- Fufufu « Patience et longueur de temps font mieux que rage et que force » Jean D La …
- … Jolie oui bon ça va abrège, j’ai pas que ça à foutre moi la vi….
ZBAM
- AÏÏÏÏHEU mais tes cinglée de frapper toujours au même endroit tu vas m’ouvrir le crâne à force ! T’es une p-s-y-ch-o-p-a-t-h-e ma parole.
Menaçante Gairi, me chope par le coup, me soulève sans aucune problème et me plaque contre un mur :
- Alors l’minot tu vas bien m’écouter à présent : de 1) j’en ai rien à foutre de te fendre le crâne puisque je peux te le ressouder dans l’heure, de 2) Si t’as que ça as foutre puisque t’es esclave maintenant, et de trois, oui de trrrrrRRRROIIIIISSSSSSS DE T-R-O-I-S : SI TU RÉPTES ENCORE UNE FOIS CE MOT MILLES FOIS MAUDITS PAR LES DIEUX EUX-MÊMES JE JURE QUE JE TE REFOURGUE AU PIRE DES CONTRES-MAÎTRES DE L’ÎLE APRÈS T’AVOIR DÉMOLI TA FACE FILS D’INUE OU PAS C’EST CLAIR !!!!
- D’accord, d’accord, d’accord, je ne dirais plus que tu es v….
- … V… vaillement entré dans l’âge de la sagesse voilà : copaaaaaiiiiiiinnnnn !
- Bon reprenons.
La toubib se rassoit le dos contre un mur, inspire un grand coup, se re-boit une énième rasade, me tend le cul de bouteille, qui…tiens? M’arrache moins subitement, bon c’est cool. Puis tout en jouant avec la photo me reprends le récit de Drum, d’un air théâtral avec des gestes de comédien exagérés
- On était acculées dans cette grotte, et , ce qui était notre refuge allait devenir notre tombeau. Alors que l’on arrivait à court de vivre, de plante médicinale, malade comme des chiennes. On entendit la pierre du passage se déplacer. Les marines avaient-ils trouvés notre cachette ? N’aurons nous pas la possibilité de mourir dignement. Et moi beauté divinement enchanteresse n’aurais-je point droit à l’amour si viril de ses magnifiques spécimens montagnards Drumois !
Ô rage, le monde était-il si cruel !Nous rassemblâmes nos forces ! Prîment les arquebuses en notre possession, nous plaçâmes à la sortie interne du passage prêtent à envoyer le feu de l’enfer sur ces vils mécréants, puant, fumant, rhhhhaaa que dis-je c’est nômignobles ! Mais à notre grande surprise ce n’était pas des marines mais des gars emmitouflés dans des impers noirs.
Je n’en peux plus ! La garce, la fourbe la scélérate elle fait duré, le suspense, tout mon être pulse, bouillonne , on est bientôt à la fin de ce récit, je le sens, je peux presque le goûter vas-y la vieeeeeellllllee abrèèèèèèggeee puttt*************** !
- « Ne tirez pas ! » Qu’ils nous dirent ! « Ne tirez pas on est de la révolution ! On est la pour vous aider ! » Ces bigorniauds ils avaient réussi à attiser le feu de ma curiosité et celui de ta mère. Enfin bon... c’est surtout leur ultime phrase qui nous firent baisser nos armes : « On vous apporte à manger, à boire, et des remèdes! » . Épuisées et las nous les laissâmes nous rejoindre.
« Punaises vous avez pas été facile à trouver les filles ! Pas mal la planque ! Ont a eu du mal à la trouver sans haki ont serait passer à côté ! Tenez à manger et à boire rassasiez-vous vous en avez besoin. »
Comme des bêtes affamées nous nous sommes jetées sur la viande, sans même prendre soin de la cuire puis comme nous nous sommes endormies juste après ils ont profité de notre sommeil pour nous donner les médicaments. À notre réveille le plus petit des deux s’exprima :
« Je me présente je m’appelle Magnus et mon ami ici présent c’est Adam. »
- Quoi Adam ?! Le Adam ?! Le leader révolutionnaire ?! Le Dragon.
- C’est bien ça, mais à l’époque il n’ …
- …. WHAT THE F…. !
ZBAM
- Aïïïïïe ! Mais t’es cinglée de faire ça, ça fait super mal bordel.
- Ça t’apprendrai à juré quand t’apprend un truc incroyable. Bon où en étais-je ha oui :
« Par chance vos découvertes sont aussi arrivées jusqu’aux oreilles de la révolution et il faut dire qu’elles pourraient des milliers de vie ! Ce serait tout bonnement génialissime de vous avoir dans nos rangs. »
« Pensez- un peu à tout ces pauvres gens qui meurt de faim, du à des blessures, à tout ses esclaves que l’on libère, avoir quelqu’un comme vous dans nos rangs permettrait de les soignés, et de renforcer nos rangs. !!! Les potentialités sont illimités ! De plus j’ai cru comprendre que vous étiez vous aussi vous n’appréciez pas le GM ! Alors que dîtes vous ! »
« Magnus laisse leur le temps de reprendre leur esprit tu veux. Écoutez quoi que vous décidiez, nous vous prenons avec, un navire nous attends cachés dans une crique, on vous emmènera en lieu sûr, ensuite vous prendrez le temps de prendre une décision »
Avions nous vraiment le choix, et puis ils nous avez quand même sauvez la vie et remis sur pied, nous les avons suivis, emmitouflées à notre tour chacune dans une veste de grizzly noir à capuche. Nous avons finalement réussi à rejoindre le navire, caché dans une cavité rocheuse, par laquelle on accède en rappelle. Nous avions du assommer quelques marines en retour.
Et voilà minot comment j’ai rencontré ta mère et comment elle en est venue à quitter son île natale.
- Et alors, comment ça c’est passé, pourquoi vous avez rejoint la résistance, comment mes parents sont-ils tombé amoureux ??
- Ça c’est une autre histoire, maintenant il est temps de te reposer, la nuit et tombée, il te faudra avoir des forces pour affronter la réalité que tu seras mené à vivre crois moi.
- Rhôôô …
C’est vraiment elle a raison combien de temps avions nous discuter, absorber par l’histoire de ma mère j’en avais oublier le monde réel, et la triste réalité qui m’attendait désormais. Dans cette nuit étoilée, où la voix lactée scintille telle une rivière de diamants les grenouilles et les crapauds chantent leur parade nuptiale, mes pensées voguent vers mes parents, où sont-ils, que font-ils pensent-ils à moi. Je n’est pas le temps de ressasser mes souvenirs, déjà Morphée cette douce et sensuelle amante vient me chercher, et dans ses bras je laisse mon être tout entier rêver . . .