>> Arthur D'Avalon
Pseudonyme : L'étoile du Nord Age: 18 ans Sexe : Homme Race : Humain Métier : Capitaine pirate Groupe : Pirate But : ~ Trouver le One Piece ~ Découvrir la légendaire Excalibur ~ Se venger de Morgania. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Équipement : Une simple épée ainsi que deux dagues a sa ceinture. Codes du règlement : Parrain : Le nom du membre qui vous a fait découvrir le forum, le cas échéant. Ce compte est-il un DC ? : Oui, non ? De qui ? Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
Psychologique
Je vous l'avoue, faire un descriptif juste de moi-même n'est pas la tâche la plus simple. Cependant, en tant que futur souverrain du monde, je me dois de me montrer impartial, autant avec les autres qu'avec mon propre être. Si je devais donc décrire ma conscience, je devrai vous dire que la seule bonne chose que mon père m'a apprise est à suivre le code de la chevalerie d'Avalon. En tant que guerrier, j'ai des valeurs personnelles qui me poussent, en premier lieu, à ne jamais abandonner un compagnon dans la bataille. Mes amis et moi avons signés un pacte muet qui nous rend frères d'armes. Bien plus fort que les liens du sang, ce serment me pousse à faire tout mon possible pour sauver mes compagnons et à me battre jusqu'à la mort pour le bien-être de mes alliés. Cependant, lorsque d'autres personnes sont hostiles envers moi ou ceux que j'ai en affection, je n'hésite pas à me montrer cruel et sans pitié, le sang ne me gênant pas le moins du monde lorsqu'il s'éclabousse sur mon visage.
Une autre des règles inscrites dans les lois ancestrales de la chevalerie se trouve être le fait de ne jamais frapper une femme sans défense, chose que je m'éfforce de suivre le plus souvent possible. Cependant, si la femme en question se trouve être une personne de mauvaise augure comme Morgania ma cousine, je ne peux que croire que la loi ne s'applique pas et que le protocole m'autorise à frapper l'objet de la traîtrise. Envers les femmes, je me montre également très poli, n'utilisant jamais l'excés de courtoisie mais usant de mes charmes pour amadouer la gente féminine. A vrai dire, je ne suis poli qu'envers les femmes, puisque les hommes se font souvent insulter par ma gentille personne, et bien souvent à l'aide d'expression plutôt désuettes, telle que "sombre gueux" ou bien "jeune lépreux des bois", ce qui ne sonne pas toujours comme je l'entends aux oreilles de mes ennemis.
De mon ancien statut princier, j'ai également conservé mon mépris pour les "gens du peuple", bien que mon séjour en prison m'ait fait comprendre un peu mieux la situation de ceux qui vivent sans argent et sans aucune ressource. Je me plait à détruire les envies soudaine des personnes qui souhaitent atteindre un rang plus haut que celui dans lequel ils sont nait sans aucun autre moyen que l'ambition. Dans ma manière de penser, nous venons au monde avec un destin si puissant qu'il nous est impossible de nous en détacher : soit nous naissont en conquérant, soit en proie. Il n'y a pas d'échappatoire pour ceux qui n'ont pas de rêves et de puissance. Et je suis des conquérants, de ceux qui détruiront le monde par la seule force de leur ambition, par le seul pouvoir de leur égo. Je le promet, et je l'ai déjà promi à beaucoup, je trouverai le One Piece. Je deviendrai le nouveau roi des pirates afin de retrouver mon statut princier. Et je découvrirai où se cache cet Excalibur de légende, afin de faire retrouver à Avalon sa gloire d'antan.
Une autre des règles inscrites dans les lois ancestrales de la chevalerie se trouve être le fait de ne jamais frapper une femme sans défense, chose que je m'éfforce de suivre le plus souvent possible. Cependant, si la femme en question se trouve être une personne de mauvaise augure comme Morgania ma cousine, je ne peux que croire que la loi ne s'applique pas et que le protocole m'autorise à frapper l'objet de la traîtrise. Envers les femmes, je me montre également très poli, n'utilisant jamais l'excés de courtoisie mais usant de mes charmes pour amadouer la gente féminine. A vrai dire, je ne suis poli qu'envers les femmes, puisque les hommes se font souvent insulter par ma gentille personne, et bien souvent à l'aide d'expression plutôt désuettes, telle que "sombre gueux" ou bien "jeune lépreux des bois", ce qui ne sonne pas toujours comme je l'entends aux oreilles de mes ennemis.
De mon ancien statut princier, j'ai également conservé mon mépris pour les "gens du peuple", bien que mon séjour en prison m'ait fait comprendre un peu mieux la situation de ceux qui vivent sans argent et sans aucune ressource. Je me plait à détruire les envies soudaine des personnes qui souhaitent atteindre un rang plus haut que celui dans lequel ils sont nait sans aucun autre moyen que l'ambition. Dans ma manière de penser, nous venons au monde avec un destin si puissant qu'il nous est impossible de nous en détacher : soit nous naissont en conquérant, soit en proie. Il n'y a pas d'échappatoire pour ceux qui n'ont pas de rêves et de puissance. Et je suis des conquérants, de ceux qui détruiront le monde par la seule force de leur ambition, par le seul pouvoir de leur égo. Je le promet, et je l'ai déjà promi à beaucoup, je trouverai le One Piece. Je deviendrai le nouveau roi des pirates afin de retrouver mon statut princier. Et je découvrirai où se cache cet Excalibur de légende, afin de faire retrouver à Avalon sa gloire d'antan.
>> Physique
Vous voulez vraiment savoir ce que j'aperçois lorsque je me regarde dans un miroir ? Ce que j'arrive à percevoir en m'admirant dans une flaque d'eau ? Toujours dans l'impartialité de la chose c'est ça ? Je peux donc vous dire que ce que l'on remarque le plus sur moi, ce sont mes cheveux d'un rouge vif, cendrés et aussi luisants que l'incendie. Mes cheveux sont coupés courts, relevés en pique sans que je n'ai besoin d'utiliser la moindre cire pour leur faire adopter cette fameuse forme. Quand j'étais gosse, ma mère me disait que c'était à cause d'une inclinaison singulière des racines de mes cheveux. Au niveau de mes yeux, ils sont eux aussi de cet éclat subtil volcanique, comportant également une certaine malice propre à la famille D'Avalon. J'ai également un visage au contour plutôt fin, bien que mes yeux soient entourés de cernes ce qui me donne un regard dur et plutôt froid au premier abord.
Pour ce qui est de mon apparence physique en elle-même, il faut dire que je suis un homme plutôt musclé malgré mon jeune âge de dix-huit ans. Je possède des abdominaux assez proéminents, bien que ce qui est le plus dévellopé chez moi se trouve être mes cuisses et mes mollets. En effet, suite à mes nombreux entraînements intensifs pour personnaliser et mettre en finalité mon style de combat, j'ai fini par posséder des jambes assez puissantes et extrêmement bien formés. C'est donc la partie de mon corps dont je suis le plus fier et le plus heureux d'exhiber, notamment en portant des shorts et des pantalons moulants.
Au niveau de mon style vestimentaire, je ne porte en général que de simples jeans bleus, comme ceux que l'on peut trouver dans à peu près tout les magasins, ainsi que des chemises blanches, unies, afin de ne pas déparailler. Car même si j'ai un statut princier dont je suis fier, je ne peux me permettre d'acheter des vêtements trop cher que j'abimerai en moins de deux à la suite d'un combat un peu trop violent. Car mine de rien, le sang, c'est dur à faire partir au lavage ! Je suis peut-être arrogant, mais je suis pas idiot et je sais faire des économies. Ma garde robe n'est donc, comme vous l'aurez remarqué, pas très fournie mais ça me plait comme ça. Je suis un beau pirate tout de même.
Pour ce qui est de mon apparence physique en elle-même, il faut dire que je suis un homme plutôt musclé malgré mon jeune âge de dix-huit ans. Je possède des abdominaux assez proéminents, bien que ce qui est le plus dévellopé chez moi se trouve être mes cuisses et mes mollets. En effet, suite à mes nombreux entraînements intensifs pour personnaliser et mettre en finalité mon style de combat, j'ai fini par posséder des jambes assez puissantes et extrêmement bien formés. C'est donc la partie de mon corps dont je suis le plus fier et le plus heureux d'exhiber, notamment en portant des shorts et des pantalons moulants.
Au niveau de mon style vestimentaire, je ne porte en général que de simples jeans bleus, comme ceux que l'on peut trouver dans à peu près tout les magasins, ainsi que des chemises blanches, unies, afin de ne pas déparailler. Car même si j'ai un statut princier dont je suis fier, je ne peux me permettre d'acheter des vêtements trop cher que j'abimerai en moins de deux à la suite d'un combat un peu trop violent. Car mine de rien, le sang, c'est dur à faire partir au lavage ! Je suis peut-être arrogant, mais je suis pas idiot et je sais faire des économies. Ma garde robe n'est donc, comme vous l'aurez remarqué, pas très fournie mais ça me plait comme ça. Je suis un beau pirate tout de même.
>> Biographie
En un pays de légendes et de mythes, un jeune garçon doit endosser le futur destin d'un royaume pour échapper à la tyrannie d'un homme. Ce garçon ? C'est moi, Arthur D'Avalon. Je suis né en l'an 1608, sur l'île d'Avalon, au sein d'un petit archipel de South Blue. Mon père était le roi de ce royaume et, en tant que tel, j'en fus donc un prince héritié à part entière, unique descendant de sa majesté Theru D'Avalon et de sa femme Guenièvre. Dès le jour de ma naissance, un grand poids était donc venu alourdir mes épaules, besoin immoral de la succession royale de ma patrie. J'ai grandis sans manqué de rien, je vous l'accorde. En tant que prince, j'avais à ma botte des dizaines de serviteurs et de valets de chambre qui exécutés le moindre de mes désirs en un claquement de doigt, comme si chacune de mes paroles et de mes caprices d'enfants faisaient désormais office de nouvelles lois. J'adorais ça. Oui, vous savez, ce sentiment de se sentir supérieur, de pouvoir obtenir toutes les richesses du monde que l'on voulait. Enfin, vous ne connaissez peut-être pas ça vous, êtres inférieurs de la basse populasse du monde ? Quoiqu'il en soit, mon enfance, ou tout du moins les quatre premières années de ma vie, furent des plus appréciables.
Ce ne fut qu'à mes cinq ans que j'endossais pleinement mon rôle d'héritier du trône d'Avalon. En 1613, on m'apprêtait un précepteur qui m'initia à la politique gouvernementale ainsi qu'au maniement d'armes diverses afin que je sois en mesure de me défendre contre les nombreux ennemis de notre royaume. Avalon était affilié au Gouvernement Mondial et mon père avait un siège à l'assemblée des nations. Cependant, même si nous étions un royaume guerrier et fier de nos couleurs, nous n'étions pas très nombreux et donc souvent cible de multiples attaques extérieures ainsi que de coups d'êtats. Bien vite, j'appris un peu tout de la géopolitique internationale ainsi que de la structure même de notre monde. Notre royaume entretenait de bons termes avec un peu toutes les îles voisines et le principal mal qui guettait Avalon été plutôt les conflits internes. En effet, mon père, le Roi Theru, avait un jeune frère, Accolon Camelott. En tant que membre laisé de la famille royale, il avait défié mon père en combat pour l'obtention du trône mais perdu, et s'était depuis exilé aux abords de notre royaume. Au château, on avait depuis eut des échos comme quoi mon oncle organisé une révolte dans le but de faire un coup d'êtat. Cependant, mon père ne semblait pas inquiet plus que ça.
Lorsque nous entamièrent l'année 1615, mon père décida d'officialiser mon futur règne en l'annonçant à tout le peuple. L'engouement à mon égard grandit dans tout le royaume et je devins l'enfant prodige et le futur roi juste d'Avalon. C'est environs vers cette année là que remontent mes premiers souvenirs avec Myrdin. Cette jeune fille était né axactement le même jour que moi. Cependant, les dieux n'avaient pas été bienveillant avec son destin puisqu'ils avaient décidés de la rendre orpheline dès son plus jeune age. Son père était un ami du mien et c'est donc tout naturellement que Theru avait accepté de la prendre sous son aile, en faisant un membre de la famille royale. Vers ses six ans, nous avions remarqués son talent exceptionel pour l'apprentissage. En effet, elle avait une mémoire dépassant tout entendement, capable de se souvenir de tout ce qu'elle lisait. Le Roi en fit donc ma conseillère. Car oui, après tout, tout les bons monarques ont besoin d'un avis extérieur pour gourverner en une totale impartialité. Mon statut d'héritier se conforta donc encore plus avec l'arrivée de Myrdin dans ma vie. Bien vite, nous devinrent inséparables ainsi que les meilleurs amis du monde.
Trois ans passèrent, trois ans durant lesquels mon style de combat changea drastiquement. Mes précepteurs s'étaient bien aperçu que le maniement d'épée n'était pas mon fort. J'étais à peine capable de tenir une lame droite, alors pour ce qui était de défier un adversaire... Cependant, ils avaient remarqués que mon jeu de jambes était possiblement exceptionel. Ils décidèrent donc de se concentrer là-dessus pour mes futurs entraînements. Bien vite, j'appris donc à renforcer l'efficacité de mes coups de pieds ainsi que mon agilité naturelle. C'est avec l'aide de Myrdin et de son habileté naturelle à apprendre toujours plus que je mis ainsi au point mon propre style de combat, basé sur la puissance des coups. J'améliorais grâce à ma jeune amie ma vitesse, mon endurance et ma force physique, à l'aide d'entraînements et de musculation qu'elle m'imposait, prenant pour modèle les meilleurs entraîneurs du monde. Bien vite, je délaissais donc mes précepteurs pour prendre pour seule maîtresse Myrdin.
Au fur et à mesure que je grandissais, la révolte se propageait à l'horizon. Elle florissait, telle une sombre rose qui n'attendait que d'éclore en plein jour. Et ce fut le cas lors du printemps de cette année 1618. J'avais dix ans. J'étais encore jeune, très jeune. Trop jeune pour ce qu'il allait se passer. Accolon, frère jaloux et délaissé vis à vis de mon père, envahit notre palais avec l'aide de ses forces armées. Mon père avait mal calculé le nombre de partisants à la cause du rénégat et nous fûmes bien vite acculés par Accolon. Ce jour-là, ce fut le jour de la mort de mes parents, tués sur le trône. Accolon prit le commandement d'Avalon et en devint le nouveau roi. Il ne me tua pas. Non, dans sa bonté légendaire, il ne pu se résoudre à condamner un simple enfant à la peine capitale. Au lieu de cela, il décida de me laisser moisir, en compagnie de Myrdin, aux cachots du chateau, pour le restant de ma vie. J'y passais en tout deux ans, deux ans durant lesquels j'apprenais l'humilité et le malheur que les gens du bas monde pouvait ressentir. C'est à cette époque là que mon caractère changea et que je devins plus humain, abandonnant mes principes de la royauté pour m'abaisser au niveau de la populasse.
Durant ce long séjour en prison, je n'avais pour seule compagnie que Myrdin. Notre relation finie par se renforcer et nous devinrent petit à petit plus proches. Le sort fit en sorte que je ne passais pas ma vie en prison. Cependant, à la vue des évènements qui allaient arriver, j'aurai préféré mourir auprès de mes géoliers. A vrai dire, je ne compris pas tout ce qui se passait autour de moi après ces deux ans de cachot. Des cris. Des hurlements. Du sang. Tout autour de nous s'emmélait et je vis des pîrates débarquer dans les sous-sols du palais. Nos cellules s'ouvrirent mais pas pour nous libérer : petit à petit, les hommes armés tués chaque prisonnier, avides de sang et de barbarie. J'étais affaiblis après ses années à ne manger que du pain et de l'eau mais je réussissais tout de même à défaire la majorité de ceux qui tentaient de nous barrer la route. J'avais emmené Myrdin avec moi et prit la direction d'un tunnel secret, connu des seuls membres de la famille royale et menant au port le plus proche. Au loin, avant de nous enfuir, j'aperçu Morgania, ma cousine, fille d'Accolon le traître. Elle tenait la tête de son père dans sa main. C'était donc elle la traîtresse et l'investigatrice de la chute d'Avalon !
Myrdin et moi, nous nous échappâmes grâce à l'aide de marin pécheurs qui passaient par là. Tout cela marquait le début de ma vie. Durant six, je passais mon temps sur une île voisine à Avalon, continuant à perfectionner ma technique de combat si singulière. Myrdin continua elle aussi à progresser. Elle en apprenait chaque jour un peu plus, renforçant sa banque de données qu'était sa mémoire. Et un jour, elle tombait sur une légende. Une vieille légende, qui me donnait l'envie de m'aventurer sur les mers, de braver les dangers et de trouver ce trésor si magnifique. "En des temps immémoriaux, un puissant artefact naquit au sein d'une nation. Les habitants l'appelèrent Excalibur. Tant que cet artefact se trouvait dans le royaume, aucun maux ne put troubler l'ordre établi. De plus, lorsque le pays fut attaqué et détruit, par la seule force de son esprit, Excalibur fit renaître la nation de ses cendres.". Et c'est ainsi que je devins pirate, dans l'espoir de devenir le nouveau roi des pirates, de retrouver ma gloire d'antan, mais également de trouver cet artefact capable de faire revivre Avalon, Excalibur.
Ce ne fut qu'à mes cinq ans que j'endossais pleinement mon rôle d'héritier du trône d'Avalon. En 1613, on m'apprêtait un précepteur qui m'initia à la politique gouvernementale ainsi qu'au maniement d'armes diverses afin que je sois en mesure de me défendre contre les nombreux ennemis de notre royaume. Avalon était affilié au Gouvernement Mondial et mon père avait un siège à l'assemblée des nations. Cependant, même si nous étions un royaume guerrier et fier de nos couleurs, nous n'étions pas très nombreux et donc souvent cible de multiples attaques extérieures ainsi que de coups d'êtats. Bien vite, j'appris un peu tout de la géopolitique internationale ainsi que de la structure même de notre monde. Notre royaume entretenait de bons termes avec un peu toutes les îles voisines et le principal mal qui guettait Avalon été plutôt les conflits internes. En effet, mon père, le Roi Theru, avait un jeune frère, Accolon Camelott. En tant que membre laisé de la famille royale, il avait défié mon père en combat pour l'obtention du trône mais perdu, et s'était depuis exilé aux abords de notre royaume. Au château, on avait depuis eut des échos comme quoi mon oncle organisé une révolte dans le but de faire un coup d'êtat. Cependant, mon père ne semblait pas inquiet plus que ça.
Lorsque nous entamièrent l'année 1615, mon père décida d'officialiser mon futur règne en l'annonçant à tout le peuple. L'engouement à mon égard grandit dans tout le royaume et je devins l'enfant prodige et le futur roi juste d'Avalon. C'est environs vers cette année là que remontent mes premiers souvenirs avec Myrdin. Cette jeune fille était né axactement le même jour que moi. Cependant, les dieux n'avaient pas été bienveillant avec son destin puisqu'ils avaient décidés de la rendre orpheline dès son plus jeune age. Son père était un ami du mien et c'est donc tout naturellement que Theru avait accepté de la prendre sous son aile, en faisant un membre de la famille royale. Vers ses six ans, nous avions remarqués son talent exceptionel pour l'apprentissage. En effet, elle avait une mémoire dépassant tout entendement, capable de se souvenir de tout ce qu'elle lisait. Le Roi en fit donc ma conseillère. Car oui, après tout, tout les bons monarques ont besoin d'un avis extérieur pour gourverner en une totale impartialité. Mon statut d'héritier se conforta donc encore plus avec l'arrivée de Myrdin dans ma vie. Bien vite, nous devinrent inséparables ainsi que les meilleurs amis du monde.
Trois ans passèrent, trois ans durant lesquels mon style de combat changea drastiquement. Mes précepteurs s'étaient bien aperçu que le maniement d'épée n'était pas mon fort. J'étais à peine capable de tenir une lame droite, alors pour ce qui était de défier un adversaire... Cependant, ils avaient remarqués que mon jeu de jambes était possiblement exceptionel. Ils décidèrent donc de se concentrer là-dessus pour mes futurs entraînements. Bien vite, j'appris donc à renforcer l'efficacité de mes coups de pieds ainsi que mon agilité naturelle. C'est avec l'aide de Myrdin et de son habileté naturelle à apprendre toujours plus que je mis ainsi au point mon propre style de combat, basé sur la puissance des coups. J'améliorais grâce à ma jeune amie ma vitesse, mon endurance et ma force physique, à l'aide d'entraînements et de musculation qu'elle m'imposait, prenant pour modèle les meilleurs entraîneurs du monde. Bien vite, je délaissais donc mes précepteurs pour prendre pour seule maîtresse Myrdin.
Au fur et à mesure que je grandissais, la révolte se propageait à l'horizon. Elle florissait, telle une sombre rose qui n'attendait que d'éclore en plein jour. Et ce fut le cas lors du printemps de cette année 1618. J'avais dix ans. J'étais encore jeune, très jeune. Trop jeune pour ce qu'il allait se passer. Accolon, frère jaloux et délaissé vis à vis de mon père, envahit notre palais avec l'aide de ses forces armées. Mon père avait mal calculé le nombre de partisants à la cause du rénégat et nous fûmes bien vite acculés par Accolon. Ce jour-là, ce fut le jour de la mort de mes parents, tués sur le trône. Accolon prit le commandement d'Avalon et en devint le nouveau roi. Il ne me tua pas. Non, dans sa bonté légendaire, il ne pu se résoudre à condamner un simple enfant à la peine capitale. Au lieu de cela, il décida de me laisser moisir, en compagnie de Myrdin, aux cachots du chateau, pour le restant de ma vie. J'y passais en tout deux ans, deux ans durant lesquels j'apprenais l'humilité et le malheur que les gens du bas monde pouvait ressentir. C'est à cette époque là que mon caractère changea et que je devins plus humain, abandonnant mes principes de la royauté pour m'abaisser au niveau de la populasse.
Durant ce long séjour en prison, je n'avais pour seule compagnie que Myrdin. Notre relation finie par se renforcer et nous devinrent petit à petit plus proches. Le sort fit en sorte que je ne passais pas ma vie en prison. Cependant, à la vue des évènements qui allaient arriver, j'aurai préféré mourir auprès de mes géoliers. A vrai dire, je ne compris pas tout ce qui se passait autour de moi après ces deux ans de cachot. Des cris. Des hurlements. Du sang. Tout autour de nous s'emmélait et je vis des pîrates débarquer dans les sous-sols du palais. Nos cellules s'ouvrirent mais pas pour nous libérer : petit à petit, les hommes armés tués chaque prisonnier, avides de sang et de barbarie. J'étais affaiblis après ses années à ne manger que du pain et de l'eau mais je réussissais tout de même à défaire la majorité de ceux qui tentaient de nous barrer la route. J'avais emmené Myrdin avec moi et prit la direction d'un tunnel secret, connu des seuls membres de la famille royale et menant au port le plus proche. Au loin, avant de nous enfuir, j'aperçu Morgania, ma cousine, fille d'Accolon le traître. Elle tenait la tête de son père dans sa main. C'était donc elle la traîtresse et l'investigatrice de la chute d'Avalon !
Myrdin et moi, nous nous échappâmes grâce à l'aide de marin pécheurs qui passaient par là. Tout cela marquait le début de ma vie. Durant six, je passais mon temps sur une île voisine à Avalon, continuant à perfectionner ma technique de combat si singulière. Myrdin continua elle aussi à progresser. Elle en apprenait chaque jour un peu plus, renforçant sa banque de données qu'était sa mémoire. Et un jour, elle tombait sur une légende. Une vieille légende, qui me donnait l'envie de m'aventurer sur les mers, de braver les dangers et de trouver ce trésor si magnifique. "En des temps immémoriaux, un puissant artefact naquit au sein d'une nation. Les habitants l'appelèrent Excalibur. Tant que cet artefact se trouvait dans le royaume, aucun maux ne put troubler l'ordre établi. De plus, lorsque le pays fut attaqué et détruit, par la seule force de son esprit, Excalibur fit renaître la nation de ses cendres.". Et c'est ainsi que je devins pirate, dans l'espoir de devenir le nouveau roi des pirates, de retrouver ma gloire d'antan, mais également de trouver cet artefact capable de faire revivre Avalon, Excalibur.
>> Test RP
- Spoiler:
- Rooooooh, comme la vie pouvait paraître longue sur cette île de malheur ! Ca f'sait déjà trois ou quatre ans qu'on y vivait avec Myrdin, et je trouvais toujours cette terre d'accueil vraiment horrible. Y'avait qu'un seul village, avec juste à peu près deux cents habitants. Ces gens du peuple n'avaient même pas élus de maire et vivaient du troc. Des idiots j'vous dis. Mais genre les vrais, les bons gros cons : quand j'leur avait dis que j'étais le roi d'Avalon, le royaume voisin (ouaip, j'mens aussi, mais faut pas l'dire), ils s'étaient mis en tête de satisfaire l'moindre de mes désirs. Et oui, je retrouvais ma vie d'antan grâce à eux. Enfin, pas tout le monde. En fait, comme on avait volé la maison à un vieux type et qu'on l'avait forcé à allait vivre avec sa fille et son beau-fils, ben certains gens du village nous aimaient pas trop. Avec Myrdin, on les avait surnommé "Les méchants de la populace." C'est pas mal comme nom, hein ? Bref, donc on s'étaient pointés avec Myrdin, on avait piqués une maison à vieux schnock, et là on vivait pénard en bord de mer, avec une île entière - ou presque - comme serviteur. Qui dit mieux ?
Là, j'étais en train de marcher dans la rue, dans l'espoir d'allait trouver Kirk, l'unique menuisier de l'île. Ouai, parce que j'avais encore fait une connerie avec la table de notre salon. C'est à cause de Myrdin aussi. Elle avait pas voulue que je joue au foot dans ma chambre, et je m'étais donc résigné à la faire dans le salon. Non, un ballon de foot, même tiré avec la puissance de mes jambes, ça peut pas détruire une table en chêne. Par contre, si vous taper assez fort dans le lustre au dessus de la table et que celui-ci tombe, ben là, le chêne il résiste pas trop longtemps. Du coup, ben il nous fallait une nouvelle table. Kirk était habitué à mes demandes bizarres. Oui, parce que je voulais pas d'une table aux bords rectangulaires. Trop de mauvais souvenirs avec ça. Quand j'étais môme, j'passais mon temps à me prendre les angles et mon crâne avait de vilaines cicatrices à cause de ça. Ma mère gueulait souvent à cause de ça d'ailleurs, car je devenais encore plus con à chaque fois que ma tête se cognait. Bref, du coup, des tables rondes. Ouai, les tables rondes c'est bien. Faut vraiment être débile si on arrive à se faire mal avec, sérieusement.
J'arrivais bientôt devant le petit hangar de Kirk dans lequel il entreposait le bois nécessaire à la fabrication des objets de sa manufacture. Il fournissait toute l'île avec son boulot, mais cela ne représentait même pas assez pour payer les matériaux nécessaires. Ouaip, on était pas beaucoup beaucoup.
- "Hey Kirk, c'est moi ! T'es là ? M'faut une nouvelle table, et vite !"
Ma voix résonnait dans le hangar, se répercutant sur les créations en bois du menuisier. Apparemment, il était pas là. Putain, mais il avait que ça a faire de ses journées, où est-ce qu'il pouvait bien être ? Je ressortais du bâtiment, me décidant à partir à la recherche de ce pauvre type même pas capable de satisfaire mes moindres désirs. Dehors, il faisait un grand soleil, le temps idéal pour un match de foot. Ouai, vous trouvez mon discours incohérent ? Mais en fait, aussi étrange que cela puisse paraître, c'est vraiment ce qui se passait. Car lorsque je sortais dehors, un bien beau petit groupe m'attendait : tout le groupe des "méchants de la populace", soit environ une quinzaine de personnes, accompagnaient du fameux Kirk.
- "Ehhh Kirk ! Tu fou quoi avec ces pisse-froid de nodocéphale ?".
Voilà que je devenais vulgaire. A une autre époque, ces insultes aurai un impact beaucoup plus important qu'aujourd'hui. D'après moi, ils avaient rien compris à ce que j'avais dis mais je m'en foutais un peu. L'important était qu'ils comprennent ma colère. La foule en face de moi se mit à rire d'un bel éclat, avant que Kirk s'avance vers moi, un air défiant dans les yeux.
- "J'suis pas ton esclave Arthur ! On a en marre de tes requêtes débiles, tu le sais ça ?!"
- "Et ma table, tu la fait quand ?"
- "T'ECOUTE QUAND ON TE PARLE, IDIOT ?"
Il avait l'air plus consterné qu'en colère, mais j'avais envie de tester ses limites un peu. Réussirait-il garder son calme bien longtemps ? J'allais commencer mon petit jeu débile, affichant soudain un sourire narquois, lorsque Elizabeth, le fille du mec qu'on avait viré de sa maison, s'avança.
- "Hey Arthur, on t'propose un truc. Si tu parviens à nous vaincre à un contre tous au foot, on t'laisse continuer ta vie pépére. Si tu perds, tu deviens notre esclave ? Ça t'vas ?"
- "Go!"
Ils m'emmenèrent donc sur l'unique terrain de foot du village, situé à la sortie de celui-ci. Un terrain de foot normal quoi, avec de l'herbe verte, des cages de but, etc... 'Fin, vous voyez le truc. En y repensant,ils étaient vraiment débiles ces gens-là. Régler les conflits par un match de foot ? Ouaip, une coutume locale en fait, mais débile quand même. Bref, on va passer les détails inutiles pour entrer dans le vif du sujet : ce fameux match. Je me retrouvais donc tout seul à jouer contre une quinzaine de personnes, toutes désireuses de me battre et de m'asservir. Quels ingrats ils faisaient ! Je les avaient sauvés en les mettant sous mes ordres après tout ! Avant mon arrivée, ils étaient de simples idiots qui n'avaient aucun but dans la vie. Grâce à moi, ils avaient enfin trouvés un sens à leur vie misérable. J'allais leur montrer qui était le roi ici !
Etant défavorisé, on me laissait l'avantage de commencer. Je me devais d'appuyer encore plus mon autorité sur les gens de cette île. J'allais donc pimenter le jeu. J'aimais le défi après tout, et humilier les gens du peuple se trouvait être mon passe-temps favoris. Les incapables n'avaient pas leur mot à dire dans ce monde de subordination.
- "Les gars, j'vous propose un autre challenge. Si j'arrive à marquer un but en une seule action, sans me faire prendre la balle, vous m'filer gratos une de vos barques. Si j'y arrive pas, vous ferez ce que vous voulez de moi, pour toujours. Ça vous va ?"
Ils semblèrent hésiter quelques instants, se concertant chacun du regard. Bien, j'avais semé le trouble dans leur pauvre petit esprit d'équipe. Qu'allait-il choisir ? Après tout, je m'en foutais. Même si je perdais, j'avais pas l'intention de rester ici. J'me casserais quoiqu'il arrive, et je défoncerais des gueules si nécessaire. Mais le défi personnel que je m'imposais me ravissait au plus haut point. Est-ce que j'étais trop confiant ? J'sais pas. Elizabeth, qui semblait décidément être l'investigatrice de ce mouvement qu'était les Méchants de la Populace, s'avançait vers moi en disant qu'ils étaient d'accord. Bien, le jeu commençait alors.
Je pris la balle de mon pied droit et commençait ma course, dribblant à une allure soutenue vers les cages adverses. Sur ma route (oui, il y a eut du move, oui), trois hommes commencèrent par me barrer le passage. D'un simple saut, je leur passais par dessus, emportant le ballon avec moi par la même occasion. Ces trois ennemis passaient, je courrais maintenant en direction d'Elizabeth et de six autres personnes qui créèrent un mur défensif devant moi. Ils avaient beau être débiles comme des pieds, je ne pouvais pas les avoir par la même ruse que celle avec laquelle j'avais passé les trois autres juste avant. Dans l'euphorie de ma course folle avec le ballon, je décidais tout simplement de prendre le risque de briser le mur en leur tirant dessus avec toute ma force. J'espérais bien que ça les déstabiliserait assez ou que cela brise leur mur. Je freinais donc mon élan et envoyais la balle, qui partait dans leur direction à une vitesse folle. Cela eut l'effet escompté puisque les joueurs adverses tombèrent telle des mouches. Bien, j'étais maintenant face au gardien. Le dernier obstacle qu'il me restait à franchir. Un tir droit, franc et en pleine lucarne eut bientôt raison de la fougue du jeune homme qui protégeait les cages.
J'avais réussit à vaincre toute l'équipe des Méchants de la Populace, comme annonçait précédemment. Je prenais donc la direction du village, laissant péniblement les hommes d'Elizabeth se relever. Les mains dans les poches, l'allure nonchalante, je décidais tout de même d'adresser une dernière parole aux gens de ces misérables et foutus océans.
- "N'essayez pas de vous prendre pour ce que vous n'êtes pas les gars. J'suis votre seul Roi ici, et tenter de devenir vous même un homme de classe plus haute est pure hérésie. Maintenant, j'veux ma table et l'bateau demain matin devant chez moi. Après j'vous ferez plus chier, j'me casse de cette île. J'deviendrai le Roi des Pirates. Ouai, vous m'entendez ? Le Roi des Pirates ! "
Informations IRL
Prénom : Alexis
Age : 18 ans
Aime : Les chiens
N'aime pas : Les clowns
Personnage préféré de One Piece : Sanji, évidemment !
Caractère : Vous verrez bien les amis !
Fait du RP depuis : Un an environ
Disponibilité approximative : Tout les soirs
Comment avez-vous connu le forum ? Google est mon ami.
Quand vous estimez avoir terminé vos descriptions et votre biographie, signalez-le par un nouveau message et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous-titre de votre présentation par la mention [En attente de Test RP]. Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs ne vous loupent (ce qui n’arrive pas très souvent).
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Dernière édition par Arthur D'Avalon le Dim 4 Jan 2015 - 14:35, édité 6 fois