Salut les gens !
Voilà une demande de plus pour mon empire.
Merci d'avance pour le passage.
Nom : Champ des oubliés
Lieu d'implantation : Grand Line, dans une faille abyssale.
Lien vers le lieu d'implantation : https://www.onepiece-requiem.net/f131-autres-iles
Type de boutique : Possibilités RP, (gains minimes, donc directement envoyés dans les salaires)
Lien avec le personnage : Cette boutique entre dans la suite direct du trio Bloody Palm, Abyss and Co. et Hydra corporation. Lieu idéal pour cacher des clandestins et surtout garder des prisonniers, il s’agit aussi là d’un bon moyen d’éliminer définitivement les ennemis de Toji sans pour autant avoir à les tuer (ce qui lui est interdit maintenant).
Surface : Immense
Qualité des services/marchandises: Hospitalité rude, mais religion du secret impeccable. ^^
Matériel ou matière brut utilisée : Des containers habitables haute sécurité, des gens (très souvent contre leur grès).
Employés (nombre, type, noms, dorikis):
> Brochard « porte blindée » (2000 dorikis)
Ex-lieutenant de Skylla, Brochard n’a eut que faire de changer de patron. Pour peu qu’on le laisse tranquille au fond des océans et qu’on lui offre une activité, peu importe les rancunes d’antan. Car Brochard est un homme simple au goût simple : le travail, c’est la santé ; même si elle se fait au dépend de celle des autres. L’homme prend donc plaisir à ce que les rouages dont il a la charge roulent sans accroc, peu importe qui il y a aux commandes.
Brutal, intransigeant, sans pitié, rigoureux… Brochard a vite fait d’être un prétendant idéal au poste de garde-chiourm. Son visage toujours fermé lui a valu son doux surtout de « porte blindée »
Plus que tout, Brochard aime le silence des fonds marins et de ses pensionnaires, ce qui lui permet de se pencher sereinement sur sa plus grande passion : les jeux de sociétés, auxquels il joue régulièrement avec ses hommes qui ne sont pas de service pour tuer le temps. Ca triche à tout va, ok ; mais gare à celui qui osera hausser le ton dans ce lieu de calme !
> Les matons (15* 100 dorikis) :
Une quinzaine d’hommes poissons, tous anciens membres du gang de skylla qui se sont retrouvé suite au putsch de Toji sans emploi et sans foyer. Incapables de rentrer dans le moule civilisé du nouvel ordre qui règne sur l’île sous marine, il a bien fallu leur trouver une activité avant qu’ils ne tournent mal.
Les voilà donc matons brutaux de la prison sous marine de Thunder F., activité qui leur demande peu d’effort et pas mal de méchanceté, ce qui leur convient très bien. Il faut bien dire que perdu au fond des océans, ce n’est ni les voisins ni les locataires qui posent soucis.
Coût du bâtiment : 100 Millions devraient suffire à assurer quantité de place et bonne protection/discrétion.
Total des Dorikis du personnel : 3500 D
Description de la boutique/employés/ etc... :
Face au nombre constant de victime (esclaves ou cibles de contrat) que Bloody palm capture et doit héberger, Toji s’est v u contraint d’améliorer ses capacités à maintenir captif sous les eaux les victimes de son réseau. De plus, Toji ne s’autorisant plus à tuer, il a du trouver une solution fiable pour mettre hors d‘état de nuire ses opposants, sans pour autant leur ôter la vie. De là est né le projet « champ des oubliés ».
Caché au fond d’une discrète faille sous marine à plusieurs milliers de mètres de profondeur, loin de toute faune et des courants, ce projet consiste en un immense champ de containers spécialement conçus, disséminés sur le fond marin. Ces containers sont composés d’une cellule où un ou plusieurs prisonniers sont enchaînés, ainsi que d’un sas permettant aux gardiens de l’extérieurs de les nourrir sans les noyer pour autant, ainsi que de s’assurer des soins minimum nécessaires à une incarcération de très longue date.
Un système d’évacuation des eaux usées permet aux prisonniers de faire leurs commodités, néanmoins un système retour est également installé, permettant de noyer la cellule en quelques secondes sur un doute des geôliers.
Les containers sont tous isolés phonétiquement, ce qui en plus d’assurer la discrétion des lieux a pour but de plonger les occupants dans un silence traumatisant, notamment pour ceux enfermés seul, ad vitam.
Etre envoyé au « Champ des oubliés » revient le plus souvent à disparaître du monde à jamais, d’où son nom.
Les gardes patrouillent entre et autour des containers, s’assurant qu’aucune menace extérieure ou intérieure ne viendrait troubler la tranquillité des lieux.
Logistique:
Chercher la discrétion au fond des mers assure une certaine tranquillité vis-à-vis de tout le remue ménage qui se déroule à la surface de Grand Line, cependant cela n’exempte pas de quelques inconvénients : Les monstres marins errant et le ravitaillement.
Protection :
Même perdue dans une faille hostile du monde sous marin, il a fallu trouver un moyen afin d’éviter qu’un prédateur marin ne vienne ravager le camp et ses occupants lors de ses pérégrinations. Sachant pertinemment que Brochard ne serait jamais assez fort, Toji a du recourir à une autre méthode plus subtile : la chimie, répondant à la nature par la nature elle-même.
Extrait d’une algue et délivré en continue à dose minutieusement calculée, un produit répulsif (dont Toji a fait les frais contre le capitaine Jonas) se diffuse dans l’eau depuis le camp, repoussant inconsciemment toutes les créatures marines environnantes. En cas de monstre plus obtus, la raffinerie se doit alors d’envoyer une dose massive de produit dans l’eau, obligeant alors les gardiens pourtant accoutumés à se munir d’un filtre à eau pendant plusieurs heures pour ne pas eux même s’enfuir à grands coups de nageoires.
Ravitaillement :
Face à au problème de la profondeur et de la discrétion, le champ des oubliés est obligé de se soumettre à une logistique sombre et particulièrement prudente, qui lui permet d’être autant que possible en semi-autonomie.
>La plus grosse partie des repas sont sous forme de levures et d’algues cultivées sur place, maigre menu pour les pensionnaires qui y trouve tout juste de quoi survivre. Ca tombe bien, on ne leur demande pas plus. L’air quant à lui est directement produit au cœur des cellules via une algue marine qui imprègne les parois du sas sécurisé, et qui produit naturellement une faible quantité d’oxygène.
>Pour les gardiens par contre, cela implique de varier régulièrement le menu en organisant de prudentes chasses hors du rayon d’action du produit répulsif, ainsi que de se faire livrer certains produits élémentaires et introuvables via les Bloody palm (notamment le dernier supplément de Donjon & Poisson).
MerciVoilà une demande de plus pour mon empire.
Merci d'avance pour le passage.
Nom : Champ des oubliés
Lieu d'implantation : Grand Line, dans une faille abyssale.
Lien vers le lieu d'implantation : https://www.onepiece-requiem.net/f131-autres-iles
Type de boutique : Possibilités RP, (gains minimes, donc directement envoyés dans les salaires)
Lien avec le personnage : Cette boutique entre dans la suite direct du trio Bloody Palm, Abyss and Co. et Hydra corporation. Lieu idéal pour cacher des clandestins et surtout garder des prisonniers, il s’agit aussi là d’un bon moyen d’éliminer définitivement les ennemis de Toji sans pour autant avoir à les tuer (ce qui lui est interdit maintenant).
Surface : Immense
Qualité des services/marchandises: Hospitalité rude, mais religion du secret impeccable. ^^
Matériel ou matière brut utilisée : Des containers habitables haute sécurité, des gens (très souvent contre leur grès).
Employés (nombre, type, noms, dorikis):
> Brochard « porte blindée » (2000 dorikis)
Ex-lieutenant de Skylla, Brochard n’a eut que faire de changer de patron. Pour peu qu’on le laisse tranquille au fond des océans et qu’on lui offre une activité, peu importe les rancunes d’antan. Car Brochard est un homme simple au goût simple : le travail, c’est la santé ; même si elle se fait au dépend de celle des autres. L’homme prend donc plaisir à ce que les rouages dont il a la charge roulent sans accroc, peu importe qui il y a aux commandes.
Brutal, intransigeant, sans pitié, rigoureux… Brochard a vite fait d’être un prétendant idéal au poste de garde-chiourm. Son visage toujours fermé lui a valu son doux surtout de « porte blindée »
Plus que tout, Brochard aime le silence des fonds marins et de ses pensionnaires, ce qui lui permet de se pencher sereinement sur sa plus grande passion : les jeux de sociétés, auxquels il joue régulièrement avec ses hommes qui ne sont pas de service pour tuer le temps. Ca triche à tout va, ok ; mais gare à celui qui osera hausser le ton dans ce lieu de calme !
> Les matons (15* 100 dorikis) :
Une quinzaine d’hommes poissons, tous anciens membres du gang de skylla qui se sont retrouvé suite au putsch de Toji sans emploi et sans foyer. Incapables de rentrer dans le moule civilisé du nouvel ordre qui règne sur l’île sous marine, il a bien fallu leur trouver une activité avant qu’ils ne tournent mal.
Les voilà donc matons brutaux de la prison sous marine de Thunder F., activité qui leur demande peu d’effort et pas mal de méchanceté, ce qui leur convient très bien. Il faut bien dire que perdu au fond des océans, ce n’est ni les voisins ni les locataires qui posent soucis.
Coût du bâtiment : 100 Millions devraient suffire à assurer quantité de place et bonne protection/discrétion.
Total des Dorikis du personnel : 3500 D
Description de la boutique/employés/ etc... :
Face au nombre constant de victime (esclaves ou cibles de contrat) que Bloody palm capture et doit héberger, Toji s’est v u contraint d’améliorer ses capacités à maintenir captif sous les eaux les victimes de son réseau. De plus, Toji ne s’autorisant plus à tuer, il a du trouver une solution fiable pour mettre hors d‘état de nuire ses opposants, sans pour autant leur ôter la vie. De là est né le projet « champ des oubliés ».
Caché au fond d’une discrète faille sous marine à plusieurs milliers de mètres de profondeur, loin de toute faune et des courants, ce projet consiste en un immense champ de containers spécialement conçus, disséminés sur le fond marin. Ces containers sont composés d’une cellule où un ou plusieurs prisonniers sont enchaînés, ainsi que d’un sas permettant aux gardiens de l’extérieurs de les nourrir sans les noyer pour autant, ainsi que de s’assurer des soins minimum nécessaires à une incarcération de très longue date.
Un système d’évacuation des eaux usées permet aux prisonniers de faire leurs commodités, néanmoins un système retour est également installé, permettant de noyer la cellule en quelques secondes sur un doute des geôliers.
Les containers sont tous isolés phonétiquement, ce qui en plus d’assurer la discrétion des lieux a pour but de plonger les occupants dans un silence traumatisant, notamment pour ceux enfermés seul, ad vitam.
Etre envoyé au « Champ des oubliés » revient le plus souvent à disparaître du monde à jamais, d’où son nom.
Les gardes patrouillent entre et autour des containers, s’assurant qu’aucune menace extérieure ou intérieure ne viendrait troubler la tranquillité des lieux.
Logistique:
Chercher la discrétion au fond des mers assure une certaine tranquillité vis-à-vis de tout le remue ménage qui se déroule à la surface de Grand Line, cependant cela n’exempte pas de quelques inconvénients : Les monstres marins errant et le ravitaillement.
Protection :
Même perdue dans une faille hostile du monde sous marin, il a fallu trouver un moyen afin d’éviter qu’un prédateur marin ne vienne ravager le camp et ses occupants lors de ses pérégrinations. Sachant pertinemment que Brochard ne serait jamais assez fort, Toji a du recourir à une autre méthode plus subtile : la chimie, répondant à la nature par la nature elle-même.
Extrait d’une algue et délivré en continue à dose minutieusement calculée, un produit répulsif (dont Toji a fait les frais contre le capitaine Jonas) se diffuse dans l’eau depuis le camp, repoussant inconsciemment toutes les créatures marines environnantes. En cas de monstre plus obtus, la raffinerie se doit alors d’envoyer une dose massive de produit dans l’eau, obligeant alors les gardiens pourtant accoutumés à se munir d’un filtre à eau pendant plusieurs heures pour ne pas eux même s’enfuir à grands coups de nageoires.
Ravitaillement :
Face à au problème de la profondeur et de la discrétion, le champ des oubliés est obligé de se soumettre à une logistique sombre et particulièrement prudente, qui lui permet d’être autant que possible en semi-autonomie.
>La plus grosse partie des repas sont sous forme de levures et d’algues cultivées sur place, maigre menu pour les pensionnaires qui y trouve tout juste de quoi survivre. Ca tombe bien, on ne leur demande pas plus. L’air quant à lui est directement produit au cœur des cellules via une algue marine qui imprègne les parois du sas sécurisé, et qui produit naturellement une faible quantité d’oxygène.
>Pour les gardiens par contre, cela implique de varier régulièrement le menu en organisant de prudentes chasses hors du rayon d’action du produit répulsif, ainsi que de se faire livrer certains produits élémentaires et introuvables via les Bloody palm (notamment le dernier supplément de Donjon & Poisson).
Dernière édition par Toji Arashibourei le Ven 28 Nov 2014 - 10:38, édité 1 fois