Ca fait quatre ans depuis ce carnage. Il n’arrêtait pas de me hanter. C’est toujours la même chose. Mes frères qui s’éloignent de moi. Pourtant je leur cours après mais rien à faire. Ils n’arrêtent pas de s’éloigner de plus en plus. J’entends leurs voix disant que c’est de ma faute. Pour qu’à la fin une géante ombre les tuent devant mes yeux et qu’elle commence à me sauter dessus. Là, je me réveille en sursaut, comme chaque nuit.
Comme cette nuit d’ailleurs, il était quatre heures du matin. Je venais de me réveiller tout transpirant dans le lit inconfortable de l’auberge pourrit où je logeais. Je me levais de ce lit qui me créait des affreux problèmes de dos. Je ne pouvais pas rester discret. Le lit grinçait de telle que sans doute l’auberge entière était réveillée. J’enfilai mes habits, il fallait que j’aille me changer les idées. Je marchais jusqu’à la porte. Le parquet bruyant provoquait la colère du voisin de dessous qui voulait dormir tranquillement. J’ouvris la porte, la poignée me resta entre la main. J’avançai dans le noir, enfin pas tout à fait. La Lune éclairait mon chemin. La poignée de la porte en main un que je traversai les escaliers bancals. Une fois arrivé devant le comptoir je posai délicatement la poignée et je sortis de cette auberge minable. J’allai dans la forêt où j’avais l’habitude de m’entraîner. Elle n’était pas très loin des dojos de la ville.
Là-bas je passais mon temps à m’entraîner, j’entamai comme chaque soir le même rituel. Je commençais par un jogging matinal autour de la forêt sur une dizaine de kilomètres.
Par la suite je continuais avec une série de cinquante pompes.
Ce n’est qu’ensuite une fois les jambes moins lourdes je recommençais le même jogging.
Je finissais toujours avec une série de cinquante flexions. Durant mon dur-labeur je pensais à des nouvelles techniques, offensives, défensives, technique de fuites. Ce jour me vint une idée de technique. C’est là où je voulus l’a testé. Je me rendis au milieu tout du moins ce qui devait être le milieu de la forêt. J’enlevai ma longue veste blanche. Je me concentrai. Dix arbres m’entouraient. Et là je partis tout à coup.
- Utimate Fighter gatling.
Ma technique consistait à reprendre ma technique « Ultimate Fighter ». J’enlevai mon cache-œil et je gagnais en puissance. Ma force augmentait considérablement tout comme ma vitesse. Je donnai alors un coup à un arbre, puis un second à un autre, un troisième à un autre de nouveau. Etc… . A la fin j’avais enchaîné cette technique avec une telle force et une telle vitesse que ça ne m’avais pas pris plus de quinze secondes pour toucher chacun des dix arbres m’entourant. Tout ça en créant un gros trou dans leurs troncs. Pour améliorer ma force et ma vitesse je pensais au passé. Je pensais à mes frères, à mon père. Aux conséquences, si je n’avais pas été si faible que ce serait-il passé ? Mes poings étaient donc remplient de rage et de détermination.
Je voulais devenir plus fort. Telle était ma conviction. Je savais très bien qu’à l’époque, seul et avec ma seule force je ne pouvais rien faire contre un gradé de la Marins. De plus plusieurs questions vinrent trotter dans mon esprit. « Pourquoi ont-ils fait ça ? » « Est-ce que un de mes frères est en vie ? » « Si j’aurais gagné la bataille et ainsi gagné la guerre, notre Oncle ne nous aurait pas trahi et que serait-il advenu de notre île ? ».
Ce n’était pas le moment de se poser toutes ces questions. Le temps passait vite. J’avais fini mon entraînement à dix heures du matin. Il était temps pour moi d’aller en ville et d’essayer de gagner un peu d’argent.
Comme cette nuit d’ailleurs, il était quatre heures du matin. Je venais de me réveiller tout transpirant dans le lit inconfortable de l’auberge pourrit où je logeais. Je me levais de ce lit qui me créait des affreux problèmes de dos. Je ne pouvais pas rester discret. Le lit grinçait de telle que sans doute l’auberge entière était réveillée. J’enfilai mes habits, il fallait que j’aille me changer les idées. Je marchais jusqu’à la porte. Le parquet bruyant provoquait la colère du voisin de dessous qui voulait dormir tranquillement. J’ouvris la porte, la poignée me resta entre la main. J’avançai dans le noir, enfin pas tout à fait. La Lune éclairait mon chemin. La poignée de la porte en main un que je traversai les escaliers bancals. Une fois arrivé devant le comptoir je posai délicatement la poignée et je sortis de cette auberge minable. J’allai dans la forêt où j’avais l’habitude de m’entraîner. Elle n’était pas très loin des dojos de la ville.
Là-bas je passais mon temps à m’entraîner, j’entamai comme chaque soir le même rituel. Je commençais par un jogging matinal autour de la forêt sur une dizaine de kilomètres.
Par la suite je continuais avec une série de cinquante pompes.
Ce n’est qu’ensuite une fois les jambes moins lourdes je recommençais le même jogging.
Je finissais toujours avec une série de cinquante flexions. Durant mon dur-labeur je pensais à des nouvelles techniques, offensives, défensives, technique de fuites. Ce jour me vint une idée de technique. C’est là où je voulus l’a testé. Je me rendis au milieu tout du moins ce qui devait être le milieu de la forêt. J’enlevai ma longue veste blanche. Je me concentrai. Dix arbres m’entouraient. Et là je partis tout à coup.
- Utimate Fighter gatling.
Ma technique consistait à reprendre ma technique « Ultimate Fighter ». J’enlevai mon cache-œil et je gagnais en puissance. Ma force augmentait considérablement tout comme ma vitesse. Je donnai alors un coup à un arbre, puis un second à un autre, un troisième à un autre de nouveau. Etc… . A la fin j’avais enchaîné cette technique avec une telle force et une telle vitesse que ça ne m’avais pas pris plus de quinze secondes pour toucher chacun des dix arbres m’entourant. Tout ça en créant un gros trou dans leurs troncs. Pour améliorer ma force et ma vitesse je pensais au passé. Je pensais à mes frères, à mon père. Aux conséquences, si je n’avais pas été si faible que ce serait-il passé ? Mes poings étaient donc remplient de rage et de détermination.
Je voulais devenir plus fort. Telle était ma conviction. Je savais très bien qu’à l’époque, seul et avec ma seule force je ne pouvais rien faire contre un gradé de la Marins. De plus plusieurs questions vinrent trotter dans mon esprit. « Pourquoi ont-ils fait ça ? » « Est-ce que un de mes frères est en vie ? » « Si j’aurais gagné la bataille et ainsi gagné la guerre, notre Oncle ne nous aurait pas trahi et que serait-il advenu de notre île ? ».
Ce n’était pas le moment de se poser toutes ces questions. Le temps passait vite. J’avais fini mon entraînement à dix heures du matin. Il était temps pour moi d’aller en ville et d’essayer de gagner un peu d’argent.