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Toki Toki, KAWAIIII :3 *I, prend dans ses bras..~

>> Sya Naegi

Image de Gally dans Gunnm, (Battle for Angel, Alita).
Toki Toki, KAWAIIII :3 *I, prend dans ses bras..~ 110401030439977417

Pseudonyme : Petit Ange ^-^ Le Poussin.. -.-
Age: Je suis morte vers mes douze ans. On peux conscidéré que mon cerveau ayant était conservé en stase quasi parfaite je dois avoir, 14ans, bien que ma maitraisse m'ai fait le corps d'une dame de l'age que je devrais avoir, 18/19ans.
Sexe : Je suis une fille ! *serre les poings, joues bombées et rouges de colère~
Race : Je suis une petite fille pourquoi ? :3
Rang : Heu... Petite fille aussi ? Smile (Cyborg ? The Jet ? Smile)

Métier : Heu... Heu... On doit travailler au paradis des petites filles ? Sad
Groupe : Civils Very Happy
Déjà un équipage : Maitresse Suteki ^^
But : Je... J'aurai aimer, découvrir le monde avant de mourir, d'être forte, j'aurai voulue être différente de ce que j'étais, sans plus regarder les autres jouer dans un coin... Ni entendre les gens critiquer Shizune-sama. On peux penser qu'aujourd'hui mes rêves sont les même en plus évoluer. Devenir capable de protégée ma Maitresses des faux-normaux. Voyager et découvrir du pays pour devenir l'héroïne des histoires qui me reviennes en flash-back (car oui, en retour à la vie, le personnage n'auras pas toute sa mémoire, certaines parties complètement effacées). Un rêve assez 'banal' qui ne nécessite pas trente-six milles lignes.

Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Non.
Équipements : Des vêtements ? :p Plus sérieusement, outre son corps décrit dans le physique, et ses vêtements de résurrection (veste, mitaines, débardeur et pantalon.) elle n'as rien.

Codes du règlement (2) : et

Parrain : Suteki nô Shizune

>> Physique

Merveille de technologie, mon corps et l'ultime évolution du métal. Composé d'un matériau différemment nommé dans divers univers fantaisiste : Mithril, Adamantium, Adamantite (que l'on dit né naturellement du vieillissement d'écailles et d'os de dragons profondément enfuis sous terre)... Le métal supérieur, l'alliage est ultra résistant (supposément 6000 N/mm²), une valeur amoindrie par le fait que ce métal comme dit, est amélioré, mon corps, composé de plusieurs micro couches de métal capable de fusionner comme de se dissocier pour tantôt imiter la texture de la peau (quoi que ceci n'en soit qu'une bêta, le métal s'assoupli sans être aussi malléable que la peau). Au final, ce métal semble être bio-cellulaire. Il est à y noter qu'un fabuleux mélange alchimique 'layant créer permet le passage de micro conduits imitant les circuits sanguins, permettant le passage d'un fluide nécessitant la mise à jour d'une puce dans le cerveau pour éviter les rejets et permettre de faire se développer l'organe susnommé : La peau. Pour assurer une identicité entre celle d'origine les fluides sont reliés aux circuits sanguins de la peau de la tête (seule partie encore indemne), arrachant ainsi la composition de la peau au niveau pigmentation avec exactitude.

L'apparence de mon corps est celui d'une jeune femme, aux muscles tout juste dessinés pour garder une silhouette appréciable et féminine. Une poitrine assez développée pour contenter un homme, sans devenir un encombrement inutile. Je mesure presque un mètre soixante-dix pour un poids de 63kilos, dont une cinquantaine de kilos de Mécanique formidable de maitresse Shizune (la pression dans mes bras est proche des 20 kilos), environ cinq kilos d'électroniques et le reste en fluide et pour le poids de la tête et de la micro électronique y étant présente. On ne peut pas me considérer comme lourdes ainsi. Les programmes ajoutés à mon cerveau permettent l'apprentissage rapide au maniement de mon nouveau corps sans syndrome humain connexe. L'activation désactivation des systèmes sensoriel (touché, gout, etcétéra..). Mon corps est aussi construit pour me permettre de manger comme toute personne normale, sans que cela ne devienne vital, cela m'est tout de même nécessaire pour garder mes fonctions humaines hors de l'état de stase (veille).

On note que la mécanique de mon corps renferme deux tranchants rétractables au niveau des avant bras, des armes construites en cuves et récipients pleine de produits permettant l'emploi d'un système d'Alambic moderne pour la distillation de boissons alcoolisée. Le système du bras droit permet une distillation celui du bras gauche le mélange de levures chimiques et autres pour la création naturelle d'alcools autres tel que le vin, ce procéder est appelé fermentation (le mélange de ses produits permet aussi notamment l'électrification des avant bras lorsque mal employé). Magnifique cadeau de ma maitresse me révélant ainsi la réponse à une question à laquelle elle n'avait souhaitée me répondre. Ce qu'était un Alambic et à quoi cela pouvait bien servir. Oui oui, ça fait deux questions, désolée ! Enfin bref, mon corps est articulé en double sens, normal, et inverse, uniquement. Une torsion latérale forcée briserai de logique l'articulation et tordrai l'alliage. A noter sur mon corps qu'il permet l'emploi des fonctions nécessaires pour vivre normalement. Le fait de manger déjà dit, ainsi donc, celui d'aller aux W.C, logique, si l'ont mange. Ainsi que celui d'accouplement, pour meilleur exemple. Bien que ne permettant pas réciproquement celui de donner la vie, chose trop complexe pour être fruit de quoi que ce soit, y compris d'une alchimie moderne et ingénieuse. Bon hrem, sinon, finissons de parler technique et allons sur ce qu'il reste de moi, bien que je sois morte vers mes douze ans... Mon visage, ma tête, à elle continuer de grandir, ne me demandez pas comment mais ; c'est un fait. Bien que de manière tardive. Shizune ayant privilégiée la survie du cerveau, cryogénisé ou autre, le reste de mon visage ne s'est pas abimer (notez que le personnage pense avoir encore sa tête puisque celle-ci est recouverte de peaux, en fait, il ne lui reste que le cerveau. La tête étant l'unique partie à avoir subis une greffe de peaux directement sur le métal bio cellulaire, nommé le Shizune.) Bref ! Mes yeux sont couleurs Rubis, et mes cheveux mi-long tombant au niveau des épaules sont sombres comme l'ébène, un nez fin et tout juste retroussé surplombant une bouche assez parfaite.

A l'école on disait bouche à pipe, bien que je ne sois pas très sur de la véracité du compliment, ca reste une bonne indication je pense. Blanche de peaux, oreilles parfaitement proportionnée et positionnée, le visage juste comme il faut, j'aime me regarder dans le miroir, parce que, malgré tout ce bas monstrueux, parce que fait de métal, j'aime, ce qu'il reste de moi de regardable. De mon avis en tous cas. Parce que, Maitresse Shizune elle me trouve parfaite. C'est vrai que ma structure métallique est plutôt agréable, lisses et sans imperfections... Ne manquerai que la peau. Enfin voilà, vous me connaissez un peu mieux maintenant ! Et vous, vous me trouvez comment ? Mignonne ma queue de chat non ? :3

Petite note vestimentaire ; j'aime un peu toutes les couleurs. Et aime aussi un peu tous les styles, il ne faut pas se cantonner aux photos de moi petite. J'aime les tenues un peu serrée, débardeurs sombres, jeans sombres. Les longs vêtements aussi, surtout les vestes brunes, volant sous les accouts d'un vent trop fort. Sur mes bas je porte souvent des bandeaux épais roses. Souvent montant jusqu'aux genoux et recouvrant des protections grises. Une sorte de, style, en adéquation avec mon nouveau corps. Pourtant, ce que j'aime le plus, ce sont les robes, les grands chapeaux de tissus, ou aussi, les tenues sexy, collant, bottes Louboutins, mini short, vestes un peu courte, ouverte sur un T-shirt, souvent sombre. Voilà le genre de tenues que je me voyais portait plus tard et que j'aimerais toujours portée, en plus, ça cacherait le métal de mon corps que je camoufle déjà avec mes débardeurs à l'aide des vestes, manches longues ; mitaines fines montant a mis bras, lorsque par exemple, je n'ai la veste que sur les épaules.

>> Psychologie

En quelques mots.
Aventureuse, Joyeuse, Ouverte et Généreuse, Craintive et Embriguadabe
Aime: Les Animaux Mignons, Les sorties Shopping.
N'aime pas: Les gens méchants.
Aimerais: Savoir ce battre, découvrir le monde.


En quelques lignes.
Mon Quoi ? Mon Karaté ? Ah, hmm, bien... Je dirais que dans la théorie, je connais pas mal de mouvements. Dans la théorie bien entendu, puisque, in rp... Je n'ai jamais pus pratiquer. Heu ? Ah ! Caractère ! Pardon ! A mal compris.. Caractère, bien, je ne vais pas faire l'apologie de celui du personnage à sa mort mais essayer de représenter au mieux celui que j'aurai lors de mon premier RP, celui du retour à la vie, qui sera en Flash Back mais que je ne peux complètement estimer. Biensur, tout ce caractère va se voir emprunt de la vie passée, cela parait logique. Enfin, que dire d'elle, moi ? On pourrait entamer mon compte rendu psychiatrique au moment de ma 'résurrection' ou plus, de mon réveil... En disant que je suis du genre indécise. Difficile a cernée, un constant pouvant autant venir des autres, que de moi-même. Incapable donc, de me définir... Autre que part distraite. Souvent, je ne sais pas très bien, ce qu'il serait mieux pour moi : Revenir en arrière ou bien accepter mon présent tel qu'il est et avec ses bons côtés, car il y en a toujours. Je crois, en fait, que les deux solutions me conviennent.

Au-delà de cette volatilité, et donc en accentuation logique avec celle-ci, et dans la continuité de mon enfance... J'aime à me réfugier dans mes rêves, lorsque je le peux. Mon monde me permet de me calmer, c'est là où je suis en sécurité mais aussi là où je peux calmement réfléchir sur la réalité. Il n'est donc pas rare que je partes en solitaire en pleine conversation, sur une rêverie ou une autre, surtout lorsque celles-ci sont hagardes ou voir carrément stressantes. Certains, diront que le rêve est partout dans ma vie... Moi je répondrais simplement que mon âme est encore assez propre, pour me permettre de rester humaine et donc rêveuse. Là, vous vous dites que je suis une illuminée, ou bien atteinte du syndrome de Peter Pan ou, que j'ai oubliée de grandir, voir même... Que ma créatrice à oublier quelque chose. Vous me voyez infantile et fragile, c'est presque le cas, d'une certaine manière. Ne nous voilons pas la face, mon caractère plonger dans les rêveries n'est pas le plus armé pour lutter dans ce monde.
Pourtant, je ne suis pas aussi désarmée, et l'état des lieux sur mon psychisme ne s'arrête pas là, aussi bêtement. Artiste dans l'âme, la passion d'imagination à bien était décrite. Celle de création, m'est plus née de voir toute jeune, Shizune chan, elle-même créer les choses les plus farfelues qu'il me fut donnée de voir jusqu'alors. Voilà donc, mon grand bonheur. Créant, sur ma personne, une certaine marginalité loin d'être efficace dans la sociabilité. Je dirais, comme Shizune l'avais elle-même dit sur moi, que mon gout pour l'originalité est aussi grand que le sien. Peut-être est-ce pour cette même raison que mes humeurs sont aussi fluctuantes que mes émotions ? Moi en tous cas, c'est ce que j'en ais conclue. Voilà donc, mon caractère. Qui pourtant encore une fois ne peux s'arrêter ainsi. Cette description étant une description de base... Omettant la partie du personnage que je suis, envers autrui. Alors, voilà, ce qu'on pense de moi, et que je suppose aussi être vrai :
-Trop douce. C'est mon premier point... Faites-moi du mal, tant que vous ne vous en faites pas entre vous. Marchez-moi dessus, à la limite... Si ça peux vous empêcher de marcher sur les autres. Ceci ne dit pas que je n'ai aucun orgueil mais, s'il faut souffrir pour éviter à d'autres la même chose... Quand bien même je ne les connaîtrais pas d'ailleurs.
-Tolérante. Voilà donc mon second point, après tout, j'ai moi-même était la plus différente des personnes et je le suis encore aujourd'hui. Je serai bien mal placée pour oser jugée ou avoir des aprioris autres que sur les méchants pirates d'Umbar !
-Ouverte. Tout simplement, que je suis souriante, et que j'accepte volontiers la compagnie des autres.
-Discrète. Non pas que je sois invisible, mais je sais respecter mon entourage. Ne pas parler trop fort quand il ne faut pas, ni presser quelqu'un à finir de parler pour pouvoir m'en aller. Le respect, les bases de l'éducation pour toute bonne personne.
-Timide. Je ne sais pas si c'est encore complètement vrai, je travaille beaucoup là-dessus. Vous pouvez me croire !
-Orgueilleuse... Par accout. Disons que c'est plus avec les gens que j'apprécie, qu'avec les inconnus ou les malandrins. D'ailleurs, revenons sur la douceur, c'est un point sur lequel je travaille, reconquérir un orgueil en sommeil et ne garder ma douceur que pour les gens que j'aime vraiment... C'est d'ailleurs, en très bonne phase. Peut-être juste le temps de découvrir la puissance de mon corps pour gagner une confiance en moi jamais découverte.

Tout ceci fait de moi une personne peut-être trop bonne... On me dit aussi sensible, parce que j'ai facilement la larme à l'œil. Je l'ai d'ailleurs souvent de joie, quand je peux obtenir un câlin, par exemple... Ça me réconforte, ça me fait penser que je suis encore humaine. Ce genre de contact physique, sont indispensables, ou le seront, à ma nouvelle vie. Un gros risques, puis-qu'étant une dépendance, coupler à une certaine crédulité... Il va sans dire que je suis facilement influençable et possiblement embriguadable dans de mauvais univers tels que ceux de l'alcool et de la drogue. Aussi, j'aime à écouter les gens, et les réconforter, j'y ai acquise une certaine maitrise, a contrario.. Je n'aime pas me confier... Une mauvaise habitude d'avant... Cacher ses douleurs et ses peines, parce que l'on a personne à qui les confier, ou la crainte d'être rejetée par les rares personnes qui pourraient nous entendre. En définitive, il n'est pas réellement possible de percer à jour complètement ma personne en face à face, ça n'auras rien à voir avec ce compte rendu posé, puisque dans le cœur de l'action... Qui s'y plonge s'y brule, bonne chance ! A précisé que son apprentissage est accru dans sa rapidité et ses réflexes grâce à quelques programmes ajoutés directement dans le cerveau.

>> Biographie

Merci de prendre en compte que mon histoire ne racompte concrètement que de cinq à douze ans les passages importants de la vie du personnages, à l'inverse de certains histoires j'omets volontairement la naissances et les débuts de vie qui sont un remplissage inutile. Bien que mon personnage soit plus âgée vis-à-vis de l'age de son cerveau, sa vie s'arrêtant à douze ans, cette histoire ne racompte donc que sept ans de sa vie.


J'aime l'aventure, les histoires de soldats aventureux, celles de Héros légendaires et d'aventuriers sans peurs, sans reproches. Les grandes figures de notre monde, et celles d'univers fictifs... Tout ce qui sort d'histoires et de lectures. Moi ? J'ai cinq ans, je m'appelle Naya. Ou aussi souvent surnommée, le poussin. Je n'aime pas ce surnom, il me correspond trop, il me ramène trop.., à ma minable existence. Je lis déjà, beaucoup, de la grande lecture. Je parle bien, très bien même, pour mon âge. Ce n'est pas que je sois surdouée, mais surtout, qu'à l'inverse des autres enfants, je suis un Caliméro... J'aurais due garder un bout de coquille pour qu'il me protège. Parce que oui, je suis fragile, très fragile. Le docteur à dit à mes parents, que mon système immunitaire était aussi fainéant qu'un Paresseux (l'animal..Biensur.) Aussi inefficace qu'une abeille sans ruche. Et pas mal d'autres références de ce genre. Comme-ci ça ne suffisait pas, mon cœur à subit certains dommages durant mon enfance -ou plus exactement, mes premiers mois-. Maman à refusée de me dire comment, Papa lui, m'a dit que c'était pour me punir d'avoir autant pleurée et que, si je recommençais un jour, il recommencerait. Celons le docteur, mon cœur ne s'ouvre plus assez pour laisser passer le sang totalement. Juste de quoi faire, qu'on m'interdise de jouer, et que, même si je bravai l'interdit, de toute manière, je m'évanouirais. Enfin voilà, maintenant, vous me connaissez un peu mieux. Le genre de petite gamine intello par obligation, rêvant en pleurs, d'un jour, devenir celle qui pourrait voyager, découvrir le monde ; Combattre les méchants. Un rêve, définitivement inaccessible pour une histoire fichue d'avance. S'il n'y avait que ça... Imaginez bien que je suis scolarisée. Et que ce soit pour mon avance, ou pour le fait que je ne joue pas avec eux, obligée de rester sur le seuil d'entrée de la classe toute la récrée... Les autres savent me faire ressentir ma différence, par moqueries incessantes. Je déteste les autres, je les déteste, autant que je rêve d'être comme eux et donc, que je les admire. D'un côté, j'aime les regarder jouer, même quand ils ce moquent, je leur donne les noms de personnages sortit de mes lectures, les plus bêtes sont des orcs, les plus beaux, les moins méchant, sont les grands et beaux seigneurs Elfes, accompagné de leur troupe de Nains, d'Humains... Parmi eux, il y en avait un, qui avait toujours les plus beaux rôles, mais il n'était pas de cette école... Les princesses, sont souvent fragile, et en le voyante, je me rêvais princesse, quelque chose de bien plus abordable pour moi.

Mais, pourquoi je vous parle de mes cinq ans au juste ? Tout ne s'est pas déclenché ou arrêter aujourd'hui, oh là non. Si je vous parle de mes cinq ans, c'est qu'un jour, Maman n'est pas venue me chercher à l'école. Et ce jour-là, la maitresse ne me surveillait pas devant l'école ; c'est là que j'ai vue une fumée violette sortir d'une cheminée ovale ; Étrange chose n'est-ce pas ? Sortant de mes lectures et rien d'autres de connut. Alors, poussée par l'appel de l'aventure, je me souviens m'être élancée. Mon cœur était faible et non entrainé. Pourtant, cet appel, me poussa à courir, sans m'effondrai. Deux pâtés de maisons, avant que je n'arrive devant le plus étrange des bâtiments, en vue sur la mer. Je restai un instant, bouche-bée. Avant de partir à toute vitesse à l'intérieur. Mon cœur battait anormalement fort, et je me sentais très faible, ma respiration devait être équivalente à celle d'un chien en période des amours.. J'entrais et découvrais l'univers fantastiques de l'alchimie, et de Shizune. Ma première impression fut la bonne, bien qu'elle ne souriait pas. Elle était petite, clairement plus âgée que moi. Une grande dame de petite taille ; Inférieur sur un point aux autres, créant de fantastiques autres choses. Elle était, comme les Gobelins d'une de mes dernières lectures. Et je voulais, à tous les prix, la revoir. Car elle était instantanément devenue mon idole. Shizune sensei. De ce jour, je l'ai rejoint régulièrement. N'allons pas dire chaque jours, mais quasiment. Je séchai parfois l'école pour la rejoindre. Ils étaient habitués à ne pas me voir, à cause de ma santé... ET ne posai plus de questions. Une erreur donc, dont je profitai aisément. J'apprenais tant à la regarder travailler, lui ayant imposée ma présence. J'apprenais et j'admirai, c'était comme voir une aventure biblique en vrai, sur chacune des inventions, de l'éplucheur de cornichons au moteur à vapeur : Ou était la limite créative de cette génialissime petite dame ? En la respectant, j'appris à ne jamais parler d'elle en terme ptit. Il fallait, toujours flatter son égaux. Ne jamais être vrai sur sa taille. Un jeu assez rigolo pour une enfant. Ce fut certainement cette marque qui me permit d'être complètement acceptée par elle. Avec qui je discutai, pour la première fois, on ne me traitait pas comme différente et d'ailleurs, je ne lui avais rien dit sur mes problèmes. Peut-être s'en doutait-elle ? Mais cette situation d'incertitude me convenait parfaitement. Me réchauffant le cœur, quelque part. Plus jamais, je ne suis revenue chez elle en courant : Le résultat sur la semaine qui avait passée cette première fois, m'ayant convaincu d'agir avec prudence et parcimonie. Comment pourrais-je jamais te remercier, toi ma première amie...

Les jours passèrent, ce transformant en semaines puis en mois, avant qu'on ne découvre ma supercherie. Six ans et deux mois, trois jours, huit heures... Allez savoir pour les minutes ; je ne suis pas une montre non plus ! Certainement, la demie de cette presque neuvième heure. Ma correction fut mémorable, ce fut d'abord ma mère ; qui subit les violences de mon père. Il sentait mauvais de la bouche, il revenait de chez Moe, un bon ami à lui. Dans sa rage de savoir que je l'avais trompé, il déversât toute sa frénésie correctrice. Biensur, plus sur ma mère que sur moi, trop fragile pour en endurer trop. Par le stress, la peur, la culpabilité, je manquai de m'étouffer, mon cœur battait vite, fort. Sueurs froides, il faisait un peu froid, et je tombai malade. Là où personne ne le serait normalement. Pourquoi était-il énervé ? N'avais-je pas le droit d'avoir des amis, même en dehors de l'école... ? A cette époque, je ne comprenais pas. En sang, je retrouvais ma mère pendue dans la cuisine le lendemain matin. La veille, elle m’avait bordée, et dit qu'il ne fallait pas en vouloir à Papa. Que ce serait à moi de le rendre heureux, je comprenais en partie cette phrase. Maman m'avait abandonnée... Maman n'avait pas supportée d'avoir une enfant différente, faible et fragile. J'avais honte de moi, je me sentais coupable et geignait cette phrase. Mon père et arriver, insistant sur ce que je disais : C'était de ma faute, oui. Je fus, beaucoup plus sombre et triste de ce jour. Plus personne ne me bordas, ni ne m'amena en cours. Papa dormait trop tard et revenait tout aussi tard. Alors, j'allais en cour, et rejoignait ma maitresse le soir ou l'après midi, celons mon humeur ; mais la plupart du temps, je restais dans mon lit. Devoir me rendre à l'école seule, et chez ma maitresse, tous les jours, était fatiguant. Maman m'aidait, avant... Et ses jours, où je restais couchée, dégorgeant d'une toux grasse tout ce qui pouvait infecter mes poumons de nullité vivante ; Je me sentais vraiment inutile. Je voyais alors Papa se lever, il ne faisait pas attention à moi. Les yeux vides, il pleurait chaque matins, prêt d'une heure ; Avant de se rendre chez son ami, ou ailleurs, allez savoir. On ne parlait plus du tout, déjà que ce n'était pas extra ordinaire avant. J'en étais la coupable et me mit de logique comme objectif, de lui rendre se sourire perdus. Lui créant de petites babioles technologiques, lui faisant de beaux dessins, essayant même de lui parler, souriant chaque jour ; A part le dédain et l'ignorance un jour, il me dit, d'au lieu de faire des conneries, je n'avais qu'à lui faire un Alambic. Je ne savais pas ce que c'était et maitresse Shizune ne me le dit pas non plus, alors... J'ai continuée à essayer de rendre heureux mon Papa. Je devais avoir neuf ans. Ma vie ne s'était pas beaucoup améliorée. J'étais une jeune fille, précoces intellectuellement, et aussi, physiquement, pour une jeune fille, j'avais mes formes de jeunes femmes qui commençait à apparaître. Papa me regardait en souriant à cette époque. Enfin, il regardait mes formes ce dessinée. C'était une bonne chose, qu'il puisse sourire de nouveau, alors un jour, je lui ai fait un gros gros câlin, quant il a sourit en me regardant. Il m'à serrée assez fort, il m'à cassée un os du bras, mais ce n'était pas de sa faute, c'était de la mienne. Déversant quelques larmes sur ma nuque... Le Sang à coulé d'entre mes cuisses, quand j'ai découvert comment faire du bien à Papa. Même si à moi, ça m'a fait mal. Après un assez long moment, ou au-dessus de moi il se soulageait, il s'est effondré. Etouffée, je fus incapable de crier. Par chance, le docteur devait passer le soir, parce que j'étais malade et qu'il fallait qu'il passe souvent, quand j'étais malade. Quand il est passé, 'étais depuis longtemps endormie, comme Maman quand elle m’a abandonnée.

Papa avait été victime d'une rupture d'anévrisme. On l'appela démon, pervers, monstre, pour ce qu'il m'avait fait, bien que je ne voyais pas ce qu'il avait pus me faire de mal. Moi, je me réveillais presque huit mois après. J'avais fait un coma, là encore, même si j'étais douée, il est des choses que les enfants ne connaissent pas, parfois pourtant simple aux yeux d'un adulte. Je ne voulus pas savoir. Shizune était là à mon réveil, ma maitresse était sortie de son labo', j'étais heureuse quelle soit venue pour moi et je pleurais. Aussi, j'étais triste, parce que maintenant, elle connaissait ma vie et mon état et j'étais certaine que plus jamais, elle ne voudrait que je vienne. Heureusement, ce ne fut pas le cas et lorsque mon anniversaire approcha, je sortis de l'hôpital. Resplendissante : le poids qu'avaient représentés mes parents, et surtout mon géniteur masculin, s'en étaient allés. Envoyée en orphelinat, je n'y restai que deux jours avant de retomber gravement malade, c'était l'hiver et j'attrapais une maladie qui faisait son apparition chez nous. Incubations de 4 à 5 jours, je l'avais attrapée à l'hôpital. J'avais la diphtérie, qu'on identifia comme une forme d'angine obstruant les voies respiratoires. Expectoration, la diphtérie s'aggrava d'une pneumonie qui me cloua à la chambre de l'hôpital six mois de plus, un an et demi... Sortis une fois pour l'orphelinat que je ne désirais pas rejoindre. Vivre avec d'autres enfants me terrorisée, de part mes malheureuses expériences scolaires jusqu'à présent, sans aucun adulte pour me protéger des insultes, je me prédisais lynchage et coups, une mort, dans les W.C pour garçon, tête dans la cuvette. Inéluctable ! Ce qui n'arrangeât rien à mon état. Je sortis de l'hôpital atteinte irrémédiablement d'une Dyspnée expiratoire. Mon corps était bien plus affaiblit qu'avant et surtout mes poumons et tout mon système respiratoire, expirer me faisait constamment souffrir. Je me plaignis à Shizune, lui avouant ce rêve, de ne plus jamais souffrir et de faire comme maman. Ce fut, certainement sa gifle, qui me permit de ne pas le faire. Arrivant en fin d'année scolaire et dans un état de santé toujours inquiétant je ne fus pas contrainte à aller en cours, et, peu de monde purent me connaître. J'eu la chance d'avoir une chambre seule et de trouver le moyen de m'évader des lieux. Ce fut à ma première sortie ou je dévalisai de l'argent hérité de mes parents un magasin de chocolat. Et ce fut alors que je m'empiffrais comme jamais, puisque on me l’avait interdit toute ma vie à l'exception d'une fois où j'en étais devenue accro, que je rencontrais la seconde amie de ma vie. Me dépouillant de mon saint Graal -le chocolat-. Je ne sais plus trop comment je l'ai suppliée, j'ais du lui dire, tout ce qui me passai sur le cœur. Et l'histoire de nos mamans -même si la sienne ne faisait que jouer avec une corde-, ainsi que notre gout du chocolat, nous rapprocha alors instantanément. Elle s'appelait Maya, comme l'héroïne des abeilles, et moindrement important, comme une civilisation supposée disparue. Facile à retenir et super mignon, c'est aussi ce que je lui ai dit ! Même si son nom complet était Mayaku.

Je n'ai pas pus la revoir très souvent après les six mois, quatre mois d'école sans cours et deux mois de vacances, ensuite, suivait ma première année là-bas, j'avais un an. On m'appelait, la nouvelle... Et les cours m'empêchèrent de sortir autre que le Dimanche. Je suivie les cours, sans tomber trop malade, ma chambre étant dans l'établissement, ma seule difficulté pour cela était symbolisée par les escaliers ; bien trop nombreux pour moi. Contrainte à sortir aux moments de pauses pour me mêler à la foule... Cette année fut fabuleusement atroce, sur ses entames en tous les cas. Les enfants étaient pavés, les ados étaient encore pire. Je m'imaginais Jackie Chan, héron d'histoires fantastiques, luttant contre ses abrutis ce moquant encore de moi... Lorsqu'on m'ignorât et me laisser tranquille, solitaire, je repris mon jeu de donner des personnages de livres aux gens. Ses moments étaient les plus fréquents. Je retombai sur le visage du jeune homme qui prenait tous les plus beaux rôles de mes histoires. Ce rêve, cette incarnation de la perfection, ce brisa lorsqu'il me posa pour que je lui libère la place. Ce moquant de moi parce que je m'étais fait mal... Imaginez la tristesse que je ressentis à cet instant. Tout un petit monde créer de brindilles s'effondrent dès la première bourrasque. La fourmilière à ses débuts, sombrant, croulant sous des trombes d'eau. Lors de cet évènement je rencontrai mon premier ami, pour la première fois, quelqu'un prenait ma défense et ce, publiquement. Il n'était pas du genre, à me faire fondre. Moi, mon garçon idéal, c'était celui qui avait tout brisé. Brun, coupe mi-longue typée, B.C.B.G. Cheveux noir, yeux bleu, ou marron... Une belle carrure, pas trop développée, ni trop peu. Bref, quelqu'un de joli, sobre, sans sortir trop des normes, ou dogmes actuelles. Voilà ce que j'aimais, assez différent du Hippie aux cheveux Verts et aux yeux de même couleur. Mais de cet instant, comme pour tous mes rares amis, je l'ai adopté, comme quelqu'un de proche. Et cette seconde année s'amorça sous un jour aussi nouveau qu'il me paraissait sympathique. Ce nouvel ami, avait un jumeau. Un peu bizarre mais pas méchant, enfin, bizarre, qui étais-je pour trouver les gens étranges sinon une élève rejetée pour ses propres différences ? Ainsi donc, j'avais deux amis, dans cet immense bâtiment et, de ce fait, j'étudiais en vrai ce qu'était l'effet de masse, car beaucoup moins de monde, vint de ce jour m'embêter.

Faisant honneur à ma petite réputation, j'étais la meilleure à peu prêt dans toutes les matières principales : Mathématiques, Langues... Chose dont je n'avais plus honte, puisque j'étais dans un groupe qui respectait mes atouts et leurs inverses. Là où j'explosai, c'était en Science. Certainement grâce à ma maitresse Alchimiste, bien sûre, les mathématiques étaient elles aussi partie intégrante du travail de scientifique quels qu'il soit. Mais les sciences elles, étaient majoritaires dans l'alchimie. Secteur peu exploité généralement par chez nous. Enfin bon voilà, tout semblait pouvoir enfin partir sous de bons auspices, visiblement, ma vie présente n'était pas faite pour ça... Pourtant, comme dit, l'année était parfaite. J'arrivais à voir ma maitresse en dehors de l'orphelinat, autant que je parvenais à voir une fois par semaine ma collègue de chocolat et de câlins... Et le reste du temps, j'avais des amis et je réussissais dans quelques choses, les études. Douze ans révolus, les premiers sentiments se rapprochant d'une forme d'amour naquirent réellement : Au-delà de l'amour pour ses parents... Ou sa famille proche, puisque Maya chan était devenue comme une sœur pour moi. Mes sentiments tournaient maintenant beaucoup plus vers Rei, dans mon petit monde idéal. En science, je crois que c'était pour ce cours... J'acceptai d'aider mes petits jumeaux chéris pour une expérience. Un breuvage ? Vie éternelle ? Super force ? Santé accrue ? Ils ne m'avaient rien dit et je bus goulument, comme on me l'avait dit. Rêvant des remèdes que je savais impossible. Mais rêvais à ceux-ci me faisait du bien. Je due devenir pale, mes yeux tournèrent aussi un instant je pense avant que je ne m'écroule, ne me réveillant que plusieurs jours après, à nouveau dans une austère salle blanche.

D'un soupir, je réalisais que ma vie était faite pour être ainsi et, regardant sur le petit meuble servant de commode, je regardai. Ni mot, ni fleurs, ni personne d'assi sur une chaise absente en face de la commode. Cette fois, personne n'était venu. Mon regard ce porta vers la fenêtre, un jour frais, un tapis de neige avais dû recouvrir le sol dehors puisqu'il en restait quelques résidus sur le cadre de fenêtre. La pluie tambourinait sur les carreaux, le vent balayai avec rage l'extérieur du bâtiment, aider par un terrifiant orage. Éveillée, j'attendis, de me rétablir. Les médecins ne me disant rien directement. Chaque jour qui se faisait, je me sentais plus faible et fatiguée... Alors, malgré les faux dires des infirmières et docteurs, je compris seule. Mais j'étais, disons... Déterminée, à attendre la venue des gens qui avaient ensoleillé une partie de ma vie. Oui, a cet instant, je me savais condamnée... Mais, je voulais le leur dire une fois, merci. Les jours passèrent donc un peu plus, un mois s'écoula et ni Shizune, ni personne ne vint. Qu'auriez vous fait à ma place ? Attendre de mourir n'était pas une bonne chose. Ma chambre était gardée d'un homme de sécurité... Peut-être pensaient-il à une tentative d'assassinat, et quand bien même. Durant ce mois, j'avais essayée d'écrire plusieurs fois, et je m'y attelai de nouveau. Un pour Seirei... Je voulais lui souhaiter, tout ce qu'il pouvait y avoir de meilleur. Lui espérant de s'ouvrir un peu plus, pour vivre enfin dans la joie ; Rei. Rei... Il était déjà heureux, ou, me le semblait-il tellement plus que les autres. Un sentiment d'amertume naquit en moi, lorsque mon cœur battit un peu plus fort. Et toi Maya ? Comment dire à une autre enfant, qu'elle était comme notre sœur, comment le lui faire comprendre en quelques mots ? Machinalement je froissai à nouveau les tentatives de messages. Je devais aller voir, chacune de ses personnes. J'avais attendue trop longtemps. Mes jambes ne me tenaient déjà plus, seul mon esprit, me permit de me remettre debout. Penser comme une fourmi, ne pas connaître la faiblesse... je commencerai par ma maitresse, celle qui avait le plus apporter dans ma vie. Je prit la fuite, par la fenêtre, j'étais très très maigre, et, ce ne fut pas chose difficile de sortir par la faible partie ouvrable de celle-ci. Descendant à escalade hasardeuse je parvins en bas. La fine chemisette de tissus et le pantalon tout aussi ridicule n'étaient pas très adaptés. Intérieurement, je savais que je ne passerais pas la nuit, qui était tous juste tombée. Tenant l'un l'autre mes bras que je frictionnais pour me réchauffer, je fis le premier pas, puis le second... Et bien d'autres. Dans le noir, les pieds sur tapis de neige et déjà trempée, je dus marchée, un quart d'heure, tout au plus. A nouveau mon regard partis dans le vide. Je suais malgré le temps, mes jambes, et tout mon corps d'ailleurs, tremblait, je m'écroulai, tombant comme branche morte de son arbre. Mon crane se fractura, le sang coula. Peut-être fut-ce pour ça que la première personne à me voir hurla que j'étais morte. Un enfant qui me connaissait en plus, et partis crier ça de terreur a tout le monde... Une main délicate ce posa sur mon menton et je repris connaissance un instant. Le doux visage de Maya, je souris et quitta ce monde.

Allez savoir ce qui se passa dans l'esprit de Maya... Toujours est-il quelle ne fit pas de Steak avec mon corps, mais sépara chacun des organes, ce quelle en fit ? Shizune arriva à l'hôpital le lendemain, enfin elle avait pus sortir de son travail si prenant. Apprenant ma mort :
« -Elle est partie par la fenêtre, sa chambre était pleine de mots, si vous voulez... Ils sont de côté.. »
J'avais effectivement «écrit, dans tous mes mots, quelques lettres que je n'avais froissée. Une part jour, j'avais, tellement de choses à dire à ma sensei. Mon seul parent, ma première amie. Une partie de moi... A-t-elle trouvée le courage de lire tout ça ? Eu le temps ? Oui, le temps, je sais quelle m'estimai assez pour cela. Sont-ce mes mots, ou juste ma mort, qui la bouleversaient à ce point ? Toujours est-il qu'elle consacras6ans et demi de sa vie sur son œuvre la plus importante après ma mort : Moi. Ne me demandez pas comment, j'étais morte et n'aie donc pus voir comment elle trouva mon cerveau, comme elle put le ranimer et le maintenir en état de marche... Les secrets de l'alchimie, couplée à l'ingénierie moderne. Certainement... Une pointe de magie aussi ? La création de mon nouveau corps du être encore plus durs. Tout ce que je sais, c'est que je viens de rouvrir les yeux, alors que mon souvenir le plus récent, et de voir pour la dernière fois le visage de ma Maya.

Toki Toki, KAWAIIII :3 *I, prend dans ses bras..~ MiniGally

>> Test RP

Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation.
Faire un test rp avant l'intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.


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Informations IRL

    Prénom : Te regarde pas.

    Age : 21.

    Aime : Idem que le premier Smile

    N'aime pas : Pareil xD

    Personnage préféré de One Piece : Ça te regarde pas ! xD

    Caractère : (définissez vous en quelques mots) Toujours pareil.

    Fais du RP depuis : Bientôt douze ans.

    Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) 7j/7, Matin Midi, Soir, Nuit.

    Comment avez vous connu le forum ? Shizune.


Dernière édition par Sya le Sam 16 Avr 2011 - 18:50, édité 19 fois
    Bienvenue ! Alors, tu upperas quand tu auras fini et que tu voudras ton test rp. Mais sinon, ton avatar dépasse un peu trop, essaye de l'arranger. Sinon, il te faudra les deux codes du règlement et surtout signer la charte du règlement ! C'est impératif ! ; )

    Sinon, pourquoi dis-tu qu'elle est morte à 12 ans ? :d

    Voilà voilà, bonne chance !
    • https://www.onepiece-requiem.net/t146-ryuuku-no-fiche
    • https://www.onepiece-requiem.net/t99-rp-donwload-100-100-ryuuku-gakuen
    Bonjour et bienvenue, rectifie ce que t'as demandé mon cher collègue, sinon bonne chance !
      Ayant la flemme de repasser un coups de correction sur l'étape la plus chiante avec le test rp xD Et bien, voilà, je déclare ma fiche terminée ^-^ En espérant que ca convienne é.è
        Your Test rp...

        Et Si tu n'étais pas morte lors de tes 12 ans, et si tout ceci n'étais qu'un rêve ! Et Si...Voilà décris nous ta vie dans ces conditions là, ton attitude, ton but et autres...C'est assez libre.

        Bon courage ^^Cordialement Hiro Shima qui rp toujours avec son pirate parce qu'il attend une réponse de son capitaine...
          J'ai essayée de faire un truc, pas trop long, dans ma moyenne de longueur pour mes RPs en ne faisant "concrètement" intervenir que mon personnage bien que ca ne ressemble pas vraiment à un RP mais plus à une fanfic. Voilà voilà, bonne lecture, désolée cependant, Bonpatrion Buguant... Je me suis contentée de Microsoft Word pour la correction.

          Doucement j’ouvrais les yeux… Je ne revenais pas à la vie, non… Bien que ceci avait des allures de résurrection, comme la réalisation du plus intime de mes souhaits… Oui, je me réveillée. Aussi paisiblement qu’après ou doux rêve. Car bien que mon dernier souvenir était celui de mon hypothétique mort, j’y étais si heureuse… Maya chan.. Lentement tant que paisiblement, mon regard ce porta sur le plafond : Blanc, des rayures grises séparaient en cube celui-ci. Une seule lumière, assez faible, éclairai la pièce d’une fine pellicule de lumière bleue. Ce n’était pas une chambre d’hôpital, pour être pourvue de ce genre d’éclairages… Je n’avais aucun souvenirs de ce qui m’avais amenée ici, ni ce que j’y faisais, malgré la possible inquiétude dans tel situation d’inconscience.. Je me sentais vraiment bien, peut-être trop. Je n’avais d’ailleurs, pas souvenir d’avoir eue l’esprit apaisé à ce point. Doucement je refermai les yeux, espérant pouvoir profitée indéfiniment de cet instant de paix. J’étais posée, depuis prêt de deux minutes, ne pensant alors plus à rien lorsque la réponse me frappa : Je n’avais mal nulle part. Pas de difficulté respiratoire, je ne me sentais pas fatiguée ou quoi que ce soit d’autres… Je me tournée sur le côté, mes yeux c’étaient rouverts en grand. Mon cœur battait vite, une légère crainte venait de naitre en moi, découvrir tel chose n’était pas aussi facile que vous pourriez l’y croire. Un coup de baguette magique ne règle pas de tels soucis de santé que les miens. Et n’avoir aucun souvenirs de ce qui y avais aidé laisser penser que cela reviendrai d’un coup, sans prévenir, et en pire. C’était toujours ainsi. ET maintenant, je regrettais de me sentir bien. Je voulais me levée, la crainte de m’effondrée prit le dessus et je restât prostrée dans cette position de côté, tout juste relevée grâce aux dizaines de coussins. Un bras ce faufila entre moi et ses même coussins alors que son comparse passait sur mon autre flanc, la peur m’étrangla d’autant plus alors qu’un torse chaud venais de ce coller à mon dos. Mon cœur battait comme jamais auparavant, le rythme fou de la mort douloureuse qui approche. Cette fois-ci, c’est un cri, que je voulus laisser s’échapper. Mais il fut contraint de rester par mon état de stase. L’étreinte ce resserra en douceur au dessous de ma poitrine ; une sensation désagréable fit fuir la seule peur. C’était dur, chaud et assez long. La chose frôla mes fesses aussi doucement que l’étreinte. Je grimaçais maintenant, comme quelque chose de naturel, je ne pus m’empêchée de réagir en parole, sans rien y contrôler, et sans rien comprendre non plus : « -Pas maintenant, Rei chéri. ». Rei ? Je connaissais un Rei. C’était mon premier ami de sexe masculin. Comme un frère pour le plus souvent, avant tout mon meilleur amis et mon préférer d’entre lui-même et son jumeau. Mes joues ce teintèrent de rose et je me retournais pour l’enlacer moi aussi. Sa tignasse verte cachait son visage et je m’empressai de le dégager de cette obstruction. Je lui fis mon plus beau sourire, emprunt d‘une certaine gêne, qui n’empêcha pas cette même main d’aller le soulager de quelques caresses bien placées. Malgré tout, mes pensées étaient ailleurs. La lumière vulgairement peinte pour tamisée l’ambiance, un plafond digne d’hôpital… Nous devions être, dans l’infirmerie de l’orphelinat, une pièce de ce genre pourvue de lits. Ce qui m’intriguait toujours, c’était les raisons de ma santé pour l’instant, semblant devenue bonne. Et puis, quelque part au fond de moi, je savais que c’était bel et bien le cas. Je le savais depuis que j’avais pue reconquérir de mes yeux le regard de mon ‘amant’. Mes lèvres reçurent la visite de celles de Rei. Mon esprit reçus quant à lui un rapide souvenir.

          Shizune sensei ! Shizune Sensei ! « Criais-je a tue tête dans le laboratoire de ma maitresse de petite taille. J’arrivais en courant, je crois que, à par mon excitation affichée, ce ne pouvais être que pour un grand événement. Tel que mon anniversaire. Hors, lors de mes douze anniversaires jamais je n’avais été les fêter chez ma maitresse, jamais aussi tôt dans la journée. Treize ans ? Étais-ce celui-ci alors qu’un instant avant j’étais persuadée d’être morte à douze ans ? Oui, certainement… Ce ne pouvait être que cela. La porte était grande ouverte, j’avais bêtement oubliée de refermer celle-ci. Je courrais derrière le comptoir, jetant mon sac à l’ abri des regards sous celui-ci et pénétrai dans l’arrière salle. En trombe, je surpris ma maitresse qui fit prendre feu à son invention du jour. Elle cogna des poings et grommela dans son coin. Hochai la tête, tapotant des index l’un contre l’autre. Les joues rouges. Toute essoufflée que j’étais, vivre sans la sur-protection d‘une famille, a l’orphelinat. M’avais comme qui dirait, ouvert l’opportunité de bouger régulièrement. Mon cœur bien que fragile étais plus entrainé déjà, en deux ans et demi. La petite dame que j’avais rattrapée en taille me regarda furieuse, main dans les poches de sa blouse blanche. En même temps qu’elle sourit, elle sortit de sa poche un étrange objet étincelant ; « TADAAA » qu’elle venait de dire gaiement. Je passai de la gêne à l’interlocution. Voyant que je n’y comprenais rien elle parue plus perplexe et précisa « C’est ton cadeau d’anniversaire… » A nouveau, un petit blanc passa. Je n’y voyais pas trop d‘utilité alors, enfin, après quelques points de ponctuations, elle termina : « -Une prothèse comme on en fait pas, je l’ai conçue juste pour toi, et ton organisme, Sya chan. »

          Ma langue valsait maintenant avec celle de mon conjoint. Quel âge pouvais-je bien avoir ? Ma main était engluée d’un liquide collant, tiède et, visqueux… Mais ca n’avais pas trop d’importance. Je continuai mon affaire, bien décidée à aller plus loin dès que j’aurai ranimée la flamme qui avait disparue un instant avant. Ma main était habile en la matière, malgré un concret manque d’expérience, le talent, peut-être ? Car il ne fallut pas bien longtemps. Ou peut-être était-il juste, plus en manque qu’on aurait pus l’y croire au premier abord. Un léger soupire passa dans mon esprit, ce jeux était aussi dégoutant qu’étrange, mais tellement plaisant… En même temps que ce soupir intérieur perplexe, j’expirai de plaisir, lui-même venus en lieu et place rendre l’instant de partage plaisant autant pour lui, que pour moi. Fermant les yeux, mes joues passèrent du rose au rouge, me crispant légèrement. Si j’étais douée, il l’était au moins cent fois plus. Ou peut-être était-il aussi beaucoup aider par l’amour infini que je lui portai. Calmant mon cœur, peut-être aujourd’hui plus performant que la moyenne, mon esprit fut parcouru d’un second souvenir.

          C’était en été. Ma chambre sans volets était nimbée de rayons mordorés, réchauffant la pièce comme le serai une serre. J’étais dans une de ses chambres aux fenêtres couvrant le pan de murs le plus éclairé. Ses chambres, d’hôpital… Ou il n’y est autorisé d’y placé qu’un patients. Une perfusion dans un bras. J’étais seule, ou plus exactement, Shizune sama dormait si profondément sur son siège, que je me sentais bien seule. Les médecins m’avaient dit qu’elle était restée là toute la nuit. On m’avait aussi dit que l’opération avait connue plusieurs rebondissements et qu’à plusieurs moments, j’avais frôlée la mort. Peut-être était-ce pour cela quelle avait passé une nuit en dehors de son petit labo’ d’inventeuse un peu déjantée. Cependant, en début de matinée, ma situation c’était stabilisée. La greffe donnait ses premiers résultats, déjà. Si mon corps ne la rejetait pas, je ne serai plus jamais embêtée. Un système immunitaire réactif, un cœur plus performant que la moyenne, et la régénération quasi-intégrale de mes organes abimés. Je souriais à cette pensée, lorsqu’apparus devant mes yeux une splendide boite de magnifiques rochers. Ses fabuleuses gourmandises auréolée d’un couche de chocolat noisette croquante et cachant une couche de chocolat elle-même recouvrant un cœur de chocolat chacune de ses couches tout juste différentes mais créant l’ultime âge d’or gustatif l’espace d’une seconde. Mon regard faillit ne jamais décrocher de cette vision de merveille. Ma nouvelle vie s’annonçait sous un jour si merveilleux. Je parvins à le redresser alors qu’une de mes mains, devenue indépendante à savoir ses friandises si proche, allait voler un rocher. La bouche pleine d’un rocher en phase d’être gober je ne pus retenir un « Maya ! ». Un an, que je ne l’avais vue… Les larmes bordèrent mes yeux, je me redressai soudainement, faisant tomber ma perfusion. Sans réveiller maitresse Shizune pour autant, renversant ma meilleure amie au sol et tombant avec elle pour lui faire le plus chaleureux des câlinous que l’on pouvait offrir à quelqu’un. Ça présence était fantastique et quelle ce souvienne de ma passion, bien qu’étant commune et raison de notre rencontre, m’avais étrangement, vraiment touchée.

          Mes mains dans celles de mon Jules, mes yeux noyé dans son regard, il était passé au dessus de moi. Mon souffle était rapide, mon cœur battait la chamade comme jamais avant. Comme lui en fait, je crois. Nos corps en sueur se rapprochèrent à nouveau sans que nous ne concrétisions l’acte pour nous embrasser à nouveau. La peur, le doute… Jamais je ne l’avais fait avant, enfin, sauf un certain jour maudit de ma vie. Jamais, ne manière consciente et consentante. Je fermais une ultime fois les yeux, comme pour ne pas voir. Espérant ne rien sentir, ou au contraire… Que les sensations en soient que décuplées.

          Le vent souffla dans mes cheveux. La brume épaisse du matin c’était levée quelques secondes auparavant seulement. Un petit bouquet en main, ainsi qu’une boule d’escargot en chocolat, je m’agenouillai, la regardant le regard, perdu et triste. « Je sais même pas e que tu aimais Maman, mais je t’ai apportée, des chocolats. » Elle posa la boite avec la gerbe de fleures au pied de la pierre tombale. « -Tu sais, je viens de fêter mes seize ans… » Ne pouvant soutenir le regard de cette pierre austère, grosse… Je détournai mon regard de celle-ci. « -Sa fait longtemps que tu ais partie, tu as manquée tellement de choses. J’ai, j’ai des amis maintenant tu sais. Et la science à pus me donner une santé aussi bonne que celle des autres. » Un léger sourire perçât la tristesse de mon visage : « -J’ai même un petit copain, Y… Y s’appel Rei. Je te le présenterais. » Je regardai de nouveau la pierre tombale : « Je suis si désolée d’avoir étai un fardeau, Maman… » Mes larmes coulaient maintenant à flots, les poings fermer, serrant l’herbe et la terre. Le bonheur, n’est qu’une idée abstraite.

          Soudain, tout s’arrêtât. Et tout recommenças pour la énième fois. Ce rêve, ce répéta, jusqu’à ma résurrection, la vision de ma vie, celle que j’avais espérée et que mon esprit avais couplé à mes derniers souvenirs. Une solution parmi tant d’autres… Présentement, je n’étais qu’un cerveau maintenu vivant dans un petit Labo de ma ville, celui de Shizune sensei.
            Hello, je ne sais pas si c'est fini, apparemment si, il va falloir réduire ton avatar, en largeur : là il sort du cadre.
            Tu ne pourras pas être validée avant ça désolé Very Happy
            Bonne chance pour te trouver un avatar, merci de préciser dans le titre de ta prés' si c'est fini ou non ;)
              Ui c'est fini xD Spas très gentils de dire que ca ne ce vois pas ^^"
              Vala pour l'avatar Very Happy
                Pitit Up des premières 24heures ^^
                Courage :3 *Bisou~ !
                  Tout d'abord, j'applaudis pour ce personnage qui est très original. Il y'a là une belle présentation physique, le coté cyborg est bien amené.

                  C'est magnifiquement décris surtout le passage avec ce conjoint...Bon j'ai lu un peu à la va vite, mais je suis sur d'une chose, ce style vaut 730 Dorikis..A vous chers collègues...I need to go
                  • http://oprannexe.onepiece-forum.com/t296-
                  Et bien j'ai pris du temps a lire cette présentation mais j'y ai aussi pris du plaisir ! Originalité est aussi le mot qui me vient a l'esprit en premier. La qualité est plus que bonne, le style d'écriture sympa... Peut-être des phrases un peu lourdes parfois.

                  Il ne te manque donc plus qu'une voix pour 730 dorions qui me semblent parfaits.
                  • https://www.onepiece-requiem.net/t146-ryuuku-no-fiche
                  • https://www.onepiece-requiem.net/t99-rp-donwload-100-100-ryuuku-gakuen
                  Adjugée vendu ! Ce joli p'tit lot est validé à 730 Dorikis. Toutes mes félicitations !
                  Bon RP parmi nous ;)
                  • https://www.onepiece-requiem.net/t154-fiche-de-toji
                  • https://www.onepiece-requiem.net/t115-marine-toji-arashibourei