Le conseiller gifle Ivan pour le réveiller. Une claque, deux, puis jamais deux sans trois. La dernière est plus forte et réveil enfin l'ange rempli de bandage. Il se redresse immédiatement et la douleur le salut par la même occasion. Ses mains cherchent par reflexe ses armes à feu et son cœur bat rapidement. Après quelques secondes il fait le point et constate qu'il est au calme et en sécurité.
-Vous allez bien ?
-Je... Je sais pas trop.
Ses mains le font souffrir à chaque mouvement. Gabrielle a presque effacé la force d'Ivan avec son acharnement sur les mains. Mais c'est loin d'être le plus préoccupant pour Famos qui fait les cent pas juste à côté.
-Vous avez combattu Gabrielle !! Vous avez tout gâché.
-Hey. C'est lui qui voulait se venger de sa défaite.
-Oh... Dans ce cas vous avez perdu contre lui. Notre entente n'est plus vous ne croyez pas ?
-Vous n'avez aucune parole...
-Allons. Sans moi vous êtes esclaves. Sans moi vous êtes mort. Je peux faire de vous une personne aimée comme détesté. Le mieux à faire c'est d'attraper Gabrielle et de lui mettre tout sur le dos. Après nous pourrons reprendre nos affaires.
Vous vous rappelez de la discussion qui n'avait pas pu se terminer entre les deux hommes. Maintenant, rien ne les empêchera de voir que la personne avec qui ils traitent est totalement différente d'eux.
-Lui mettre tout sur le dos ? Vous êtes le seul responsable de tout ce vacarme. N'assumez-vous donc jamais vos erreurs ?
-C'est un traître qui a fait tuer un nombre impressionnant de ses alliés qui compte me donner une leçon ? Oui je me suis renseigné sur vous. Votre réputation est pitoyable. Vous avez plus besoin de moi que l'inverse. Un service pour un service. Je vous sors de ce guêpier et vous me ramenez le fruit du démon.
-Je préfère qu'on m'insulte et qu'on ne m'apprécie pas à ma juste valeur plutôt qu'on me lèche les pieds alors que je suis qu'un hypocrite.
-C'est votre choix. Ma foi. Alors je vais vous le dire. J'ai menti. Je ne vous ai pas donné de remède. C'est triste n'est-ce pas ?
L'ange sait que ce n'est pas du bluff grâce à son fruit du démon. Cette information le surprend. Ce Famos est un malin mais sûrement mois qu'Isaac le génie.
-Plus qu'une heure et trente minutes. Tic, tac, tic tac. Alors ? Que choisissez-vous.
L'ex-révolutionnaire se lève doucement avec une main au niveau du ventre. Il s'approche jusqu'à faire face au conseiller qui ne semble pas du tout impressionner. Deux gardes du corps s'approchent eux aussi juste derrière Ivan au cas où.
-On peut considérer que le fort ici c'est vous, et le faible les esclaves.
-Hum ?
-Or quelque chose me gêne depuis un bon moment. Savez-vous que la justice est le droit du plus faible ?
Suite à ses paroles le blond avance son pied gauche et arme son poing droit. Lui qui semble si calme balance le coup de toutes ses forces. Le poing déforme le visage au moment de l’impact et envoi le réceptionniste valdingué dans le décor. Ses doigts craque comme s'ils étaient déjà brisée avant l'attaque. Les gardes réagissent mais n'ont pas le temps d'attraper Ivan qui fonce vers le conseiller et l'attrape comme un otage. Sa main droite le fait souffrir mais ce n'est pas une douleur qui pourra l'arrêter. Elle peut le ralentir, le faire trébucher mais pas stopper.
-Ne bougez plus.
-Vous allez bien ?
-Je... Je sais pas trop.
Ses mains le font souffrir à chaque mouvement. Gabrielle a presque effacé la force d'Ivan avec son acharnement sur les mains. Mais c'est loin d'être le plus préoccupant pour Famos qui fait les cent pas juste à côté.
-Vous avez combattu Gabrielle !! Vous avez tout gâché.
-Hey. C'est lui qui voulait se venger de sa défaite.
-Oh... Dans ce cas vous avez perdu contre lui. Notre entente n'est plus vous ne croyez pas ?
-Vous n'avez aucune parole...
-Allons. Sans moi vous êtes esclaves. Sans moi vous êtes mort. Je peux faire de vous une personne aimée comme détesté. Le mieux à faire c'est d'attraper Gabrielle et de lui mettre tout sur le dos. Après nous pourrons reprendre nos affaires.
Vous vous rappelez de la discussion qui n'avait pas pu se terminer entre les deux hommes. Maintenant, rien ne les empêchera de voir que la personne avec qui ils traitent est totalement différente d'eux.
-Lui mettre tout sur le dos ? Vous êtes le seul responsable de tout ce vacarme. N'assumez-vous donc jamais vos erreurs ?
-C'est un traître qui a fait tuer un nombre impressionnant de ses alliés qui compte me donner une leçon ? Oui je me suis renseigné sur vous. Votre réputation est pitoyable. Vous avez plus besoin de moi que l'inverse. Un service pour un service. Je vous sors de ce guêpier et vous me ramenez le fruit du démon.
-Je préfère qu'on m'insulte et qu'on ne m'apprécie pas à ma juste valeur plutôt qu'on me lèche les pieds alors que je suis qu'un hypocrite.
-C'est votre choix. Ma foi. Alors je vais vous le dire. J'ai menti. Je ne vous ai pas donné de remède. C'est triste n'est-ce pas ?
L'ange sait que ce n'est pas du bluff grâce à son fruit du démon. Cette information le surprend. Ce Famos est un malin mais sûrement mois qu'Isaac le génie.
-Plus qu'une heure et trente minutes. Tic, tac, tic tac. Alors ? Que choisissez-vous.
L'ex-révolutionnaire se lève doucement avec une main au niveau du ventre. Il s'approche jusqu'à faire face au conseiller qui ne semble pas du tout impressionner. Deux gardes du corps s'approchent eux aussi juste derrière Ivan au cas où.
-On peut considérer que le fort ici c'est vous, et le faible les esclaves.
-Hum ?
-Or quelque chose me gêne depuis un bon moment. Savez-vous que la justice est le droit du plus faible ?
Suite à ses paroles le blond avance son pied gauche et arme son poing droit. Lui qui semble si calme balance le coup de toutes ses forces. Le poing déforme le visage au moment de l’impact et envoi le réceptionniste valdingué dans le décor. Ses doigts craque comme s'ils étaient déjà brisée avant l'attaque. Les gardes réagissent mais n'ont pas le temps d'attraper Ivan qui fonce vers le conseiller et l'attrape comme un otage. Sa main droite le fait souffrir mais ce n'est pas une douleur qui pourra l'arrêter. Elle peut le ralentir, le faire trébucher mais pas stopper.
-Ne bougez plus.