Un homme parcourut les airs comme une simple pierre éjectée et partit s’écraser lourdement contre le tronc d’un arbre. Les yeux vitreux et poussant un soupir, il finit par glisser sur le sol poussiéreux avant de tomber dans l’inconscience la plus totale. Un peu plus loin, se trouvait un homme qui était affublé d’un beau kimono folklorique, les armes accrochées à son dos et la bourse pleine de Berrys mises en évidence. Il avait cassé sa position de combat en reprenant sa contenance nonchalante de tous les jours. Fronçant les sourcils, il regarda l’autre couillon qui l’avait attaqué quelques secondes plus tôt et finit par soupirer en caressant sa chevelure de manière distraire. Un peu plus et on le chopait lui et son escadron. Mais pourquoi était-il étonné après tout ? N’était-ce pas certains collègues lieutenants-colonels qui lui avaient affirmés que Las Camp était assurément l’une des îles les plus craintes de la mer la plus dangereuses des blues ? Des opinions qu’il avait prises à la légère comme d’habitude. Cependant, il était maintenant bien trop expérimenté pour savoir qu’il fallait un minimum de méfiance pour mener à bien à une inspection de cette ile. C’est donc en solitaire qu’il voulait jouer, n’ayant que pour compagnons d’armes, ses soldats et son vieux navire. Vieux navire qu’il avait caché dans une crique au nord de la ville située au cœur de l’île. Déguisement d’un pur étranger à la manière d’un gros trafiquant plein aux as. Et malgré tout, on avait voulu l’attaquer histoire de le dépouiller de ses biens. Quand on faisait un gros plan autour de l’officier de la marine, on apercevait une multitude de corps avachis à même le sol. Il venait de régler le compte d’un petit gang local alors qu’il venait à peine de fouler la terre de recoin… C’en était à se poser des questions existentielles et à s’inquiéter sérieusement…
Finalement, Salem s’épousseta et s’avança un peu avant d’avoir une vue imprenable sur l’un des bidonvilles à la lisière nord de la ville phare de l’endroit. La grande cité elle-même se distinguait à perte de vue. De bon augure, vraiment. C’est alors qu’il se décida à descendre la colline d’où il était perché pour traverser rapidement le bidonville qui se dressait face à lui. C’était dans le même temps, la seule route à emprunter. Faire des détours inutiles par la forêt environnante ne lui était pas optique à envisager. Entre les plantes vénéneuses, les herbes qui pouvaient salir son accoutrement qu’il avait payé très cher dans un marché de East Blue et des animaux qui allaient voir en sa chair, un très bon encas de midi, ils préféraient de loin les petits pilleurs qu’il n’avait qu’à administrer d’un coup de poing bien précis ou un coup de pied pas vraiment fair-play. Il vénérait le kiki des hommes comme lui, mais il n’avait franchement pas envie de trop perdre le temps sur ces terres hostiles à la marine et ses lois. Et quel ne fit pas la surprise de Salem, quand arrivé dans le bidonville, il put s’enquérir visuellement de la misère qui frappait les habitants. C’était des hommes maigrelets qui déambulaient ici et là, sans vraiment trop s’en rendre compte. C’était des enfants qui pleuraient sans doute de faim et il eut même du faire une halte forcer pour partager aux enfants qui accouraient vers sa personne, quelques berrys de quoi leur faire tenir pendant une bonne semaine. L’espérance était qu’on ne les pille pas, mais avec toute cette misère qui frappait cruellement les rues, c’était sans compter une violence qui devait être quasi effective… Et rien que cette injustice de la vie le fit grogner, pendant que ses poings se serraient…
Le voleur suivant qui allait vouloir le dépouiller était un homme mort ! Et d’ailleurs, c’est ce qui arriva quand une montagne de muscles, encore plus bodybuildé que lui, apparut sur le sentier qui menait à la ville. Le combat ne dura que deux minutes ce qui impressionna grandement un Salem médusé, qui avait un petit peu trop minimisé son adversaire. Mais au final, pouah une effusion de sang... Et la tête qui vola un peu plus loin. S’ils ne savaient pas attaquer autrement que par la force brute, tous les forbans de cette ile allaient être fort étonnés. Après tout… Ce n’était pas un terrain sur lequel on pouvait jouer à armes égales avec un type comme le lieutenant-colonel. Le meurtre n’était pas dans ses habitudes, mais voir des enfants souffrir de n’importe quelle manière, ça, il en avait horreur. C’est d’ailleurs énervé et toujours non satisfait de la mort de l’autre pilleur qu’il se rendait à la ville. Sa marche était tellement sereine que les bandits du sentier qu’il empruntait, s’écartaient de son chemin malgré leurs armes ô combien sophistiquées ! Son regard était froid, sa mine affreusement serrée et la poigne de son sabre très intimidante. Quiconque le cherchait trouverait la mort. C’était aussi simple que cela. Sauf s’il advenait qu’il s’agissait d’une femme. Mais là encore… Rien n’était vraiment sur. Alors qu’il atteignait enfin la ville, le protagoniste entendit un cri non loin du lieu où il était. L’indifférence des autres passent le choquaient… A croire que les gens s’en fichaient, habitués à ce genre de choses depuis longtemps. Alors qu’il courut vers le lieu, il vit une femme à moitié nue entourée d’une multitude de mecs à l’air pas très rassurants. Personne ne s’en mêlait. C’en était déplorant vraiment…
• Hey vous ! Venez un peu vous frotter à votre catégorie !!! Criait un Salem assez vénère qui voulait passer sa colère sur quelque chose dans le même temps…
Les mecs aux sourires inquiétants se retournèrent à l’unisson vers lui. Alors qu’ils voulaient perdre un peu de temps à le railler ouvertement, lui ne se fit par prier pour envoyer valser d’un coup de pied, l’un des brigands qui alla finir sa course dans un étalage de marchandises où étaient regroupées plusieurs personnes, notamment des femmes. D’ailleurs Alh’ ne fit pas vraiment attention à tout ceci. Pour lui l’important était clair. Bousiller tous ces types qui le prirent soudainement au sérieux puisqu’ils l’avaient encerclés… Ca promettait… Vraiment.
Finalement, Salem s’épousseta et s’avança un peu avant d’avoir une vue imprenable sur l’un des bidonvilles à la lisière nord de la ville phare de l’endroit. La grande cité elle-même se distinguait à perte de vue. De bon augure, vraiment. C’est alors qu’il se décida à descendre la colline d’où il était perché pour traverser rapidement le bidonville qui se dressait face à lui. C’était dans le même temps, la seule route à emprunter. Faire des détours inutiles par la forêt environnante ne lui était pas optique à envisager. Entre les plantes vénéneuses, les herbes qui pouvaient salir son accoutrement qu’il avait payé très cher dans un marché de East Blue et des animaux qui allaient voir en sa chair, un très bon encas de midi, ils préféraient de loin les petits pilleurs qu’il n’avait qu’à administrer d’un coup de poing bien précis ou un coup de pied pas vraiment fair-play. Il vénérait le kiki des hommes comme lui, mais il n’avait franchement pas envie de trop perdre le temps sur ces terres hostiles à la marine et ses lois. Et quel ne fit pas la surprise de Salem, quand arrivé dans le bidonville, il put s’enquérir visuellement de la misère qui frappait les habitants. C’était des hommes maigrelets qui déambulaient ici et là, sans vraiment trop s’en rendre compte. C’était des enfants qui pleuraient sans doute de faim et il eut même du faire une halte forcer pour partager aux enfants qui accouraient vers sa personne, quelques berrys de quoi leur faire tenir pendant une bonne semaine. L’espérance était qu’on ne les pille pas, mais avec toute cette misère qui frappait cruellement les rues, c’était sans compter une violence qui devait être quasi effective… Et rien que cette injustice de la vie le fit grogner, pendant que ses poings se serraient…
Le voleur suivant qui allait vouloir le dépouiller était un homme mort ! Et d’ailleurs, c’est ce qui arriva quand une montagne de muscles, encore plus bodybuildé que lui, apparut sur le sentier qui menait à la ville. Le combat ne dura que deux minutes ce qui impressionna grandement un Salem médusé, qui avait un petit peu trop minimisé son adversaire. Mais au final, pouah une effusion de sang... Et la tête qui vola un peu plus loin. S’ils ne savaient pas attaquer autrement que par la force brute, tous les forbans de cette ile allaient être fort étonnés. Après tout… Ce n’était pas un terrain sur lequel on pouvait jouer à armes égales avec un type comme le lieutenant-colonel. Le meurtre n’était pas dans ses habitudes, mais voir des enfants souffrir de n’importe quelle manière, ça, il en avait horreur. C’est d’ailleurs énervé et toujours non satisfait de la mort de l’autre pilleur qu’il se rendait à la ville. Sa marche était tellement sereine que les bandits du sentier qu’il empruntait, s’écartaient de son chemin malgré leurs armes ô combien sophistiquées ! Son regard était froid, sa mine affreusement serrée et la poigne de son sabre très intimidante. Quiconque le cherchait trouverait la mort. C’était aussi simple que cela. Sauf s’il advenait qu’il s’agissait d’une femme. Mais là encore… Rien n’était vraiment sur. Alors qu’il atteignait enfin la ville, le protagoniste entendit un cri non loin du lieu où il était. L’indifférence des autres passent le choquaient… A croire que les gens s’en fichaient, habitués à ce genre de choses depuis longtemps. Alors qu’il courut vers le lieu, il vit une femme à moitié nue entourée d’une multitude de mecs à l’air pas très rassurants. Personne ne s’en mêlait. C’en était déplorant vraiment…
• Hey vous ! Venez un peu vous frotter à votre catégorie !!! Criait un Salem assez vénère qui voulait passer sa colère sur quelque chose dans le même temps…
Les mecs aux sourires inquiétants se retournèrent à l’unisson vers lui. Alors qu’ils voulaient perdre un peu de temps à le railler ouvertement, lui ne se fit par prier pour envoyer valser d’un coup de pied, l’un des brigands qui alla finir sa course dans un étalage de marchandises où étaient regroupées plusieurs personnes, notamment des femmes. D’ailleurs Alh’ ne fit pas vraiment attention à tout ceci. Pour lui l’important était clair. Bousiller tous ces types qui le prirent soudainement au sérieux puisqu’ils l’avaient encerclés… Ca promettait… Vraiment.
Dernière édition par Alheïri S. Fenyang le Jeu 2 Juin 2011 - 22:29, édité 1 fois