Cette eau est plus froide que celle d'Est Blue. Cela fait bien longtemps que je nage, je dois être dans une autre blues. Bref, c'est pas le plus important. J'ai faim et il me faut donc à manger. Je cherche un peu partout autour de moi mais je ne vois pas de poisson réellement appétissant. Puis plus loin je remarque un gros point noir. Après un vrai sprint je me repose au pied de ce point. A vrai dire c'est une île. Cependant je ne vois aucun bateau au dessus de moi c'est étrange. Alors j'en fait le tour jusqu'à découvrir un petit port. J'attends que la nuit tombe pour sortir de l'eau.
Je sors de l'eau, le corps encore dégoulinant. Il fait vraiment nuit noir. Aucune lune n'est visible dans le ciel. Une brise fraîche me transperce de part en part. J'avance alors vers la ville. On ne voit nulle part de la verdure. La nature a été avalé par la ville. C'est étrange, mais c'est les hommes. J'avance dans la ville, les rues sont quasiment vides, seul les bars sont pleins. Tranquillement je erre dans les ruelles jusqu'à trouver un bar un peu plus vide.
D'ailleurs, je l'ai trouver ce bar. Après avoir pousser la porte je rentre. Le barman semble très surpris voir même un peu effrayé de me voir. Les clients me dévisagent, je n'aime pas ce regard. J'avance jusqu'au bar et fait s'approcher le barman.
> Bonsoir, tu as à bouffer ici ? J'aimerais aussi de l'alcool ! dis-je sur un ton sec.
> Bien sûr le poisson ! Je te sert a bouffer et tu veux du saké ou du rhum ?
> Je vais prendre du rhum !
Je remarque qu'il ne doit y avoir qu'environ une dizaine de centimètres entre le sommet de ma tête et le toit. Je suis sorti de mes pensées par une petit groupe de bonhomme qui se lève et s'avance vers moi en faisant craquer leurs mains. Je crois que certains vont passer un mauvais quart d'heure. Le plus idiot d'entre eux fait un pas en plus pour se mettre en évidence.
> Eh le monstre, qu'est ce que tu fais là ! Avec mes potes on aime pas ta tête. Tu va devoir partir illico presto sinon ça va barder. C'est vraiment lui le plus con de la bande, mais c'est aussi celui qui doit avoir le plus de baloches pour oser me parler comme ça. Le truc que j'ai pas apprécié c'est qu'il me traite de monstre.
> Du con lâche moi. Je veux pas vous blesser alors dégage de là ! Pendant ce temps le barman me donne ma bouteille de rhum. Alors je m'en saisit et l'ouvre en faisant sauter le bouchon. Puis je bois à coup de grande rasade.
> Tu nous prend pour des cons en faite !
> Perspicace ! Je crois que c'est la provocation de trop.
Le bougre me fonce dessus et tente de me donner un coup de poing. Je le stoppe avec la paume de ma main qui est simplement démesuré par rapport à la sienne. Puis il prend un coup de poing qui le fait valser jusqu'aux pieds de ses potes. Deux s'enfuient en courant de l'établissement et deux tentent de relever leur "chef". Ils sont pathétiques. De mon coté je continue à boire et on me sert à manger. Je prend une fourchette et je commence mon repas. C'est ce moment qu'on choisit les copains de celui que j'ai assommer juste avant pour venir me chercher des ennuis. L'un d'eux a même une barre de fer dans les mains. Il s'élance vers moi mais se prend un méchant coup de pied de le bide qui le renvoie là où il était. Son pote s'est faufilé derrière moi et me donne un coup de poing dans les côtes. Le pauvre n'a vraiment pas de force. Je ressent une petite douleur mais rien de plus, alors je remet la même et lui s'effondre. Je l'attrape par le col et chope son copain. Je le soulève du sol pour leur parler yeux dans les yeux.
> Vous savez s'il y a des pirates sur cette île ? Si vous me répondez alors je ne vous tuerais pas.
> Heu oui il doit y en avoir, il faut chercher dans les autres bar ou dans la boutique"la Côte d'Usure" ! dit l'un des deux idiots apeuré.
> Merci messieurs, bon je vous laisse payé mon repas et ma boisson, vous me devez bien ça ! Je me retourne vers le barman > Ils m'ont proposé de payer. Merci pour la bouteille et le repas c'était super bon !
Je lâche les deux poltrons et finit mon repas d'une seule bouchée. Je m'en vais, bouteille à la main de la taverne pour tenter de rencontrer un équipage qui voudrait bien de moi. Juste un simple nakama me suffirait. Il est temps pour moi de démarrer l'aventure. Alors je finit ma bouteille cul sec m'écris !
> Je vais trouver des nakamas avant de partir de cette île ! C'est aussi vrai que je suis un homme poisson !
Je sors de l'eau, le corps encore dégoulinant. Il fait vraiment nuit noir. Aucune lune n'est visible dans le ciel. Une brise fraîche me transperce de part en part. J'avance alors vers la ville. On ne voit nulle part de la verdure. La nature a été avalé par la ville. C'est étrange, mais c'est les hommes. J'avance dans la ville, les rues sont quasiment vides, seul les bars sont pleins. Tranquillement je erre dans les ruelles jusqu'à trouver un bar un peu plus vide.
D'ailleurs, je l'ai trouver ce bar. Après avoir pousser la porte je rentre. Le barman semble très surpris voir même un peu effrayé de me voir. Les clients me dévisagent, je n'aime pas ce regard. J'avance jusqu'au bar et fait s'approcher le barman.
> Bonsoir, tu as à bouffer ici ? J'aimerais aussi de l'alcool ! dis-je sur un ton sec.
> Bien sûr le poisson ! Je te sert a bouffer et tu veux du saké ou du rhum ?
> Je vais prendre du rhum !
Je remarque qu'il ne doit y avoir qu'environ une dizaine de centimètres entre le sommet de ma tête et le toit. Je suis sorti de mes pensées par une petit groupe de bonhomme qui se lève et s'avance vers moi en faisant craquer leurs mains. Je crois que certains vont passer un mauvais quart d'heure. Le plus idiot d'entre eux fait un pas en plus pour se mettre en évidence.
> Eh le monstre, qu'est ce que tu fais là ! Avec mes potes on aime pas ta tête. Tu va devoir partir illico presto sinon ça va barder. C'est vraiment lui le plus con de la bande, mais c'est aussi celui qui doit avoir le plus de baloches pour oser me parler comme ça. Le truc que j'ai pas apprécié c'est qu'il me traite de monstre.
> Du con lâche moi. Je veux pas vous blesser alors dégage de là ! Pendant ce temps le barman me donne ma bouteille de rhum. Alors je m'en saisit et l'ouvre en faisant sauter le bouchon. Puis je bois à coup de grande rasade.
> Tu nous prend pour des cons en faite !
> Perspicace ! Je crois que c'est la provocation de trop.
Le bougre me fonce dessus et tente de me donner un coup de poing. Je le stoppe avec la paume de ma main qui est simplement démesuré par rapport à la sienne. Puis il prend un coup de poing qui le fait valser jusqu'aux pieds de ses potes. Deux s'enfuient en courant de l'établissement et deux tentent de relever leur "chef". Ils sont pathétiques. De mon coté je continue à boire et on me sert à manger. Je prend une fourchette et je commence mon repas. C'est ce moment qu'on choisit les copains de celui que j'ai assommer juste avant pour venir me chercher des ennuis. L'un d'eux a même une barre de fer dans les mains. Il s'élance vers moi mais se prend un méchant coup de pied de le bide qui le renvoie là où il était. Son pote s'est faufilé derrière moi et me donne un coup de poing dans les côtes. Le pauvre n'a vraiment pas de force. Je ressent une petite douleur mais rien de plus, alors je remet la même et lui s'effondre. Je l'attrape par le col et chope son copain. Je le soulève du sol pour leur parler yeux dans les yeux.
> Vous savez s'il y a des pirates sur cette île ? Si vous me répondez alors je ne vous tuerais pas.
> Heu oui il doit y en avoir, il faut chercher dans les autres bar ou dans la boutique"la Côte d'Usure" ! dit l'un des deux idiots apeuré.
> Merci messieurs, bon je vous laisse payé mon repas et ma boisson, vous me devez bien ça ! Je me retourne vers le barman > Ils m'ont proposé de payer. Merci pour la bouteille et le repas c'était super bon !
Je lâche les deux poltrons et finit mon repas d'une seule bouchée. Je m'en vais, bouteille à la main de la taverne pour tenter de rencontrer un équipage qui voudrait bien de moi. Juste un simple nakama me suffirait. Il est temps pour moi de démarrer l'aventure. Alors je finit ma bouteille cul sec m'écris !
> Je vais trouver des nakamas avant de partir de cette île ! C'est aussi vrai que je suis un homme poisson !