Le Théâtre. Certainement l'organisation criminelle la plus connue de Grand Line avant l'Umbra. C'est un vaste réseau de contrebande, de vol et de recels de produits volés qui s'étend sur toute la première voie et dispose de contacts sur la majeure partie de la mer de tous les périls. Le Théâtre est spécialisé dans les produits de luxe et compte dans leurs contacts énormément de personnes d'influences prêtes à tout pour acquérir des objets un peu particuliers. Le réseau doit son nom aux masques de théâtre que laissent parfois les membres comme trace de leur passage ainsi qu'a l'extrême discrétion dont ils font preuve. Loin d'être des pirates ou de simples brigands, ceux qui travaillent directement pour Iwao D. Futjisu, mon tuteur, sont des professionnels expérimentés et toujours extrêmement méticuleux, ce qui permet de maintenir un cloisonnement jusqu'ici impeccable et empêche tout démantèlement sérieux. Contrairement à bon nombre d'associations criminelles, le Théâtre ne prise guère la violence ou l'intimidation. En cas de conflit ils préféreront faire appel à des sous-traitants efficaces, comme la très mystérieuse Umbra, et dépêcher un poignard aiguisé et mortel plutôt qu'une douzaine de gros bras armés de pistolets.
Des ombres. Voilà ce que le membre du Théâtre sont. Et je compte en prendre le contrôle dans quelques temps afin d'augmenter mon pouvoir. Contrôler la première voie à l'abri des regards me donnera beaucoup plus de chance d'obtenir ce que je veux. Il me faut donc des ombres pour mes Ombres. Même si j'ai préféré prendre la voie de la piraterie, je considère que ce type de milieu est important et à prendre très au sérieux. Il est temps que le vieux laisse sa place à sa fille. Mais avant d'en arriver là, j'ai besoin de rentrer dans le Théâtre par la grande porte et ne laisser aucun indice qui pourrait me trahir. Une chose, rencontrer à nouveau mon père en passant par là va m'éviter beaucoup de problème, j'assure la confiance, je prépare mon coup de l'intérieur. Ce n'est pas une attaque frontale, car ce genre de procédé est bon à te faire rentrer le mur. Je suis prudente, réfléchie et astucieuse. Je connais les gens du Théâtre et je sais comment ils fonctionnent. Et pour ça, j'ai déjà un ticket pour voir le second d'Iwao, Miyazaki Watanabe. L'ayant déjà vu hier, ce dernier m'autorise à le revoir pour pouvoir enfin rencontrer son maître.
Me voilà à la même heure face au théâtre où Miyazaki travail pour le grand public en tant que directeur. Il se fait extrêmement tard, les derniers clients qui ont assisté à la représentation quittent le bâtiment. Il n'y a plus personne dans les rues et aux alentours de l'édifice. Le bureau du "Professeur" est fermé hermétiquement, aussi bien pour un client qui souhaiterait le voir après la pièce du soir que pour toute entrée discrète. Je suis ponctuelle. Je suis là depuis quelques minutes déjà lorsque d'un coup, la serrure cliquette. La porte s'ouvre d'elle-même. Discrète, on me laisse entrer et la même jeune fille que j'avais aperçue la veille referme derrière moi. Elle s'excuse d'une révérence, puis, elle me laisse toute seule dans le noir. Je n'aime pas ça, je fais donc attention. Au bout d'une dizaine de minutes supplémentaires, la lumière s'allume dans le bureau de Miyazaki. Enfin! C'est curieux, ça ne lui ressemble pas. Il y a peut-être anguille sous roche, je fais donc très attention à ce qu'il va arriver.
- Salut. Tu sais que ça ne se fait pas de faire attendre une femme?
Je dis ça sans réellement le penser, c'est juste pour plaisanter un peu. Il y a trop de sérieux dans cette pièce, même si notre conversation n'a pas encore débuté.
Des ombres. Voilà ce que le membre du Théâtre sont. Et je compte en prendre le contrôle dans quelques temps afin d'augmenter mon pouvoir. Contrôler la première voie à l'abri des regards me donnera beaucoup plus de chance d'obtenir ce que je veux. Il me faut donc des ombres pour mes Ombres. Même si j'ai préféré prendre la voie de la piraterie, je considère que ce type de milieu est important et à prendre très au sérieux. Il est temps que le vieux laisse sa place à sa fille. Mais avant d'en arriver là, j'ai besoin de rentrer dans le Théâtre par la grande porte et ne laisser aucun indice qui pourrait me trahir. Une chose, rencontrer à nouveau mon père en passant par là va m'éviter beaucoup de problème, j'assure la confiance, je prépare mon coup de l'intérieur. Ce n'est pas une attaque frontale, car ce genre de procédé est bon à te faire rentrer le mur. Je suis prudente, réfléchie et astucieuse. Je connais les gens du Théâtre et je sais comment ils fonctionnent. Et pour ça, j'ai déjà un ticket pour voir le second d'Iwao, Miyazaki Watanabe. L'ayant déjà vu hier, ce dernier m'autorise à le revoir pour pouvoir enfin rencontrer son maître.
Me voilà à la même heure face au théâtre où Miyazaki travail pour le grand public en tant que directeur. Il se fait extrêmement tard, les derniers clients qui ont assisté à la représentation quittent le bâtiment. Il n'y a plus personne dans les rues et aux alentours de l'édifice. Le bureau du "Professeur" est fermé hermétiquement, aussi bien pour un client qui souhaiterait le voir après la pièce du soir que pour toute entrée discrète. Je suis ponctuelle. Je suis là depuis quelques minutes déjà lorsque d'un coup, la serrure cliquette. La porte s'ouvre d'elle-même. Discrète, on me laisse entrer et la même jeune fille que j'avais aperçue la veille referme derrière moi. Elle s'excuse d'une révérence, puis, elle me laisse toute seule dans le noir. Je n'aime pas ça, je fais donc attention. Au bout d'une dizaine de minutes supplémentaires, la lumière s'allume dans le bureau de Miyazaki. Enfin! C'est curieux, ça ne lui ressemble pas. Il y a peut-être anguille sous roche, je fais donc très attention à ce qu'il va arriver.
- Salut. Tu sais que ça ne se fait pas de faire attendre une femme?
Je dis ça sans réellement le penser, c'est juste pour plaisanter un peu. Il y a trop de sérieux dans cette pièce, même si notre conversation n'a pas encore débuté.
Dernière édition par Aoi D. Nakajima le Jeu 14 Avr 2016 - 14:19, édité 1 fois