Ce RP est la suite immédiate de celui-ci pour Mayaku Miso et Joseph Patchett
Les cuirassés de la Marine sont de véritables forteresses des mers. Monstres de puissance, ces navires nécessitent près de cinquante hommes pour fonctionner et peuvent avoir à leur bord près d'un millier d'hommes. Quand un cuirassé est en mer, c'est une véritable petite ville qui respire, mange, dort, bref qui vit. Mais quand un cuirassé est à terre, surtout dans des circonstances aussi dramatiques que celles l'ayant conduit à accoster l'île maléfique, la population à bord est drastiquement réduite rendant la forteresse particulièrement vulnérable.
D'après la taille du navire, l'ex-agent Patchett avait pu évaluer le nombre de soldats présents à son bord à environ 700. La procédure de la Marine prévoit qu'au moins 10% de l'équipage doit être systématiquement présent à bord ce qui leur laissait à lui et à la choco-girl, environ 70 adversaires. Rien d'insurmontables pour deux anciens agents du CP5 endurcis par des années de criminalité. Surtout quand tous les gradés pouvant représenter une menace ne sont pas présent. La Commodore Hilda Garde à qui appartenait ce navire était partie à la chasse au Sauvage et bien tant pis pour elle car qui part à la chasse, perd sa place... ou son navire.
Première étape, éliminer la sentinelle. Rien de bien compliqué pour Crack Joe qui profita même de l'occasion pour se pavaner un peu plus devant sa compagne. Il y avait des dizaines de moyens de tuer un homme mais le Crack voulait en imposer. Faisant signe à la borgne de rester dans l'ombre, le Crack s'avança sur la passerelle d'un pas tranquille tout en s'assurant que son pagne ne glisse pas. C'est que la Borgne l'avait fait douté l'espace d'un instant. La sentinelle, un brave matelot de seconde classe, le repéra aussitôt et le mit en joue. Le malheureux n'eut pas l'occasion de prononcer un seul mot que déjà ses genoux claquaient l'un contre l'autre. Il était tétanisé par la peur. Le Crack sourit mais n'interrompit pas sa technique pour autant. Le cri qui tue sciait les jambes du malheureux et à en juger par la tâche se formant sur son pantalon, il lui avait aussi retiré le contrôle de sa vessie. Mais peu importait, il serait bientôt délivré de ses tourments.
Le Crack s'arrêta face au soldat, une aura trouble émettant une sorte de sifflement désagréable apparut autour de son poing droit. Crack Joe sourit de toutes ses dents et frappa. Un simple direct à l'estomac ? Que nenni.
Les cuirassés de la Marine sont de véritables forteresses des mers. Monstres de puissance, ces navires nécessitent près de cinquante hommes pour fonctionner et peuvent avoir à leur bord près d'un millier d'hommes. Quand un cuirassé est en mer, c'est une véritable petite ville qui respire, mange, dort, bref qui vit. Mais quand un cuirassé est à terre, surtout dans des circonstances aussi dramatiques que celles l'ayant conduit à accoster l'île maléfique, la population à bord est drastiquement réduite rendant la forteresse particulièrement vulnérable.
D'après la taille du navire, l'ex-agent Patchett avait pu évaluer le nombre de soldats présents à son bord à environ 700. La procédure de la Marine prévoit qu'au moins 10% de l'équipage doit être systématiquement présent à bord ce qui leur laissait à lui et à la choco-girl, environ 70 adversaires. Rien d'insurmontables pour deux anciens agents du CP5 endurcis par des années de criminalité. Surtout quand tous les gradés pouvant représenter une menace ne sont pas présent. La Commodore Hilda Garde à qui appartenait ce navire était partie à la chasse au Sauvage et bien tant pis pour elle car qui part à la chasse, perd sa place... ou son navire.
Première étape, éliminer la sentinelle. Rien de bien compliqué pour Crack Joe qui profita même de l'occasion pour se pavaner un peu plus devant sa compagne. Il y avait des dizaines de moyens de tuer un homme mais le Crack voulait en imposer. Faisant signe à la borgne de rester dans l'ombre, le Crack s'avança sur la passerelle d'un pas tranquille tout en s'assurant que son pagne ne glisse pas. C'est que la Borgne l'avait fait douté l'espace d'un instant. La sentinelle, un brave matelot de seconde classe, le repéra aussitôt et le mit en joue. Le malheureux n'eut pas l'occasion de prononcer un seul mot que déjà ses genoux claquaient l'un contre l'autre. Il était tétanisé par la peur. Le Crack sourit mais n'interrompit pas sa technique pour autant. Le cri qui tue sciait les jambes du malheureux et à en juger par la tâche se formant sur son pantalon, il lui avait aussi retiré le contrôle de sa vessie. Mais peu importait, il serait bientôt délivré de ses tourments.
Le Crack s'arrêta face au soldat, une aura trouble émettant une sorte de sifflement désagréable apparut autour de son poing droit. Crack Joe sourit de toutes ses dents et frappa. Un simple direct à l'estomac ? Que nenni.
"Beat Punch"
Le choc fit ployer le malheureux soldat en deux, son corps tout entier paraissait soudain secoué par des tremblements qu'il ne pouvait contrôler. Du sang lui coulait désormais de la bouche, des oreilles et des yeux. Soudain le Marine implosa, maculant le sol, les murs, le plafond et son meurtrier de son sang et des lambeaux de ses vêtements. Le Crack, désormais recouvert de sang, éclata de rire avant de se retourner vers Maya. Son regard s'était allumé, ne laissant nul doute sur la folie qui l'habitait désormais. L'homme souriait et de toutes ses dents, il était heureux et fier de lui. Un peu comme un enfant qui dirait "t'as vu ce que j'ai fait ?"
Désormais ils étaient entrés. Ne restait plus qu'à épurer le navire de tous ses nuisibles et alors, le Crack aurait accompli sa mission. Deuxième étape, évaluer le nombre d'opposants et les localiser. Joseph ferma les yeux pour se concentrer et activa son Ouïe Ultime. Les moindres sons émis à l'intérieur du Cuirassé lui parvenaient mais il y avait trop de bruits parasites pour qu'il puisse identifier avec certitude le nombre de présents. Sûrement plus d'une centaine, la majorité étant localisé dans les soutes du navire. Le Cuirassé avait il des prisonniers à son bord ? Bah peu importait. S'il se souvenait bien de la façon dont étaient agencés les cuirassés, le poste de pilotage devrait se trouver sur le pont supérieur. Autant commencer par là. Le Crack désactiva son pouvoir et se passa la langue sur les dents, salivant par avance la suite de ce qui s'annonçait comme un massacre à sens unique.
"Je sens qu'on va bien s'amuser, pas toi ?"
Quelque part dans les geôles du navire situées au niveau des soutes:
"On dirait que ça canarde sévère dehors..."
"Ouais. Fait bien une heure maintenant que toute la troupe a débarqué. On est bon ?"
"Hum... Vous ne ferez décidément jamais de bons chasseurs. La patience, voilà ce qui fait un bon chasseur. Il faut savoir patienter. Mais vous avez raison, nous avons assez attendu et notre proie est désormais vulnérable."
"Alors on sort ?"
"On sort oui et on prend le contrôle de ce navire !"
Désormais ils étaient entrés. Ne restait plus qu'à épurer le navire de tous ses nuisibles et alors, le Crack aurait accompli sa mission. Deuxième étape, évaluer le nombre d'opposants et les localiser. Joseph ferma les yeux pour se concentrer et activa son Ouïe Ultime. Les moindres sons émis à l'intérieur du Cuirassé lui parvenaient mais il y avait trop de bruits parasites pour qu'il puisse identifier avec certitude le nombre de présents. Sûrement plus d'une centaine, la majorité étant localisé dans les soutes du navire. Le Cuirassé avait il des prisonniers à son bord ? Bah peu importait. S'il se souvenait bien de la façon dont étaient agencés les cuirassés, le poste de pilotage devrait se trouver sur le pont supérieur. Autant commencer par là. Le Crack désactiva son pouvoir et se passa la langue sur les dents, salivant par avance la suite de ce qui s'annonçait comme un massacre à sens unique.
"Je sens qu'on va bien s'amuser, pas toi ?"
Quelque part dans les geôles du navire situées au niveau des soutes:
"On dirait que ça canarde sévère dehors..."
"Ouais. Fait bien une heure maintenant que toute la troupe a débarqué. On est bon ?"
"Hum... Vous ne ferez décidément jamais de bons chasseurs. La patience, voilà ce qui fait un bon chasseur. Il faut savoir patienter. Mais vous avez raison, nous avons assez attendu et notre proie est désormais vulnérable."
"Alors on sort ?"
"On sort oui et on prend le contrôle de ce navire !"
- Techniques utilisées:
- #6 (Fruit) L'Ouïe Ultime
La maîtrise des Ondes Sonores ça marche dans les deux sens, Joseph dispose de l'oreille absolue. Non seulement son spectre d'audition ne s'arrête pas à ce que les êtres humains peuvent percevoir mais il est aussi capable d'entendre plus loin et mieux que quiconque. Exemple: pouvoir entendre clairement un murmure à voix basse dans une salle bondée.
#12 (Fruit) Le Cri qui tue
Joseph émet un grondement d'une intensité extrêmement faible (infrasons). L'oreille humaine ne peut l'entendre mais le corps lui réagit en se tétanisant. Les personnes situées dans la zone d'effet du Cri qui tue ressentent une peur panique, une irrésistible envie de fuir, des jambes en coton, etc... Même les plus résistants se sentiront mal à l'aise. Une exposition prolongée aux infrasons poussera le plus brave des pirates à la dépression. Enregistrable sur Audio Dial.
#14 (Fruit) Beat Punch :
Afin d'augmenter le pouvoir destructif de ses coups, Joseph canalise ses ondes sonores à travers son poing. Si le coup atteint sa cible, le Beat Punch génère aussi des ondes sonores qui vont se propager à l'intérieur du corps de la victime, se répétant en écho causant par là d'importants dégâts internes. Sur des ennemis particulièrement faibles (<10D), cela peut aller jusqu'à les faire imploser. L'effet "Beat" peut être rajouté à n'importe quelle technique de corps à corps. Ne peut être rajouté à une technique de "poing d'air".
Dernière édition par Joseph Patchett le Ven 7 Nov 2014 - 14:26, édité 1 fois