Devant attendre que l'artisan marin applique le revêtement sur son navire, Shoma et les siens avaient du temps à perdre. Plus que du temps à perdre, ils avaient du temps à dépenser et en matière de dépense, Shoma était un professionnel. En bon économe, le capitaine pirate mit ses hommes à contribution. Chaque jour, les membres qui composent sont très grand équipage devaient s'en aller ramener de l'argent.
Quelle mission difficile que de trouver de l'argent sur une île peuplé de personne tout aussi cruel que soit. Ce n'était pas facile de récolter les précieux berry que souhaitait le capitaine, mais revenir sans n'était pas une chose qu'ils pouvaient se permettre également. Travailler dur pour gagner plus, en voilà une bonne phrase de libéraux.
Comment rapporter de l'argent quand on est un pirate ? Piller, extorquer, voler, jouer dans les tripots. Tout ce qui pouvait apporter de l'argent était bon. Rien ne devait être laissé au hasard, car de l'argent, ils en consommaient cette bande de chien. Chaque jour, ce sont des centaines de berrys, voir des milliers qui sont dépensés en tout genre.
Des gouffres d'argent, voilà ce qu'ils sont. Des êtres qui ne comprennent pas que l'argent n'est pas facile à obtenir. Penser que puissance et renommé équivaut forcément à richesse est une très mauvaise manière de penser. Le pire dans cette histoire, c'est que la plupart de ceux ayant rejoint Shoma pensent que les coffres d'un pirate tel que L'étoile du Sud sont sans fin.
Ont à beau être des pirates appartenant à un équipage en vogue, être sous les ordres d'un homme qui se nomme Mantle Shoma, cela ne change rien au fait que sur Shabondy rien ne se donnait. Chaque chose avait un prix sur cette île et aucune personne sensé ne donnerait son coffre et ses biens durement acquis au premier venus. Malgré tout pour entretenir un train de vie de roi à ses hommes, Shoma devait sans cesse trouver des fonds.
Tant que l'argent entrait dans les coffres de l'équipage, que cet argent était vite converti en divertissement, alcool, nourriture, armes et autre chose dont ses hommes voulaient faire l'acquisition, Shoma ne bougeait pas le petit pouce et se fichait royalement de ce qui se disait et faisait sur l'île. Ce qui importait le plus était que la mécanique qu'il avait mis en place marchait comme sur des roulettes.
Une vie sans accroc jusqu'au moment où l'artisan s'attaquerait à son navire, voilà ce que souhaitait le capitaine des Spectres.
Qu'il est bon de vivre sur Shabondy quand des centaines d'âmes s'occupent de récolter, gérer toute une vie d'équipage. Du haut de ses quartiers Shoma menait la belle vie. Ses journées se composaient d'une sieste, d'un bon petit déjeuner, d'une balade un peu partout sur l'île, d'alcool dans les tavernes, de fête à la tomber de la nuit, puis sommeil dans un bon lit. Qui ne souhaiterait pas un train de vie aussi paisible.
Si un tel train de vie pouvait être intéressant, il n'en reste pas moins que cela avait le don d'apporter de l'ennui sur les épaules du capitaine. Une vie sans problème, c'était bien, mais à la longue, quand on est habitué au mouvement, cela devient vitre chiant et lassant.
Quelle mission difficile que de trouver de l'argent sur une île peuplé de personne tout aussi cruel que soit. Ce n'était pas facile de récolter les précieux berry que souhaitait le capitaine, mais revenir sans n'était pas une chose qu'ils pouvaient se permettre également. Travailler dur pour gagner plus, en voilà une bonne phrase de libéraux.
Comment rapporter de l'argent quand on est un pirate ? Piller, extorquer, voler, jouer dans les tripots. Tout ce qui pouvait apporter de l'argent était bon. Rien ne devait être laissé au hasard, car de l'argent, ils en consommaient cette bande de chien. Chaque jour, ce sont des centaines de berrys, voir des milliers qui sont dépensés en tout genre.
Des gouffres d'argent, voilà ce qu'ils sont. Des êtres qui ne comprennent pas que l'argent n'est pas facile à obtenir. Penser que puissance et renommé équivaut forcément à richesse est une très mauvaise manière de penser. Le pire dans cette histoire, c'est que la plupart de ceux ayant rejoint Shoma pensent que les coffres d'un pirate tel que L'étoile du Sud sont sans fin.
Ont à beau être des pirates appartenant à un équipage en vogue, être sous les ordres d'un homme qui se nomme Mantle Shoma, cela ne change rien au fait que sur Shabondy rien ne se donnait. Chaque chose avait un prix sur cette île et aucune personne sensé ne donnerait son coffre et ses biens durement acquis au premier venus. Malgré tout pour entretenir un train de vie de roi à ses hommes, Shoma devait sans cesse trouver des fonds.
Tant que l'argent entrait dans les coffres de l'équipage, que cet argent était vite converti en divertissement, alcool, nourriture, armes et autre chose dont ses hommes voulaient faire l'acquisition, Shoma ne bougeait pas le petit pouce et se fichait royalement de ce qui se disait et faisait sur l'île. Ce qui importait le plus était que la mécanique qu'il avait mis en place marchait comme sur des roulettes.
Une vie sans accroc jusqu'au moment où l'artisan s'attaquerait à son navire, voilà ce que souhaitait le capitaine des Spectres.
Qu'il est bon de vivre sur Shabondy quand des centaines d'âmes s'occupent de récolter, gérer toute une vie d'équipage. Du haut de ses quartiers Shoma menait la belle vie. Ses journées se composaient d'une sieste, d'un bon petit déjeuner, d'une balade un peu partout sur l'île, d'alcool dans les tavernes, de fête à la tomber de la nuit, puis sommeil dans un bon lit. Qui ne souhaiterait pas un train de vie aussi paisible.
Si un tel train de vie pouvait être intéressant, il n'en reste pas moins que cela avait le don d'apporter de l'ennui sur les épaules du capitaine. Une vie sans problème, c'était bien, mais à la longue, quand on est habitué au mouvement, cela devient vitre chiant et lassant.