La première étape de l'aventure
Aujourd'hui le soleil frappe dur, les oiseaux sont heureux et l'expriment en chantant. Les épiciers vendent leurs produits comme ils le peuvent et les enfants courent dans les rues. Ohara est joyeuse, enfin, elle se laisse distraire pas beaucoup trop de détails.
En effet, moi je ne rigole pas, il est temps pour moi de retrouver ma fortune d'antan. Cependant, avant cela il faut que je m'arme de quelques livres. Ceux qui feront de moi l'un des hommes les plus puissants de ce monde, car le savoir fait le pouvoir. Je vais affiner mon savoir pour ensuite avoir le pouvoir. Pour cela rien de plus simple que d'aller à la grande bibliothèque d'Ohara.
Malheureusement j'ai quelques soucis, je suis complètement ruiné. Alors, j'ai longtemps déambulé sans réel but. Maintenant tout est clair et je vais redorer le nom des Shikoku.
J'avance à grands pas de la bibliothèque. En chemin un passant me bouscule, un pauvre bouseux ose se mettre au travers de mon passage, c'est un affront.
>Excuse toi immédiatement !
L'homme ne comprend pas vraiment ce que je lui dis, il s'approche alors de moi avant de répondre.
>J'ai mal entendu. La tafiole tu vas te calmer tout de suite sinon je t'éclate.
Le plus impressionnant c'est que cet homme, bien qu'il me soit de toute évidence inférieure continue à me manquer de respect.
>Je t'offre une dernière chance d'obtenir mon pardon ! C'est un honneur que je te fais là !
Visiblement très énervé par le ton que j'emplois en m'adressant à lui, il décide d'en venir à la violence. Cet homme doit me sous-estimer pour vouloir me frapper. Il lance alors son poing dans la direction de mon visage. Je parviens à l'esquiver en faisant un pas de côté. Dans le même temps, je sors mon sabre et lui assène un coup avec la garde dans l'estomac. Mon adversaire ce plie en deux et ne prête même plus attention à moi.
>Je t'avais prévenu, comment quelqu'un qui m'est aussi inférieur que toi puisse vouloir me frapper ? C'est une ineptie !
Je range alors mon arme dans son fourreau et continue à marcher comme si de rien n'était. Je peux observer de la peur dans le regard des passants. Quel sentiment délicieux que de voir les autres vous craindre.
Alors que cette petite agitation est terminée je continue mon chemin vers la grande bibliothèque. Sans problème je parviens à entrer et on me confisque mon arme. Il est vrai qu'un sabre n'est pas très adéquat pour lire des ouvrages.
Je passe d'allée en allée en espérant trouver les bouquins qu'il me faut.
Aujourd'hui le soleil frappe dur, les oiseaux sont heureux et l'expriment en chantant. Les épiciers vendent leurs produits comme ils le peuvent et les enfants courent dans les rues. Ohara est joyeuse, enfin, elle se laisse distraire pas beaucoup trop de détails.
En effet, moi je ne rigole pas, il est temps pour moi de retrouver ma fortune d'antan. Cependant, avant cela il faut que je m'arme de quelques livres. Ceux qui feront de moi l'un des hommes les plus puissants de ce monde, car le savoir fait le pouvoir. Je vais affiner mon savoir pour ensuite avoir le pouvoir. Pour cela rien de plus simple que d'aller à la grande bibliothèque d'Ohara.
Malheureusement j'ai quelques soucis, je suis complètement ruiné. Alors, j'ai longtemps déambulé sans réel but. Maintenant tout est clair et je vais redorer le nom des Shikoku.
J'avance à grands pas de la bibliothèque. En chemin un passant me bouscule, un pauvre bouseux ose se mettre au travers de mon passage, c'est un affront.
>Excuse toi immédiatement !
L'homme ne comprend pas vraiment ce que je lui dis, il s'approche alors de moi avant de répondre.
>J'ai mal entendu. La tafiole tu vas te calmer tout de suite sinon je t'éclate.
Le plus impressionnant c'est que cet homme, bien qu'il me soit de toute évidence inférieure continue à me manquer de respect.
>Je t'offre une dernière chance d'obtenir mon pardon ! C'est un honneur que je te fais là !
Visiblement très énervé par le ton que j'emplois en m'adressant à lui, il décide d'en venir à la violence. Cet homme doit me sous-estimer pour vouloir me frapper. Il lance alors son poing dans la direction de mon visage. Je parviens à l'esquiver en faisant un pas de côté. Dans le même temps, je sors mon sabre et lui assène un coup avec la garde dans l'estomac. Mon adversaire ce plie en deux et ne prête même plus attention à moi.
>Je t'avais prévenu, comment quelqu'un qui m'est aussi inférieur que toi puisse vouloir me frapper ? C'est une ineptie !
Je range alors mon arme dans son fourreau et continue à marcher comme si de rien n'était. Je peux observer de la peur dans le regard des passants. Quel sentiment délicieux que de voir les autres vous craindre.
Alors que cette petite agitation est terminée je continue mon chemin vers la grande bibliothèque. Sans problème je parviens à entrer et on me confisque mon arme. Il est vrai qu'un sabre n'est pas très adéquat pour lire des ouvrages.
Je passe d'allée en allée en espérant trouver les bouquins qu'il me faut.