>> Liyana Muren
Pseudonyme : Aucun pour le moment. Age: 21ans. Sexe : Femme. Race : Hybride Humaine-Homme-Poisson (Parapterois Heterura) Métier : Membre d’Équipage, débrouillarde. Groupe : Pirate. But : Vivre de grandes aventures et se faire un nom d'une façon ou d'une autre. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Fondements et théorie du karaté aquatique. (elle ne pourra de toutes façons jamais l'utiliser à son plein potentiel) La venimosité héritée de ses ancêtres. Équipement : Un pistolet, deux-trois piècettes. Codes du règlement : Parrain : Ce compte est-il un DC ? : Nope |
>> Physique
Taille : 171 cm
Poids : 63 kg
Liyana n'est pas franchement quelqu'un que l'on oublie facilement. N'importe qui lui jetant un simple regard distrait pourrait la retrouver dans une foule en un clin d'oeil un peu plus tard. Il bien faut dire qu'avoir la peau luisante n'aide pas à la discrétion. Car en effet, si Liyana a une grande partie du corps recouvert par une peau blanche typiquement humaine, ses bras -jusqu'aux épaules- ainsi que ses jambes sont d'un bleu très foncé. Teinte sur laquelle courent des lignes d'un cyan électrique qu'elle peut faire luire à loisir. Mais si encore ce n'était que ça ! Or, non, ses cheveux longs-mais-pas-trop sont logés à la même enseigne, bien qu'encore plus sombres. Les lignes clairs y sont également présentes mais offertes à l'action des vents et des mouvements, dansant parfois en douce anarchie.
Ces particularités pigmentaires indiquant à elles-seules son ascendance poiscailleuse, celle-ci est confirmée par les six ailerons ocres rayés de blanc plantés dans le haut de son dos. Alors c'est joli, ça gigote, mais n'y touchez pas, malheureux !! Car oui, la miss est venimeuse, on vous l'avait pas dit ? Bah maintenant c'est fait. Jouer avec ces ailerons peut donc se révéler une très mauvaise idée. De même, vous pouvez être empoisonnées par ses mains, ou plus exactement par ses doigts, ou pour être encore plus précis par ses pouces, index et majeurs, où elle peut faire pousser de minuscules picots afin d'empoisonner au moindre contact. Concernant le poison, il n'est pas fait pour tuer mais surtout pour se défendre. De fait, en cas d'envenimation, vos jours ne sont normalement pas en danger mais vous risquez de connaître les pires heures de votre vie à cause de la douleur engendrée.
Pour le reste, Liyana pourrait être une ravissante jeune femme aux formes généreuses et au regard malicieux sans autres artifices, mais le tableau est gâté par les marques inélégantes d'une importante brûlure sur son côté droit, de sa main au visage. Se développant jusqu'à l'orbite, ces cicatrices laissent apparaître un œil aveugle n'ayant su résister à la chaleur des flammes. Et, le temps passant, un voile bleuâtre opaque est venu cacher une pupille bleue aux reflets cyans. Pupille qui orne cependant toujours un œil gauche ne semblant pas faire grand cas des mésaventures de son voisin, restant pétillant et plein de vie.
D'un point de vue général, « plein de vie » est une formulation assez correcte pour décrire l'aura que dégage Liyana la plupart du temps. Elle n'est pas femme à se laisser abattre et cela se voit dans son comportement que l'on peut souvent qualifier de puéril. Il suffit de la regarder rire ou sourire pour comprendre qu'elle n'est pas du genre à prendre la vie autant au sérieux qu'elle le devrait. C'est quelqu'un qui a de l'énergie et de la bonne humeur à revendre, ça se ressent.
Concernant ses habitudes vestimentaires, Liyana apprécie particulièrement les tenues laissant le haut de son dos à l'air libre afin de pouvoir laisser gambader ses ailerons. Elle préfère également les vêtements permettant des mouvements aisés à de longues robes peu pratiques. Enfin, elle a une affection particulière pour la couleur rouge. De fait, sa tenue préférée consiste essentiellement en une robe courte carmin allant de sa poitrine à sa mi-cuisse, décorée par quelques rubans dorées et un motif de vague à la bordure inférieure. Une large ceinture en cuir lui permet également, à défaut de ceinturer quoi que ce soit, d’accrocher plusieurs petites choses comme son pistolet ou divers outils. Pour ce qui est du pistolet, d'ailleurs, elle ne sait qu'à peine l'utiliser et ne s'en sert essentiellement qu'en dissuasion. Bizarrement, elle n'est pas très forte pour évaluer les distances.
Pour terminer la panoplie de base, on peut signaler le ruban rouge avec lequel elle attache ses cheveux en queue de cheval ainsi que l'anneau d'argent qu'elle porte autour du cou, relié à une simple cordelette. C'est un anneau tout ce qu'il y a de plus basique, mais elle le porte, dit-elle, en attendant de trouver quelque chose d'intéressant à y accrocher. Vient finalement une pair de bottes excessivement commune probablement faites pour un homme à l'origine mais desquelles elle s’accommode parfaitement.
>> Psychologie
On ne peut pas dire que Liyana soit quelqu'un de bien. Elle vole, elle ment, elle trompe, elle fait chanter les gens, elle soumet les gens par la force, bref, ses actions ne sont pas vraiment celles d'un enfant de chœur... encore que... elle n'est pas maléfique pour autant, loin de là. Elle fait ce qu'elle veut peut importe ce qu'en dit la morale, mais ce n'est jamais par sadisme ou cruauté. Quoiqu'elle fasse de mal, elle n'y prend aucun plaisir coupable. Si elle vole quelque chose, c'est parce qu'elle a besoin de ce quelque chose, pas par plaisir de voler... encore que...
Bref, on s'en sortira pas d'un point de vue manichéen. Liyana est un parfait exemple d'esprit libre qui ne s'embête pas avec de vagues concepts comme l'honneur ou la justice. Elle n'est pas spécialement contre les gens qui les prêchent, c'est simplement qu'elle s'en fout. Elle n'a pas besoin d'un code pour lui dire qui elle doit aider ou qui elle doit apprécier. Ce genre de questionnement ne lui traverse juste pas la tête. Qu'elle soit gentille, -et elle peut très facilement l'être- ou méchante -et elle peut très facilement l'être- dépend du cas par cas et de ses envies du moment. A ses yeux, tout ce qui ne tue pas n'est pas si grave et n'est finalement qu'un mauvais moment à passer. C'est pour cette raison qu'elle ne se sent particulièrement gênée lorsqu'elle fait du tort à d'autres. De son point de vue, ça n'est jamais qu'un petit désagrément qui finira par disparaître. Ils en connaîtrons d'autres et elle aussi. Elle ne voit finalement le monde qu'au travers les yeux d'une gamine, quand bien même se persuade-t-elle d'une soi-disante maturité..
Considérant les éléments précédents, il n'est pas dur de déduire que Liyana se prend pour le centre du monde et n'a majoritairement en tête que ses intérêts. Elle peut sans soucis filer un coup de main à des gens qu'elle apprécie, mais globalement sa petite personne est prioritaire. Et pour cause, elle est animée par une idée fixe, à savoir qu'elle est exceptionnelle et promise à un destin sans pareil pour peu qu'elle s'en donne les moyens. Et pour elle, ce destin ne peut s'atteindre qu'au travers d'aventures et de périls. Du coup, elle n'a pas vraiment d'objectif tangible autre que de parcourir la mer à la recherche d'un moyen de se faire un nom.
Maintenant, si elle ne prête pas grande importance à ce qui ne tue pas, qu'en est-il de la mort ? Eh bien c'est là quelque chose qui affecte beaucoup Liyana. La mort d'autrui la touche toujours énormément de part sa nature irréversible. De fait, il lui est impensable de chercher elle-même à tuer quelqu'un ou encore de laisser mourir une personne qu'elle serait en mesure de sauver. Il y a la vie et ses petites contrariétés, et puis il y a la mort, absolue et définitive. Et pour elle, personne ne la mérite.
Pour revenir à un ton moins macabre : parcourir les mers c'est bien, mais encore faut-il savoir ne pas se surestimer... Et ce n'est pas là le fort de la jeune Muren. Elle a tendance à être imprudente et à se laisser mener par l'adrénaline et l’ivresse de l'aventure. Elle est restée une grande enfant et ne prend pas toujours tous les éléments en compte pour définir ses actions. Ça lui a valu des problèmes et lui en vaudra encore d'autres, mais c'est un point sur lequel elle semble incorrigible.
>> Biographie
Mon histoire ? Ah. J'aimerais pouvoir vous narrer mes exploits guerriers, mes prouesses martiales et vous raconter comment, au prix de cruelles cicatrices, j'ai libéré à moi seule un Océan entier d'une menace invisible. Hélas, vous ne me semblez pas public facile. C'est la vérité que vous attendez, n'est-ce pas ? Aaaah... Soit. Puisqu'il semble que je ne serai guère en mesure d'y couper, je m'en vais vous parler de la vraie Liyana Muren.
Commençons logiquement et jetons un rapide coup d'oeil -mais pas deux, j'en ai plus les moyens- sur mes origines. Comme on peut s'en douter de part mes... caractéristiques, je ne suis pas complètement humaine. A vrai dire, je ne le suis qu'à moitié, mon père étant un homme-poisson. Les hybrides comme moi sont plutôt rares, à ce qu'il paraît, mais pour tout vous avouer c'est loin de me déplaire ; après tout, on ne connaît pas de destin exceptionnel sans être un peu exceptionnel à la base, si ? Mais je m’égare. Pour en revenir à mes parents, ils se sont rencontrés à l'époque où mon père était encore marin sur un navire marchand. Son appareil est un beau jour entré en contact avec un bâtiment de trafiquants d'esclaves, pas vraiment du goût des hommes-poisson du bateau. Le sang de l'équipage n'a fait qu'un tour et ils ont balancé tout ce beau monde à l'eau avant de délivrer leur « cargaison ». Maman en faisait partie et n'a jamais quitté mon père depuis. Je suppose que de se faire sauver d'une vie de misère et de tourments aide pas mal à ignorer les différences raciales. Deux ans après cet événement, je m'en allais leur faire un petit bonjour.
Dans l'optique de vivre un vie paisible et heureuse, je pense que l'île sur laquelle je suis née et ai passé la majorité de ma vie est sans doute un choix parfait. Une communauté soudée et tolérante, pas trop de problèmes de brigands ou de pirates, une météo clémente, une flore généreuse... non, vraiment, dans l'ensemble c'est un endroit plutôt cool. Néanmoins, je m'y suis toujours sentie un peu à l'étroit. Non pas que l'île soit dépeuplée, mais un seul bout de terre perdu dans le vaste monde n'est clairement assez pas pour laisser libre cours à mon destin que je sais hors du commun. Toute petite déjà l'appel de la mer et de l'aventure était fort et il n'a pas vraiment diminué depuis.
Parlons un peu de mon enfance, tiens. Mon père s'étant depuis longtemps intégré à la communauté de l'île, particulièrement ouverte aux hommes-poissons, mon statut d'hybride ne m'a jamais vraiment posé beaucoup de soucis. Au contraire, même. Plus forte que n'importe quel enfant humain de mon âge, je jouissais au sein des petits d'une certaine popularité et d'une influence sans équivalent. Bon, j'avoue avoir parfois usé de ma force plus que de raison... pour être tout à fait honnête -profitez-en, c'est rare- je crois qu'on peut dire que j'étais un petit tyran de la cour de récré. J'aimerais dire que j'étais toujours prête à défendre mes amis des caïds en culottes courtes, mais j'étais en réalité la principale menace pour n'importe quelle tête blonde de l'île. Maintenant, il ne faut pas croire que je m'en tirais à bon compte. La plupart de mes exactions se finissaient par de copieuses punitions et je pense les avoir toutes méritées.
Mon papa et moi à mon 9eme anniversaire.
C'est un homme-poisson piranha, alors il fait un peu peur, mais il est gentil comme tout.
À cette époque, il se présentait pour la mairie de la ville, mais il a largement perdu.
En fait, je me suis calmée aux alentours de mes dix avec l'arrivée d'une nouvelle famille d'hommes-poissons et d'un garçon de mon âge encore plus fort que moi. Je lui ai bien proposé de former un groupe pour dominer toute la marmaille du territoire -j'étais même prête à sortir avec lui- mais il m'a tout simplement rembarrée à grand coups de sermons sur la justice, le bien et l'honneur. En conséquence, à chacun de mes mauvais coups, il venait me mettre des bâtons dans les roues tant et si bien que je me suis peu à peu « assagie ». Disons que j'ai arrêté d'user de ma force comme arme principale et outil de persuasion. Mais, par principe, j'ai continué de jouer des tours à tout le monde pour faire tourner mon rival en bourrique. Mensonge, délation, falsification, j'usais de toutes sournoiseries possibles dans un jeu puéril où je n'étais au final que la seule participante.
Quand j'y repense, j'ai fait des trucs vraiment méchants, parfois... et gratuitement, en plus... bah ! On s'entend bien, aujourd'hui. Je suppose que tout ça n'a plus vraiment d'importance... … J’espère....
On arrive maintenant à mes douze ans... et Pirouette...
Pirouette était... la chienne de la famille. Et j'aimais beaucoup Pirouette... vraiment beaucoup...
…
Excusez moi, c'est toujours assez dur pour moi de parler d'elle. Pirouette, donc, nous a quitté à neuf ans suite à un accident de chariot pendant que je la promenais. Je me suis précipitée pour l'aider, mais il n'y avait rien que je puisse faire. Et c'est alors que je la serrais contre moi en pleurant que... qu'elle...
PIROUEEEEEEEEEEEETTE !!
°La narration s'excuse pour cette interruption, votre lecture reprendra sous peu°
snif... désolée... mais à chaque fois que j'en parle c'est la même chose. La mort de Pirouette m'a vraiment affectée, d'autant qu'elle est directement liée à un autre incident.
Les premières larmes passées, je voulais faire une sorte de dernier hommage à ce fidèle compagnon que j'avais côtoyé presque toute ma vie. J'ai finalement décidé de lui offrir un superbe feu d'artifice en guise d'au revoir. Je me suis donc une nuit introduite en douce dans une réserve d'explosifs et... ça c'est très mal passé. En termes de résultats, je suppose que ça devait être impressionnant, mais en ce qui me concerne, je me souviens surtout des flammes et de la douleur. Mon côté droit en a pris un sacré coup et mon œil fonctionne beaucoup moins bien depuis. Je m'en suis pas trop mal tirée, ceci-dit, car j'aurais pu aussi bien y rester. Inutile de dire que les semaines qui ont suivi n'ont pas été les plus géniales de mon existence. Entre ma chienne morte et les brûlures au moultième degré, je trouvais difficilement de la place pour m'amuser. Mais bon, avec le temps, j'ai plus ou moins fait mon deuil -...plus ou moins...- et mes blessures ont guéries, même si je ne reverrai plus jamais le monde en trois dimensions.
Mais chassez le naturel, il revient au galop, comme on dit, et c'est pas dans ma nature de ruminer mes petits malheurs. Je me suis bien vite remise et j'ai repris mon quotidien de peste sournoise et retorse. Je ne sais pas si mes parents étaient contents de mon comportement, mais ils étaient sans aucun doute plus heureux à me voir reprendre du poil de la bête plutôt que de rester à déprimer dans mon coin. La cruauté reste néanmoins le domaine des enfants, et si j'ai gardé mon espièglerie infantile en grandissant, la méchanceté gratuite m'a quitté et je suis devenue peu à peu plus fréquentable... enfin je crois.
Mais au gré des récits de mon père sur la mer et les Océans et d'une vie où les jeux d'enfants se faisaient plus rares à chaque mois passant, mon goût pour l'aventure ne faisait que croître. Fi des farces de gamins, il me fallait quelque chose de plus consistant. Il me fallait voir le monde par moi-même. Déjà, la vie en ville m'apparaissait terne et sans grand intérêt. Mes parents n'étaient bien entendu pas très chauds à l'idée de voir leur fille unique les quitter pour aller parcourir le monde, mais mon père comprenait parfaitement mon engouement et m'a plusieurs fois emmenée en mer avec lui, histoire de voir deux-trois autres îles par moi-même. C'était chic de sa part, mais hélas insuffisant.
Finalement, voyant que rien ne pourrait m'ôter le voyage de la tête, mes parents acceptèrent de me laisser aller à voguer, à condition que je ne cherche pas à rejoindre GrandLine, jugée bien trop dangereuse. Ainsi, comme cadeau d'anniversaire pour mes dix-huit ans, j’eus le droit de grimper en tant que mousse à bord d'une caravelle marchande en même temps que mon camarade homme-poisson avec qui j'avais depuis le temps forgé une amitié certaine. Huit mois durant, j'y appris le métier de marin avant que je ne choisisse de quitter le bâtiment en même temps que mon compagnon. Lui était résolu à rejoindre la Marine d'une façon ou d'une autre, mais j'étais pour ma part décidée à vivre une vie bien plus libre et remplie de péripéties. Le racisme latent de certains endroits ne rend pas toujours les choses faciles, mais dans l'ensemble je me débrouille plutôt bien toute seule. Mon mode de vie n'est pas toujours honnête... il l'est assez rarement, en fait, mais je sais me faire apprécier sur un navire et trouve toujours à me faire embaucher le temps d'un trajet.
Comme attendu, j'ai fini par connaître l'adrénaline d'une attaque pirate sur mon bâtiment. Heureusement, mes capacités physiques dépassant celles du commun des humains, je m'en suis tirée sans grand mal. Alors, bien sur c'était terrible, il y a eu plusieurs morts et je ne cautionnerai jamais ça, mais quelque part... j'y ai pris goût. Pas au sang et à l'acier, non, mais à ce sentiment qui vous prend aux tripes et vous fais dire que vous êtes en pleine aventure. Hélas, les Blues sont le terrain de la tranquillité et chacun sait que les êtres les plus incroyables passent un jour ou l'autre par GrandLine. Or, j'en serai. J'ignore comment, j'ignore pourquoi, mais un jour les Océans connaîtrons mon nom.
Il n'y a toutefois pas de gloire sans périls, et je me dois désormais de suivre la route où ils sont rassemblés.
Informations IRL
Prénom : Bouarf, on s'en fout. Par contre c'est masculin, histoire qu'il n'y ai pas malentendu.
Age : Vieux mais pas trop, je passe encore en tarif réduit à la SNCF.
Aime : Écrire, dessiner, programmer, faire de la musique, le JdR
N'aime pas : Les conflits inutiles, l'hypocrisie, travailler
Personnage préféré de One Piece : Sakazuki
Caractère : Quelques mots pour vous décrire ? C’est toujours plus agréable de savoir avec qui on écrit...
Je suis quelqu'un de plutôt calme et discret même si relativement excentrique IRL. Il faut vraiment y aller fort pour m'énerver, je choisis en priorité la voie diplomatique en cas de conflit.
Fait du RP depuis : 1,2,3...5...10... tant que ça ? Mais c'est indécent !
Disponibilité approximative : Week-End et quelques soirs par semaines, pas tous les soirs (études obligent).
Comment avez-vous connu le forum ? Google, même si j'ai du le connaître par le passé.
Prénom : Bouarf, on s'en fout. Par contre c'est masculin, histoire qu'il n'y ai pas malentendu.
Age : Vieux mais pas trop, je passe encore en tarif réduit à la SNCF.
Aime : Écrire, dessiner, programmer, faire de la musique, le JdR
N'aime pas : Les conflits inutiles, l'hypocrisie, travailler
Personnage préféré de One Piece : Sakazuki
Caractère : Quelques mots pour vous décrire ? C’est toujours plus agréable de savoir avec qui on écrit...
Je suis quelqu'un de plutôt calme et discret même si relativement excentrique IRL. Il faut vraiment y aller fort pour m'énerver, je choisis en priorité la voie diplomatique en cas de conflit.
Fait du RP depuis : 1,2,3...5...10... tant que ça ? Mais c'est indécent !
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Dernière édition par Liyana Muren le Jeu 8 Jan 2015 - 15:05, édité 25 fois