer joyeuse peut elle tant me troubler. Le retour d'un équipage sur la mer, un coup pour la piraterie...le rappel de mes échecs, des mes interrogations. Je ne préfère penser à rien, ne pas me concentrer, rester dans une certaine léthargie insensible...c'est tout ce qu'il me reste à faire jusqu'à ce que je mette ma main sur de l'alcool. Je sors du bureau et marche d'un pas traînant, j'heurte quelqu'un à terre, il tombe...il semble mal au point...je le regarde...
-Désolé...