La nappe de brouillard avait fini par passer. J’observais l’horizon pour vérifier si je n’avais pas fait un écart de mon chemin. Ça allait à priori, je m’étais écarté légèrement de ma route. Le navire marchand ne bougeait plus. Je me remis à ramer, ramer à force me provoquait des crampes aux bras. Il me fallait un plus gros navire, dans lequel j’avais juste à tourner la barre ! Je voulais un navire avec un équipage ! Qu’enfin je devienne moi-même mon propre chef ! En ce moment je me trouvais une âme de leader. Je me sentais plus mature de mes aventures. J’avais eu des déclics en moi qui m’ont permis d’évoluer.
Une heure passa. J’avais déjà bien entamé mon stock de saké. Je tenais de plus en plus cette merde. Je m’allumais ensuite une clope, pour bien faire digérer le tout et pour détendre mes muscles qui souffraient. Je tirais de grosses bouffées, en expirant je m’amusais à faire des ronds avec la fumée. En fumant j’émettais un soupir de soulagement.
- Oh putain, ouais… qu’est c’est bon la vie ! Au loin je vis un vaisseau de la Marine, c’en était clairement un, une voile blanche avec une mouette bleue. Je jetais ma cigarette à l’eau.
Je réfléchissais, que devais-je faire. A ce moment-là je voulais saisir ma chance, j’allais posséder un plus gros navire, c’était décidé. De plus le navire avançait en ma direction.
Je m’allongeai dans ma barque, je déchirai un peu mes vêtements pour faire en sorte de me faire passer pour un naufragé. Ensuite je fermai les yeux, attendant leur arrivé. J’espérais qu’ils ne m’avaient pas vu avant lorsque je picolais et que je fumais.
Le bruit du bateau fendant les vagues se rapprochait, à côté de la barque il s’arrêta. Après… je m’étais vraiment endormis je ne pourrais pas dire la suite jusqu’au moment où je m’étais réveillé. J’ouvrais les yeux lentement, j’avais la tête dans le cul et à la fois la gueule de bois. Je sentais mon cerveau qui imitait les battements de mon cœur, c’était très douloureux. Je me levais doucement. Une main se posa sur ma poitrine une voix rauque raisonna dans la pièce.
- Ne vous levez pas trop brusquement. Que vous est-il arrivé ?
- Cela fait 3 jours environs que j’ai échoué… .
- Oh je vois, reposez-vous et mangez, faites comme chez vous la Marine est là pour vous servir.
Mon plan avait marché à merveille. Il fallait maintenant que je réquisitionne le navire. L’homme avait fini par s’en aller. Je vis mon glaive posé un peu plus loin sur une table. Je me levais tranquillement. J’avançais, la table était dans ma trajectoire, après j’allais prendre la porte et commencer mon assaut.
J’étais sorti, sans bruit en toute discrétion. Les Marines effectuaient des manœuvres pour faire bouger le bateau. Je me rendais d’un pas léger à l’endroit où se situait la barre, un pont légèrement surélevé, avec la vue sur le pont inférieur. Je me faufilais, tous les marines me tournaient le dos, ils étaient une bonne vingtaine. C’est avec un grand sourire que je criai :
- Je réquisitionne ce navire, je vous prie de vous rendre ou de sauter par-dessus bord !
Une heure passa. J’avais déjà bien entamé mon stock de saké. Je tenais de plus en plus cette merde. Je m’allumais ensuite une clope, pour bien faire digérer le tout et pour détendre mes muscles qui souffraient. Je tirais de grosses bouffées, en expirant je m’amusais à faire des ronds avec la fumée. En fumant j’émettais un soupir de soulagement.
- Oh putain, ouais… qu’est c’est bon la vie ! Au loin je vis un vaisseau de la Marine, c’en était clairement un, une voile blanche avec une mouette bleue. Je jetais ma cigarette à l’eau.
Je réfléchissais, que devais-je faire. A ce moment-là je voulais saisir ma chance, j’allais posséder un plus gros navire, c’était décidé. De plus le navire avançait en ma direction.
Je m’allongeai dans ma barque, je déchirai un peu mes vêtements pour faire en sorte de me faire passer pour un naufragé. Ensuite je fermai les yeux, attendant leur arrivé. J’espérais qu’ils ne m’avaient pas vu avant lorsque je picolais et que je fumais.
Le bruit du bateau fendant les vagues se rapprochait, à côté de la barque il s’arrêta. Après… je m’étais vraiment endormis je ne pourrais pas dire la suite jusqu’au moment où je m’étais réveillé. J’ouvrais les yeux lentement, j’avais la tête dans le cul et à la fois la gueule de bois. Je sentais mon cerveau qui imitait les battements de mon cœur, c’était très douloureux. Je me levais doucement. Une main se posa sur ma poitrine une voix rauque raisonna dans la pièce.
- Ne vous levez pas trop brusquement. Que vous est-il arrivé ?
- Cela fait 3 jours environs que j’ai échoué… .
- Oh je vois, reposez-vous et mangez, faites comme chez vous la Marine est là pour vous servir.
Mon plan avait marché à merveille. Il fallait maintenant que je réquisitionne le navire. L’homme avait fini par s’en aller. Je vis mon glaive posé un peu plus loin sur une table. Je me levais tranquillement. J’avançais, la table était dans ma trajectoire, après j’allais prendre la porte et commencer mon assaut.
J’étais sorti, sans bruit en toute discrétion. Les Marines effectuaient des manœuvres pour faire bouger le bateau. Je me rendais d’un pas léger à l’endroit où se situait la barre, un pont légèrement surélevé, avec la vue sur le pont inférieur. Je me faufilais, tous les marines me tournaient le dos, ils étaient une bonne vingtaine. C’est avec un grand sourire que je criai :
- Je réquisitionne ce navire, je vous prie de vous rendre ou de sauter par-dessus bord !