L'agent du CP3 a disparu. Ivan est désormais seul et doit terminer sa mission. L'équipage d'Amalie qu'il doit arrêter vient de prendre la mer et se dirige vers la seconde ile de la première voie de Grand Line. Le maffieux qui est en Ivan lui ordonne de se faire respecter ! Ces pirates qui ne lui arrivent pas à la cheville ont osé lui faire face. Juste le fait de prétendre pouvoir lui faire face et une insulte alors le faire réellement ! Ceux-là vont comprendre ce que c'est que la vérité. Ils vont rencontrer leur vérité qui n'est autre que la mort.
L'ange n'a absolument rien avec lui. Il est dans la chambre d'une auberge et déchire un rideau pour s'enrouler dedans et se camoufler. N'ayant pas un sou en poche, il pense à sortir par la fenêtre pour éviter de payer l'aubergiste si l'agent ne l'avait pas fait. De toute façon, notre homme n'a pas d'argent sur lui. Après tout, que peut-il bien risquer en sortant par la grande porte? Sa démarche est ordinaire et il avance dans le hall. Un comptoir sur le côté gauche avec les clefs de plusieurs chambres est visible. Un moustachu sans un poil sur le crâne est accoudé et regarde avec insistance l'ange.
-Vous désirez monsieur?
Le blond sait que l'agent le surveille. Alors il continue de se diriger vers la sortie sans répondre.
-Vous avez déchiré mes rideaux ! Vous savez combien ça coute ?!
Mais Ivan ne répond toujours pas. L'homme s'approche par-derrière et le saisit à l'épaule. Notre lieutenant se retourne brusquement et l'attrape à la gorge.
-Dites-moi. Quelle est votre plus grande peur?
Grâce à sa maitrise de son fruit du démon, l'interlocuteur est forcé de répondre à la question. Pas la peine d'essayer de résister, les mots sortent automatiquement de sa bouche.
-Perdre ma fille.
-Alors vous feriez mieux de vous remettre au travail et de faire comme si vous ne m'avez jamais vu pour le bien de la petite.
L'homme terrifiait par ce qu'il vient de se passer recule rapidement. Il ne comprend absolument pas pourquoi il a répondu à la question et le pire dans tout ça c'est que sa réponse est véridique. Le terrifiant Ivan sort avec un léger sourire démoniaque sur son visage. S'il rencontre Ivan le terrible aujourd'hui, vous savez celui qui fait partie des colosses de la révolution, je vous assure qu'il le mangerait tout cru.
Seul dans les rues désertes, il prend la direction qu'on prit les navires d'Amalie. Un obstacle le bloque, la mer. Enfin, le bloque est un bien grand mot. Il cherche un moyen de transport dans les parages et son regard finit par tomber sur un petit bateau de pêche. Le lieutenant toujours recouvert monte sur son moyen de transport et les gardes au quai viennent à lui. La nuit est fraiche et ce qui semble les tenir aux chaud sont leur cigarette.
-Monsieur veuillez vous identifier.
-Faite comme si je n'étais pas là.
Ivan retire la corde qui l'empêche de prendre le large mais les hommes insistent et sortent des révolvers.
-Vous êtes en train de menacer un lieutenant de la marine d'élite. Comment dois-je prendre le fait que vous me visez avec vos armes? Une menace ou même une attaque? C'est donc de la légitime défense si je vous désarme. Bon, je veux bien descendre du navire.
Le lieutenant d'élite lève les mains et s'approche des deux individus.
-Oups, le bateau est en train de se faire la malle. J'ai oublié de l'attacher.
Alors l'un des deux range son arme et va pour rattacher le bateau. Ivan profite que l'autre est occupé et a le dos tourné pour s'en prendre à celui qui lui fait face. Il attrape l'arme de la main gauche et donne des coups de poing droit jusqu'à le faire lâcher prise. Puis il se retourne rapidement vers le second qui dégaine mais pas assez vite. Le lieutenant a déjà tiré et son coup désarme l'autre. Notre homme range son arme dans la ceinture, tapote l'épaule de celui qu'il vient de désarmer et ramasse le second révolver qu'il garde aussi.
-Merci pour les armes messieurs. Finalement vous avez bien fait de m'interpeller. J'aime les gens serviables. A la revoyure.
C'est parti, direction la flotte d'Amalie.
L'ange n'a absolument rien avec lui. Il est dans la chambre d'une auberge et déchire un rideau pour s'enrouler dedans et se camoufler. N'ayant pas un sou en poche, il pense à sortir par la fenêtre pour éviter de payer l'aubergiste si l'agent ne l'avait pas fait. De toute façon, notre homme n'a pas d'argent sur lui. Après tout, que peut-il bien risquer en sortant par la grande porte? Sa démarche est ordinaire et il avance dans le hall. Un comptoir sur le côté gauche avec les clefs de plusieurs chambres est visible. Un moustachu sans un poil sur le crâne est accoudé et regarde avec insistance l'ange.
-Vous désirez monsieur?
Le blond sait que l'agent le surveille. Alors il continue de se diriger vers la sortie sans répondre.
-Vous avez déchiré mes rideaux ! Vous savez combien ça coute ?!
Mais Ivan ne répond toujours pas. L'homme s'approche par-derrière et le saisit à l'épaule. Notre lieutenant se retourne brusquement et l'attrape à la gorge.
-Dites-moi. Quelle est votre plus grande peur?
Grâce à sa maitrise de son fruit du démon, l'interlocuteur est forcé de répondre à la question. Pas la peine d'essayer de résister, les mots sortent automatiquement de sa bouche.
-Perdre ma fille.
-Alors vous feriez mieux de vous remettre au travail et de faire comme si vous ne m'avez jamais vu pour le bien de la petite.
L'homme terrifiait par ce qu'il vient de se passer recule rapidement. Il ne comprend absolument pas pourquoi il a répondu à la question et le pire dans tout ça c'est que sa réponse est véridique. Le terrifiant Ivan sort avec un léger sourire démoniaque sur son visage. S'il rencontre Ivan le terrible aujourd'hui, vous savez celui qui fait partie des colosses de la révolution, je vous assure qu'il le mangerait tout cru.
Seul dans les rues désertes, il prend la direction qu'on prit les navires d'Amalie. Un obstacle le bloque, la mer. Enfin, le bloque est un bien grand mot. Il cherche un moyen de transport dans les parages et son regard finit par tomber sur un petit bateau de pêche. Le lieutenant toujours recouvert monte sur son moyen de transport et les gardes au quai viennent à lui. La nuit est fraiche et ce qui semble les tenir aux chaud sont leur cigarette.
-Monsieur veuillez vous identifier.
-Faite comme si je n'étais pas là.
Ivan retire la corde qui l'empêche de prendre le large mais les hommes insistent et sortent des révolvers.
-Vous êtes en train de menacer un lieutenant de la marine d'élite. Comment dois-je prendre le fait que vous me visez avec vos armes? Une menace ou même une attaque? C'est donc de la légitime défense si je vous désarme. Bon, je veux bien descendre du navire.
Le lieutenant d'élite lève les mains et s'approche des deux individus.
-Oups, le bateau est en train de se faire la malle. J'ai oublié de l'attacher.
Alors l'un des deux range son arme et va pour rattacher le bateau. Ivan profite que l'autre est occupé et a le dos tourné pour s'en prendre à celui qui lui fait face. Il attrape l'arme de la main gauche et donne des coups de poing droit jusqu'à le faire lâcher prise. Puis il se retourne rapidement vers le second qui dégaine mais pas assez vite. Le lieutenant a déjà tiré et son coup désarme l'autre. Notre homme range son arme dans la ceinture, tapote l'épaule de celui qu'il vient de désarmer et ramasse le second révolver qu'il garde aussi.
-Merci pour les armes messieurs. Finalement vous avez bien fait de m'interpeller. J'aime les gens serviables. A la revoyure.
C'est parti, direction la flotte d'Amalie.