Bahamut
Cela faisait près d’une semaine que Yukikurai avait quitté le Divergence pour venir en aide à la population de Clock Work. Beaucoup de choses s’étaient passées. Il avait pas mal morflé lors de son combat avec Jeff et les soins d’un vrai médecin ne seraient pas superflus. Toujours couvert des bandages que Bouly et Victor lui avait mis, il retourna sur son navire. Bien qu’il ait mal partout, il éprouva une sensation de réconfort en montant sur le navire. Ce bateau était devenu sa maison, la maison de ses compagnons. Il se sentait en sécurité sur cet amas de planche flottant. Cette sensation était étrange, car en y réfléchissant bien, il était à présent plus en sécurité sur l’ile que sur le navire.
Le retour de Yukikurai sur le navire, salement blessé, semblait être devenu une habitude et l’équipage commençait à trouver l’état du jeune homme moins inquiétant à chaque fois. Du coup, les membres d’équipage ne s’inquiétaient plus tant, de sa santé, mais plutôt de ce qu’il s’était passé sur l’ile.
« Les gras ! Moi aussi, je suis content de vous voir, mais cette fois j’aimerais recevoir des soins avant de commencer à papoter. »
« Krishna ! Ho ! Krishna tu m’entends ? Bordel, sorts de ton monde ! J’aurais besoin de tes talents. »
« Hmm ! C’est pourquoi ? Tu vois pas que je suis occupé. »
« Tu es médecin, non ? Alors j’aurais besoin que tu me soignes s’il te plait. J’ai pas mal morflé. »
« Moi, un médecin !?! Tu es pas bien dans ta tête, je suis un docteur pas un vulgaire médecin. Puis, ma spécialité, c’est pas vraiment les soins. C’est les améliorations. D’ailleurs, je suis en train de commencer à comprendre le fonctionnement de certaines parties du loup de Bulgemore. »
« Krishna, bordel. Retourne-toi quand tu me parles. Je crois que j’ai besoin de quelque suture. Puis, le loup oublie pas qui te la ramené. »
« C’est le capitaine, pourquoi ? Ho, Yuki ! Pourquoi tu ne m’as pas dit que c’était toi. D’ailleurs, pourquoi es-tu déguisé en momie ? »
« Ce n’est pas un déguisement, mais des bandage qu’on m’a mis après mon combat, pour éviter que je me vide de mon sang. »
« Ok, fait voir. Humm…
…Hum !
Bon, dans l’ensemble ça va. Les plaies son propre et peu profonde, elles vont cicatriser d’elle-même et on ne verra plus la trace. Par contre la blessure sur ton pec droit est bien dégueulasse. Je vais devoir la nettoyer, la désinfecter et la recoudre. Et tu vas en garder la cicatrice. »
Quelques heures, quelques cris, quelques injures et quelques bandages plus tard, Krishna eut fini de soigner Yuki. Ce dernier était encore couvert de nombres de bandages, mais ceux-ci étaient bien mieux fixés diminuant l’effet momie.
Trainant les pieds et encore quelque peu nauséeux de douleur, il rentra dans ce qui était auparavant la cabine du capitaine et qui maintenant commençait réellement à ressembler à un atelier. Le matériel pour construire la forge était là, dans un coin. Un ingénieur qui s’ennuyait a, semble-t-il, dessiné à la craie les emplacements de ce qu’il y avait à installer. Yuki fit le tour et se dit que c’était bien pensé comme agencement qu’il allait pouvoir commencé à maçonné sa forge et à fixer la cheminée. En fait, les scientifiques du navire avaient tous eu le temps de s’habituer au navire et de mettre au point de nouvelle chose. Il y avait du coup des dessins à la craie dans toutes les pièces. Chaque dessin demandait au minimum l’aval de leur capitaine, d’autre demandait, elle, une cale sèche et entendrait encore un certain temps.
Soudain les yeux du forgeron se posèrent sur un petit paquet qui avait été déposé sur l’enclume qu’il s’était procuré. Le paquet, emballé dans du papier brun faisait une dizaine de centimètre de côté, était fermé par une ficelle et portait une étiquette sur laquelle on pouvait lire :
Curieux, il ouvrit le paquet qui avait été déposé là à son intention. A l’intérieure, il y a avait un petit escargophone de poche bleu et deux feuilles de papiers. L’une des deux feuilles était étrange, elle était blanche, sans rien d’écrit dessus et semblait trembloter, bouger. L’autre était une lettre manuscrite.
Les joues de Yukikurai étaient rouges de honte, car ils possédaient déjà des Den Den Mushi. Il oubliait juste de faire des rapports de ce qu’ils rencontraient. Les évènements qui venait de se passer lui avait permis de comprendre certaines choses, de passer à un niveau supérieur. A présent, il allait soigner ses relations avec les autres révolutionnaires et avec les nouvelles relations qu’il se ferait. Viendrait-il de comprendre l’importance d’un bon réseau de connaissance.
Cela faisait près d’une semaine que Yukikurai avait quitté le Divergence pour venir en aide à la population de Clock Work. Beaucoup de choses s’étaient passées. Il avait pas mal morflé lors de son combat avec Jeff et les soins d’un vrai médecin ne seraient pas superflus. Toujours couvert des bandages que Bouly et Victor lui avait mis, il retourna sur son navire. Bien qu’il ait mal partout, il éprouva une sensation de réconfort en montant sur le navire. Ce bateau était devenu sa maison, la maison de ses compagnons. Il se sentait en sécurité sur cet amas de planche flottant. Cette sensation était étrange, car en y réfléchissant bien, il était à présent plus en sécurité sur l’ile que sur le navire.
Le retour de Yukikurai sur le navire, salement blessé, semblait être devenu une habitude et l’équipage commençait à trouver l’état du jeune homme moins inquiétant à chaque fois. Du coup, les membres d’équipage ne s’inquiétaient plus tant, de sa santé, mais plutôt de ce qu’il s’était passé sur l’ile.
« Les gras ! Moi aussi, je suis content de vous voir, mais cette fois j’aimerais recevoir des soins avant de commencer à papoter. »
« Krishna ! Ho ! Krishna tu m’entends ? Bordel, sorts de ton monde ! J’aurais besoin de tes talents. »
« Hmm ! C’est pourquoi ? Tu vois pas que je suis occupé. »
« Tu es médecin, non ? Alors j’aurais besoin que tu me soignes s’il te plait. J’ai pas mal morflé. »
« Moi, un médecin !?! Tu es pas bien dans ta tête, je suis un docteur pas un vulgaire médecin. Puis, ma spécialité, c’est pas vraiment les soins. C’est les améliorations. D’ailleurs, je suis en train de commencer à comprendre le fonctionnement de certaines parties du loup de Bulgemore. »
« Krishna, bordel. Retourne-toi quand tu me parles. Je crois que j’ai besoin de quelque suture. Puis, le loup oublie pas qui te la ramené. »
« C’est le capitaine, pourquoi ? Ho, Yuki ! Pourquoi tu ne m’as pas dit que c’était toi. D’ailleurs, pourquoi es-tu déguisé en momie ? »
« Ce n’est pas un déguisement, mais des bandage qu’on m’a mis après mon combat, pour éviter que je me vide de mon sang. »
« Ok, fait voir. Humm…
…Humhum…
…Hummm…
…Outch…
…Hum !
Bon, dans l’ensemble ça va. Les plaies son propre et peu profonde, elles vont cicatriser d’elle-même et on ne verra plus la trace. Par contre la blessure sur ton pec droit est bien dégueulasse. Je vais devoir la nettoyer, la désinfecter et la recoudre. Et tu vas en garder la cicatrice. »
Quelques heures, quelques cris, quelques injures et quelques bandages plus tard, Krishna eut fini de soigner Yuki. Ce dernier était encore couvert de nombres de bandages, mais ceux-ci étaient bien mieux fixés diminuant l’effet momie.
Trainant les pieds et encore quelque peu nauséeux de douleur, il rentra dans ce qui était auparavant la cabine du capitaine et qui maintenant commençait réellement à ressembler à un atelier. Le matériel pour construire la forge était là, dans un coin. Un ingénieur qui s’ennuyait a, semble-t-il, dessiné à la craie les emplacements de ce qu’il y avait à installer. Yuki fit le tour et se dit que c’était bien pensé comme agencement qu’il allait pouvoir commencé à maçonné sa forge et à fixer la cheminée. En fait, les scientifiques du navire avaient tous eu le temps de s’habituer au navire et de mettre au point de nouvelle chose. Il y avait du coup des dessins à la craie dans toutes les pièces. Chaque dessin demandait au minimum l’aval de leur capitaine, d’autre demandait, elle, une cale sèche et entendrait encore un certain temps.
Soudain les yeux du forgeron se posèrent sur un petit paquet qui avait été déposé sur l’enclume qu’il s’était procuré. Le paquet, emballé dans du papier brun faisait une dizaine de centimètre de côté, était fermé par une ficelle et portait une étiquette sur laquelle on pouvait lire :
A destination de Yukikurai
Curieux, il ouvrit le paquet qui avait été déposé là à son intention. A l’intérieure, il y a avait un petit escargophone de poche bleu et deux feuilles de papiers. L’une des deux feuilles était étrange, elle était blanche, sans rien d’écrit dessus et semblait trembloter, bouger. L’autre était une lettre manuscrite.
Yukikurai,
En tant que Cavalier de la révolution, membre de la branche développement et capitaine du Divergence, nous sollicitons votre appuis. Suite à la découverte de Levy Queen concernant une technologie de pointe oubliée. Oui, ça peut paraitre étrange, mais ça provient d’un Poneglyphe. Nous lançons le projet Bahamut dans une nouvelle phase. La deuxième feuille de papier s’appelle une Vivre Card. Elle possède la particularité de pointer en permanence vers une personne vivante, où qu’elle soit dans le monde. Celle que je vous aie envoyée, vous guidera vers Minos et donc vers l’ile des animaux.
Nous avons choisi cette ile pour construire le Bahamut. Nous sollicitons votre aide pour installer le chantier naval et une scierie au sein de la forêt. Peu importe la taille du morceau de papier, il pointera toujours dans la même direction. Vous pourrez ainsi envoyer des gens susceptible d’aider à la construction et ce quel que soit votre position sur Grand Line.
PS : Vous trouverez aussi un Den Den Mushi qui vous permettra de communiquer avec moi et avec les autres révolutionnaires, comme vous ne semblez ne pas en posséder vu qu’on n’a aucune nouvelle de vous. N’oubliez pas vous n’êtes pas seul.
En tant que Cavalier de la révolution, membre de la branche développement et capitaine du Divergence, nous sollicitons votre appuis. Suite à la découverte de Levy Queen concernant une technologie de pointe oubliée. Oui, ça peut paraitre étrange, mais ça provient d’un Poneglyphe. Nous lançons le projet Bahamut dans une nouvelle phase. La deuxième feuille de papier s’appelle une Vivre Card. Elle possède la particularité de pointer en permanence vers une personne vivante, où qu’elle soit dans le monde. Celle que je vous aie envoyée, vous guidera vers Minos et donc vers l’ile des animaux.
Nous avons choisi cette ile pour construire le Bahamut. Nous sollicitons votre aide pour installer le chantier naval et une scierie au sein de la forêt. Peu importe la taille du morceau de papier, il pointera toujours dans la même direction. Vous pourrez ainsi envoyer des gens susceptible d’aider à la construction et ce quel que soit votre position sur Grand Line.
PS : Vous trouverez aussi un Den Den Mushi qui vous permettra de communiquer avec moi et avec les autres révolutionnaires, comme vous ne semblez ne pas en posséder vu qu’on n’a aucune nouvelle de vous. N’oubliez pas vous n’êtes pas seul.
Niklas Aldo
Les joues de Yukikurai étaient rouges de honte, car ils possédaient déjà des Den Den Mushi. Il oubliait juste de faire des rapports de ce qu’ils rencontraient. Les évènements qui venait de se passer lui avait permis de comprendre certaines choses, de passer à un niveau supérieur. A présent, il allait soigner ses relations avec les autres révolutionnaires et avec les nouvelles relations qu’il se ferait. Viendrait-il de comprendre l’importance d’un bon réseau de connaissance.
Dernière édition par Yukikurai le Jeu 6 Aoû 2015 - 12:46, édité 3 fois