Le voyage que j’avais entrepris pour aller à Orange me paraissait long, très long. Pas par le fait que cette île était assez éloignée, mais bien parce que le bateau allait vraiment en allure de croisière Le voyage dura 2 jours. C’est clandestinement que j’étais monté dans ce navire. C’est déjà pas mal que je n’ai rien payé. Durant mon voyage j’étais sorti de la calle, il fallait bien que je me dégourdisse un peu les jambes. Je montais l’échelle par petit bond. Au-dessus j’arrivais sur le pont. D’un coup, je vis une ombre très imposante me cacher le soleil. Sa grande main me prit par le col fermement. Je ne touchais plus le sol. En me soulevant, je distinguais désormais que c’était un homme avec une carrure très impressionnante qui m’avait soulevé comme une plume. Il avait rien à dire sur cet homme, brun ténébreux, baraqué. La seule chose qui faisait soucis était sa voix. Le problème c’est qu’elle était très aigüe. Ce qui décrédibilisait son allure intimidante.
- Eh toi ! Tu avais perdu quelque chose en dessous ?!
Un grand sourire c’était dessiné sur mon visage, j’avais envie d’exploser de rire, à cause de sa voix on pouvait littéralement mourir de rire ! Un petit éclat de rire que j’avais tant de mal à retenir pouffa. L’homme sachant que je me foutais de sa gueule commença à avoir les veines de son front qui ressortaient. Pour apaiser la situation je réussis à reprendre mon calme. Je m’adressais avec une voix légère et très calme.
- S’cusez-moi, j’cherchais ma bourse de berrys qu’j’avais égaré en bas. Gomen.
J’avais fini par retoucher le pont. Je frottais avec mes mains mes vêtements, j’enlevais la poussière et les microbes de cet homme, au cas où si sa voix n’était pas contagieuse. Septique il voulait s’assurer que je faisais vraiment parti du navire.
- Vos papiers s’il vous plaît.
J’avais tout pensé. J’avais piqué un papier d’autorisation à une personne. D’ailleurs cette personne c’était faite arrêter. Je lui présentais ce papier sans trop de soucis. Par la suite il repartit dans son coin en s’excusant tout gêné. *Ouais, tu as raison, la prochaine fois tu auras moins de chance tu goutteras à mon poing !* Ceci n’était que le fond de mes pensées.
C’est qu’après l’échange fini que j’allais me mêler à la foule qui observait sur le pont les alentours. D’autres étaient entrés encore dans leurs cabines à dormir où à jouer aux cartes et pleins d’autres choses. Je voyais l’île Orange au loin, un volcan magnifique .Je laissais un soupir de soulagement s’exprimer.
- Ah…. Orange la nouvelle île pour continuer mon aventure !
Un passager éclata de rire en entendant mes paroles. Je me demandais ce qu’il y avait de si drôle dans mes paroles. Je me retournais vers lui pendant que lui était au sol plié en deux à rire à gorge déployée.
- Qu’est c’qui à d’marrant ?
Le jeune homme essayait ses larmes de joie et pris plusieurs grandes inspirations pour se calmer. Ce n’est qu’ensuite qu’il m’expliqua ses raisons.
- L’île où nous allons arriver est Tequila Wolf ! On est loin d’Orange ! Ihihih !
Il repartit dans son délire. Quant à moi je fus très surpris. Sans doute qu’à ce moment là je parus blanc comme du lait. Je me tenais aux rebords du navire et je me laissais glisser sur la rambarde. Je me rendais compte de ma connerie. Le bateau allant à Orange était celui à côté de celui-là. Je pris mon visage dans mes mains et je fis glisser mes mains sur mon visage vers le bas. Ce qui tirait toute la peau en bas. Cà faisait une vilaine grimace. *Quel con… * Le rythme de la croisière commença à s’accélérer. Je voyais les matelots courir de partout. Le second du capitaine du navire ordonnait que tout le monde rejoignent leurs cabines. Les civils s’hâtèrent à aller dans leurs cabines. Le pont laissait place désormais à la tension. Une atmosphère lourde régnait. Le Capitaine me voyant encore sur le pont me cria dessus.
- Rentrez tout de suite dans votre cabine et mettez votre gilet de sauvetage !
Pour la première fois j’écoutais un étranger qui me donnait des ordres. Je gardais mon sang-froid, le navire tanguais de plus en plus et accélérais grandement. C’est avec difficultés que j’atteignis ma cabine. Dorénavant j’étais en sécurité mais toujours dans l’ignorance. Dans les cabines ils y avaient deux couchettes. Je me couchais sur celle de gauche en m’accrochant à un objet fixé au navire. Je vis ensuite qu’un autre homme entra dans la cabine. Sans doute mon voisin de couchette. Il portait un uniforme, c’était tout simplement un matelot qui venait avertir les passagers.
- Le Capitaine s’est évanoui ! Nous n’avons plus personne à la barre veuillez évacuer vers le pont.
Arf… la situation était critique. Ils n’avaient plus de navigateur ? Je regardais le visage affolé du jeune garçon surement qu’il devait avoir la quinzaine. Je me levais en souriant légèrement en coin de lèvre. Je me dirigeais le garçon puis je lui tapotais l’épaule pour le rassurer.
- Oi mon garçon. N’t’en fais pas, je ferai voguer c’navire. Je suis un navigateur après tout.
L’enfant avait les yeux écarquillé. Je m’éloignais de lui. Me voyant aller tranquillement à la cabine du capitaine il restait abasourdi par mon calme te ma tranquillité. C’est vrai que j’étais fort pour garder mon sang-froid et de ne pas laisser la peur m’envahir. Mais au fond de moi j’avais peur que ça soit au-dessus de mes capacités, je pensais pour me rassurer qu’il n’y avait pas de raison. Une fois arrivé dans la cabine de celui qui faisait voguer ce navire je remarquais que son second tenait la barre mais il n’avait aucune expérience en navigation. En me voyant entré il ordonnait de sortir immédiatement et de sortir, foutaise ! Je suis là pour aider. Il devait lui à son tour être âgés de la vingtaine. Un débutant.
- Laisse-moi la barre petit. Je suis navigateur.
Je pris d’une poigne de fer la barre. Elle était difficile à redresser pour suivre le bon chemin pour pouvoir arriver sain et sauf. C’est là que je forçais de toutes mes forces. Ce tourbillon allait nous emmener droit au fond de l’océan si je n’arrivais pas à redresser cette barre. Je forçai de plus en plus, je crus d’ailleurs faire exploser un de mes muscles tellement que je forçai, je voulais faire arriver ce navire à bon port ! Je voulais qu’il n’y ai pas de mort ! Je m’énervai sur cette barre. Je voulais vivre comme tous ceux sur ce navire. Je sentais la barre peu à peu aller dans mon sens quand tout à coup elle se laissa faire. Je réussis à redresser le navire. Ceci était arrivé grâce à ma volonté d’y arriver. La volonté était essentielle. Pfiou sa y est j’y suis arrivé. Je regardais le gamin qui commençait à sauter de joie. Moi-même au fond de moi j’étais soulagé malgré que je commençais à m’inquiéter.
- Aller gamin reprend la barre et mène nous à bon port.
Je sortis de la cabine du capitaine en direction du pont. Je vis tous les passagers sortirent sur le pont. Tous furent heureux. Certains pleuraient de joie. J’étais fier de ce que j’avais fait. Tous m’acclamèrent enfin ils acclamaient le second du capitaine qui était à la barre. Je n’ébruitais pas que celui qui les avaient sauvé était moi. Je ne cherchais pas à être un héros mais juste à me venger. J’espérai d’ailleurs trouver des informations sur cette île.
Une heure plus tard nous étions arrivés à destination. Sur l’île il neigeait. Punaise qu’est ce qu’il faisait froid ! Je me hâtai à trouver une auberge. Je sentis quelqu’un me choper le bras.
- Venez dans notre auberge, c’est la moindre des choses que je peux faire pour vous remercier. C’est une auberge assez riche. Le Capitaine voulait me féliciter en m’y invitant alors je voulais aussi inviter le vrai héros.
Je me demandais qui voulait me remercier. Quand je me retournais que je vis le second du navire ! Nous allâmes dans son auberge, c’est sûr que sa changeait de mes auberges, l’architecture gothique était très jolie et était très bien fini. Les auberges où je dors d’habitude n’ont même pas fini leurs bâtiments où alors ne les réparent pas et ne les entretiennent pas. C’étaient tellement propre que je n’osais pas rentrer dedans. J’enlevai mes chaussures pour entrer, la réception m’ordonna ensuite de les remettre, j’empestais l’auberge apparemment pff… même pas vrai. On rejoignit le capitaine du navire qui c’était évanouit. Je passai une bonne soirée, je m’étais goinfré comme un sagouin et bu comme jamais avant. C’est le ventre et le foie bien remplit que je me couchais dans un lit bien douillet. Je fus tellement bien installé que je m’endormis deux secondes après. Je dormais paisiblement, ce fut une des première nuit d’ailleurs où je ne fis pas de cauchemars ou que je ne me réveillais pas en pleins milieu enfin c’est vite dit.
Durant la nuit une boule roula dans la chambre pendant que je dormais pendant qu’elle roulait un bruit bizarre venait de cette dernière.
PSSSCCCCHHHHTTTT
Je sentais quelque chose qui venait perturber mon sommeil. Une… une odeur désagréable qui agressa mes narines. Oh ! Punaise ça empestait ! Je me réveillais sursaut, c’est en me réveillant que j’entendis un bruit d’enfant s’éloigner. *Mon coco tu aurais jamais du faire ça.*
- Eh toi ! Tu avais perdu quelque chose en dessous ?!
Un grand sourire c’était dessiné sur mon visage, j’avais envie d’exploser de rire, à cause de sa voix on pouvait littéralement mourir de rire ! Un petit éclat de rire que j’avais tant de mal à retenir pouffa. L’homme sachant que je me foutais de sa gueule commença à avoir les veines de son front qui ressortaient. Pour apaiser la situation je réussis à reprendre mon calme. Je m’adressais avec une voix légère et très calme.
- S’cusez-moi, j’cherchais ma bourse de berrys qu’j’avais égaré en bas. Gomen.
J’avais fini par retoucher le pont. Je frottais avec mes mains mes vêtements, j’enlevais la poussière et les microbes de cet homme, au cas où si sa voix n’était pas contagieuse. Septique il voulait s’assurer que je faisais vraiment parti du navire.
- Vos papiers s’il vous plaît.
J’avais tout pensé. J’avais piqué un papier d’autorisation à une personne. D’ailleurs cette personne c’était faite arrêter. Je lui présentais ce papier sans trop de soucis. Par la suite il repartit dans son coin en s’excusant tout gêné. *Ouais, tu as raison, la prochaine fois tu auras moins de chance tu goutteras à mon poing !* Ceci n’était que le fond de mes pensées.
C’est qu’après l’échange fini que j’allais me mêler à la foule qui observait sur le pont les alentours. D’autres étaient entrés encore dans leurs cabines à dormir où à jouer aux cartes et pleins d’autres choses. Je voyais l’île Orange au loin, un volcan magnifique .Je laissais un soupir de soulagement s’exprimer.
- Ah…. Orange la nouvelle île pour continuer mon aventure !
Un passager éclata de rire en entendant mes paroles. Je me demandais ce qu’il y avait de si drôle dans mes paroles. Je me retournais vers lui pendant que lui était au sol plié en deux à rire à gorge déployée.
- Qu’est c’qui à d’marrant ?
Le jeune homme essayait ses larmes de joie et pris plusieurs grandes inspirations pour se calmer. Ce n’est qu’ensuite qu’il m’expliqua ses raisons.
- L’île où nous allons arriver est Tequila Wolf ! On est loin d’Orange ! Ihihih !
Il repartit dans son délire. Quant à moi je fus très surpris. Sans doute qu’à ce moment là je parus blanc comme du lait. Je me tenais aux rebords du navire et je me laissais glisser sur la rambarde. Je me rendais compte de ma connerie. Le bateau allant à Orange était celui à côté de celui-là. Je pris mon visage dans mes mains et je fis glisser mes mains sur mon visage vers le bas. Ce qui tirait toute la peau en bas. Cà faisait une vilaine grimace. *Quel con… * Le rythme de la croisière commença à s’accélérer. Je voyais les matelots courir de partout. Le second du capitaine du navire ordonnait que tout le monde rejoignent leurs cabines. Les civils s’hâtèrent à aller dans leurs cabines. Le pont laissait place désormais à la tension. Une atmosphère lourde régnait. Le Capitaine me voyant encore sur le pont me cria dessus.
- Rentrez tout de suite dans votre cabine et mettez votre gilet de sauvetage !
Pour la première fois j’écoutais un étranger qui me donnait des ordres. Je gardais mon sang-froid, le navire tanguais de plus en plus et accélérais grandement. C’est avec difficultés que j’atteignis ma cabine. Dorénavant j’étais en sécurité mais toujours dans l’ignorance. Dans les cabines ils y avaient deux couchettes. Je me couchais sur celle de gauche en m’accrochant à un objet fixé au navire. Je vis ensuite qu’un autre homme entra dans la cabine. Sans doute mon voisin de couchette. Il portait un uniforme, c’était tout simplement un matelot qui venait avertir les passagers.
- Le Capitaine s’est évanoui ! Nous n’avons plus personne à la barre veuillez évacuer vers le pont.
Arf… la situation était critique. Ils n’avaient plus de navigateur ? Je regardais le visage affolé du jeune garçon surement qu’il devait avoir la quinzaine. Je me levais en souriant légèrement en coin de lèvre. Je me dirigeais le garçon puis je lui tapotais l’épaule pour le rassurer.
- Oi mon garçon. N’t’en fais pas, je ferai voguer c’navire. Je suis un navigateur après tout.
L’enfant avait les yeux écarquillé. Je m’éloignais de lui. Me voyant aller tranquillement à la cabine du capitaine il restait abasourdi par mon calme te ma tranquillité. C’est vrai que j’étais fort pour garder mon sang-froid et de ne pas laisser la peur m’envahir. Mais au fond de moi j’avais peur que ça soit au-dessus de mes capacités, je pensais pour me rassurer qu’il n’y avait pas de raison. Une fois arrivé dans la cabine de celui qui faisait voguer ce navire je remarquais que son second tenait la barre mais il n’avait aucune expérience en navigation. En me voyant entré il ordonnait de sortir immédiatement et de sortir, foutaise ! Je suis là pour aider. Il devait lui à son tour être âgés de la vingtaine. Un débutant.
- Laisse-moi la barre petit. Je suis navigateur.
Je pris d’une poigne de fer la barre. Elle était difficile à redresser pour suivre le bon chemin pour pouvoir arriver sain et sauf. C’est là que je forçais de toutes mes forces. Ce tourbillon allait nous emmener droit au fond de l’océan si je n’arrivais pas à redresser cette barre. Je forçai de plus en plus, je crus d’ailleurs faire exploser un de mes muscles tellement que je forçai, je voulais faire arriver ce navire à bon port ! Je voulais qu’il n’y ai pas de mort ! Je m’énervai sur cette barre. Je voulais vivre comme tous ceux sur ce navire. Je sentais la barre peu à peu aller dans mon sens quand tout à coup elle se laissa faire. Je réussis à redresser le navire. Ceci était arrivé grâce à ma volonté d’y arriver. La volonté était essentielle. Pfiou sa y est j’y suis arrivé. Je regardais le gamin qui commençait à sauter de joie. Moi-même au fond de moi j’étais soulagé malgré que je commençais à m’inquiéter.
- Aller gamin reprend la barre et mène nous à bon port.
Je sortis de la cabine du capitaine en direction du pont. Je vis tous les passagers sortirent sur le pont. Tous furent heureux. Certains pleuraient de joie. J’étais fier de ce que j’avais fait. Tous m’acclamèrent enfin ils acclamaient le second du capitaine qui était à la barre. Je n’ébruitais pas que celui qui les avaient sauvé était moi. Je ne cherchais pas à être un héros mais juste à me venger. J’espérai d’ailleurs trouver des informations sur cette île.
Une heure plus tard nous étions arrivés à destination. Sur l’île il neigeait. Punaise qu’est ce qu’il faisait froid ! Je me hâtai à trouver une auberge. Je sentis quelqu’un me choper le bras.
- Venez dans notre auberge, c’est la moindre des choses que je peux faire pour vous remercier. C’est une auberge assez riche. Le Capitaine voulait me féliciter en m’y invitant alors je voulais aussi inviter le vrai héros.
Je me demandais qui voulait me remercier. Quand je me retournais que je vis le second du navire ! Nous allâmes dans son auberge, c’est sûr que sa changeait de mes auberges, l’architecture gothique était très jolie et était très bien fini. Les auberges où je dors d’habitude n’ont même pas fini leurs bâtiments où alors ne les réparent pas et ne les entretiennent pas. C’étaient tellement propre que je n’osais pas rentrer dedans. J’enlevai mes chaussures pour entrer, la réception m’ordonna ensuite de les remettre, j’empestais l’auberge apparemment pff… même pas vrai. On rejoignit le capitaine du navire qui c’était évanouit. Je passai une bonne soirée, je m’étais goinfré comme un sagouin et bu comme jamais avant. C’est le ventre et le foie bien remplit que je me couchais dans un lit bien douillet. Je fus tellement bien installé que je m’endormis deux secondes après. Je dormais paisiblement, ce fut une des première nuit d’ailleurs où je ne fis pas de cauchemars ou que je ne me réveillais pas en pleins milieu enfin c’est vite dit.
Durant la nuit une boule roula dans la chambre pendant que je dormais pendant qu’elle roulait un bruit bizarre venait de cette dernière.
PSSSCCCCHHHHTTTT
Je sentais quelque chose qui venait perturber mon sommeil. Une… une odeur désagréable qui agressa mes narines. Oh ! Punaise ça empestait ! Je me réveillais sursaut, c’est en me réveillant que j’entendis un bruit d’enfant s’éloigner. *Mon coco tu aurais jamais du faire ça.*
Dernière édition par Daemon Wall le Mar 16 Déc 2014 - 15:15, édité 4 fois