Bonjour
Je viens pour ouvrir une première boutique ^^ C'est une boutique officielle, montée par Shaïness, en son nom propre, avec ses sous-sous à elle.
Je viens pour ouvrir une première boutique ^^ C'est une boutique officielle, montée par Shaïness, en son nom propre, avec ses sous-sous à elle.
Nom : Velvet Rose
Lieu d'implantation :Logue Town
Lien vers le lieu d'implantation : clic
Type de boutique : Gain de berry & information/soutien révo
Lien avec le personnage : Red Carpet, puis Cedar Cinders, le lieu a un passif de club, et se situe dans un quartier qui a été chic, avant que la vie ne change tout ça. Shaïness a, du temps de ses missions sur Logue Town, connu ce club et après la déchéance (la deuxième, et la dernière) d'Adrian Salvatore, elle n'a pas hésité à racheter les murs pour une bouchée de pains, et d'y installer un cabaret/strip-tease. Sous couvert de ces activités qui tirent les filles du trottoir, et de « rénovation urbaine » * tousse tousse * le Velvet Rose permet à Shaïness de rester en contact avec les couches moyennes à misérables de la ville, et donc d'être à l'écoute de toutes les rumeurs. L'endroit permet aussi d'offrir un point de chute très temporaire à la Révolution, en cas de nécessité.
Il ne s'agit pas d'autres choses que disposer d'un endroit où changer de vêtements, ou récupérer des faux papiers ou une cargaison pas trop volumineuse. C'est aussi l'endroit pour venir chercher des infos. Ce n'est qu'en cas d'absolue nécessité que le gérant acceptera de cacher quelqu'un dans la réserve.
Surface : Moyenne
Qualité des services/marchandises: Shaïness s'attache à employer les filles locales de Logue Town, et généralement, des filles dont le physique et le manque de moyens financiers et/ou d'éducation, les auraient menées à la prostitution. Savoir trémousser du popotin et enlever son soutif paillettes, ça demande un peu de pratique, mais ce n'est pas si compliqué que ça.
Le Velvet Rose ne tombe ni dans la facilité, dans la vulgarité, mais on est loin de très hautes prestations de luxe. On est dans un cabaret abordable et propre, pour que les sous-off et même officiers de la Marine puissent se faire tenter par ce lieu de « petite débauche », et pour que la population locale puisse venir en profiter sans se faire ruiner.
Matériel ou matière brut utilisée : Ce n'est pas de la soie, mais ça y ressemble. Ce n'est pas du bronze ou du marbre, mais ça y ressemble. Les dorures sont fausses, mais ça rend bien. Les filles ne sont pas des futures Miss East Blues, mais c'est joli à regarder. L'alcool de base n'est pas de la piquette, mais c'est pas des grands crus. D'ailleurs les grandes bouteilles, de vin, cognac, rhum ou whisky, il y en peut-être max 10 dans l’établissement, et la carte est réservée aux VIP.
Employés (nombre, type, noms, dorikis):
10 à 20 filles qui font le service, le show et le ménage. Elles ont aussi pour mission de rapporter tous les ragots qu'elles entendent, ce qu'elles font bien volontiers, pour rendre service à Shaïness qui leur donne un « vrai » métier et même leur apprend à lire et à écrire.
de Rakiah
+ 1 petit groupe de musiciens (3-4), tirés aussi des quartiers bas, qui écoutent aussi et rapportent leurs rumeurs. Ils aident au rangement et à la sécurité.
+ 5 gros bras pour la sécurité et le côté technique/déco/lumière. Ces gars sont bien entendu des petites frappes repêchées par Shaïness, dont la réputation locale n'est plus à faire. Et ce n'est pas parce qu'ils ont maintenant un métier convenable qu'ils se sont encroûtés, loin de là.
+ 1 responsable qui fait aussi le videur. Le gérant est un révolutionnaire convaincu, qui est le seul à connaître la face cachée du Velvet et qui sait donc se montrer d'une discrétion irréprochable.
Je rappelle encore une fois que tout le monde est très fidèle à Shaïness, et que seul le gérant s'occupe des affaires liées à la Révolution.
Coût du bâtiment : 15 millions
Total des Dorikis du personnel :
Les filles et les musiciens sont des personnes bien ordinaires, les gros bras montent de 30 à 50 D et le directeur est à 200 D.
Description de la boutique/employés/ etc... :
C'est de l'ambition à la petite semaine, que le Velvet Rose. L'idée de rénover un quartier en ouvrant une maison sulfureuse mais totalement légale, peut surprendre, mais c'est en fait assez logique : c'est le seul genre d'établissement qui « marchera » dans le coin. Ici, on paie pour voir et boire, et rien de plus. L'alcool n'est pas mauvais, les filles assez jolies et douées, et la musique rythmée. On n'en demande pas plus pour ce quartier qui a un jour été le quartier chic de Logue Town, mais tombé dans l'oubli et la quasi pauvreté. Ça a un relent de « bon vieux temps », et ça fait marcher le commerce local de confections de costumes, de ravitaillement en alcool et de décoration.
Le Velvet Rose dégage une odeur sulfureuse, où il fait bon s'encanailler quand on est un peu aisé. S'encanailler, mais en toute sécurité. Ici, pas de bagarre, pas de couteau. Ça sent peut-être le loubard, c'est peut-être un loubard, mais c'est un loubard en RTT pour le moment. Si vous voulez goûter aux dessous de Logue Town, c'est ici qu'il faut venir. Le bois est lustré, la lumière tamisée, les filles pomponnées (elles prennent une douche tous les jours!). Le Velvet a l'allure d'un vrai cabaret, avec ses teintures et ses miroirs aux cadres baroques, ses bougies et ses lustres en faux cristal.
Pour les habitants locaux, c'est un peu le plaisir de la semaine, que d'aller boire une bière ou deux en aller mater les fesses de Lola, qu'on a tous vu galoper dans les rues y'a 15 ans de ça, dans un faux-vrai luxe. Oui, on sait que ce n'est pas vrai, mais c'est mieux que "chez Bébére." Tout le monde sait que tant qu'on ne fait pas de vague et qu'on peut payer sa conso, le Velvet vous ouvre ses portes et vous offre, pendant une heure ou deux, un petit coin de paradis. Les ouvriers du port économisent leurs sous pour la viré du vendredi soir, tandis que les jeunettes espèrent un jour pouvoir passer l'audition.
En plus de la scène où des chanteurs (avec danseuses) et des chanteuses/danseuses peuvent se produire, il y a trois cabines privées pour les shows personnalisés (avec supplément). Bien entendu, encore une fois, pas question de sortir des sentiers battus du cabaret/strip.
La rumeur veut que le contre-amiral Ackbar soit venu en personne assisté au spectacle d'ouverture.
Le Velvet Rose est ouvert 7/7 de 18h à 6h30.
Merci de votre lecture, et s'il y a quoi que ce soit à changer, modifier, approfondir, n'hésitez pas. C'est ma première boutique, alors je suis loin de tout maîtriser.Lieu d'implantation :Logue Town
Lien vers le lieu d'implantation : clic
Type de boutique : Gain de berry & information/soutien révo
Lien avec le personnage : Red Carpet, puis Cedar Cinders, le lieu a un passif de club, et se situe dans un quartier qui a été chic, avant que la vie ne change tout ça. Shaïness a, du temps de ses missions sur Logue Town, connu ce club et après la déchéance (la deuxième, et la dernière) d'Adrian Salvatore, elle n'a pas hésité à racheter les murs pour une bouchée de pains, et d'y installer un cabaret/strip-tease. Sous couvert de ces activités qui tirent les filles du trottoir, et de « rénovation urbaine » * tousse tousse * le Velvet Rose permet à Shaïness de rester en contact avec les couches moyennes à misérables de la ville, et donc d'être à l'écoute de toutes les rumeurs. L'endroit permet aussi d'offrir un point de chute très temporaire à la Révolution, en cas de nécessité.
Il ne s'agit pas d'autres choses que disposer d'un endroit où changer de vêtements, ou récupérer des faux papiers ou une cargaison pas trop volumineuse. C'est aussi l'endroit pour venir chercher des infos. Ce n'est qu'en cas d'absolue nécessité que le gérant acceptera de cacher quelqu'un dans la réserve.
Surface : Moyenne
Qualité des services/marchandises: Shaïness s'attache à employer les filles locales de Logue Town, et généralement, des filles dont le physique et le manque de moyens financiers et/ou d'éducation, les auraient menées à la prostitution. Savoir trémousser du popotin et enlever son soutif paillettes, ça demande un peu de pratique, mais ce n'est pas si compliqué que ça.
Le Velvet Rose ne tombe ni dans la facilité, dans la vulgarité, mais on est loin de très hautes prestations de luxe. On est dans un cabaret abordable et propre, pour que les sous-off et même officiers de la Marine puissent se faire tenter par ce lieu de « petite débauche », et pour que la population locale puisse venir en profiter sans se faire ruiner.
Matériel ou matière brut utilisée : Ce n'est pas de la soie, mais ça y ressemble. Ce n'est pas du bronze ou du marbre, mais ça y ressemble. Les dorures sont fausses, mais ça rend bien. Les filles ne sont pas des futures Miss East Blues, mais c'est joli à regarder. L'alcool de base n'est pas de la piquette, mais c'est pas des grands crus. D'ailleurs les grandes bouteilles, de vin, cognac, rhum ou whisky, il y en peut-être max 10 dans l’établissement, et la carte est réservée aux VIP.
par OlioDiVernice
Employés (nombre, type, noms, dorikis):
10 à 20 filles qui font le service, le show et le ménage. Elles ont aussi pour mission de rapporter tous les ragots qu'elles entendent, ce qu'elles font bien volontiers, pour rendre service à Shaïness qui leur donne un « vrai » métier et même leur apprend à lire et à écrire.
de Rakiah
+ 1 petit groupe de musiciens (3-4), tirés aussi des quartiers bas, qui écoutent aussi et rapportent leurs rumeurs. Ils aident au rangement et à la sécurité.
+ 5 gros bras pour la sécurité et le côté technique/déco/lumière. Ces gars sont bien entendu des petites frappes repêchées par Shaïness, dont la réputation locale n'est plus à faire. Et ce n'est pas parce qu'ils ont maintenant un métier convenable qu'ils se sont encroûtés, loin de là.
+ 1 responsable qui fait aussi le videur. Le gérant est un révolutionnaire convaincu, qui est le seul à connaître la face cachée du Velvet et qui sait donc se montrer d'une discrétion irréprochable.
Je rappelle encore une fois que tout le monde est très fidèle à Shaïness, et que seul le gérant s'occupe des affaires liées à la Révolution.
Coût du bâtiment : 15 millions
Total des Dorikis du personnel :
Les filles et les musiciens sont des personnes bien ordinaires, les gros bras montent de 30 à 50 D et le directeur est à 200 D.
Description de la boutique/employés/ etc... :
C'est de l'ambition à la petite semaine, que le Velvet Rose. L'idée de rénover un quartier en ouvrant une maison sulfureuse mais totalement légale, peut surprendre, mais c'est en fait assez logique : c'est le seul genre d'établissement qui « marchera » dans le coin. Ici, on paie pour voir et boire, et rien de plus. L'alcool n'est pas mauvais, les filles assez jolies et douées, et la musique rythmée. On n'en demande pas plus pour ce quartier qui a un jour été le quartier chic de Logue Town, mais tombé dans l'oubli et la quasi pauvreté. Ça a un relent de « bon vieux temps », et ça fait marcher le commerce local de confections de costumes, de ravitaillement en alcool et de décoration.
Le Velvet Rose dégage une odeur sulfureuse, où il fait bon s'encanailler quand on est un peu aisé. S'encanailler, mais en toute sécurité. Ici, pas de bagarre, pas de couteau. Ça sent peut-être le loubard, c'est peut-être un loubard, mais c'est un loubard en RTT pour le moment. Si vous voulez goûter aux dessous de Logue Town, c'est ici qu'il faut venir. Le bois est lustré, la lumière tamisée, les filles pomponnées (elles prennent une douche tous les jours!). Le Velvet a l'allure d'un vrai cabaret, avec ses teintures et ses miroirs aux cadres baroques, ses bougies et ses lustres en faux cristal.
Pour les habitants locaux, c'est un peu le plaisir de la semaine, que d'aller boire une bière ou deux en aller mater les fesses de Lola, qu'on a tous vu galoper dans les rues y'a 15 ans de ça, dans un faux-vrai luxe. Oui, on sait que ce n'est pas vrai, mais c'est mieux que "chez Bébére." Tout le monde sait que tant qu'on ne fait pas de vague et qu'on peut payer sa conso, le Velvet vous ouvre ses portes et vous offre, pendant une heure ou deux, un petit coin de paradis. Les ouvriers du port économisent leurs sous pour la viré du vendredi soir, tandis que les jeunettes espèrent un jour pouvoir passer l'audition.
En plus de la scène où des chanteurs (avec danseuses) et des chanteuses/danseuses peuvent se produire, il y a trois cabines privées pour les shows personnalisés (avec supplément). Bien entendu, encore une fois, pas question de sortir des sentiers battus du cabaret/strip.
La rumeur veut que le contre-amiral Ackbar soit venu en personne assisté au spectacle d'ouverture.
Le Velvet Rose est ouvert 7/7 de 18h à 6h30.