Je ne pouvais pas savoir que cette journée serait mauvaise en me levant ce matin. Et pourtant lorsqu'on me tire du lit alors que je suis en repos, je comprends que quelque chose de grave se passe. Pour faire court, on me dit qu'un petit équipage pirate a voulu braquer les caisses d'un gros village sur l'île des cactus. Seulement, la chose a mal tourné. En effet, un équipage de la Marine était dans le coin. Et cet équipage, c'est le mien. Pas le mien à moi, celui des Ramones. Il appartient au Colonel Razor Ramon et je suis sa subordonnée. Du coup nous voilà sur l'affaire.
Et c'est là que ça se corse.
Parce que ces abrutis de brigands des mers, au lieu de nous affronter, se sont barricadés comme des lâches dans la Mairie. Et qu'ils ont pris des otages. Nous voilà donc à appeler le QG pour qu'on nous envoie un "spécialiste". Un gars du Cypher Pol. Pour "négocier". J'espère qu'il est bon, sinon, ça risque de virer au bain de sang.
Counter strike!
Ma première mission? Je l'accepte sans hésiter. Yakutsuki Rei, le chef du CP5 vient de me la donner. Je dois me rendre sur l'île Cactus sur South Blue. Là bas, une bande de pirate s'est enfermé dans la mairie avec des otages. Un équipage de la marine est présent mais ils ne veulent pas se salir les mains. Je dois alors négocier avec les flibustiers pour la libération des habitants. Il me donne l'autorisation d'utiliser la violence en cas de nécessité extrême. Je pense bien qu'un agent supérieur me suivra mais je ne m'en occupe pas le moins du monde.
Je suis alors dirigé vers le premier navire de la marine en partance pour l'île où se trouve ma mission. Je monte à bord et le capitaine m'adresse quelques mots. Je n'y répond pas. Je ne lui dévoile pas mon identité, un simple "agent Z" suffit amplement. Tout le monde sur le bâtiment me laisse tranquille. Je suis assis en tailleur sur la figure du proue. Le vent marin qui me souffle dessus m'apaise et le calme aussi. Je peux réfléchir tranquillement à mon approche et surtout je peux me concentrer pour ne pas succomber à la violence trop rapidement. Mon principal objectif est de négocier pas de me battre. C'est dommage d'ailleurs.
Je sors de mes pensées quand je vois au loin l'île d'arrivé. Le capitaine du bateau réajuste le cap et on fonce, toutes voiles dehors sur l'étendu de terre au milieu de South Blue. Rapidement on atteint l'île et je descend enfin sur la terre ferme. Je ne me retourne même pas et dit au capitaine de repartir sans m'attendre.
Alors qu'ils repartent, je commence a cherche la mairie. Je parcours la ville de fond en comble. Petit à petit, les habitants se retournent et me regardent avec plus d'insistance. Mon accoutrement et ma carrure suscite la curiosité. Tous ces yeux qui me fixent me dérange. Alors, je m'enfonce dans un cul de sac et disparais. Je réapparais sur les toits des maisons et des échoppes à courir. Je suis plus discret et je vois mieux où je vais. Enfin, je trouve la mairie et accélère le rythme pour y arriver.
Je suis arrivé et discrètement j'arrive près des soldats de la Marine. Je les bouscules et m'arrête à coté de celui qui semble être le chef du groupe avec sa seconde surement. Alors, en les regardant droit dans les yeux je leur dit les motifs de ma présence.
> Vous avez demandé de l'aide au CP5 et me voici: l'agent Z.
J'aimerais que vous donniez tous les détails important de cette prise d'otage.
Aussi il me faudrait un escargophone pour négocier avec les pirates.
Rapide et concis je ne donne pas plus d'information sur moi. De toute façon je n'ai pas à leur en donner, rien ne m'en oblige. C'est un règle de notre organisation. La discrétion et l'anonymat doivent primés.
Je suis alors dirigé vers le premier navire de la marine en partance pour l'île où se trouve ma mission. Je monte à bord et le capitaine m'adresse quelques mots. Je n'y répond pas. Je ne lui dévoile pas mon identité, un simple "agent Z" suffit amplement. Tout le monde sur le bâtiment me laisse tranquille. Je suis assis en tailleur sur la figure du proue. Le vent marin qui me souffle dessus m'apaise et le calme aussi. Je peux réfléchir tranquillement à mon approche et surtout je peux me concentrer pour ne pas succomber à la violence trop rapidement. Mon principal objectif est de négocier pas de me battre. C'est dommage d'ailleurs.
Je sors de mes pensées quand je vois au loin l'île d'arrivé. Le capitaine du bateau réajuste le cap et on fonce, toutes voiles dehors sur l'étendu de terre au milieu de South Blue. Rapidement on atteint l'île et je descend enfin sur la terre ferme. Je ne me retourne même pas et dit au capitaine de repartir sans m'attendre.
Alors qu'ils repartent, je commence a cherche la mairie. Je parcours la ville de fond en comble. Petit à petit, les habitants se retournent et me regardent avec plus d'insistance. Mon accoutrement et ma carrure suscite la curiosité. Tous ces yeux qui me fixent me dérange. Alors, je m'enfonce dans un cul de sac et disparais. Je réapparais sur les toits des maisons et des échoppes à courir. Je suis plus discret et je vois mieux où je vais. Enfin, je trouve la mairie et accélère le rythme pour y arriver.
Je suis arrivé et discrètement j'arrive près des soldats de la Marine. Je les bouscules et m'arrête à coté de celui qui semble être le chef du groupe avec sa seconde surement. Alors, en les regardant droit dans les yeux je leur dit les motifs de ma présence.
> Vous avez demandé de l'aide au CP5 et me voici: l'agent Z.
J'aimerais que vous donniez tous les détails important de cette prise d'otage.
Aussi il me faudrait un escargophone pour négocier avec les pirates.
Rapide et concis je ne donne pas plus d'information sur moi. De toute façon je n'ai pas à leur en donner, rien ne m'en oblige. C'est un règle de notre organisation. La discrétion et l'anonymat doivent primés.
Le mec arrive. Pour la discrétion, il repassera. Je l'ai entendu venir. Je l'ai senti aussi. Je dois avouer qu'en tant qu'aveugle, je suis un véritable sonar sur pattes. Je fais semblant d'avoir l'air surprise. Je ne veux pas gâcher son entrée. Il se présente. Il est poli, c'est une bonne chose. J'aime les gens polis. Ça montre qu'on a un minimum de savoir vivre. Bref, je me tourne vers l'individu.
Il est grand, bien plus que moi. Il surplombe mon mètre soixante quinze de facilement deux têtes. Et il a l'air costaud vu la quantité d'air qu'il déplace en se mouvant. Bref, une montagne de muscles. Je sais qu'il ne faut pas se fier aux apparences. Moi-même avec mes ailes noires, mes yeux fermés et ma canne blanche, je passe souvent pour ce que je ne suis pas. Du coup, je ne vais pas faire comme l’hôpital qui se fout de la charité et je vais laisser une chance à ce monsieur Z.
Bonjour! Je suis le Lieutenant Jeska Kamahlsson et voici le colonel Razor Ramon. Je vais vous faire un compte rendu de la situation. Actuellement, nos hommes ont vu les pirates. Ils sont au moins une dizaine. Cinq munis d'armes blanches et cinq autres avec des pistolets à silex. Ils retiennent le Maire et six membres de son personnel. Par contre, nous ne vous avons pas fait venir pour négocier. Nous avons besoin de vous pour une mission d'infiltration/élimination. Le Colonel ici présent va attirer l'attention des preneur d'otages en faisait mine de vouloir négocier. Quant à nous, nous nous infiltrerons par les toits. Votre mission, monsieur Z, sera d’éliminer la menace rapidement et discrètement tandis que je sécuriserai les civils.
Je fais une pause, histoire qu'il assimile tout ce que je viens de dire. Et je conclus.
Si vous n'avez pas de questions, on commence a mission immédiatement.
Et voilà, le ton était donné.
Voilà des marins qui me plaisent. Ils osent plus qu'à l'habitude. Un mission d'infiltration et de sécurisation pour eux et moi je suis chargé de l'assassina. Je suis on ne peux plus d'accord. Du sur ma lame c'est que du bonheur. En tout cas la lieutenant de l'équipage m'a l'air bien sympathique et malgré qu'elle soit aveugle a l'air de cacher de grandes capacités. Sinon elle ne serais pas là et pas à ce poste surtout. Une bonne journée ce profil ici de toute façon.
> Merci lieutenant pour ce compte rendu très détaillé. Il sera utile et votre plan tien debout.
Une dizaine d'homme, dont cinq avec des armes à feu. Je devrais les prendre par surprise et être rapide et précis dans mes gestes si je ne veux pas me retrouver la peau trouée. Un challenge qui me tente bien et je vais pouvoir me tester avec cette mission. C'est le rêve. D'ailleurs je retourne à la réalité et me re-concentre sur la situation.
> Je suis prêt allons y lieutenant.
A peine ais je affirmé mon entrain pour la mission que j'escalade déjà la façade de la mairie. Avec pas mal de facilité d'ailleurs je suis en haut en moins de deux. Avoir couru puis maintenant grimpé, mes muscles sont déjà échauffés. Je n'ai plus qu'à trancher les pirates. D'un coup je regarde en bas et sarcastiquement je dis aux soldats de la marine:
> Alors on y va ?
Je pense que pour ma l'élimination des cibles il vaudrait mieux pour moi que je m'occupe d'abord des pirates avec les armes à feu. Au corps à corps ils ne seront pas très efficace et ensuite je pourrait tranquillement me charger de ceux qui ont des armes blanches sans avoir à faire attention de pas prendre une balle de tirer de loin lâchement. Maintenant je ne regarde plus les marines, je me concentre sur la mission et uniquement sur elle.
> Merci lieutenant pour ce compte rendu très détaillé. Il sera utile et votre plan tien debout.
Une dizaine d'homme, dont cinq avec des armes à feu. Je devrais les prendre par surprise et être rapide et précis dans mes gestes si je ne veux pas me retrouver la peau trouée. Un challenge qui me tente bien et je vais pouvoir me tester avec cette mission. C'est le rêve. D'ailleurs je retourne à la réalité et me re-concentre sur la situation.
> Je suis prêt allons y lieutenant.
A peine ais je affirmé mon entrain pour la mission que j'escalade déjà la façade de la mairie. Avec pas mal de facilité d'ailleurs je suis en haut en moins de deux. Avoir couru puis maintenant grimpé, mes muscles sont déjà échauffés. Je n'ai plus qu'à trancher les pirates. D'un coup je regarde en bas et sarcastiquement je dis aux soldats de la marine:
> Alors on y va ?
Je pense que pour ma l'élimination des cibles il vaudrait mieux pour moi que je m'occupe d'abord des pirates avec les armes à feu. Au corps à corps ils ne seront pas très efficace et ensuite je pourrait tranquillement me charger de ceux qui ont des armes blanches sans avoir à faire attention de pas prendre une balle de tirer de loin lâchement. Maintenant je ne regarde plus les marines, je me concentre sur la mission et uniquement sur elle.
Je suis le type. Monsieur Z qu'il s'appelle. Je ne suis pas très douée pour l'escalade, mais c'est juste à cause du fait que je suis plus à l'aise dans les déplacements horizontaux que verticaux. Non pas que je sois sujette au vertige. Mais sur le plancher des vaches, je "vois" avec mes pieds. je ressens les minuscules secousses que les gens font en se déplaçant. Sauf que là, ça m'est difficile de déterminer des prises pendant mon ascension.
J'arrive finalement en haut. Enfin, façon de parler, ici, les maisons ne culminent pas bien haut. Deux étages c'est le maximum. Et je retrouve la dernière lettre de l'alphabet. Mais... nom d'une biscotte! Je n'en crois pas mes oreilles! Il nargue les soldats restés en bas... Je sens le sang me monter au visage et je me plante devant lui. J'ai du mal à maitriser ma colère, mais j'arrive cependant à lui chuchoter.
Qu'est-ce que vous faites! On est sensés être discrets! Nom d'une biscotte, pourquoi m'a-t-on refilé un bleu? Je l'avais dit que je pouvais faire cette mission en solo! Vous... vous avez intérêt à ne pas tout faire rater! Vous m'avez compris! Soyez pro!
Sacrebleu, il m'a bien chauffé les oreilles, celui-là. Du coup, je suis tellement hors de moi que j'ouvre un vasistas sans même vérifier s'il y avait une personne dans la pièce. Heureusement pour moi, il n'y a personne. Mais bon, je suis un peu moins crédible pour recadrer un agent pas très professionnel. Je hume l'air. Il n'y a personne dans la pièce, alors je lui fais signe de venir. Le plancher de bois est une vraie mine d'informations pour moi qui peut ressentir les vibrations dans le sol. Hormis des rats, il n'y a pas âme qui vive à cet étage. Je le signale aussitôt à mon partenaire. Puis, je me dirige vers l'escalier. Soudain, je me fige. J'attends qu'il arrive près de moi et je lui dit.
Monsieur Z, j'ai besoin de vous pour reconnaitre visuellement les lieux. Moi, je ne pourrai le faire que lorsque je serai en bas. Mais ça me laisserait à découvert le temps que je descende. vous pouvez jeter un œil?
Je me fait quelque peu recadrer par la lieutenant. Mais bon elle à raison, on lui à refilé un bleu c'est vrai. Ce n'est que ma première mission et je ne suis pas encore très à l'aise. Mais bon comme on dit c'est en forgeant qu'on devient forgeron. Alors je me dis que ce n'est pas grave mais bien sur que je vais rester professionnel. Je suis du CP5, même en étant qu'un simple nouveau je reste capable de remplir une mission. Je peux être discret et je peux m'acquitter de surveillance ou même d'élimination de cible.
> N'ayez crainte, cette mission sera accomplit
Je la suis et malgré sa cécité je remarque qu'elle parvient parfaitement à identifié la zone. Ses sens doivent être booster en l'absence de la vue. C'est intéressant la façon dont le corps humain peut palier des handicaps pour continuer à être performant. En tout cas, ça n'a pas l'air de la déranger mais il faut quand même que je l'aide. La limite, peut être, de sa capacité. Je ne vais pas laisser une aveugle sans l'assister.
> ça marche lieutenant !
Un accord simple et directe. Malgré tout elle a plus d'expérience que moi donc je dois m'en servir pour apprendre. Faire une mission ici avec elle est une bonne opportunité. Je vais pouvoir acquérir de l'expérience moi aussi. Mais trêve de blabla.
Comme elle me l'a demandé, je me place et je surveille aux alentours qu'elle ne se fasse pas repérer. Ce serait quand même dommage de faire capoter l'opération et de devoir la finir dans un bain de sang. Quoi que ça ne me dérangerais pas tellement en faite. Mais comme toujours, la mission d'abord et les envies après.
> N'ayez crainte, cette mission sera accomplit
Je la suis et malgré sa cécité je remarque qu'elle parvient parfaitement à identifié la zone. Ses sens doivent être booster en l'absence de la vue. C'est intéressant la façon dont le corps humain peut palier des handicaps pour continuer à être performant. En tout cas, ça n'a pas l'air de la déranger mais il faut quand même que je l'aide. La limite, peut être, de sa capacité. Je ne vais pas laisser une aveugle sans l'assister.
> ça marche lieutenant !
Un accord simple et directe. Malgré tout elle a plus d'expérience que moi donc je dois m'en servir pour apprendre. Faire une mission ici avec elle est une bonne opportunité. Je vais pouvoir acquérir de l'expérience moi aussi. Mais trêve de blabla.
Comme elle me l'a demandé, je me place et je surveille aux alentours qu'elle ne se fasse pas repérer. Ce serait quand même dommage de faire capoter l'opération et de devoir la finir dans un bain de sang. Quoi que ça ne me dérangerais pas tellement en faite. Mais comme toujours, la mission d'abord et les envies après.
Z fait de la reconnaissance visuelle pour moi. L'endroit est dégagé selon lui. Je descend doucement. Je veille a ne pas faire craquer les marches en bois. Il me suit en faisant de même. On doit être silencieux. La discrétion est capitale dans l'optique de réussir à secourir tous les otages. Une fois au premier étage, j'utilise mon super sonar d'aveugle pour chercher des présences. Il y a trois types près des fenêtres dans une salle à cinq mètres d'ici.
Z, il y a trois types près des fenêtres. Ils sont sans doute armés de pistolet pour pouvoir tirer sur les gens dans la rue. Je te laisse t'occuper d'eux.
En effet, j'ai senti autre chose. Mais c'est plus loin. Il faut que je m'approche si je souhaite en savoir plus. Je laisse l'agent s'occuper des tireurs embusqués. Moi, je me focalise sur les présences devant moi. Seulement il y a un souci. Je perçois des sons, des vibrations et même des odeurs. Tout ça dans un périmètre si réduit que je n'arrive pas à discerner clairement le nombre de personnes. Alors inutile de dire que je suis bien incapable de distinguer les otages des ravisseurs. La porte est fermée. Et je n'ai pas le choix. Je dois rentrer et attendre de "voir" qui va m'attaquer.
Je prends une grande inspiration. Je n'aime pas jouer une mission sur un coup de dés. Mais il faut bien que je m'y résolve. Je ne vais pas faire appel à Z à chaque fois! Je fais jouer la poignée, j'entends le mécanisme grincer. Nom d'une biscotte, que ça me paraît long. J'entre. Il y a un moment où rien ne se passe. Ils doivent certainement être surpris de voir une soldate entrer. Je sens un mec se jeter sur moi. Suivi de près par deux autres types. Je me saisis du bras du premier et je le tourne du mauvais sens dans un craquement bien sinistre. Le type braille. Mince! Je le jette sur les deux autres, en espérant gagner du temps.
Mais c'est trop tard, j'entends qu'à l'étage en dessous, ça s'agite. Des pas remontent prestement du rez de chaussée. Il faut que je me débarrasse au plus vite des gardes. alors je joue ma dernière carte afin de savoir qui est qui.
Les otages, si vous voulez vivre, allongez-vous!
Et voilà, comme un seul homme les captifs se couchent. Il ne reste donc que les trois pirates qui se relèvent. Sans hésiter, je leur fonce dessus. Je dois les éliminer au plus vite. Pas le temps de finasser donc. J'esquive un coup de taille destiné à me trancher en deux et je frappe l'homme au niveau du sternum. Un des gars essaie de me contourner sur ma droite, mais son mouvement est trop lent. Je me saisis de son poignet et je guide son bras vers son compagnon. L'arme qu'il tenait à la main vient se ficher dans la poitrine de son collègue qui croyait pouvoir me surprendre par la gauche. D'un coup de pied bien placé, je plie en deux le type à qui j'ai pris la main. La douleur lui fait lâcher son arme. Je m'en empare avant même qu'elle ne touche le sol et dans un mouvement ample et fluide, je tranche les gorges des deux hommes momentanément hors de combat.
C'est fini. Mais je n'ai pas été assez rapide.
Les renforts sont presque sur moi. S'ils ont des sabres ou des pistolets, inutile de bloquer la porte. Ça les retarderait à peine. Je choisis donc de faire une sortie, ainsi, les otages ne seront pas pris dans le feu du combat. Soudain, je sens une odeur pestilentielle. C'est affreux. Je dois me boucher les narines tellement c'est ignoble. Du coup, je n'ai plus qu'une main pour me défendre. Et le type en face de moi, je ne réalise que trop tard de qui il s'agit.
Gorgo le sale. Je n'ai pas besoin de le voir pour comprendre que c'est lui. Son fumet colle bien à sa réputation. Celle d'un homme qui ne s'est jamais lavé de tout sa vie. Une infection humaine. Il sentait tellement mauvais que même en me bouchant le nez, je sentais encore sa puanteur par rétro-olfaction. Et comme je n'ai plus qu'une main de libre, je n'arrive pas à me défendre contre cet homme primé à un million de berrys. Il me cogne et moi, je ne peux qu'encaisser. J'espère que Z arrivera vite, parce que là, je suis dans lepétrinpurin.
Cette Jeska est impressionnante. Ses pouvoirs d'aveugles me choque tellement ils sont précis. Elle parvint à me dire combien d'homme, à quelle distance et comment sont-ils armés. Je suis ébahi mais je dois accomplir ma mission au plus vite. Je dois me débarrasser de ces satanés pirates. Alors je me dirige silencieusement vers la pièce indiquée. Je suis collé au mur derrière près de la porte donnant sur les 3 flibustiers. Je reprend mon souffle et passe à l'action d'un seul coup. L'effet de surprise est l'une des meilleurs armes qui soit. Je fonce sur le premier avec mon katana à la main. Je le coupe de bas en haut sans qu'il n'y ai trop de résistance. Etant quasiment au corps à corps, les deux autres hommes sont mal. Je donne un coup de pied dans le pistolet du deuxième et lui enfonce ma lame tandis que le troisième tire une balle dans ma direction. J'ai a peine le temps de faire un pas sur le coté que la balle traverse de part en part la tête de son compagnon. Puis surpris par la vivacité de mon geste il en perd sa lucidité. Mon poing s'écrase sur sa face pour le sortir de sa torpeur. Il tombe à la renverse et n'a pas le temps de se relever que ma mon katana entre dans sa gorge pour l’empêcher d'appeler qui que ce soit.
J'ai fait ce qu'on m'a demandé et c'était plutôt facile en faite. Bon, je sors de la pièce et cherche du regard où le lieutenant aurait pu partir. Rapidement je vois une porte entrouverte. Je fonce dessus et ralenti au dernier moment pour regarder discrètement si elle si trouve. Je regarde par l'ouverture de la porte et je vois l'aveugle se faire tabasser par un pirate qui m'horripile. Son odeur commence à arriver vers moi. C'est une infection. Mais le pire c'est que je vois le lieutenant qui ne se défend même pas. Elle se fait taper dessus par ce pirate et ne répond même pas.
Je souffle un coup, espérant ne pas regretter cet acte et fonce sur le puant. Je lui colle mon poing dans la figure et me poste devant le lieutenant. Deux de ses hommes me foncent dessus et je bloque leur lame avec la mienne. Je les contient tout pour que la soldate de la marine puisse reprendre ses esprits. Mais grossière erreur, je repousse les deux pirates en coupant l'un d'eux au niveau de la cuisse quand je reçois une balle dans le flanc. Elle me traverse en me cassant une côte au passage. Je crache un petit peu de sang et il y en a pas mal qui coule de ma blessure.
Je reste quand même debout et me retourne vers le lieutenant.
> Relevez vous rapidement, il faut mettre les civiles hors d'ici pour que l'on puisse se donner à fond sans risquer de blesser quelqu'un !
J'ai mal quand je respire, quand je me retourne, quand je bouge mais mon entraînement m'a apprit à mieux supporter la douleur et surtout à y faire abstraction. C'est le plus important là et ce qui me permet de continuer à combattre. Je fonce droit sur les pirates, sabre à la main pour faire diversion. Comme ça, la jeune aveugle pourra faire évacuer le maires et ses employer.
J'ai fait ce qu'on m'a demandé et c'était plutôt facile en faite. Bon, je sors de la pièce et cherche du regard où le lieutenant aurait pu partir. Rapidement je vois une porte entrouverte. Je fonce dessus et ralenti au dernier moment pour regarder discrètement si elle si trouve. Je regarde par l'ouverture de la porte et je vois l'aveugle se faire tabasser par un pirate qui m'horripile. Son odeur commence à arriver vers moi. C'est une infection. Mais le pire c'est que je vois le lieutenant qui ne se défend même pas. Elle se fait taper dessus par ce pirate et ne répond même pas.
Je souffle un coup, espérant ne pas regretter cet acte et fonce sur le puant. Je lui colle mon poing dans la figure et me poste devant le lieutenant. Deux de ses hommes me foncent dessus et je bloque leur lame avec la mienne. Je les contient tout pour que la soldate de la marine puisse reprendre ses esprits. Mais grossière erreur, je repousse les deux pirates en coupant l'un d'eux au niveau de la cuisse quand je reçois une balle dans le flanc. Elle me traverse en me cassant une côte au passage. Je crache un petit peu de sang et il y en a pas mal qui coule de ma blessure.
Je reste quand même debout et me retourne vers le lieutenant.
> Relevez vous rapidement, il faut mettre les civiles hors d'ici pour que l'on puisse se donner à fond sans risquer de blesser quelqu'un !
J'ai mal quand je respire, quand je me retourne, quand je bouge mais mon entraînement m'a apprit à mieux supporter la douleur et surtout à y faire abstraction. C'est le plus important là et ce qui me permet de continuer à combattre. Je fonce droit sur les pirates, sabre à la main pour faire diversion. Comme ça, la jeune aveugle pourra faire évacuer le maires et ses employer.
Faire sortir les otages... il en avait de bonnes, le Z. Le cagibi où les captifs étaient retenus n'a qu'une seule porte. Qui donne justement sur le couloir où nous nous battons. Mais il a raison. Il faut les extraire de ce bourbier. Je n'ai pas le choix, je retourne auprès des otages. Et je laisse l'agent se dépatouiller seul avec les pirates.
Allez, levez-vous et sortez!
Je joins le geste à la parole. Et parce que je n'ai pas le temps de finasser, je rajoute.
Et vite, si vous ne voulez pas mourir ici!
Là, je sens de suite plus de hâte dans les mouvements des otages. Ils se ruent hors de la pièce, me bousculant presque au passage. Seulement, ils veulent passer par l'escalier. Escalier bouché par le combat entre Z et les vilains.
Pas par là, mais par là!
Je montre le couloir d'où Z et moi somme arrivés. Comme de braves lemmings, les prisonniers libérés avancent droit devant eux dans le corridor.
Prenez la porte ouverte sur la droite et appelez à l'aide de la fenêtre!
Ils filent en rond d'oignon et je sens qu'auprès de l'agent Z, ça s'agite de trop. J'hésite à y aller. Combattre, c'est à la portée de tous. Mais, le faire en groupe sans se marcher dessus, ça nécessitait des années d’entrainement. Chose que nous n'avions pas, évidemment. Je pondère, et j'envisage. Mais pas longtemps. Je ne suis pas une fille cérébrale, mais une fille qui agit sur des coups de tête.
Alors je fonce. Je pensais bondir par dessus Z, mais avec son physique d'armoire à glace, je risque de me manger le plafond. Alors je passe par le coté en prenant appui sur le mur. Et je frappe.
Le sol.
Oui, je frappe le plancher qui vole en éclats. Le sol se dérobe sous nos pieds. On chute, comme les pirates. Sauf que moi, je sais ce que je fais. Du coup, je saute sur l'agent Z et l'embarque avec moi dans un magnifique roulé boulé, afin de minimiser les dégâts qu'il pourrait recevoir en tombant. Pour nos ennemis, ce n'est pas la même. Ils s'étalent sur le dos. Et hormis Gorgo, qui commence déjà à se relever, tous sont hors d'état de nuire. Moi, je suis sous l'agent gouvernemental. Je sens un poids étrange sur ma poitrine.
Un main qui n'est pas à moi.
Plus gênée qu'en colère, je lui jette quand même un glacial.
Retire ta main de suite, ou je te colle la mienne dans la figure!
Le combat fait rage. J'ai laissé la lieutenant partir avec les otages pendant que moi je suis au front face à un petit paquet de pirate. C'est pas facile, j'esquive une lame d'un coté, j'en bloque une de l'autre, un coup de coude dans la figure d'une autre. Vraiment pas simple. Je dois avoir les yeux partout pour ne pas y laisser ma peau. Une pêche en plein visage de la part Gorgo le chef des flibustiers me fais cracher un peu de sang. Il ruisselle dans le coin de ma bouche. Je le regarde avec rage et m'apprête à tenter quelque contre ce gus quand la lieutenant frappe au sol avec une force que je n'aurais pas soupçonné. Celui ci se fend et s’effondre et nous tombons ainsi que les pirates. Seulement par je ne sais quelle force et surtout impressionné par une telle agilité malgré la cécité la lieutenant nous extirpe du trou. Un roulé boulé majestueux nous protège d'un mal certain.
Je me retrouve je ne sais comment avec une main sur la poitrine de la petite soldate de la marine. Une inadvertance plutôt plaisante il faut avouer. Seulement la situation environnante me force à rapidement reprendre mes esprits et à replacer mes idées pour le combat. La façon dont la lieutenant me crie dessus m'aide aussi à me sortir de cette torpeur. Je range ma main et me relève promptement et aide la gradée à se remettre sur pied. Je la regarde dans les yeux, bien que je sache que ça ne sert pas à grand chose vu qu'elle ne peut pas le savoir, pour lui parler.
> Désolé mademoiselle, ce n'était pas voulu !
Mais plus important il faut finir d'évacuer les civils c'est votre priorité!
Moi je m'occupe de ce Gorgo !
Je suis prêt, j'ai eu une petite formation chez les agents du gouvernement mais uniquement de technique lâche et sournoise que je refuse d'utiliser. Je ne suis pas de ce genre là. De base je suis quand même un samouraï bien que je me sois fait bannir de l'ordre. J'ai mes propres techniques de combat et j'en suis fier.
Je me lance à l'assaut du capitaine pirate laissant la jeune aveugle s'occuper des civils. Par terre il y a les hommes du forban. Ils sont tous inconscient, les yeux révulsés pour la plus part. Au moins ceux qui avaient des pistolets sont hors d'état de nuire je ne risque plus de me faire canarder. De plus, je peux me concentrer totalement sur le capitaine et donc je me battrai mieux que tout à l'heure.
> Tu m'a mis une droite tout à l'heure, il est temps que toi aussi t'ai le goût du sang dans la bouche !
Je fonce sur lui et esquive un premier coup de poing et lui en met un en réponse. Il recule un peu mais reprend ses esprits sans aucune difficultés. Il s'approche de moi, je me prépare avec la main sur la garde de mon katana prêt à le trancher comme un vulgaire bambou. Seulement il fait une chose auquel personne ne se serais attendu. Le bougre lève les bras et une odeur pestilentielle s'en dégage. Mais pire que ça, l'odeur me brûle les yeux et me donne presque envie de vomir. Ce gros porc qui ne s'est surement jamais lavé de toute sa vie me colle un coup de poing dans le ventre. Je me plis sous la douleur mais parvient à rester debout. Pas pour longtemps malheureusement, l'uppercut qui suit me propulse en l'air et je retombe deux mètres plus loin allongé par la puissance du coup. Mes dents ont claqué et j'ai mal dans tout le crâne.
Il ne faut pas que je me laisse abattre de cette façon, pas ici et avec un public (bien qu'elle ne voit pas) c'est encore pire. Ce sursaut de fierté me permet de me relever. Non sans peine c'est vrai mais j'y parvient. J'ai encore plus de sang qui s'écoule de ma bouche. Mes cheveux sont ébouriffés et j'ai la haine. Maintenant sur pied, je cours vers ce pirate. Il ramasse le sabre d'un de ses hommes et me fait un geste provocateur m'intimant de venir. Je serre les dent, lui fonce dessus et esquive un coup d'estoc en déviant la lame. Je lui met un coup avec la garde de la mienne dans le nez et finit en lui lacérant le ventre. Son vêtement se déchire puis c'est du sang qui apparaît puis imbibe le reste de son t-shirt puis son short. L'entaille n'est pas très profonde mais est impressionnante. Le pauvre fou me provoque en duel à l'épée alors que je suis un samouraï et que lui est à des années lumières de maîtriser ce type d'arme. Je reste sur mes gardes et le provoque à mon tour.
> Moi aussi j'ai du répondant gros porc ! Un petit sourire en coin sadique en plus et voilà de quoi l'énerver le capitaine pirate.
Je me retrouve je ne sais comment avec une main sur la poitrine de la petite soldate de la marine. Une inadvertance plutôt plaisante il faut avouer. Seulement la situation environnante me force à rapidement reprendre mes esprits et à replacer mes idées pour le combat. La façon dont la lieutenant me crie dessus m'aide aussi à me sortir de cette torpeur. Je range ma main et me relève promptement et aide la gradée à se remettre sur pied. Je la regarde dans les yeux, bien que je sache que ça ne sert pas à grand chose vu qu'elle ne peut pas le savoir, pour lui parler.
> Désolé mademoiselle, ce n'était pas voulu !
Mais plus important il faut finir d'évacuer les civils c'est votre priorité!
Moi je m'occupe de ce Gorgo !
Je suis prêt, j'ai eu une petite formation chez les agents du gouvernement mais uniquement de technique lâche et sournoise que je refuse d'utiliser. Je ne suis pas de ce genre là. De base je suis quand même un samouraï bien que je me sois fait bannir de l'ordre. J'ai mes propres techniques de combat et j'en suis fier.
Je me lance à l'assaut du capitaine pirate laissant la jeune aveugle s'occuper des civils. Par terre il y a les hommes du forban. Ils sont tous inconscient, les yeux révulsés pour la plus part. Au moins ceux qui avaient des pistolets sont hors d'état de nuire je ne risque plus de me faire canarder. De plus, je peux me concentrer totalement sur le capitaine et donc je me battrai mieux que tout à l'heure.
> Tu m'a mis une droite tout à l'heure, il est temps que toi aussi t'ai le goût du sang dans la bouche !
Je fonce sur lui et esquive un premier coup de poing et lui en met un en réponse. Il recule un peu mais reprend ses esprits sans aucune difficultés. Il s'approche de moi, je me prépare avec la main sur la garde de mon katana prêt à le trancher comme un vulgaire bambou. Seulement il fait une chose auquel personne ne se serais attendu. Le bougre lève les bras et une odeur pestilentielle s'en dégage. Mais pire que ça, l'odeur me brûle les yeux et me donne presque envie de vomir. Ce gros porc qui ne s'est surement jamais lavé de toute sa vie me colle un coup de poing dans le ventre. Je me plis sous la douleur mais parvient à rester debout. Pas pour longtemps malheureusement, l'uppercut qui suit me propulse en l'air et je retombe deux mètres plus loin allongé par la puissance du coup. Mes dents ont claqué et j'ai mal dans tout le crâne.
Il ne faut pas que je me laisse abattre de cette façon, pas ici et avec un public (bien qu'elle ne voit pas) c'est encore pire. Ce sursaut de fierté me permet de me relever. Non sans peine c'est vrai mais j'y parvient. J'ai encore plus de sang qui s'écoule de ma bouche. Mes cheveux sont ébouriffés et j'ai la haine. Maintenant sur pied, je cours vers ce pirate. Il ramasse le sabre d'un de ses hommes et me fait un geste provocateur m'intimant de venir. Je serre les dent, lui fonce dessus et esquive un coup d'estoc en déviant la lame. Je lui met un coup avec la garde de la mienne dans le nez et finit en lui lacérant le ventre. Son vêtement se déchire puis c'est du sang qui apparaît puis imbibe le reste de son t-shirt puis son short. L'entaille n'est pas très profonde mais est impressionnante. Le pauvre fou me provoque en duel à l'épée alors que je suis un samouraï et que lui est à des années lumières de maîtriser ce type d'arme. Je reste sur mes gardes et le provoque à mon tour.
> Moi aussi j'ai du répondant gros porc ! Un petit sourire en coin sadique en plus et voilà de quoi l'énerver le capitaine pirate.
Heureusement qu'il s'excuse, le vil goujat! Profiter de la mission pour me peloter! Grrrr! Je déteste ce genre de types! Les pseudo-naïfs qui se révèlent être des pervers! Nom d'une biscotte, si le succès de la mission n'était pas dans la balance, ça fait longtemps que j'aurais corrigé le malotru! Mais bon. Il me rappelle que je dois sortir les otages de là. Alors je file dehors comme une balle. Lui tournant une nouvelle fois le dos. Le laissant seul face à Gorgo.
Je n'ai aucun mal à trouver le dehors. Tout simplement parce que je sens un courant d'air frais qui passe par une porte ou une fenêtre mal fermée. Je me précipite alors vers l'extérieur. Coup de bol, c'est la porte d'entrée qui donne sur la place du village. Le Colonel Razor Ramon est en train d'en finir avec leur chef alors je crie aux soldats qui regardent sans rien faire.
Hé vous! Au lieu de bailles aux corneilles, allez chercher une grande toile et préparez-vous à aller chercher les otages!
Une fenêtre du premier s'ouvre et on peut entendre les otages appeler à l'aide d'ici.
Magnez-vous, s'ils sautent et que vous ne tendez pas de toile en dessous, ils vont se briser les os!
Moi, je ne reste pas là plus longtemps. Je retourne aider l'agent Z. Il est aux prises avec Gorgo le sale. Et moi, je dois trouver un moyen de m’approcher de lui sans avoir envie de vomir. Sinon, je ne serai pas très efficace. La seule solution qui me vient à l'esprit, c'est de faire du hit'n'run. Retenir sa respiration, frapper le dégoutant en apnée, puis me retirer pour aller respirer du bon air frais. Je cours donc vers mon adversaire et mon camarade. Je prends de la vitesse et je me prépare à arriver comme un chien dans un jeu de quilles.
Sauf qu'il m'a vu.
C'est une chose que je prends rarement en compte. Les angles de vue et les champs de visions. Ces choses me dépassent. Et elles dépassent aussi en portée ma sphère perceptive. Du coup, je me retrouve à tenter une attaque "surprise" sur un adversaire qui m'attend de pied ferme. Il est déjà en train de pivoter quand je lui arrive dessus. Et je sens bien que son bras droit est anormalement plus long. Et fin. Une lame! Nom d'un biscotte, il faut que j'esquive et vite! Lancée comme une torpille, je n'ai pas le temps de réfléchir. Je bondis sur le coté. Un peu trop tard malheureusement. La pointe de la lame fait plus que m'érafler la hanche gauche. La douleur me perturbe et au lieu de bien de réceptionner, je me vautre lamentablement.
Je saigne, et j'ai mal. Là où le bougre m'a entaillé. Mais aussi à ma fierté qui en prend un coup. Fichu pirate crasseux! Je bouillonne de colère. J'ai envie de le dérouiller quitte à en prendre plein la face. Seulement, il y a l'odeur. Même là où je suis, à trois bon mètres de lui, la pestilence me soulève le cœur. Bwaaaargh! C'est pas humain de schlinguer autant!
Nom d'une biscotte, tu pues vraiment! Depuis quand tu n'as pas pris un bain?
C'est quoi un bain?
Je me frappe le front avec la paume de ma main droite. Il ne s'est jamais lavé de toute sa vie! Je n'ai pas envie de savoir quel âge il a. Non, je ne le veux vraiment pas! Seulement, je remarque que j'arrive à capter son attention. Ce qui veut certainement dire que Gorgo en accorde moins à l'agent Z. Voire plus du tout. Je croise juste les doigts pour mon binôme ne soit pas de ces types pétri d'honneur qui refusent de frapper un homme dans le dos.
En plus la lieutenant de la marine est une courageuse. Aveugle et pourtant elle me rejoint dans le combat contre ce monstre pestilentiel. Malheureusement l'odeur doit gêner ses sens sur-développés. Du coup c'est sans pouvoir intervenir que je la vois se prendre un coup de sabre sur la cuisse. Elle se vautre lamentablement. Comment un homme peut se résoudre à frapper une femme, aveugle qui plus est. En tout cas ce gros porc n'a aucun remord et est prêt à y retourner pour en finir avec elle. Une ouverture immense s'offre à moi. Je pourrais le transpercer de part en part avec mon katana d'un bon coup d'estoc dans le dos mais c'est contraire à mes principes. A moins qu'il ne soit qu'un faible je ne ferais jamais ça. Je regroupe alors mes forces pour l'attaquer. Avec un pas léger il ne fait pas gaffe à moi. Je saute par dessus l'ignoble pirate et me retrouve face à lui.
> Tu devras d'abord me tuer gros porc !
Avec un air fier de samouraï je protège la demoiselle. Un acte noble mais qui va devoir se terminer dans le sang. Alors avec mon katana je fonce sur lui et lui donne un coup en diagonale. Il bloque ma lame comme il le peut et ouvre la bouche pour me souffler son haleine sortit droit des égouts. Je manque de vomir tant l'odeur est nauséabonde. Le bandit me colle un coup de poing dans le ventre et je retombe à genoux, plié par la douleur. Je me sens pas bien, la nausée, mal au ventre et je crache même du sang. Je dois surement avoir un organe de touché.
> C'est que tu tapes bien pour un pirate !
En faite j'en ai pas croisé beaucoup d'autre. Je me suis bien battu avec certain dans des bars mais ils étaient tous vraiment faible. Celui ci c'est un morceau. Je pourrais l'avoir avec mon katana si il ne puait pas autant. Comment contourner cette "armure" et pouvoir m'en débarrasser?
Je me refuse de demander de l'aide à la jeune aveugle car c'est une femme et qu'en plus ses sens sont trop troublés par le flibustier. Je me lance alors sans réfléchir dans le combat. J'esquive un coup de sabre, en dévie un autre, me fait bloquer un coup de poing et finit parvient à faire un petite entaille sur la jambe gauche pirate. Un coup de pied dans la cuisse me fait perdre un peu l'équilibre, il enchaîne avec un coup de poing que je bloque avec le plat de ma lame. Grossière erreur, je lui offre trop d'espace, il n'en demandait pas tant et je il me transperce l'épaule droite démunit de protection. Le fourbe sait où frapper. Seulement il n'a pas tout maîtriser. Je retiens son bras pour l'empêcher dans s'en aller. Malgré la douleur je le retiens bien. Comme par sacrifice je lui plante ma lame dans le ventre. Pour en finir avec lui je tire son bras pour que la lame s'enfonce encore plus et finisse par le transpercer définitivement. Petit point négatif et faisant ça son épée m'a carrément traverser l'épaule.
Je retombe à genoux tout comme lui et le retiens encore et toujours. Ce n'est plus un filet de sang mais un déversement important d’hémoglobine qui sort de ma bouche. Une flaque de sang se dessine sous le corps du forban et du miens. J'ai un petit frisson dans le dos, synonyme de perte un peu trop importante de sang. Je ne pensais pas que ce mec nous donnerait autant de mal. Malgré l'adversité je garde toujours la fierté que mon enseignement samouraï m'a transmit.
> Alors tu le trouves comment ce coup là ? Avec un petit rire forcé bien dosé.
J'interpelle la soldate de la marine sans même me retourner, je ne dois pas quitter Gorgo du regard.
> Lieutenant relevez vous, il faut en finir avec lui alors soit vous prenez un sabre par terre et vous lui coupez la tête, soit vous optez pour un pistolet et une balle dans la tête suffira !!
Je sens que Gorga commence à réagir, il essaye de se débattre mais nous sommes coincé par nos lames.
> Tu devras d'abord me tuer gros porc !
Avec un air fier de samouraï je protège la demoiselle. Un acte noble mais qui va devoir se terminer dans le sang. Alors avec mon katana je fonce sur lui et lui donne un coup en diagonale. Il bloque ma lame comme il le peut et ouvre la bouche pour me souffler son haleine sortit droit des égouts. Je manque de vomir tant l'odeur est nauséabonde. Le bandit me colle un coup de poing dans le ventre et je retombe à genoux, plié par la douleur. Je me sens pas bien, la nausée, mal au ventre et je crache même du sang. Je dois surement avoir un organe de touché.
> C'est que tu tapes bien pour un pirate !
En faite j'en ai pas croisé beaucoup d'autre. Je me suis bien battu avec certain dans des bars mais ils étaient tous vraiment faible. Celui ci c'est un morceau. Je pourrais l'avoir avec mon katana si il ne puait pas autant. Comment contourner cette "armure" et pouvoir m'en débarrasser?
Je me refuse de demander de l'aide à la jeune aveugle car c'est une femme et qu'en plus ses sens sont trop troublés par le flibustier. Je me lance alors sans réfléchir dans le combat. J'esquive un coup de sabre, en dévie un autre, me fait bloquer un coup de poing et finit parvient à faire un petite entaille sur la jambe gauche pirate. Un coup de pied dans la cuisse me fait perdre un peu l'équilibre, il enchaîne avec un coup de poing que je bloque avec le plat de ma lame. Grossière erreur, je lui offre trop d'espace, il n'en demandait pas tant et je il me transperce l'épaule droite démunit de protection. Le fourbe sait où frapper. Seulement il n'a pas tout maîtriser. Je retiens son bras pour l'empêcher dans s'en aller. Malgré la douleur je le retiens bien. Comme par sacrifice je lui plante ma lame dans le ventre. Pour en finir avec lui je tire son bras pour que la lame s'enfonce encore plus et finisse par le transpercer définitivement. Petit point négatif et faisant ça son épée m'a carrément traverser l'épaule.
Je retombe à genoux tout comme lui et le retiens encore et toujours. Ce n'est plus un filet de sang mais un déversement important d’hémoglobine qui sort de ma bouche. Une flaque de sang se dessine sous le corps du forban et du miens. J'ai un petit frisson dans le dos, synonyme de perte un peu trop importante de sang. Je ne pensais pas que ce mec nous donnerait autant de mal. Malgré l'adversité je garde toujours la fierté que mon enseignement samouraï m'a transmit.
> Alors tu le trouves comment ce coup là ? Avec un petit rire forcé bien dosé.
J'interpelle la soldate de la marine sans même me retourner, je ne dois pas quitter Gorgo du regard.
> Lieutenant relevez vous, il faut en finir avec lui alors soit vous prenez un sabre par terre et vous lui coupez la tête, soit vous optez pour un pistolet et une balle dans la tête suffira !!
Je sens que Gorga commence à réagir, il essaye de se débattre mais nous sommes coincé par nos lames.
Nom d'une biscotte! Il refuse de saisir l'opportunité de frapper un ennemi dans le dos! Satané agent Z! Si ça se trouve, dans les Cipher Pols, on donne des lettres aux agents en fonction de leur talent. Ouais, ça doit être ça. Je me coltine le cancre de la promo! J'ai presque autant envie de le cogner lui que de frapper Gorgo. Fort heureusement, le puant est encore en tête de ma liste.
Alors que l'agent gouvernemental et le malodorant pirate s'affrontent, je reprends mes esprits et ma respiration. Les deux se sont plantés mutuellement. Au sens crade comme au figuré. Mais, ils sont vivants. Je dois donc séparer ce couple qui est tout sauf amoureux. Enfin, je l'espère. J'avance de quelques pas. Je me place à droite du pirate et je lui donne un coup de pied derrière le genou. De ce fait, Gorgo se retrouve obligé de mette genou à terre. Et ainsi, il se retrouve avec le visage à ma hauteur. Je place ma main droite derrière son crane et la gauche devant. Il comprend ce que je compte faire, mais c'est trop tard. Le craquement sec m'indique à coup sûr que j'en ai fini avec lui. Je repousse sa carcasse du pied pour le séparer du malheureux agent Z. Mes poumons me brulent à force de retenir ma respiration. Je reprends donc mon souffle. Blearg! C'est ignoble!
Même mort, ce pirate pue encore!
Je n'ai jamais été douée pour l'humour. Je regarde en direction du pauvre Z et je souris. On a gagné. Les otages sont saufs. Certes, je suis blessée et lui aussi, mais ça va. Je lui tends ma main pour l'aider à se relever. Je le hisse sur ses pieds. Et on se soutient mutuellement pour sortir de là. Et pendant qu'on titube hors de la Mairie, je lui glisse à l'oreille.
La prochaine fois qu'un ennemi te tourne le dos, tue-le. Tout ne se passera pas aussi bien qu'aujourd'hui, Z.
Lorsqu'on sort de là, je respire enfin un air pur, mais j'ai la douloureuse impression que les effluves de Gorgo se sont collées dans mes narines. Puis, on se fait assaillir par des soldats qui nous demandent si on va bien et appellent l'équipe médicale. J'insiste pour que le jeune homme soit soigné en premier. Sa blessure est plus grave que la mienne après tout.
Me voilà sortit de cette merde, je parle bien évidement de Gorgo le pirate. Jeska vient de lui briser la nuque. Le bruit caractéristique du cou qui craque et comme un soulagement. Un poids qui vient de s'envoler. Je retire mon épée de ses entrailles et retire la sienne planté dans mon épaule. Après avoir rangé la mienne dans son fourreau Jeska et moi sortons. Mission accomplit, c'est vrai mais dans la douleur ça l'est encore plus. La lieutenant et moi nous retenons mutuellement pour ne pas tomber. On passe la porte et retrouve tous les autres soldats de la marine. Ils courent comme des dératés pour nous rejoindre. Le soleil me brûle les yeux mais le bonheur de retrouver un air pu dénué de toutes les odeurs du flibustier est une douce sensation. J'ai entendre la jeune aveugle demander à ce que les infirmiers s'occupent d'abord de moi. Je ne suis pas d'accord mais ils insistent.
Je les laisses faire. Il nettoie la plaie béante à mon épaule avec un alcool surement car ça pique affreusement. Je n’esquisse aucun signe de douleur, telle est la fierté d'un homme blessé. Quelques bandages plus tard je rejoint ma partenaire d'une mission. Elle est assise près de son supérieur.
> Mademoiselle merci pour votre aide dans cette mission. Je n'aurais pu le vaincre seul. Merci aussi d'avoir appelé le CP5 c'était un choi judicieux.
Je me rapproche la lieutenant et lui glisse dans l'oreille:
> C'est un réflexe de samouraï que de refuser de frapper dans le dos, je respecte cette règle et vous n'y changerez rien ! avec un ton dénué de toute animosité.
Je décide alors de ne pas tarder plus que ça. Sans rien dire à personne je m'éclipse. Aussi rapidement que j'étais venu. Une course à travers la ville qui m'emmène finalement jusqu'au port. Là je remarque un bateau marchand au loin. C'est une aubaine pour moi. Je parviens à me faufiler dedans sans même savoir où il va. Cependant je sais que je parviendrais à retourner aux bureaux du CP5 car comme on le dit si bien, toutes les routes mènent à Marie-Joie!
Je les laisses faire. Il nettoie la plaie béante à mon épaule avec un alcool surement car ça pique affreusement. Je n’esquisse aucun signe de douleur, telle est la fierté d'un homme blessé. Quelques bandages plus tard je rejoint ma partenaire d'une mission. Elle est assise près de son supérieur.
> Mademoiselle merci pour votre aide dans cette mission. Je n'aurais pu le vaincre seul. Merci aussi d'avoir appelé le CP5 c'était un choi judicieux.
Je me rapproche la lieutenant et lui glisse dans l'oreille:
> C'est un réflexe de samouraï que de refuser de frapper dans le dos, je respecte cette règle et vous n'y changerez rien ! avec un ton dénué de toute animosité.
Je décide alors de ne pas tarder plus que ça. Sans rien dire à personne je m'éclipse. Aussi rapidement que j'étais venu. Une course à travers la ville qui m'emmène finalement jusqu'au port. Là je remarque un bateau marchand au loin. C'est une aubaine pour moi. Je parviens à me faufiler dedans sans même savoir où il va. Cependant je sais que je parviendrais à retourner aux bureaux du CP5 car comme on le dit si bien, toutes les routes mènent à Marie-Joie!