Bonjour bonjour, tout d’abord je signale pour ceux qui ne serais pas au courant, que je refais ma fiche, c’est la même mais en mieux (normalement…XD, donc c’est normal si elle ressemble à la première. Euh voila…
Ne craignez pas ceux qui tuent le corps mais qui ne peuvent tuer l’âme : mais craignez plutôt celui qui peut détruire et l’âme et le corps. Mat. 10:28[La bible]
>> Test RP
Informations IRL
>> Grey Akira
Le passeur | Pseudonyme : Le passeur d’âmes ou Kira Age: 20 ans Sexe : Homme Race : humain Rang : Simple pirate cherchant renomée Métier : Musicien Groupe : Pirates Déjà un équipage : Insane Nemesis But : Découvrir le monde entier et avoir assez d’argent pour le refaire encore et encore. Et pécher éventuellement plein de poissons différents. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Tama tama no mie (normalement je devrais déjà l’avoir… ?) Équipements : Un sabre qui ne vaux rien, une barque. Codes du règlement (2) : |
>> Physique
Le froid vous glace, vous frigorifie et pourtant vous restez. Pourquoi ? Pourquoi être transis de froid pour simplement cette lubie de regarder les passants ? Vous soupirez, une buée blanche s’échappant de vos lèvres pour monter vers le ciel couvert. Vous vous dites finalement que ce n’était pas une bonne idée et au moment où vous décidez enfin à faire un pas, dégourdissant vos membres gelés, vous apercevez un éclair blanc, si rapide et si éblouissant que vous pensez avoir rêvé. Vous vous retournez et tombez sur un jeune homme relativement petit, une écharpe blanche chaudement enroulée autour de son cou. C’était ce furtif éclat qui vous aviez surpris, et inévitablement, vous vous mettez à le détailler. Petit donc, plus que vous en tout cas, dans les 1m70 environ, tout habillé de noir, de façon presque militaire, une veste noire très longue dont deux franches tombaient sur ses longues jambes et un pantalon noir. Vous le suivez, continuant de le détailler sans faire attention à l'endroit où il vous mène, observant sa minceur, mais aussi ces muscles, il savait sans doute se battre mais vous doutiez que ce jeune garçon puisse battre quelqu’un à main nue. Vous remarquez un sabre à sa gauche, un gaucher certainement, mais ce qui attira directement votre regard, ce furent ses cheveux bleus, presque gris. Une couleur si étonnante qu’elle vous figea quelques instants, vous rendant à nouveau sensible au froid, mais vous vous en fichez, détaillant chaque mèche. Ils étaient courts, mis long plutôt, éparpillés sur la couche blanche que formait son écharpe. Vous le regardez à nouveau globalement puis vous attardez enfin sur son visage, un visage fin, presque enfantin mais pourtant ayant déjà les signes d’un futur homme. Son nez était droit, fier regardant sans doute chaque personne avec défi, des pommettes relevées, des sourcils fins. Vous vous avouez presque à contre cœur que c’est un bel homme, jeune, frais, bien qu’ayant une expression étonnamment absente. Vous choisissez enfin de vous plonger dans ses yeux, pouvoir détailler ses pupilles vert sombre, presque pales, vide. Mais à votre grande surprise, ils devinrent fluorescent, une étrange aura s’élevant de ceux-ci, comme si, comme si c’était une couleur venue de l’au-delà. Elle semblait à la fois vous attirer et effrayer, vous fascinant tout en vous faisant trembler. Vous remarquez alors que si vous pouviez si bien voir ses deux orbes, c’est parce qu’il vous regarde, vous fixe comme vous le fixez, et semble vouloir quelque chose de vous. A vrai dire, vous ne vous posez absolument pas la question du pourquoi du comment, mais vous filez, vous glissant entre les ruelles et fuyant ce regard hypnotique. Non, non vous n’avez pas peur, juste un plat sur le feu.
Levant les yeux au ciel, vous remarquez finalement que la neige tombait, couvrant le monde de son voile blanc, et vous oubliez cette rencontre étrange…
Petits complément : Il a un tatouage en forme de croix entre les omoplates. Son sabre est noir au manche noir entouré d’un tissu blanc, il ne quitte jamais son écharpe.
Levant les yeux au ciel, vous remarquez finalement que la neige tombait, couvrant le monde de son voile blanc, et vous oubliez cette rencontre étrange…
Petits complément : Il a un tatouage en forme de croix entre les omoplates. Son sabre est noir au manche noir entouré d’un tissu blanc, il ne quitte jamais son écharpe.
>> Psychologie
Journal d’une fleur de cerisier. Jour 5 de l’année X
Il n’est pas rare que l’on juge une personne sur son physique, sans ce soucier de ce que pense, ressent ou est cette personne. Beaucoup de facteurs peuvent influencer ce jugement, les « on dit » des connaissances, ou tout simplement le point de vue, une personne âgée ne verra sans doute pas Akira de la même façon qu’un enfant ou une jeune femme. C’est pourquoi je vais ici vous décrire de la meilleure des manières qu’il soit ce jeune homme au caractère bien spécial.
Je ne l’ai rencontré qu’une seule fois, et pourtant, j’ai appris beaucoup de chose tout comme je me pose encore beaucoup de questions. Lorsque je l’ai vu, ma première réaction fut qu’il était un homme charmant et très agréable, il souriait rêveusement en regardant droit devant lui. Mais mon avis changea vite, pas dans le mauvais sens non, mais il changea. Il me parla, me dit des mots banales auxquels je répondis. Il ne lui fallut pas plus de trois phrases pour se taire, regarder ailleurs d’un air absent et reparler, passant du coq à l’âne. Il fit quelques nouveaux changements de sujet semblant particulièrement se désintéresser de ce que nous disions, cela aurait pu me vexer, mais ne le fit pas. Au fil de notre rencontre, de notre journée, et de nos discussions, j’ai découvert que c’était quelqu’un d’assez patient, discutant peut, franche ne faisant même plus attention à se qui pourrais vexer ou non quelqu’un. Et lorsqu’une conversation l’intéressait, il parlait avec grand intérêt. Etant calme et réfléchi, il ne prenait aucune décision au hasard et il prenait toujours du recul sur une situation, ne prenant jamais part entièrement, même lorsqu’il s’agit de lui-même. Combien de fois m’a-t-il dit qu’il adorait voir les réactions des gens par rapport à son ignorance, il semblerait qu’il fasse parfois exprès de se détacher ainsi des choses. Akira est quelqu’un de particulier mais pas bête, ironique. Il aime les choses simples de la vie, et est particulièrement radin avec l’argent. Il n’aime pas spécialement combattre m’a t-il avoué, et préfère finir un combat rapidement. J’ai moi-même eu le spectacle de le voir s’arrêter en plein combat pour aller acheter un morceau de pain à une fillette qui passait par là, rendant son adversaire fou de rage.
[…] En définitive, Akira est vraiment quelqu’un de lunatique, qui ne fait absolument pas la frontière entre le monde des vivants et le monde des morts. Je l’ai vu tuer des personnes comme s’il venait de boire un verre d’eau, et psalmodier des phrases sans queue ni tête à propos d’un cimetière. Il aime changer de sujet, soit par envie, soit sans faire exprès, mais c’est quelqu’un qui est fidèle sans pour autant le montrer. Il a tout de même une grande affection pour ceux qu’il aime bien –logique me direz vous. Il ne sait pas vraiment ce qu’il veut et aime particulièrement voyager et découvrir le monde.
C’est ainsi que je clos ce chapitre sur cette rencontre inattendue, cette journée fut riche en découvertes et je crois qu’Akira restera longtemps dans mon esprit, sa vivacité en rigolant des réactions des autres est assez particulière, mais il a le don d’attirer chez les gens une certaine sympathie et non pas la pitié.
Il n’est pas rare que l’on juge une personne sur son physique, sans ce soucier de ce que pense, ressent ou est cette personne. Beaucoup de facteurs peuvent influencer ce jugement, les « on dit » des connaissances, ou tout simplement le point de vue, une personne âgée ne verra sans doute pas Akira de la même façon qu’un enfant ou une jeune femme. C’est pourquoi je vais ici vous décrire de la meilleure des manières qu’il soit ce jeune homme au caractère bien spécial.
Je ne l’ai rencontré qu’une seule fois, et pourtant, j’ai appris beaucoup de chose tout comme je me pose encore beaucoup de questions. Lorsque je l’ai vu, ma première réaction fut qu’il était un homme charmant et très agréable, il souriait rêveusement en regardant droit devant lui. Mais mon avis changea vite, pas dans le mauvais sens non, mais il changea. Il me parla, me dit des mots banales auxquels je répondis. Il ne lui fallut pas plus de trois phrases pour se taire, regarder ailleurs d’un air absent et reparler, passant du coq à l’âne. Il fit quelques nouveaux changements de sujet semblant particulièrement se désintéresser de ce que nous disions, cela aurait pu me vexer, mais ne le fit pas. Au fil de notre rencontre, de notre journée, et de nos discussions, j’ai découvert que c’était quelqu’un d’assez patient, discutant peut, franche ne faisant même plus attention à se qui pourrais vexer ou non quelqu’un. Et lorsqu’une conversation l’intéressait, il parlait avec grand intérêt. Etant calme et réfléchi, il ne prenait aucune décision au hasard et il prenait toujours du recul sur une situation, ne prenant jamais part entièrement, même lorsqu’il s’agit de lui-même. Combien de fois m’a-t-il dit qu’il adorait voir les réactions des gens par rapport à son ignorance, il semblerait qu’il fasse parfois exprès de se détacher ainsi des choses. Akira est quelqu’un de particulier mais pas bête, ironique. Il aime les choses simples de la vie, et est particulièrement radin avec l’argent. Il n’aime pas spécialement combattre m’a t-il avoué, et préfère finir un combat rapidement. J’ai moi-même eu le spectacle de le voir s’arrêter en plein combat pour aller acheter un morceau de pain à une fillette qui passait par là, rendant son adversaire fou de rage.
[…] En définitive, Akira est vraiment quelqu’un de lunatique, qui ne fait absolument pas la frontière entre le monde des vivants et le monde des morts. Je l’ai vu tuer des personnes comme s’il venait de boire un verre d’eau, et psalmodier des phrases sans queue ni tête à propos d’un cimetière. Il aime changer de sujet, soit par envie, soit sans faire exprès, mais c’est quelqu’un qui est fidèle sans pour autant le montrer. Il a tout de même une grande affection pour ceux qu’il aime bien –logique me direz vous. Il ne sait pas vraiment ce qu’il veut et aime particulièrement voyager et découvrir le monde.
C’est ainsi que je clos ce chapitre sur cette rencontre inattendue, cette journée fut riche en découvertes et je crois qu’Akira restera longtemps dans mon esprit, sa vivacité en rigolant des réactions des autres est assez particulière, mais il a le don d’attirer chez les gens une certaine sympathie et non pas la pitié.
>> Biographie
Ne craignez pas ceux qui tuent le corps mais qui ne peuvent tuer l’âme : mais craignez plutôt celui qui peut détruire et l’âme et le corps. Mat. 10:28[La bible]
~Prélude~
Lorsque l’on nait, nous sommes considérés par nos proches comme la plus belle chose au monde. Et c’est avec un sourire niais, et plein de tendresse que les parents détaillent ce petit être. Cet enfant ouvrit pour la première fois ces yeux au monde, détaillant ses parents de ses orbes verts et rendant le sourire à ceux-ci. Mais peu importe que l’être soit trop gros ou trop mince, chaque personne nait et pousse la première chose qui lui vient à l’esprit, un hurlement. Akira n’échappa pas à la règle, il hurla, en même temps que sa mère poussa son dernier soupir.
Ce soupir ne fut pas entendu, et la mère mourut tandis que le père tenait fièrement son fils dans ses bras, ce dernier hurlant à la mort, pleurant, avait-il tout simplement faim ou venait-il de comprendre que la personne qui venait de lui donner la vie venait de perdre la sienne ?
Et c’est ainsi que, comme toute les histoires, l’histoire d’Akira commence, par une naissance.
Qui que nous soyons, nous c’est la vie qui fait de nous se que nous sommes, nous avons tous démarrer ici et nous finirons tous au même endroit…
Ce soupir ne fut pas entendu, et la mère mourut tandis que le père tenait fièrement son fils dans ses bras, ce dernier hurlant à la mort, pleurant, avait-il tout simplement faim ou venait-il de comprendre que la personne qui venait de lui donner la vie venait de perdre la sienne ?
Et c’est ainsi que, comme toute les histoires, l’histoire d’Akira commence, par une naissance.
Qui que nous soyons, nous c’est la vie qui fait de nous se que nous sommes, nous avons tous démarrer ici et nous finirons tous au même endroit…
~Les jours tristes~
Il fallu du temps à Gin Grey pour se rendre compte que sa femme venait de quitter son monde. Lorsqu’il s’en aperçu, c’est un regard de haine qu’il posa sur son fils.
S’il n’avait pas été là, elle ne serait pas morte.
Cette phrase hanta de nombreuses années le chef de la famille Grey, il se mit à haïr son fils, l’ignorant et le rejetant, ne le regardant que rarement. Et Akira se renferma, ne souriant plus et se refugiant constamment sur le gros cerisier qui couvrait la maison, faisant face à cette immense étendue d’eau qu’était l’océan. Un jour, j’irais là bas, je partirais, je voyagerais. Ce disait-il, imaginant déjà des longues traversées, des découvertes, s’échapper tout simplement. Il se refermait tellement qu’il en vint a vraiment devenir étrange, faisant attention a tout les détails, ne faisant plus du tout attention aux autres et grandissant en étant de plus en plus dans ses rêves. Peu importe ce que les années firent sur lui, il ne changea jamais.
Il fallu 7ans pour que cette phrase s’estompe enfin.
Un jour qu’il revenait de ce que l’on pouvait appeler une école, Akira se fit agresser, pour une raison en somme bien stupide, mais toujours est-il qu’il est revenu en sang chez lui. Lorsqu’il franchit la porte, il ne leva pas les yeux vers son père, attendant une énième remarque désobligeante, pique, ou autre méchanceté qui le refermait. Rien ne vint. Il ne senti que deux bras s’enrouler autour de lui et un liquide froid glisser dans son cou. Pour la première fois de sa vie, son père venait de l’enlacer. Il mit du temps à comprendre et à refermer ses bras autour de son père. Une honte s’empare de Gin, et c’est avec une tendresse nouvelle qu’il soigna et changea son fils, se promettant de devenir un bon père.
Le temps fila. Akira apprit que son père était un ancien pirate, et demanda a ce que ce dernier l’entraîne. Voyant cela comme une nouvelle activité pour se rapprocher de son fils, il accepta et transmit tout son savoir à Kira.
Les soirées au coin du feu, les repas en tête à tête, les histoires de Gin sur les pirates et en particulier sur un certain pirate au chapeau de paille, rapprochèrent le père et le fils. Akira se mit à apprécier son géniteur.
Mais cette indifférence était toujours présente, et malgré tout les efforts de Gin, son fils restait lunatique, dormait très souvent dehors sur une des branche du gros cerisier. Longtemps, Gin se demanda à quoi pensait son fils là haut, à regarder cette étendue d’eau.
La vie n’était pas très compliquée pour Akira et pour lui chaque jour se ressemblait, il ne saluait même plus les voisins, restant constamment sur la branche de son arbre à regarder la mer. Un jour, du bas du cerisier, son père l’appela un immense sourire aux lèvres. Il lui transmit une flute de pan mais aussi une flute traversière en bois qu’il avait ramené de ses pillages et voyages, de nouveaux entrainements s’en suivirent, et Akira affectionnait ses moment passer avec son père à jouer, jouer et encore jouer.
S’il n’avait pas été là, elle ne serait pas morte.
Cette phrase hanta de nombreuses années le chef de la famille Grey, il se mit à haïr son fils, l’ignorant et le rejetant, ne le regardant que rarement. Et Akira se renferma, ne souriant plus et se refugiant constamment sur le gros cerisier qui couvrait la maison, faisant face à cette immense étendue d’eau qu’était l’océan. Un jour, j’irais là bas, je partirais, je voyagerais. Ce disait-il, imaginant déjà des longues traversées, des découvertes, s’échapper tout simplement. Il se refermait tellement qu’il en vint a vraiment devenir étrange, faisant attention a tout les détails, ne faisant plus du tout attention aux autres et grandissant en étant de plus en plus dans ses rêves. Peu importe ce que les années firent sur lui, il ne changea jamais.
Il fallu 7ans pour que cette phrase s’estompe enfin.
Un jour qu’il revenait de ce que l’on pouvait appeler une école, Akira se fit agresser, pour une raison en somme bien stupide, mais toujours est-il qu’il est revenu en sang chez lui. Lorsqu’il franchit la porte, il ne leva pas les yeux vers son père, attendant une énième remarque désobligeante, pique, ou autre méchanceté qui le refermait. Rien ne vint. Il ne senti que deux bras s’enrouler autour de lui et un liquide froid glisser dans son cou. Pour la première fois de sa vie, son père venait de l’enlacer. Il mit du temps à comprendre et à refermer ses bras autour de son père. Une honte s’empare de Gin, et c’est avec une tendresse nouvelle qu’il soigna et changea son fils, se promettant de devenir un bon père.
Le temps fila. Akira apprit que son père était un ancien pirate, et demanda a ce que ce dernier l’entraîne. Voyant cela comme une nouvelle activité pour se rapprocher de son fils, il accepta et transmit tout son savoir à Kira.
Les soirées au coin du feu, les repas en tête à tête, les histoires de Gin sur les pirates et en particulier sur un certain pirate au chapeau de paille, rapprochèrent le père et le fils. Akira se mit à apprécier son géniteur.
Mais cette indifférence était toujours présente, et malgré tout les efforts de Gin, son fils restait lunatique, dormait très souvent dehors sur une des branche du gros cerisier. Longtemps, Gin se demanda à quoi pensait son fils là haut, à regarder cette étendue d’eau.
La vie n’était pas très compliquée pour Akira et pour lui chaque jour se ressemblait, il ne saluait même plus les voisins, restant constamment sur la branche de son arbre à regarder la mer. Un jour, du bas du cerisier, son père l’appela un immense sourire aux lèvres. Il lui transmit une flute de pan mais aussi une flute traversière en bois qu’il avait ramené de ses pillages et voyages, de nouveaux entrainements s’en suivirent, et Akira affectionnait ses moment passer avec son père à jouer, jouer et encore jouer.
~La valse des monstres ~
Ainsi passèrent les années, dans une tranquillité plane, dans un village paisible, sur cet arbre, vivant au grès des saisons. Akira était un enfant sans mère, sans histoire, calme, simplement absent. Enfant qui devint bien vite un adolescent de 14 ans et qui commença à devenir un homme.
En dehors de la musique et son arbre, Akira affectionnait particulièrement la pèche et la plongée, adorant rester le plus longtemps possible sous cette étendue d’eau à regarder le soleil déformé par l’eau. Une fois encore il se baignait tranquillement, s’amusant à plonger le plus loin possible, le plus profond. C’était une idée stupide mais il aimait se donner des défis. Arrivant pour une fois à toucher le fond, il glissa sur quelque chose de visqueux. Les joues gonflées et le souffle manquant, il ouvrit péniblement les yeux sous l’eau, supportant la douleur du contact de ses pupilles avec l’eau salée. Il regarda cette forme étrange avec un regard perplexe, mais avant qu’il ai put y réfléchir plus, une douleur s’empara de sa tête et de sa gorge, frappant le sol avec toute ses forces, il remonta alors et reprit sa respiration.
Il ne se doutait pas que cette fois serait la dernière fois qu’il pourrait nager dans l’océan.
La première bouchée avait été plutôt bonne, la deuxième vraiment répugnante, mais n’était pas quelqu’un de très gaspilleur Kira mangea entièrement le fruit, grimaçant à chaque bouchée. Lorsqu’il rejoignit sa branche cette nuit là et qu’il y dormit, il fit un rêve des plus étranges.
Il faisait sombre. Entièrement et définitivement sombre. L’atmosphère était pesante et bien qu’endormi, Akira frissonna. Il avait peur. Il fit un pas en avant, ou en arrière, il ne savait pas vraiment, ne voyant même pas son propre pied. Alors même qu’il posa son pied, une lumière s’alluma et éclaira ainsi les environs. Un cimetière. Des milliers de tombes s’étendaient sur une surface dont il ne voyait même pas le bout. Il tourna la tête vers celle la plus proche de lui, lisant le nom d’une personne qu’il ne connaissait pas, une date, une épitaphe.
Une autre lumière s’alluma, puis une autre plus proche, plus lointaine, toutes les tombes furent éclairées. Akira tourna la tête vers la lumière sortant de la tombe. Il hurla. Il courut, vite, très vite, voulant échappée à ces cadavres, ces formes, ces lumières, ces…âmes. Il courut longtemps, tournant entre les tombes, fermant les yeux et s’enfuyant, il ne s’arrêta enfin que pour reprendre son souffle. Une lumière s’approcha de lui et se pencha, le regardant. C’était une femme, une belle femme qui abordait un sourire rassurant sur ses lèvres. Mais Akira hurla de nouveau et tomba. Il tomba de la branche sur laquelle il c’était endormi, glissant dans ses rêves et chutant du haut de l’arbre.
Il ne toucha pourtant jamais le sol, la lumière blanche, la femme était là, le tenant et le ramenant sur le cerisier.
Elle lui sourit à nouveau et se mit à lui parler. Il l’écouta. Elle lui raconta ce qu’il venait de voir, ce qu’il avait mangé, tout. Et lui était stupidement heureux, il venait enfin de découvrir qui était cette femme.
En dehors de la musique et son arbre, Akira affectionnait particulièrement la pèche et la plongée, adorant rester le plus longtemps possible sous cette étendue d’eau à regarder le soleil déformé par l’eau. Une fois encore il se baignait tranquillement, s’amusant à plonger le plus loin possible, le plus profond. C’était une idée stupide mais il aimait se donner des défis. Arrivant pour une fois à toucher le fond, il glissa sur quelque chose de visqueux. Les joues gonflées et le souffle manquant, il ouvrit péniblement les yeux sous l’eau, supportant la douleur du contact de ses pupilles avec l’eau salée. Il regarda cette forme étrange avec un regard perplexe, mais avant qu’il ai put y réfléchir plus, une douleur s’empara de sa tête et de sa gorge, frappant le sol avec toute ses forces, il remonta alors et reprit sa respiration.
Il ne se doutait pas que cette fois serait la dernière fois qu’il pourrait nager dans l’océan.
La première bouchée avait été plutôt bonne, la deuxième vraiment répugnante, mais n’était pas quelqu’un de très gaspilleur Kira mangea entièrement le fruit, grimaçant à chaque bouchée. Lorsqu’il rejoignit sa branche cette nuit là et qu’il y dormit, il fit un rêve des plus étranges.
Il faisait sombre. Entièrement et définitivement sombre. L’atmosphère était pesante et bien qu’endormi, Akira frissonna. Il avait peur. Il fit un pas en avant, ou en arrière, il ne savait pas vraiment, ne voyant même pas son propre pied. Alors même qu’il posa son pied, une lumière s’alluma et éclaira ainsi les environs. Un cimetière. Des milliers de tombes s’étendaient sur une surface dont il ne voyait même pas le bout. Il tourna la tête vers celle la plus proche de lui, lisant le nom d’une personne qu’il ne connaissait pas, une date, une épitaphe.
Une autre lumière s’alluma, puis une autre plus proche, plus lointaine, toutes les tombes furent éclairées. Akira tourna la tête vers la lumière sortant de la tombe. Il hurla. Il courut, vite, très vite, voulant échappée à ces cadavres, ces formes, ces lumières, ces…âmes. Il courut longtemps, tournant entre les tombes, fermant les yeux et s’enfuyant, il ne s’arrêta enfin que pour reprendre son souffle. Une lumière s’approcha de lui et se pencha, le regardant. C’était une femme, une belle femme qui abordait un sourire rassurant sur ses lèvres. Mais Akira hurla de nouveau et tomba. Il tomba de la branche sur laquelle il c’était endormi, glissant dans ses rêves et chutant du haut de l’arbre.
Il ne toucha pourtant jamais le sol, la lumière blanche, la femme était là, le tenant et le ramenant sur le cerisier.
Elle lui sourit à nouveau et se mit à lui parler. Il l’écouta. Elle lui raconta ce qu’il venait de voir, ce qu’il avait mangé, tout. Et lui était stupidement heureux, il venait enfin de découvrir qui était cette femme.
~Comptine d’un autre été- l’après midi.~
C’est ainsi qu’Akira obtint le fruit du Tama Tama no mie, créant ainsi un passage entre le monde des morts et le monde des vivants, voyageant au tout départ simplement durant son sommeil puis progressivement lorsqu’il le voulait. Il apprit à combattre et à converser avec les morts, ne faisant plus du tout la différence entre eux et des humains bien vivant en chair et en os.
Il grandit et à l’aube de ses 18ans, annonça à son père qu’il voulait partir, découvrir de nouveaux horizon, combattre de nouvelles personnes. Son père en fut attristé mais aussi fier, et c’est pourquoi il lui remit son propre sabre noir et lui acheta une barque. Il assista au départ de son fils les larmes aux yeux. Et pour la première fois depuis longtemps, il alla sur la tombe de sa femme au pied du cerisier, et se mit à lui parler. Le fait de l’avoir revue il y avait de cela quelques années sous une forme fantomatique, l’avait perturbé, mais maintenant plus que jamais il avait besoin de lui parler.
Akira se mit à parcourir les iles proches de chez lui pendant deux ans, s’entrainant et faisant le travail qu’il c’était lui-même designer, faire passer les âmes errantes dans l’au delà, leur offrant le repos éternel.
Il grandit et à l’aube de ses 18ans, annonça à son père qu’il voulait partir, découvrir de nouveaux horizon, combattre de nouvelles personnes. Son père en fut attristé mais aussi fier, et c’est pourquoi il lui remit son propre sabre noir et lui acheta une barque. Il assista au départ de son fils les larmes aux yeux. Et pour la première fois depuis longtemps, il alla sur la tombe de sa femme au pied du cerisier, et se mit à lui parler. Le fait de l’avoir revue il y avait de cela quelques années sous une forme fantomatique, l’avait perturbé, mais maintenant plus que jamais il avait besoin de lui parler.
Akira se mit à parcourir les iles proches de chez lui pendant deux ans, s’entrainant et faisant le travail qu’il c’était lui-même designer, faire passer les âmes errantes dans l’au delà, leur offrant le repos éternel.
Les titres sont des musiques de Yann Tiersen
>> Test RP
Il neigeait.
Sur ce petit village, sur cette petite île, sur cette grande mer, s’abattait une pluie blanche, douce, belle, mais terriblement glacée. Chaque personne cédant à sa magnificence en payait les conséquences, des doigts bleus, un nez coulant et l’espoir de retrouver son petit coin auprès du feu.
Un jeune homme se hâtait dans les rues enneigées, son écharpe blanche ne suffisait à le réchauffer. Un paquet chaud dans ses mains, duquel une bonne odeur s’échappait, il filait entre les passants, regardant de temps en temps les vitrines avec une certaine nostalgie. C’était le dernier soir qu’il passait dans ce petit village mais il préférait passer sa dernière dans la chaleur de sa demeure. En effet, tout le village était au courant et chaque passant saluait une dernière fois Akira, lui souhaitant bonne chance. C’était le bon moment pour partir, de nombreux bateaux étaient amarrés au port pour commercer et il pourrait partir en suivant un de ces bateaux sur une autre île.
Toujours est-il qu’il marchait rapidement, laissant de petites marques dans la neige accumulées au sol. Il souffla, son ventre gronda ; ce qu’il aurait bien voulu manger les petits pains chaud dans son sac… il s’en léchait déjà les babines et accéléra le pas.
« -Hé Gamin ! » Entendit-il. S’arrêtant, il se retourna et regarda la foule, passant de la femme emmitouflée dans un gros manteau accompagnée d’un enfant, à un homme baillant aux corneilles. Il plissa les yeux et haussa les épaules avant de se remettre à marcher, se glissant dans les ruelles pour atteindre plus vite sa maisonnette. Au bout de quelques minutes, il se retrouva seul, entendant simplement quelqu’un le suivre. Jetant un coup d’œil il s’avéra que c’était l’homme de tout à l’heure.
Il accéléra et s’enfonça encore plus dans les ruelles du petit village. Seuls les crissements de la neige sous ses pas troublaient le bruyant silence. Kira n’avait aucune envie de se battre ce soir, mais l’homme ne le lâchait pas et c’est avec un ennui certain qu’il tourna encore et encore. Il ne comprit que lorsqu’il tourna encore une fois.
Il était pris au piège.
Akira se retrouva encerclé par trois hommes, deux devant lui et un derrière. Il déglutit et les regarda avec un regard vide ; il allait encore devoir se salir et son père n’en serait pas content. Il soupira, qu’avait-il qui pouvait intéresser ces gars-là ? De son regard plat, il les interrogea ce qui lui valut un serrement de mâchoire d’un des hommes.
« -Il y a deux jours, tu as tué un des nôtres, et tu vas payer pour ça, petit ! » Il sortit son sabre, le regard intimidateur, certain de pouvoir tuer ce gamin de dix-huit piges, sans armes. C’était inégal, mais qu’est-ce qu’il s’en fichait. Akira, lui, le regardait sans comprendre ; il avait tué quelqu’un il y avait de cela deux jours ? Si ses souvenirs étaient exacts, cette personne ne s’en portait pas si mal, il était même sur qu’il aimait bien sa voisine de tombe... Bref, toujours est-il qu’il ne voyait absolument pas pourquoi ces gars-là lui en voulaient… Mais il préferait régler ça vite fait pour pourvoir dégusté ces petits pains. (À la ligne)
Tranquillement, il déposa le paquet au sol et se mit face aux hommes, ces derniers fondirent sur lui et il réalisa que sans armes il était en fort désavantage. Avec une rapidité affolante, il se glissa auprès d’un des hommes et dans un mouvement invisible, il récupéra son sabre, murmurant un léger « Rhapsodie» lorsque le manche toucha sa paume. L’homme abasourdi referma ses doigts sur du vide et la dernière chose qu’il vit furent les yeux fluorescents du gamin.
Dos aux deux autres, la lame rouge de sang, Akira contempla brièvement le corps de l’homme avant de se retourner pour en finir avec les deux derniers. Il n’avait aucune envie d’utiliser les âmes, et ces personnages n’en valaient pas la peine. Lentement, il leva sa lame et la rabattit, laissant une grande trainée de sang sur la neige blanche. Ce fut aussi le dernier souvenir de ces adversaires.
Il neigeait.
Sur ce petit village, sur cette petite ile, dans cette petite ruelle, s’abattait une pluie blanche, douce, belle, mais terriblement détestable. Quelques personnes avaient cédé à sa magnificence, et en avaient payé les conséquences. Dans cette ruelle blanche, une couleur se démarquait étrangement des autres. Du rouge, un rouge sanglant, un rouge marquant, un rouge. Devant la source de cette coulée funeste, se trouvait posté l’adolescent. Il jeta le sabre qu’il tenait sur les corps, les yeux perdus dans le vague, suivant presque avec mélancolie la lignée qui traçait son chemin. Akira soupira.
Brusquement, il releva la tête, et s’exclama avec une étrange expression sur le visage.
« -AH ! J’ai oublié ma monnaie !!!! »
Et il se mit à courir dans le sens inverse, courant à en perdre haleine pour retourner à la boulangerie.
Sur ce petit village, sur cette petite île, sur cette grande mer, s’abattait une pluie blanche, douce, belle, mais terriblement glacée. Chaque personne cédant à sa magnificence en payait les conséquences, des doigts bleus, un nez coulant et l’espoir de retrouver son petit coin auprès du feu.
Un jeune homme se hâtait dans les rues enneigées, son écharpe blanche ne suffisait à le réchauffer. Un paquet chaud dans ses mains, duquel une bonne odeur s’échappait, il filait entre les passants, regardant de temps en temps les vitrines avec une certaine nostalgie. C’était le dernier soir qu’il passait dans ce petit village mais il préférait passer sa dernière dans la chaleur de sa demeure. En effet, tout le village était au courant et chaque passant saluait une dernière fois Akira, lui souhaitant bonne chance. C’était le bon moment pour partir, de nombreux bateaux étaient amarrés au port pour commercer et il pourrait partir en suivant un de ces bateaux sur une autre île.
Toujours est-il qu’il marchait rapidement, laissant de petites marques dans la neige accumulées au sol. Il souffla, son ventre gronda ; ce qu’il aurait bien voulu manger les petits pains chaud dans son sac… il s’en léchait déjà les babines et accéléra le pas.
« -Hé Gamin ! » Entendit-il. S’arrêtant, il se retourna et regarda la foule, passant de la femme emmitouflée dans un gros manteau accompagnée d’un enfant, à un homme baillant aux corneilles. Il plissa les yeux et haussa les épaules avant de se remettre à marcher, se glissant dans les ruelles pour atteindre plus vite sa maisonnette. Au bout de quelques minutes, il se retrouva seul, entendant simplement quelqu’un le suivre. Jetant un coup d’œil il s’avéra que c’était l’homme de tout à l’heure.
Il accéléra et s’enfonça encore plus dans les ruelles du petit village. Seuls les crissements de la neige sous ses pas troublaient le bruyant silence. Kira n’avait aucune envie de se battre ce soir, mais l’homme ne le lâchait pas et c’est avec un ennui certain qu’il tourna encore et encore. Il ne comprit que lorsqu’il tourna encore une fois.
Il était pris au piège.
Akira se retrouva encerclé par trois hommes, deux devant lui et un derrière. Il déglutit et les regarda avec un regard vide ; il allait encore devoir se salir et son père n’en serait pas content. Il soupira, qu’avait-il qui pouvait intéresser ces gars-là ? De son regard plat, il les interrogea ce qui lui valut un serrement de mâchoire d’un des hommes.
« -Il y a deux jours, tu as tué un des nôtres, et tu vas payer pour ça, petit ! » Il sortit son sabre, le regard intimidateur, certain de pouvoir tuer ce gamin de dix-huit piges, sans armes. C’était inégal, mais qu’est-ce qu’il s’en fichait. Akira, lui, le regardait sans comprendre ; il avait tué quelqu’un il y avait de cela deux jours ? Si ses souvenirs étaient exacts, cette personne ne s’en portait pas si mal, il était même sur qu’il aimait bien sa voisine de tombe... Bref, toujours est-il qu’il ne voyait absolument pas pourquoi ces gars-là lui en voulaient… Mais il préferait régler ça vite fait pour pourvoir dégusté ces petits pains. (À la ligne)
Tranquillement, il déposa le paquet au sol et se mit face aux hommes, ces derniers fondirent sur lui et il réalisa que sans armes il était en fort désavantage. Avec une rapidité affolante, il se glissa auprès d’un des hommes et dans un mouvement invisible, il récupéra son sabre, murmurant un léger « Rhapsodie» lorsque le manche toucha sa paume. L’homme abasourdi referma ses doigts sur du vide et la dernière chose qu’il vit furent les yeux fluorescents du gamin.
Dos aux deux autres, la lame rouge de sang, Akira contempla brièvement le corps de l’homme avant de se retourner pour en finir avec les deux derniers. Il n’avait aucune envie d’utiliser les âmes, et ces personnages n’en valaient pas la peine. Lentement, il leva sa lame et la rabattit, laissant une grande trainée de sang sur la neige blanche. Ce fut aussi le dernier souvenir de ces adversaires.
Il neigeait.
Sur ce petit village, sur cette petite ile, dans cette petite ruelle, s’abattait une pluie blanche, douce, belle, mais terriblement détestable. Quelques personnes avaient cédé à sa magnificence, et en avaient payé les conséquences. Dans cette ruelle blanche, une couleur se démarquait étrangement des autres. Du rouge, un rouge sanglant, un rouge marquant, un rouge. Devant la source de cette coulée funeste, se trouvait posté l’adolescent. Il jeta le sabre qu’il tenait sur les corps, les yeux perdus dans le vague, suivant presque avec mélancolie la lignée qui traçait son chemin. Akira soupira.
Brusquement, il releva la tête, et s’exclama avec une étrange expression sur le visage.
« -AH ! J’ai oublié ma monnaie !!!! »
Et il se mit à courir dans le sens inverse, courant à en perdre haleine pour retourner à la boulangerie.
C'est un peu court mais je voyais pas tellement quoi raconter d'autre ^^"
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________Informations IRL
- Prénom : euh…coincoin
Age : 17 balais ♪
Aime : les mangas, one piece (sans blague ? j’aurais pas deviné), rire et sortir avec mes amis, ne rien faire, et faire plein de chose… je sais c’est vachement clair… Le Chocolat (c’est mal mais cque c’est bon)
N'aime pas : Beaucoup de truc, avoir froid, la pluie, des trucs con…
Personnage préféré de One Piece : Ace !....*va se sucider*
Caractère : (définissez vous en quelques mots) Compliqué, mais généralement de bonne humeur (je suis ironique très souvent), ça passe du gamin ambulant au gros chieur…
Fais du RP depuis :Environ 3ans
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) Je passe tout les jours (sauf indisponibilité exceptionnelle), après pour répondre au rp ça dépend de ma motivation
Comment avez vous connu le forum ?Par l’ancien forum.
Dernière édition par Akira Grey le Sam 27 Nov 2010, 16:17, édité 6 fois