Le bateau tanguai comme jamais depuis le début du voyage. Les vagues frappaient la carlingue avec une telle violence qu’on aurait crus entendre une armée d’Ents exécutant une énième dernière marche… Grinçant, craquant, mais ne cédant jamais face à une puissance aussi impressionnante qu’impuissante face à tel puissance. Le navire cependant était en proie à une abattée magnifique à laquelle le pauvre timonier en uniforme ne pouvait rien faire. Les hommes s’affairaient à sauvé la cargaison, rabattre les voiles. Les affûts étaient déjà solidement attacher. De si solides canons ne devaient pas être perdu par une simple tempête aussi terrible fut-elle aux yeux de la jeune demoiselle inexpérimentée que j’étais. Mon rêve de découvrir le monde ce soldai par une morte certaine, voilà ce que je pensai à cet instant. Le vent redoubla d’effort pour prendre les soldats émérites de la Marine à leur jeux ;, Les vagues montèrent plus haut dans le lointain et sur les abords du navire. La tension était à son maximum, les muscles bandés, les esprits échauffés par la crainte et l’affairement général. Dans ce merdier pas possible, j’étais la seule sans uniforme, la seule à ne savoir que faire. J’aurai pus aussi bien descendre dans les cales du navire, me cachée au plus noir des lieux sombre qui m’étaient donné de pouvoir accéder. Terrée comme un rat inutile et craintif ? J’aurai due le faire, si je n’avais eu cette petite note de je ne sais quoi, qui m’avais dit de restée. Bien que j’étais incapable d’aider, incapable de réagir concrètement admirant la splendeur du combat d’un seul être immense contre un groupuscule de petits bons hommes. Ils étaient tous magnifiques dans leurs costumes et je m’étonnais à ressentir quelque chose d’étrange. Comme l’envie de tous les connaitre et d’en faire de proches amis… Pouvoir me blottir dans leurs bras… Un soupire étreinte mon système vocal lorsque je réalisai une chose : Tout ce qui m’entourait n’était qu’eau, et je détestai l’eau ! Oui, oui, je sais… je suis longue à la détente, mais j’aimerais vous voir, mort pendant sept ans, revenir à la vie du jour au lendemain dans un nouveau corps et contrainte à la fuite ! La mémoire en prend forcément un coups, et pas des moindres.
D’un cri strident cette fois-ci, je me retournais vers la porte que je venais de franchir, malgré le ramdam alentour j’entendis le son démoniaque du ‘clic’. La clef venait de tourner toute seule de l’intérieure ! Malédiction ! Une vague me percuta m’ébranlant en me propulsant au sol. Les vêtements trempés, les cheveux lourds et gorgés d’eau, je mis un instant à me ressaisir. Instant suffisant au bateau pour tangue à l’opposai et une bague allant dans le sens opposer pour m’écraser un peu plus sur le parterre de bois de ce maudit navire. A cet instant, j’aurai pleurée. Mes yeux devaient d’ailleurs revêtir cette apparence significative, précurseur des pleurs. Je découvrais avec désarroi, qu’il ne m’était plus possible de faire cela. Plus jamais je ne pleurerai, j’étais condamnée à souffrir sans pouvoir évacuer mes flots de souffrances. Le navire me trins-ballai comme une brindille sans vie ou volonté propre. Et je n’avais plus le cœur à lutter contre.
Soufflais-je alors. Pourquoi lui avais-je donc désobéis ? Quelle folie m’y avais conduite ? Mon dos percuta le mat, je le sentis, un choc assez dur mais je n’en ressentis aucune douleur. Ne remarquant même pas ce détail qui était un avantage certain. Je me laisser de nouveau aller au désespoir, mes paupières étaient fermées depuis que je désirai pleurer et je les rouvrais seulement, la mitaine de ma main droite était arrachée. Laissant légèrement miroité le somptueux alliage de celle-ci aux éclats lumineux provoqués par la foudre rageant le ciel comme pirate aux dents cariées.
Les mains fermées, j'appuyais sur mes poings pour me redressée. Depuis ma ‘résurrection’ ma démarche était un peu bancale, l’adaptation à ce nouveau corps était durs ceci principalement dus à sa perfection… Le fait que le bateau tangue démesurément avait contraint la plupart des marins à ce cantonner a des postes ci et là sur le navire pour ne pas avoir à aller a droites a gauche. Accrocher avec des cordes aux rembards et autres. Je devais être al seule folle à marcher, bien déterminée à trouver un moyen de me cachée de la fureur de l’eau, je passai en quelques pas rapide forcé par l’angle du navire, à coté du groupe de marin afféré au ‘sol’ à garder le mat en état. Coups de malédiction ou pas, le tonnerre laissa éclater sa fureur sur ce piquet géant l’enflammant en ce sommet et le séparant en deux parties. N’importe qui aurait prit son temps pour aider l’équipage monté sur les cordages permettant de rejoindre les vigies et points d’attaches des voiles. Moi, et bien, je me contentai d’accélérer le pas et de m’engouffrer dans la cabine VIP du trois bats. Certainement celle du capitaine, ou de quelqu’un d’important. Ou peut-être avais-je inversée celle des prisonniers importants ? Belle salle pleine de cellule, allez savoir, je m’en foutais, ce qui m’importai sur l’instant c’est que j’étais, à mes yeux, en sécurité ! Loin de l’eau, enfin, aussi loin que je pouvais l’être. Persuadée d’être seule, tombée à genoux, je regardai ma main découverte. Personne ne savait ce que j’étais ici et c’était mieux comme ca. J’avais déjà assez honte de n’être qu’un semblant de chose. Ni assez charnelle pour être humaine, ni assez robotisée pour être androïde. Juste une chose, craignant l’eau et un peu tout ce que ce monde pouvait apporter de mauvais, mais aussi de bien.
D’un cri strident cette fois-ci, je me retournais vers la porte que je venais de franchir, malgré le ramdam alentour j’entendis le son démoniaque du ‘clic’. La clef venait de tourner toute seule de l’intérieure ! Malédiction ! Une vague me percuta m’ébranlant en me propulsant au sol. Les vêtements trempés, les cheveux lourds et gorgés d’eau, je mis un instant à me ressaisir. Instant suffisant au bateau pour tangue à l’opposai et une bague allant dans le sens opposer pour m’écraser un peu plus sur le parterre de bois de ce maudit navire. A cet instant, j’aurai pleurée. Mes yeux devaient d’ailleurs revêtir cette apparence significative, précurseur des pleurs. Je découvrais avec désarroi, qu’il ne m’était plus possible de faire cela. Plus jamais je ne pleurerai, j’étais condamnée à souffrir sans pouvoir évacuer mes flots de souffrances. Le navire me trins-ballai comme une brindille sans vie ou volonté propre. Et je n’avais plus le cœur à lutter contre.
« -Désolée, Maitresse. »
Soufflais-je alors. Pourquoi lui avais-je donc désobéis ? Quelle folie m’y avais conduite ? Mon dos percuta le mat, je le sentis, un choc assez dur mais je n’en ressentis aucune douleur. Ne remarquant même pas ce détail qui était un avantage certain. Je me laisser de nouveau aller au désespoir, mes paupières étaient fermées depuis que je désirai pleurer et je les rouvrais seulement, la mitaine de ma main droite était arrachée. Laissant légèrement miroité le somptueux alliage de celle-ci aux éclats lumineux provoqués par la foudre rageant le ciel comme pirate aux dents cariées.
« -Shizune sama… Je refuse de mourir après tous vos efforts. »
Les mains fermées, j'appuyais sur mes poings pour me redressée. Depuis ma ‘résurrection’ ma démarche était un peu bancale, l’adaptation à ce nouveau corps était durs ceci principalement dus à sa perfection… Le fait que le bateau tangue démesurément avait contraint la plupart des marins à ce cantonner a des postes ci et là sur le navire pour ne pas avoir à aller a droites a gauche. Accrocher avec des cordes aux rembards et autres. Je devais être al seule folle à marcher, bien déterminée à trouver un moyen de me cachée de la fureur de l’eau, je passai en quelques pas rapide forcé par l’angle du navire, à coté du groupe de marin afféré au ‘sol’ à garder le mat en état. Coups de malédiction ou pas, le tonnerre laissa éclater sa fureur sur ce piquet géant l’enflammant en ce sommet et le séparant en deux parties. N’importe qui aurait prit son temps pour aider l’équipage monté sur les cordages permettant de rejoindre les vigies et points d’attaches des voiles. Moi, et bien, je me contentai d’accélérer le pas et de m’engouffrer dans la cabine VIP du trois bats. Certainement celle du capitaine, ou de quelqu’un d’important. Ou peut-être avais-je inversée celle des prisonniers importants ? Belle salle pleine de cellule, allez savoir, je m’en foutais, ce qui m’importai sur l’instant c’est que j’étais, à mes yeux, en sécurité ! Loin de l’eau, enfin, aussi loin que je pouvais l’être. Persuadée d’être seule, tombée à genoux, je regardai ma main découverte. Personne ne savait ce que j’étais ici et c’était mieux comme ca. J’avais déjà assez honte de n’être qu’un semblant de chose. Ni assez charnelle pour être humaine, ni assez robotisée pour être androïde. Juste une chose, craignant l’eau et un peu tout ce que ce monde pouvait apporter de mauvais, mais aussi de bien.