... qui s'annonce à ne rien faire.
Parce que ne s'occuper qu'à écrire des vers, pour ces gens froids et hautains au regard sévère, à la mine austère, ça ressemble juste à une façon de foutre sa vie en l'air.
Manque d'ambition et de billets verts, manque de respect envers les institutions monétaires.
Tu grattes juste tes partitions, sans participer, t'es parti vite c'était, trop loin de tes pâles visions. Et les addicts au Den-Den Vision viennent te traiter de con.
Dans ma tête je reste un junior, je prétends pas être un cador, un cadet aux rêves d'or qui cadence ses journées sans causer d'tort, car le tort tue et j'pars en vrille loin de la masse sous ma coquille, ma carapace, je fais l'impasse sur l'froid des rues.
Quand je vois tous ces cadavres dans leurs beaux costards en sursis, si sûr de baigner dans l'nectar quand ils l'écrasent sous leurs chaussures, je pleure. Ils ploient sous cent soucis qu'ils se déploient à tort, baraque, coffre-fort, emploi et puis La Mort.
Que la Vie doit être triste de lister si peu de touristes, qu'elle doit être en manque de fils, des crétins, des comme moi qui s'inventent, un monde sans contraintes ambulantes, loin des chimères qui les hantent, loin de leurs pères qui leur manquent, qui leur mentent, putain, on le regrette, on l'écrit, on le chante, sans rien, pour s'éloigner de nos peurs et faire sourire le quotidien.
Trop de saisons à souffrir et peu de raisons de s'ouvrir; l'ouvrier regrette son cartable quand vient l'heure de passer à table. Au tableau il faisait l'malin, et le savoir lui fait défaut, aujourd'hui, il voit les fautes sur son parcours et des photos avec trop d'gris.
Comment expliquer aux gamins qu'il faut toujours s'ouvrir au monde ? Le résultat s'verra pas d'main. Pris dans l'unicité des formes on ne va pas chercher trop loin et on enfile l'uniforme. Il n'a pas relevé le pari, c'est par ici pour de l'oseille mais quand les lumières meurent ils gambergent, demandent une trêve à la tumeur, Société, qui n'est pas prête à pardonner, les échéances arrivent trop vite. Pas d'chance.
La masse se roule dans la douleur, et le malaise persiste, peu importe blason ou couleur, il fauche tout, l'est pas raciste, mais c'est pas grave ça fait causer les humoristes.
La différence a pas sa chance, elle chancèle loin de Byzance, la déprime dépouille l'espérance, lasse et rance qui se fait coincer, pas d'quartier, les brancardiers étaient en vacances.
L'être humain en otage, paye la rançon avec l'âge, tous les chemins mènent au chômage comme le dit le nouvel adage érigé par les vieux Dragons, dans leurs toges, qui prônent la démocratie à étages et assistent dans le confort au carnage, bien au chaud depuis leurs loges.
Trop de raisons pour la Révolte, impossible de tenir la liste, une décharge à cent mille volts frapp'ra aveugle et égoïste, le prince et l'autiste, le rieur et l'homme triste mais c'est pas grave ça f'ra causer les humoristes.
Parce que ne s'occuper qu'à écrire des vers, pour ces gens froids et hautains au regard sévère, à la mine austère, ça ressemble juste à une façon de foutre sa vie en l'air.
Manque d'ambition et de billets verts, manque de respect envers les institutions monétaires.
Tu grattes juste tes partitions, sans participer, t'es parti vite c'était, trop loin de tes pâles visions. Et les addicts au Den-Den Vision viennent te traiter de con.
Dans ma tête je reste un junior, je prétends pas être un cador, un cadet aux rêves d'or qui cadence ses journées sans causer d'tort, car le tort tue et j'pars en vrille loin de la masse sous ma coquille, ma carapace, je fais l'impasse sur l'froid des rues.
Quand je vois tous ces cadavres dans leurs beaux costards en sursis, si sûr de baigner dans l'nectar quand ils l'écrasent sous leurs chaussures, je pleure. Ils ploient sous cent soucis qu'ils se déploient à tort, baraque, coffre-fort, emploi et puis La Mort.
Que la Vie doit être triste de lister si peu de touristes, qu'elle doit être en manque de fils, des crétins, des comme moi qui s'inventent, un monde sans contraintes ambulantes, loin des chimères qui les hantent, loin de leurs pères qui leur manquent, qui leur mentent, putain, on le regrette, on l'écrit, on le chante, sans rien, pour s'éloigner de nos peurs et faire sourire le quotidien.
Trop de saisons à souffrir et peu de raisons de s'ouvrir; l'ouvrier regrette son cartable quand vient l'heure de passer à table. Au tableau il faisait l'malin, et le savoir lui fait défaut, aujourd'hui, il voit les fautes sur son parcours et des photos avec trop d'gris.
Comment expliquer aux gamins qu'il faut toujours s'ouvrir au monde ? Le résultat s'verra pas d'main. Pris dans l'unicité des formes on ne va pas chercher trop loin et on enfile l'uniforme. Il n'a pas relevé le pari, c'est par ici pour de l'oseille mais quand les lumières meurent ils gambergent, demandent une trêve à la tumeur, Société, qui n'est pas prête à pardonner, les échéances arrivent trop vite. Pas d'chance.
La masse se roule dans la douleur, et le malaise persiste, peu importe blason ou couleur, il fauche tout, l'est pas raciste, mais c'est pas grave ça fait causer les humoristes.
La différence a pas sa chance, elle chancèle loin de Byzance, la déprime dépouille l'espérance, lasse et rance qui se fait coincer, pas d'quartier, les brancardiers étaient en vacances.
L'être humain en otage, paye la rançon avec l'âge, tous les chemins mènent au chômage comme le dit le nouvel adage érigé par les vieux Dragons, dans leurs toges, qui prônent la démocratie à étages et assistent dans le confort au carnage, bien au chaud depuis leurs loges.
Trop de raisons pour la Révolte, impossible de tenir la liste, une décharge à cent mille volts frapp'ra aveugle et égoïste, le prince et l'autiste, le rieur et l'homme triste mais c'est pas grave ça f'ra causer les humoristes.