>> Bartimeus Law U. Ether
Pseudonyme : Blue
Age: 53
Sexe : Homme
Race : Humain
Métier : Trappeur, chasseur de prime
Groupe : Chasseur de prime
But : Envoyer tous les criminels en prison, se faire un max de blé grâce à leur capture.
Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : -
Équipement :
- Paire de colts à 6 coups
- Fusil de précision
- Couteaux de lancer
- Lame à dépecer
Codes du règlement :
Parrain : Me, Myself, and I.
Ce compte est-il un DC ? : Oui, Alrahyr Kaltershaft
Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Elie, Pludto
>> Physique
Large. C’est un bon mot, ça, non ? Mais certainement qu’il en faut plus, pour avoir une bonne description de mon physique. Commençons donc par étapes. Il fait nuit, la ruelle est sombre, et la lune est cachée par la hauteur des bâtiments. Une torche fait danser les ombres derrière moi, ce qui vous permet de distinguer ma silhouette. Silhouette qui n’est pas si grande, finalement, à peine un mètre quatre-vingt. Mais silhouette large (ah, on le retrouve ce mot !) : on devine qu’elle passe tout juste les portes de taille classique. Disons qu’avec un gros veston comme j’ai l’habitude de porter, ça frotte.
Cette longue veste en cuir marron, je l’adore, je la porte depuis une bonne vingtaine d’années. Désormais elle est pas mal abîmée, mais je m’en tape, elle me tient bien chaud. Et puis, il y a quatre grosses poches à l’intérieur pour mettre les quatre supers thermos de café dont je ne peux pas me passer au quotidien. En fait, comme je n’en ai jamais retrouvé une autre qui puisse les contenir, je garde celle-là. Et je l’aime bien.
En plus, cette veste est bien assortie à mon chapeau et à mon foulard, l’un marron et l’autre rouge. Enfin, c’étaient leurs couleurs d’origine, maintenant c’est sale et délavé. Car, comme le veston, je ne les ai pas changés. En fait, comme mes gants en cuir. Et mon jean… D’accord, ma garde-robe, elle n’existe pas. De toute manière, je n’ai pas de chez-moi où la stocker, je porte tout sur mon dos. Alors autant minimiser les quantités de vêtements. Un bon gilet sous la veste, une bonne chemise sous le gilet, et le tour est joué ! Mais mon hygiène n’est pas déplorable pour autant ! Je déteste avoir une odeur sur moi, qu’elle soit bonne ou mauvaise. En réalité, je crois ne pas avoir d’odeur. Et puis, ça facilite les planques et les traques.
Partout sur moi, je porte des multitudes de lanières et de ceintures de cuir, qui me permettent de tenir mes deux colts, mes couteaux de lancer et ma lame à dépecer. Cette lame, je l’ai depuis que je suis parti de mon île d’origine, après le drame. Elle semble éternelle. Mon fusil de précision et tous les accessoires associés – je parle de la lunette, des chargeurs, et des munitions –, je le porte sur mon dos, accroché à une large sangle.
En fait, ça, c’est ce que vous pouvez voir de moi si vous me croisez. Mais j’espère que je ne me limite pas à un physique brut.
Je pense que ma démarche est assurée, et qu’elle montre de moi ma force calme. Enfin, calme… D’accord, je vous l’accorde, je rebondis partout, mais c’est à cause du café ça ! Cette boisson, dont je ne peux pas me passer, me permet de faire mon boulot correctement. Mais en même temps, j’y suis totalement accroc, et elle met mes nerfs et mes sens à vif. Bref, parfois, quand je suis à la limite de l’overdose, ça se voit sur mon visage, qui s’étire comme si j’étais à moitié paralysé.
Mais je ne suis pas comme ça tout le temps ! Quand j’ai la juste dose, je suis totalement normal. Mes yeux bleus me donnent un beau regard, quoique parfois dur, et certains diront strict. Faut dire qu’à mon âge, j’en ai connues des choses, sur les mers des Blues. Mais maintenant va falloir passer à autre chose, de plus… Bein découvrir plus de choses, quoi ! Les blues, c’est bien, mais…
Je m’égare, pardon, j’en étais où… Ah, oui ! Mon visage. Quelques rides, bien évidemment, et une barbe mal rasée, ça fait plus classe. Des sourcils gris toujours froncés – surtout à forte dose de café – et des courts cheveux gris en bataille, souvent dissimulés sous mon fameux chapeau.
En gros, un air de cow-boy. Oui m’sieur ! Et même le parler y contribue ! Même si, encore une fois, les phrases énoncées par ma voix grave sont bien différentes selon la dose de caféine ingurgitée. Oui, je sais, étrange. Parfois, je parle tellement vite que ça en devient incompréhensible.
Enfin, bref !
>> Psychologie
Mwahahahaha
MWAHAHAHAHAHA
HAHAHAHAHAHAHAAAAAA
…
Quoi, c’est pas suffisant pour me décrire ? Faut vraiment que j’étoffe ? Booooh… Allons-y !
Par quoi commencer, mis à part ce qui guide ma vie ? Je cherche à mettre les méchantes canailles en prison, et pour ça, je m’appuie sur les primes que le Gouvernement et la Marine mettent sur eux. En fait, je trouve que ça me permet de bien visualiser le genre de type, en tenant un historique de leur ascension. Caractériser la dangerosité d’un criminel, c’est une étape essentielle dans sa traque.
S’ils ont une prime sur leur tête, c’est qu’il y a une bonne raison. J’ai choisi d’accorder ma confiance à la Marine, même si certains les critiquent. Après tout, ce sont les seuls qui tentent réellement de mettre de l’ordre dans ce foutoir qu’est le monde ! Et ces satanés pirates et révolutionnaires qui bouleversent tout… Je ne les déteste pas particulièrement, mais je préfère les voir enfermés dans les prisons que dehors. Et puis, ils me permettent en fin de compte de gagner ma vie !
Parce qu’après tout… Qu’aurais-je fait si j’étais resté sur mon île ?
Après tant d’années passées à naviguer sur les Blues, je pense que je vais me diriger vers Grand Line. J’en ai pas mal appris dessus, et je pense que mes compétences de navigation vont me permettre de survivre. Bon, après, va falloir trouver du monde pour y aller, parce qu’il est hors de question que je m’y rende seul. Pas envie de crever !
J’suis comme ça, moi, je tiens à ma vie. Les autres, ils peuvent bien crever, tant que je reste envie. Me, myself, and I. Moi, quoi.
Après, au sujet de la vie des bandits primés… Bah sur la feuille, c’est bien écrit « Dead or Alive ». Et ça, ça veut tout dire. En général, j’évite de les tuer, c’est plus galère à transporter. Alors je les blesse juste. Mais s’ils meurent, c’pas grave hein. J’aurais juste à les porter sur mon dos !
Et mon rapport à l’argent... j’aime l’argent, car il me permet d’acheter de meilleures armes. Je suis très matérialiste, voyez, j’ai besoin d’avoir tout ça avec moi. Pour moi, une arme, il faut qu’en plus d’être efficace, elle soit bien ouvragée. Et puis, à force, j’ai le pognon pour m’acheter des armes comme ça. Il n’y a que ma lame à dépecer que je ne changerai jamais. Cette lame, c’est ma mémoire. Le reste, je m’en tape, du moment que j’ai de quoi tirer à distance comme à courte portée. Et, lorsque je n’ai plus de munition – chose qui arrive rarement vu la quantité avec laquelle je me trimballe –, j’utilise mes couteaux de lancer. Et toutes ces choses, j’ai besoin de les sentir contre moi, sinon je me sens mal.
Enfin, le café. Parce que oui, faut en parler. C’est relativement simple : je ne peux pas m’en passer. En fait, ça m’aide à me concentrer et à réfléchir, à organiser mes traques, et tout ça. Honnêtement, je serais capable de tuer n’importe qui rien que pour avoir ma dose de café. Sans elle, je ne suis plus rien, je tremble, je m’effondre, je suis incapable de tirer droit ou de me battre. J’ai besoin de café. Et ça affecte fortement ma manière d’être. Je deviens complètement malade quand je n’ai pas ma dose. Oui, je suis un drogué. Non, je n’essaierai pas de me sevrer. Car cette dose me permet de faire des exploits incroyables !
Ah, et on m'appelle Blue, même si j'aime pas. Je voue une sorte de culte au nom de Bartimeus Law U. Ether. Mais tout le monde s'évertue à m'appeler Blue, parce que Bartimeus Law U. Ether, c'est trop long pour eux. Alors ils prennent les initiales. Bon, je m'y suis fait hein !
Enfin, bref !>> BiographieViser... Tirer.
La balle traverse la tête du bandit, qui ne s'attendait à rien. Il s'effondre au milieu de la rue, déserte.
- Merdeeeuuuh !
Encore accoudé au parapet en haut du bâtiment qui m’a servi de point de tir, je chope ma tasse de café et en engloutis le contenu.
- Aaahh ! Eh beh, ça va mieux !
Je me remets en joue, vise, et...
- Ah oui mais non, ça sert plus à rien là...
Le café, il aurait fallu le prendre avant...
Mais la question, c'est : comment j'en suis arrivé là ? Non, pas tuer un mec, ça c'est banal... Je parle d'être accroc au café comme ça. Remarquez, c'est assez sympa, c’est ma petite potion magique à moi.
* * *Il y avait ce gosse, Bartimeus, qui traînait tout le temps avec un ami, un certain Blaise. Ils vadrouillaient par monts et par vaux sur leur île d’origine, quelque part en West Blue. Leur quotidien se résumait en chamailleries, coups fourrés et bonnes parties de rigolade. Les parents du petit Blaise l’avaient abandonné à l’orphelinat à sa naissance, n’assumant pas la charge d’avoir un enfant. Selon le responsable du centre, lesdits parents étaient directement retournés d’où ils venaient, sur Grand Line. Car, malgré leur refus de s’occuper d’un gosse, ils avaient préféré le déposer sur une terre plus hospitalière que celle de leur quotidien.
La famille de Bartimeus avait alors, finalement, recueilli le petit orphelin, qui était donc devenu presque un frère dans la famille. Les deux garçons avaient le même âge, et un caractère similaire en ce qui concernait les divertissements. Mais bon, vous me direz que tous les enfants savent s’amuser ensemble. Mais ces deux-là… Ces deux-là avaient quelque chose, quelque chose qui les rapprochait.
Il paraissait que certaines personnes avaient un petit truc en eux qui les faisaient s’entendre entre elles, naturellement. Mais rien n’avait jamais été prouvé à ce propos, ni expérimenté. Quoi qu’il en soit, Bartimeus et Blaise traînaient exclusivement l’un avec l’autre.
Vous vous doutez bien évidemment de la suite ? Allez, vous allez voir, c’est classique, je vous le donne en mille : le pauvre petit orphelin n’est dans cette histoire que pour mourir et donner une raison à Bartimeus de partir à l’aventure, désireux de le venger. Et malheureusement, c’est comme ça que toutes les histoires commencent, et sachez que ça n’est pas si loin de ce qui est effectivement arrivé ! Que voulez-vous, on ne se refait pas, on ne peut pas renier ses origines et s’inventer un nouveau passé !
Quoi que…
Un jour, les deux gamins partirent de nouveau à l’aventure, comme chaque jour. Ils poussaient à chaque fois plus loin dans l’île, découvrant la forêt, de nouvelles parties du littoral, des criques cachées, des crevasses dissimulées, et tant d’autres merveilles renfermées dans cette magnifique île.
Mais, alors qu’ils arrivaient dans une petite crique, ils aperçurent un navire arborant le drapeau noir des pirates, mouillant là. L’équipage avaient débarqué, et semblait chercher un endroit pour dissimuler un gros coffre que deux hommes à l’allure barbare portaient. Ils eurent l’air de trouver la cache adaptée, car ils creusèrent derrière un bosquet et dissimulèrent leur précieux butin.
Une fois leur tâche terminée, ils partirent tous un peu plus haut sur la colline.
Même si les deux garçons étaient très proche niveau caractère, Blaise était un poil plus intrépide.
- Un trésor piraaaaate ! Viens viens viens, Barti !
- Tu crois ? Faut pas qu’ils nous voient !
- T’inquiète, t’as peur ou quoi ? Allez grouille !
Ils allèrent donc, avec une furtivité toute relative, explorer le fameux bosquet, et y déterrèrent le trésor. Lorsqu’ils ouvrirent le coffre, leurs yeux reflétèrent le brillant doré de leur trouvaille.
- Eh, vous faites quoi là ?
Un immense pirate se dressait derrière eux, les surprenant dans leur larcin.
- Euh, non mais on regardait juste hein, on vole rien !
- Ouais c’est ça ! Vous savez pas à qui vous avez à faire !
Il tendit une affiche devant leurs yeux, une affiche le représentant.
- Ma tête vaut quatre millions de berries ! Et ça fait trois ans que ma prime grossit, et personne n’arrive à m’attraper ! Alors c’est pas deux petits morveux qui vont venir me piller comme ça !
Le capitaine pirate attrapa alors Blaise par le col et entama un geste pour l’envoyer à ses hommes. Mais le petit Bartimeus bondit sur la jambe du grand homme et le mordit à pleines dents, le faisant hurler et l’obligeant à lâcher sa prise sur le môme, qu’il envoya valser dans les bosquets.
- Coooourt Blaise ! T’occupe pas de moi !
Alors Blaise se mit à courir, poursuivi par des pirates. Au détour d’un rocher, il parvint à se cacher. Mais il entendit l’homme primé lui hurler :
- On a ton copain ! Si tu viens, on vous tue tous les deux rapidement, si tu viens pas, on va le torturer et il mourra dans d’atroces souffrances !
- Reste caché Blaise ! Ne vigglgmglghhhggmmmm…
- Tais-toi, toi !
GNAP
- Aïeuh !
- Ne viens pas, ne viens surtout pas !
- Y m’a mordu ! Embarquez-le, on lève l’ancre ! Reprenez le trésor !
Blaise était pétrifié, il n’osait même plus respirer. Et cela dura encore longtemps, jusqu’à ce que la nuit tombe sur l’île. Comment allait-il expliquer cela aux parents de Barti ? Il l’avait sauvé… Qui sait ce qui était advenu de lui ?
Il fut incapable de rentrer à la maison, et profita des recherches menées par les parents et leurs voisins pour passer par une fenêtre, attraper des affaires, un couteau grand couteau à dépecer, et s’en alla à l’autre bout de l’île. Arrivé au seul port insulaire, il s’arrangea pour se faufiler dans un bateau de commerce qu’il savait non-originaire d’ici, de manière à ne pas pouvoir être reconnu.
Durant la traversée, il fut découvert par un matelot, qui l’amena devant le capitaine. Celui-ci lui demanda son nom.
Son nom ?
- Bartimeus Law U. Ether, m’sieur.
- C’est un nom bizarre, ça !
- Oui mais c’est mon nom !!
Interdiction de cracher sur un tel nom, le nom de celui qui l’avait sauvé des pirates ! Désormais, il arborerait fièrement son nom, plutôt que d’être Blaise, il serait Bartimeus.
- Bon, on va te ramener là d’où tu viens… On demandera là-bas à être payé !
- NON ! Je veux partir ! Et puis, personne ne pourra vous payer, là-bas…
- Hehe, gamin ! Et tu comptes faire quoi, en mer ?
- J’veux capturer toutes ces enflures de pirates dont personne ne s’occupe !
- HAHA ! Tu me fais bien rire !
Celui qui avait tué le petit Barti voguait tranquillement, alors qu’il avait une prime sur sa tête. Cela ne pouvait plus être. Dès lors, le nouveau Bartimeus savait ce qu’il allait faire de sa vie.
- C’est vrai d’abord !
- Et t’as quel âge, mon p’tit ?
- Huit ans…
- Et comment tu comptes me payer ta traversée à bord ?
- Avec une prime que j’aurai en capturant un pirate !
- Haha ! Mais je peux pas attendre, moi, tu consommes, tu payes !
- Alors je peux p’t’être travailler pour vous ?
- Eh bah oui, t’es pas si lent à la détente ! Allez, va en cuisine, le chef va s’occuper de te trouver quelque chose d’utile à faire. Il a besoin d’un commis.
Le capitaine attrapa une plume et un bout de papier.
- Hep attend. Tu m’as dit que tu t’appelais comment déjà ?
- Bartimeus Law U. Ether.
Il écrivit le nom complet.
- Mouais… B.. L.. U.. E.. Ce sera mieux, on va t’appeler Blue !
- Nan ! Appelez-moi Bartimeus Law U. Ether !
- C’est trop long, gamin ! Et Blue ça va avec tes yeux !
- Alors au moins Bartimeus !
Pas question de gâcher un si joli nom ! Pas question de renier celui qui l’a sauvé !
- Non non, Blue ça va très bien. Regarde, ce sont les initiales de ton nom.
- Mais je m’appelle pas Blue ! Je m’appelle Bartimeus Law U. Ether !
- Allez, va en cuisine, Blue !
Le cuisinier l’attrapa par le col et l’emmena.
- BARTIMEUS LAW U. ETHER !!!
- Travaille bien, BLUE !
* * *Pendant des années – de très nombreuses années –, celui qu’on appelait à chaque fois Blue contre son gré, et cela malgré ses nombreuses crises de nerfs à ce sujet, vogua à travers toutes les Blues. Son but : capturer les criminels recherchés par la Marine, leur amener et toucher la prime. Il avait, au passage, acquis une carte officielle de chasseur de primes, lui permettant de travailler en toute légalité.
Avec cet argent, il put s’offrir un attirail conséquent, de manière à toujours chasser de meilleures têtes. Il apprit le tir à bout portant comme à longue distance, le lancer de couteaux, et maintint en activité annexe la chasse et la pêche pour se nourrir lorsque les proies humaines venaient à manquer.
* * *Voyez, c’était pas bien compliqué ! Ma vie, elle est assez simple. Je pourrais vous en parler longtemps, comme la fois où j’ai arrêté un pirate qui n’avait ni jambes ni bras, mais dont le charisme était suffisant pour continuer à donner des ordres à son équipage. Oh, vous auriez vu la tête des Marines quand je leur ai amené ce fameux « John aux Bras Sanglants » ! Il portait bien son nom, le bougre.
Ah mais, attendez ! J’ai oublié de vous parler du café ! C’est pourtant pas si anodin.
Le café, ça a commencé en même temps que mes traques nocturnes. C’est simple à expliquer hein, je vais pas vous tenir ici des heures. En fait, fallait pas s’endormir. Or, j’étais fatigué. Donc j’ai pris pour habitude d’emmener du café et tout le tralala pour tenir debout lorsque j’attendais mes ptites primes sur pattes. Depuis, j’ai un gros problème : impossible de viser juste quand j’ai pas ma dose de caféine. Je sais qu’un jour je vais devoir me l’injecter en intraveineuse, mais bon… J’ai encore quelques temps j’espère avant que ça n’arrive !
Quoi qu’il en soit, que ce soit pour tirer ou pour me battre, j’ai besoin de boire du café, beaucoup de café. Au moins, ça réchauffe le cœur dans les longues soirées de planque en hiver ! Mais ça ne me réveille plus, désormais. Non, ça me maintient juste capable de faire ce pourquoi je vogue partout sur les Blues : chasser des primes.
Et puis... Moi, j'aime bien le café.
Enfin, bref !>> Test RP
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________Informations IRL
Prénom : Clément
Age : 22
Aime : Plein de trucs !
N'aime pas : Peu de choses
Personnage préféré de One Piece : Shanks, entre autres
Caractère : MWAHAHAHAHA ! Ahem, pardon...
Fait du RP depuis : Quelques années
Disponibilité approximative : Souuuvent ! Quotidienne !
Comment avez-vous connu le forum ? Google
Dernière édition par Blue le Mar 11 Nov 2014 - 18:03, édité 12 fois