>> Charlie (charlotte) boyington
surnom :aucun pour l'instant Age: on ne demande pas son âge à une lady voyons !...Nah, je plaisante, j'ai 20 ans Sexe :Femme Race :une simple et mortelle humaine Métier : soldat Groupe :Marine But :Devenir un haut gradé Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : la voie des arts martiaux, ( j'en ferai un descriptif après validation ). Équipement :des vêtements confortables qui ne gênes pas mes mouvements,des bottes, des tekkôs (protège-bras ), une cotte de mailles cachée sous mes vêtement, mon uniformes de marine (en plusieurs exemplaires) et le "il faut souffrir pour être fort" ( j'en ferai un descriptif après validation ) Codes du règlement : Parrain : j'ai trouvé par moi-même Ce compte est-il un DC ? :non Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
>> Physique
Je suis une jolie blonde au long cheveux bouclés qui lui arrivent à la taille. J'ai des yeux écarlates ; et quand je dis écarlate , je parle de deux rubis sanglants qui attire facilement l'attention si bien que je porte souvent des lunettes de soleil même en pleine nuit afin de les cacher (et aussi de les entraîner; un truc pour avoir la vue qui perce ). Je ne les enlève que pour draguer ou quand je suis avec des proches...Ou me faire obéir. Oui on ma dit qu'il était perçants. Moi je trouve pas ( ils peuvent même jeter un regard très doux quand je le veut bien ) mais bon ça doit être vrai car dès que je regarde un peu méchamment quelqu'un il est rapidement mal à l'aise et éprouve beaucoup de mal à soutenir mon regard. En fait je n'ai jamais trouvé quelqu'un qui y arrive (a part mon père mais lui il triche : il a dû supporter ceux de maman, il a eu le temps de s'entraîner ; enfin c'est ma théorie pour expliquer ce phénomène ; il paraît que j'ai ses yeux. Oui, il paraît ; quand elle est morte, j'étais trop jeune pour me souvenir d'elle) ; ils finissent tous par baisser les yeux. Cela me faisait triper quand j'étais gosse ; j'étais la championne de combat de regard et je défiait tout les autres enfants de me battre... Jusqu’à ce que je commence à défier les adultes et je les saoulait tellement que papa a dû intervenir...Mais je m'écarte du sujet, passons à autre chose d'ac ? Comme heuuu...mon corps! Un mètre soixante deux pour soixante cinq kilos tout mouillés je suis ce suis ce qu'on pourrait appeler un poids plume. Mais ne vous faites pas d'illusion : je suis loin d'être une demoiselle en détresse. Ne dit-on pas que la plume est plus forte que l'épée ? Et là la plume pèse assez lourd pour vous briser le crâne comme un œuf (un marteau de maçonnerie ne pèse "que" vingt kilos je vous rappelle). D'ailleurs vous savez qui pesait soixante kilos ? Bruce-lee. D'ailleurs lui et moi avons le même gabarit et la même musculature le joli sourire et la belle paire de miches en plus (ce qui n'est pas un désavantage ; et je ne parle pas des "bricolages" que j'ai fait à mon corps ) . Oui ,sous mes vêtements cela na se voit pas mais je suis suis plutôt musclée (sans aller dans le body building et les stéroïdes ; cela je laisse pour ce qui aiment se la péter avec des muscles inutiles. Moi je préfère efficacité, la discrétion et l'effet de surprise). Sinon quand je ne porte pas mon uniforme de marin; je portes toujours des vêtements confortables et discrets sans êtres moches pour me faire oublier ou remarquer sur commande, et surtout pour pouvoir me battre sans aucune gène.
>> Psychologie
Je suis quelqu'un de sympathique , de chaleureux et d'espiègle. Du genre qui vous pousse à l'eau pour vous apprendre à nager (en faisant attention à ce que vous vous noyez pas ). Qui que vous soyez, pour peu que j'y travaille vous deviendrez rapidement mon ami que vous le vouliez ou non : Rares sont ceux qu peuvent résister à cette chaleur naturelle que je dégage surtout si elle s'accompagne d'un sourire et d'un peu d'humour. Et je ne trahis jamais mes amis ; même si je dois en mourir . Quand a mes proches Ils pourront toujours compter sur moi en toutes circonstances, je met un point d'honneur a rester quelqu'un de fiable, d'attentif et de généreux envers eux .
J'avoue néanmoins avoir quelque défauts; et ceux-ci sont à la fois ma plus grande force et ma plus grande faiblesse. Je suis quelqu'un de de têtu , d'opiniâtre même ; bref une vrai tête de mule. Je me bat, et me battrait toujours pour ce que je crois juste. Le fait de me battre pour la justice, d'être assez forte pour le faire ou d'inspirer des personnes pour qu'elle le fassent à leur tour ( même si elles sont ou deviennent plus fortes que moi) est la source de ma fierté. Et de la fierté j'en ai beaucoup (au passage ne m'appelez JAMAIS Charlotte ) ; trop même si j'ai mis le temps pour l'admettre. Oui parce que jouer les justicières c'est courageux dirait certains ; très téméraire dirait d'autres ou très stupide dirait certains pas très sympa. Mais en tout cas cela apporte plein de problèmes. Et le fait est que s'attirer des problèmes de par son propre fait, c'est très stupide effectivement. Tout le monde n'a pas la même vision de la justice et certains s'en foutent complètement mais malheureusement s'il ont suffisamment de puissance d'une manière ou d'une autre on ne peut rien contre eux ; et ces personnes me l'on fait bien comprendre. Une leçon dure mais nécessaire. Ces ordures m'ont appris que la justice du plus fort est la justice qui règne sur le monde ; mais en y réfléchissant il y a une chose que j'ai comprise toute seule : si je deviens assez forte je pourrait imposer ma justice.
La justice, ça se construit.
Il y a aussi autre chose qu'ils m'ont appris : a me servir de ma tête. Cela paraît con mais être malin cela s'apprend ; et ce peut être la source d'une grande force. En tout cas cela permet de résoudre pas mal de problèmes ou d'en éviter : pile ce que j'avais besoin. Je suis donc devenue une experte pour trouver des faille chez mes adversaires et les exploiter.je suis même devenue championne de poker. Cela correspondait assez à ma définition de "malin" et surtout c'était ma meilleure piste pour le devenir . Après tout , en art martiaux l'idée de lire dans son adversaire est une idée qui revient souvent.
Et je n'ai jamais perdu ma fierté ou mes idéaux. Je ne me suis jamais laissée marcher dessus : je me bas juste par des moyens détourné quand c'est nécessaire (ce qui est très dangereux de la part de quelqu'un qui comme moi est très mauvais perdant et a la rancune tenace). Car le combat c'est ma passion, c'est toute ma vie : que se soit contre l'injustice ou contre ma propre faiblesse ; je suis une artiste martiale corps et âme. Je refuse rarement un bon combat, un pari ou un défi . Et je ne cesserait jamais de m'en imposer des défis , comme de m’entraîner ou d'apprendre, bref de me surpasser. Et je souhaite que mon combat en inspire d'autres qui comme moi qui rêvent d'un monde meilleur. Si la justice se construit elle sera plus solide si on est plusieurs maçons dessus
J'avoue néanmoins avoir quelque défauts; et ceux-ci sont à la fois ma plus grande force et ma plus grande faiblesse. Je suis quelqu'un de de têtu , d'opiniâtre même ; bref une vrai tête de mule. Je me bat, et me battrait toujours pour ce que je crois juste. Le fait de me battre pour la justice, d'être assez forte pour le faire ou d'inspirer des personnes pour qu'elle le fassent à leur tour ( même si elles sont ou deviennent plus fortes que moi) est la source de ma fierté. Et de la fierté j'en ai beaucoup (au passage ne m'appelez JAMAIS Charlotte ) ; trop même si j'ai mis le temps pour l'admettre. Oui parce que jouer les justicières c'est courageux dirait certains ; très téméraire dirait d'autres ou très stupide dirait certains pas très sympa. Mais en tout cas cela apporte plein de problèmes. Et le fait est que s'attirer des problèmes de par son propre fait, c'est très stupide effectivement. Tout le monde n'a pas la même vision de la justice et certains s'en foutent complètement mais malheureusement s'il ont suffisamment de puissance d'une manière ou d'une autre on ne peut rien contre eux ; et ces personnes me l'on fait bien comprendre. Une leçon dure mais nécessaire. Ces ordures m'ont appris que la justice du plus fort est la justice qui règne sur le monde ; mais en y réfléchissant il y a une chose que j'ai comprise toute seule : si je deviens assez forte je pourrait imposer ma justice.
La justice, ça se construit.
Il y a aussi autre chose qu'ils m'ont appris : a me servir de ma tête. Cela paraît con mais être malin cela s'apprend ; et ce peut être la source d'une grande force. En tout cas cela permet de résoudre pas mal de problèmes ou d'en éviter : pile ce que j'avais besoin. Je suis donc devenue une experte pour trouver des faille chez mes adversaires et les exploiter.je suis même devenue championne de poker. Cela correspondait assez à ma définition de "malin" et surtout c'était ma meilleure piste pour le devenir . Après tout , en art martiaux l'idée de lire dans son adversaire est une idée qui revient souvent.
Et je n'ai jamais perdu ma fierté ou mes idéaux. Je ne me suis jamais laissée marcher dessus : je me bas juste par des moyens détourné quand c'est nécessaire (ce qui est très dangereux de la part de quelqu'un qui comme moi est très mauvais perdant et a la rancune tenace). Car le combat c'est ma passion, c'est toute ma vie : que se soit contre l'injustice ou contre ma propre faiblesse ; je suis une artiste martiale corps et âme. Je refuse rarement un bon combat, un pari ou un défi . Et je ne cesserait jamais de m'en imposer des défis , comme de m’entraîner ou d'apprendre, bref de me surpasser. Et je souhaite que mon combat en inspire d'autres qui comme moi qui rêvent d'un monde meilleur. Si la justice se construit elle sera plus solide si on est plusieurs maçons dessus
>> Biographie
Je ne peut parler de mon histoire sans évoquer celle de mon père : Graham "kensei" Boyington. Oui le chasseur de prime ; enfin ex-chasseur de prime. Si vous ne connaissez pas son nom
je ne vous en veut pas : il était connu mais c'était y'a plus de 20 ans. Pour vous la faire courte il est né au royaume de luvneel à north blue et à grandit là-bas. Il a appris les arts martiaux dans un vieux dojo décrépit , le dôjo miyagi et devint chasseur de primes. Après s'être fait une petite fortune et une grosse réputation sur Grand Line il rencontra ma mère ; Yachiru, l'amour de sa vie. Il l'épousa, retourna sur sa terre natale et racheta le dôjo miyagi. Je suis née un ans plus tard. L'endroit semblait idéal : il était assez sûr pour m'élever et juste à coté se trouvait Luvneelpraad, qui était devenue un véritable nid à criminel de toutes sortes depuis un raz-de-marée en 1600 : autant dire qu' avec sa réputation, entre les marines et les chasseur de primes, papa n'avait pas de mal a trouver des disciples qui eux-mêmes n'avaient pas de mal à trouver le financement pour leur formation. j'ai vécu une enfance plus ou moins normale jusqu'au jour ou un vieil ennemi de mon père a fini par le retrouver. J’étais trop jeune pour me souvenir de ce qui c'est passé mais je sais que maman est morte se jour là. Mon père en a eu le cœur brisé. C'est là qu'il a décidé de m'enseigner tout ce qu'il sait : il pensait que sa réputation le suivrait ou qu'il aille et il voulait être sûr que si cela devait se reproduire je je pourrait me défendre...L'ennui c'est aussi à ce moment là qu'il à commencé à me surprotéger, mais bon, je peut pas vraiment lui en vouloir ; et puis ma vie au dôjo était une période très heureuse : les disciples de papa étaient comme autant de grands frères pour moi (et sans eux papa aurait construit un véritable bunker autour de moi ). Ce qu'il n'avait pas prévu , c'est que je sois douée pour les art martiaux ; très douée même. J'ai combattu de de nombreux et très variés adversaires et un mot ne cessait de revenir à leurs bouches : prodige. J'ai rapidement surpassé mes "grand frères", les aidant de temps a autres à gérer un pirate un peu trop coriace. J'aurais probablement repris le dôjo si je ne m'était pas embrouillée avec la mafia. Faut dire que si j'ai peu connu ma mère ; j'en ai pas moins souffert de son absence; et à 15 ans j'avais du mal à gérer les injustices, la faute à ma foutu fierté . Autant dire que que les pirates qui passaient faisaient souvent office de punching-ball. Faut dire que cela avait le mérite de m'entraîner et de me faire gagner en expérience. Je faisait aussi des combat clandestins pour gagner mon argent de poche (mais cela de le dites pas à papa). Le truc c'est que je pensait pouvoir gérer les mafieux comme les pirates. Grosse erreur : j'ai connu face à eux mes plus cuisantes défaites et je suis passés plusieurs fois bien trop près de la mort. Qu'est-ce que vous voulez que je vous dises ? Quand on est jeune on est con ; et surtout irresponsable. Lorsque c'est devenus trop malsain ; papa et moi on a discuté et nous avons décidé que j’étais assez forte pour entrer dans la marine et que dedans je serait à l'abri des gangs locaux. En plus je voulais voyager et je me disait qu'au moins si je devenais un gradé cela rabattra le caquet de tout ceux qui m'ont dit que les femmes et les arts martiaux c'était pas compatible et surtout que j'aurais assez d'influence pour nettoyer la pourriture de cette île .
Le lendemain je me pointais à la base locale avec une prime de 10 millions. Nan pas sur ma tête ! Sur celle d'un pirate assommé le matin même qu je je trainais derrière moi; d'ailleurs je me souviendrais toujours de ce moment : je suis entré dans la base en demandant ou est l’accueil. Croyant avoir affaire à un chasseur de prime ils m'ont gentiment indiqué la direction. Je me suis donc dirigé jusqu’au lieu indiqué et le gars qui gérait l’accueil m'a interpellée :
-bonjour c'est pour une prime ?
-non , je ne suis pas chasseur de primes. Je suis venus donner des informations pour aider à la capture d'un dangereux groupe de criminels : Cévée (avec un nom pareil je pouvais pas le rater) "la gingne" capitaine des pirates maudits ( aller savoir pourquoi ils s'appellent comme ça ; les marins sont superstitieux, peut-être qu'ils espéraient qu'en cumulant assez de mauvais signes le le mauvais sort s'annulerait ) et tout son équipage. Le capitaine Cévée est sur cette îleje ne vous en veut pas : il était connu mais c'était y'a plus de 20 ans. Pour vous la faire courte il est né au royaume de luvneel à north blue et à grandit là-bas. Il a appris les arts martiaux dans un vieux dojo décrépit , le dôjo miyagi et devint chasseur de primes. Après s'être fait une petite fortune et une grosse réputation sur Grand Line il rencontra ma mère ; Yachiru, l'amour de sa vie. Il l'épousa, retourna sur sa terre natale et racheta le dôjo miyagi. Je suis née un ans plus tard. L'endroit semblait idéal : il était assez sûr pour m'élever et juste à coté se trouvait Luvneelpraad, qui était devenue un véritable nid à criminel de toutes sortes depuis un raz-de-marée en 1600 : autant dire qu' avec sa réputation, entre les marines et les chasseur de primes, papa n'avait pas de mal a trouver des disciples qui eux-mêmes n'avaient pas de mal à trouver le financement pour leur formation. j'ai vécu une enfance plus ou moins normale jusqu'au jour ou un vieil ennemi de mon père a fini par le retrouver. J’étais trop jeune pour me souvenir de ce qui c'est passé mais je sais que maman est morte se jour là. Mon père en a eu le cœur brisé. C'est là qu'il a décidé de m'enseigner tout ce qu'il sait : il pensait que sa réputation le suivrait ou qu'il aille et il voulait être sûr que si cela devait se reproduire je je pourrait me défendre...L'ennui c'est aussi à ce moment là qu'il à commencé à me surprotéger, mais bon, je peut pas vraiment lui en vouloir ; et puis ma vie au dôjo était une période très heureuse : les disciples de papa étaient comme autant de grands frères pour moi (et sans eux papa aurait construit un véritable bunker autour de moi ). Ce qu'il n'avait pas prévu , c'est que je sois douée pour les art martiaux ; très douée même. J'ai combattu de de nombreux et très variés adversaires et un mot ne cessait de revenir à leurs bouches : prodige. J'ai rapidement surpassé mes "grand frères", les aidant de temps a autres à gérer un pirate un peu trop coriace. J'aurais probablement repris le dôjo si je ne m'était pas embrouillée avec la mafia. Faut dire que si j'ai peu connu ma mère ; j'en ai pas moins souffert de son absence; et à 15 ans j'avais du mal à gérer les injustices, la faute à ma foutu fierté . Autant dire que que les pirates qui passaient faisaient souvent office de punching-ball. Faut dire que cela avait le mérite de m'entraîner et de me faire gagner en expérience. Je faisait aussi des combat clandestins pour gagner mon argent de poche (mais cela de le dites pas à papa). Le truc c'est que je pensait pouvoir gérer les mafieux comme les pirates. Grosse erreur : j'ai connu face à eux mes plus cuisantes défaites et je suis passés plusieurs fois bien trop près de la mort. Qu'est-ce que vous voulez que je vous dises ? Quand on est jeune on est con ; et surtout irresponsable. Lorsque c'est devenus trop malsain ; papa et moi on a discuté et nous avons décidé que j’étais assez forte pour entrer dans la marine et que dedans je serait à l'abri des gangs locaux. En plus je voulais voyager et je me disait qu'au moins si je devenais un gradé cela rabattra le caquet de tout ceux qui m'ont dit que les femmes et les arts martiaux c'était pas compatible et surtout que j'aurais assez d'influence pour nettoyer la pourriture de cette île .
Le lendemain je me pointais à la base locale avec une prime de 10 millions. Nan pas sur ma tête ! Sur celle d'un pirate assommé le matin même qu je je trainais derrière moi; d'ailleurs je me souviendrais toujours de ce moment : je suis entré dans la base en demandant ou est l’accueil. Croyant avoir affaire à un chasseur de prime ils m'ont gentiment indiqué la direction. Je me suis donc dirigé jusqu’au lieu indiqué et le gars qui gérait l’accueil m'a interpellée :
-bonjour c'est pour une prime ?
dans votre base , plus précisément à l’accueil, juste à coté de moi et son équipage est ligoté sur leur navire au quai numéro 5 à Luvneelpraad ; vous savez après l'entrepôt "pacificateur"...
Le gars m'a regardé avec le plus magnifique air ahuri qu'il m'eut été donné de voir, c'était adorable. Il devait se demander ce qui était le plus probable : que je soit folle ou qu'on se foute de lui ; Je lui donna gentiment la réponse ; histoire de mettre fin à ses souffrances :
-au fait je me nomme Charlotte Boyington; appelez moi Charlie. Je souhaite m'engager dans la marine. J'ai un CV ( le papier pas le gars ) et une lettre de motivation.[/b]
après cela le mec a appelé quelques gars gars pour s'occuper de mes "informations" et un type est venu me parler de mon recrutement. Le lendemain je prenais la mer pour suivre une formation au G-6. Je me suis bien amusée là-bas ; il faut dire qu'avec mes compétences la formation de base de soldat de la marine était plus qu'anecdotique. J'ai même trouvé le temps de me former en autodidacte pour passer le concours afin d'être officier. Bon j'ai reçu un peu d'aide de la part des officier avec lesquels je m'entendait bien. Surtout le colonel Greg "pépé" Spitfire, un homme que je respecte immensément.
Grâce à lui j'ai passé le concours avec mention. Et je sert aujourd’hui sous ses ordres.
>> Test RP
Des fois la vie vous réserve de drôles de surprises.
Par exemple je rentre dans la marine pour fuir une ville pleine de mafieux très remontés. Et deviner ou on m'envoie en mission ?
Bingo. Bon retour à Luvnelpraad. Pépé est pourtant au courant que je doit éviter de montrer mes fesses ici! Ce doit être le bizutage des nouveaux officier. D'ailleurs c'est aujourd'hui ma première mission en tant que tel. C'est d’ailleurs pour cela qui je suis ici avec les autres officiers. Il nous briefe sur la mission d’aujourd’hui : pas mal de pirates se sont pointés sur l'île en même temps récemment ; du coup les gars de la base locale nous on demandé en renfort. En fait c'est normal : tout les ans à l'occasion de "l'anniversaire" de la nuit des longues battes, les différents chefs de la pègre font une trêve et se réunissent, histoire de faire le point sur des questions qui les concernent tous. Du coup ils recrutent des mercenaires un peu partout des fois que on voudrait prendre leur têtes ( j'ai même pensé à foutre du poison dans leurs assiettes et faire accuser les autres gangs , juste pour avoir le plaisir de les voir s'entre-déchirer, mais bon, non seulement cela n'aurait rien résolu, le vainqueur n'ayant juste qu'à reprendre le commerce des autres pour que tout recommence, mais en plus dans le bain de sang, y'aurait forcément de victimes innocentes qui se serait retrouvées au mauvais endroit au mauvais moment. ). Ils font aussi ça pour montrer au autres que c'est eux qui ont la plus grosse. Ce qui signifie donc une paye facile pour les "mercenaires" , généralement des pirates. D'ailleurs les familles préfèrent la qualité à la quantité et n'engagent que les plus grosse pointures de North Blue. Et ce pour deux raisons : d'une, avoir une bande de loups de mer craints de tous comme chien de garde, ça claque (quand je vous disait qui à la plus grosse je parlait des primes de ces forbans...Mais effectivement il cherchent à savoir qui a la plus grosse, dans tout les sens du terme ). L'autre c'est que la première fois elles ont recruté tout ceux qu'elle pouvaient ; du coup le royaume s'est retrouvé inondé de pirates, et les pirates, ça fait du grabuge. A tel point que ça a failli obliger la marine à réagir. Craignant le coup de filet , la mafia a ouvert grand les robinet à pot-de vins pour s'en sortir, ce qui les a probablement sauvé. Après cela ils ont pris des dispositions pour éviter que cela se reproduise, l'une d'elle étant de ne pas couvrir les pirates qui se font remarquer.
Bref aujourd’hui on allait patrouiller. Je fait rassembler mes hommes le temps de préparer un joli discours,
autant commencer sur de bonnes bases. Une fois qu'ils ils sont tous en rang, je commence :
"-Bon les gars moi je suis Charlie Boyington et je serait celle qui vous donnera vos ordres pour la mission d'aujourd'hui.
-Tch...
Qui ose m'interrompre ? Je me tourne vers la source du bruit et je vit un type, cheveux châtains, yeux noirs, mâchoire carrée et taillé comme une armoire à glace. Je m'attendait à ce genre de réaction, faut dire que je suis une femme qui est passée officier en un temps record et qui a de bon contacts avec le colonel. Cela fait trois bonnes raisons pour ne pas me louper. N'empêche que si on me cherche on me trouve. Pire : c'est Pépé qui m'a fait officier et si je peut admettre qu'on conteste mon autorité, pour
le vieux c'est une autre histoire. Une bonne raison pour moi de ne pas le rater.
Je plante alors mon regard dans le sien.
-Un problème soldat ?
Il essaye de le soutenir mais baisse les yeux. Ce truc marche à tout les coups !
-Aucun madame.
Je souris, satisfaite ; puis je continue:
-Appeler-moi par mon grade ou "sir" (bah oui, je suis trop jeune pour être une madame). Notre boulot va être de patrouiller dans la ville et arrêter les pirates qui font du grabuge. Mon boulot, lui c'est de m'assurer que vous fassiez le vôtre et que vous reveniez en vie.
Vous vous diviserez donc en patrouilles de vingt personne et chaque patrouille prendra une zone de la ville à surveiller et un den-den muchi au cas ou vous auriez besoin de renforts. Des questions ?
Apparemment non vu qu'ils appliquent les ordres sans rechigner. Une fois les patrouilles en place; je repère l'emmerdeur de tout-à-l'heure puis j'annonce à sa patrouille :
-Je prendrait personnellement la tête de votre groupe. Allons-y.
Parfait. Comme ça l'autre tâche pourra me voir à l’œuvre. Pas la peine de soupirer coco ! C'est moi la patronne que tu le veuille ou non. Et puis je me dit qu'avec la cohorte de marine qui me suivent, au moins si on me reconnaît, on y pensera à de fois avant de venir me chercher des poux.
La journée passe tranquillement...Trop tranquillement. J'ai même pris de temps de constater que Luvneelpraad était aussi délabrée que d'habitude. Pas faute d'avoir fait le tour des bars et autres tripots que je connaissait. D'habitude, y'a toujours au moins un équipage qui fout le boxon malgré l'interdiction des familles ; mais là , chou blanc. C'est pas comme ça que je vais prouver à mes hommes et à Pépé que je mérite mes gallons! J'allais demander à ce qu'on rentre quand j’entendis un coup de feu suivi par un cri. Alléluia un meurtre enfin! J'en aurait presque sauté de joie ( psycho moi ? Naaan...A peine.). Mais je m'abstins. Manquerait plus qu'on me croit folle. Cela venait d'un bar miteux juste à coté. Cela se voyait au clients qui sortaient en trombe. Très sérieusement me retourne vers mes hommes :
bon, les gars , y'en a dix qui qui se postent devant la porte d'entrée, les autres , avec moi , on prend la porte arrière. Quand je crie tirer!, vous débouler dans la salle et tirer sur tout ce qui est une menace, quand je crie charger, vous dégainez et vous rushez sur tout ce qui est une menace. c'est pigé ?
-Yes sir !
Bien. Comme convenu je contourne le bâtiment, entre par l'arrière et aboutit dans une cuisine. Puis un cri : ALORS ELLE VIENT CETTE BOUFFE!
La-dessus une serveuse, qui devait avoir a peine 14 ans entre en chialant; Je la stoppe et lui demande :
-bon, y se passe quoi ici ?
Affolée, elle bégaye:
-O-on reçoit s-souvent des p-pirates co-comme clients. d'habitude ils se t-tiennent relativement bien mais là, je sais pas ; l'un d'eux s'est d-disputé avec un client, puis il lui a t-tiré dessus.En suite il a commandé des tas de choses.
Pauvre gosse, elle doit avoir eu le peur de sa vie. Je lui fait un sourire rassurant et lui demande d'une voix douce :
-Comment tu t'appelle gamine ?
- Chinazu madame
Madame !? Mais j'ai a peine 20 ans Grrrrr! Bon on se calme, la gamine est bien choquée, elle ne sait pas trop ce qu'elle dit. Enfin c'est ce que je préfère croire. Ne montrant pas mon conflit intérieur, je continue imperturbable:
Chinazu ? C'est joli, ça te va bien. Moi je suis Charlie ; mes gars et moi, on est de la marine, on va prendre les chose en main ; tu n'a plus rien a craindre . Il faudrait juste que tu fasse un truc pour nous : tu vas nous dire de mémoire combien il y a de pirates, comment ils sont armés et ou ils se trouvent dans la salle. Tu peut faire ça pour nous ?
La gamine, un peu rassurée se calme sèche ses larmes et me réponds :
Okay, je vais essayer.
Heureusement la gamine a bonne mémoire. Elle nous donna un véritable rapport complet de l'état des lieux. Un plan germa dans ma tête , j'enlève mon uniforme et mes lunettes et je lui dit :
Merci , tu as été très courageuse. Tu sais quoi Chinazu ? tu va me donner ton tablier, c'est moi qui va servir. Vous les gars vous faîtes comme les autres de l'autre côté , vous attendez mon signal. Et que quelqu'un aille dire au autres l'état des forces ennemies. J'ai un plan.
Mon déguisement prêt, je prend le plateau e me dirige vers un pistolero. Je fait exprès de chuter et de tout renverser sur sa chemise avec un "hyaah !" du plus bel effet. Le gars se relève, furieux:
RAAAH! NON MAIS QUELLE CONNE ! MA CHEMISE TOUT NEUVE!
Il se tourne vers moi pendant que je me recroqueville , jouant les apeurées (tout en me mettant en place pour cogner bien comme il faut).
Et comme prévu cet animal en profite. Avec un grand sourire il me sort
Tu sais que cette chemise est très chère ? il va falloir me rembourser...
et il éclate d'un rire gras, suivi par ses collègues. Voyant que j'ai fait mouche, je continue avec ma voie la plus plaintive :
Non...s'il vous plaît...
Allez ; pour tes beaux yeux...Juste un petit bisou et on oublie ça...je te ferais pas de mal...je te jure...
"Juste un petit bisou", tu crois vraiment que quelqu'un de sensé goberait ça ? Surtout avec ta tête de dégénéré? T'est encore plus atteint que je pensait mon pauvre ! Je tend alors mes lèvres; toujours recroquevillée. Il ne pourra pas résister. d'ailleurs il est déjà là à se pencher pour m'embrasser, ravi de cueillir une si jolie fleur . Mais les plus belles roses on des épines, et il va l'apprendre à ses dépends vu comme il me présente sa tête sur un plateau d'argent. Ne pouvant plus me retenir je lui sort avec mon sourire le plus carnassier et un clin d’œil :
Naaante ne* !
La dessus, mon corps se détend d'un coup dans un formidable uppercut au menton qui l'envoie s'encastrer au plafond ou il reste accroché, inerte.
Let's roll !
sans laisser le temps aux autres de réagir je balance le plateau comme un frisbee à la tête d'un deuxième avec un fusil et fonce sur un troisième. Il tente de dégainer son flingue mais je met mon pied dessus avant et prend appui pour faire un salto tout en lui donnant un coup de pied sous le menton ; et le voilà qui rejoint son copain dans les combles.
pendant ce temps-là les autres avaient réagi :
MAIS C'EST QUI CETTE FOLLE ?! BUTEZ-LA !!!
Et les voilà qui sortent leurs guns pour me plomber; Je pare deux-trois bastos avec mes tekkôs et atterris sur une table, la renverse pour servir de barricade, atterrit en grand écart facial derrière et m'étale de tout mon long pendant que les balles filent au dessus de moi, traversant le bois. Et au bout d'un moment plus de coup de feu, mais les cliquetis caractéristique d'armes déchargées avec lesquelles on essaie de tirer. Ces imbéciles étaient encore plus débiles que je l'avait prévu : ils avait vidés leur chargeurs.
C'est bon, on l'a eu ?
Désolée mais...nan. Je me retourne et leur balance la table dessus avec un grand coup de latte, me remet sur mes pieds en relevé de carpe et leur rentre dedans en gueulant :
CHARGEZ !!!!
La-dessus, dans un formidable cri de guerre, tout mes gusses se ramènent sabre au poing et prennent les pirates en sandwich.
Et là, mêlée générale. j'écrase le crâne d'un mec avec mes coude, le ceinture et le lève bien haut pour le jeter sur un autre. Je décale le sabre d'un type qui m'attaque avec ma main et laisse le gusse avancer pris par son élan,puis lui colle un coude retourné dans la nuque. Et ainsi de suite jusqu'au moment ou je voie un gros mastaba avec une claymore tenter de découper l'autre emmerdeur de tout à l'heure avec un coup horizontal. Ni une-ni deux je le pousse hors de danger...et me prend le coup. Aïe!
Même en me décalant, il est quand même arrivé à me faire une sacrée plaie à travers ma cotte de mailles (fais chier je vais encore devoir la faire réparer ). Du genre de celle ou vous êtes censé agoniser ; une chance que je sache faire remonter mes organes internes dans ma cage thoracique, sinon il aurait repeint le parquet avec mes tripes.
D'ailleurs il tente de remettre ça, histoire de m'achever.
J'esquive par une roulade sous sa lame et lui cogne dans les partie avec mes bottes. Vu comme il se replie, ça a du faire mal. Et ça a le mérite de lui faire laisser une ouverture sous le menton.
Je me replie en chandelle et me détend d'un coup pour lui coller mes talons dans la mâchoire. Et de trois lustres ! C'est ce qui s'appelle crever le plafond !
Je me relève et constate que la baston est terminée et qu'on est les vainqueurs. Je demande alors, en pressant ma plaie avec mon bras :
Y'a des blessés ?
C'est chieur qui me réponds :
juste vous sir, a part quelques égratignures...vous...vous m'avez sauvé la vie. Merci
T'en fait pas coco ! C'est moins moche que ça en a l'air. Et ne me remercie pas : je te l'ai dit non ? Mon boulot, c'est de faire en sorte que tous rentrent en vie au bercail. Y compris ceux qui m'ont dans le nez.
La dessus il baisse les yeux, honteux mais je n'en est pas fini :
mais tout le monde mérite une seconde chance ; je suis sûre que t'a bon fond. Alors si tu veut bien on recommence tout à zéro. Moi c'est Charlie Boyington. Tu veut biens prendre le den-den mushi et dire au autres patrouilles de rentrer à la base, et à la base de faire chauffer les médecins ?
Je lui souris et il me rendit son sourire. Puis il me salue :
Aye sir !
Bon, tout le monde ! Ligoter les pirates en vie et ramasser les morts. Oublier pas de leur faire les premiers soins. On rentre à la base.
Yes sir !
* nante ne = je plaisante / je rigole / je déconne en japonais
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Informations IRL
Prénom :thibault
Age :18 ans
Aime : la littérature scientifique
N'aime pas : le langage sms
Personnage préféré de One Piece : luffy
Caractère : calme , sociable, attentif, créatif
Fait du RP depuis : a jamais fait de RP
Disponibilité approximative : un peut tout les soirs
j'ai trouvé moi-même en cherchant un forum rpg intéressant
Quand vous estimez avoir terminé vos descriptions et votre biographie, signalez-le par un nouveau message et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous-titre de votre présentation par la mention [En attente de Test RP]. Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs ne vous loupent (ce qui n’arrive pas très souvent).
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Napoléon à dit :- "un vrai chef n'a pas besoin de se retourner pour savoir que ses hommes le suivent"
-"un bon dessin vaut mieux qu'un long discours".
Un bon ami va vous voir en prison. Votre meilleur ami est dans la cellule d'à coté et vous dis que cela valait le coup.
Par exemple je rentre dans la marine pour fuir une ville pleine de mafieux très remontés. Et deviner ou on m'envoie en mission ?
Bingo. Bon retour à Luvnelpraad. Pépé est pourtant au courant que je doit éviter de montrer mes fesses ici! Ce doit être le bizutage des nouveaux officier. D'ailleurs c'est aujourd'hui ma première mission en tant que tel. C'est d’ailleurs pour cela qui je suis ici avec les autres officiers. Il nous briefe sur la mission d’aujourd’hui : pas mal de pirates se sont pointés sur l'île en même temps récemment ; du coup les gars de la base locale nous on demandé en renfort. En fait c'est normal : tout les ans à l'occasion de "l'anniversaire" de la nuit des longues battes, les différents chefs de la pègre font une trêve et se réunissent, histoire de faire le point sur des questions qui les concernent tous. Du coup ils recrutent des mercenaires un peu partout des fois que on voudrait prendre leur têtes ( j'ai même pensé à foutre du poison dans leurs assiettes et faire accuser les autres gangs , juste pour avoir le plaisir de les voir s'entre-déchirer, mais bon, non seulement cela n'aurait rien résolu, le vainqueur n'ayant juste qu'à reprendre le commerce des autres pour que tout recommence, mais en plus dans le bain de sang, y'aurait forcément de victimes innocentes qui se serait retrouvées au mauvais endroit au mauvais moment. ). Ils font aussi ça pour montrer au autres que c'est eux qui ont la plus grosse. Ce qui signifie donc une paye facile pour les "mercenaires" , généralement des pirates. D'ailleurs les familles préfèrent la qualité à la quantité et n'engagent que les plus grosse pointures de North Blue. Et ce pour deux raisons : d'une, avoir une bande de loups de mer craints de tous comme chien de garde, ça claque (quand je vous disait qui à la plus grosse je parlait des primes de ces forbans...Mais effectivement il cherchent à savoir qui a la plus grosse, dans tout les sens du terme ). L'autre c'est que la première fois elles ont recruté tout ceux qu'elle pouvaient ; du coup le royaume s'est retrouvé inondé de pirates, et les pirates, ça fait du grabuge. A tel point que ça a failli obliger la marine à réagir. Craignant le coup de filet , la mafia a ouvert grand les robinet à pot-de vins pour s'en sortir, ce qui les a probablement sauvé. Après cela ils ont pris des dispositions pour éviter que cela se reproduise, l'une d'elle étant de ne pas couvrir les pirates qui se font remarquer.
Bref aujourd’hui on allait patrouiller. Je fait rassembler mes hommes le temps de préparer un joli discours,
autant commencer sur de bonnes bases. Une fois qu'ils ils sont tous en rang, je commence :
"-Bon les gars moi je suis Charlie Boyington et je serait celle qui vous donnera vos ordres pour la mission d'aujourd'hui.
-Tch...
Qui ose m'interrompre ? Je me tourne vers la source du bruit et je vit un type, cheveux châtains, yeux noirs, mâchoire carrée et taillé comme une armoire à glace. Je m'attendait à ce genre de réaction, faut dire que je suis une femme qui est passée officier en un temps record et qui a de bon contacts avec le colonel. Cela fait trois bonnes raisons pour ne pas me louper. N'empêche que si on me cherche on me trouve. Pire : c'est Pépé qui m'a fait officier et si je peut admettre qu'on conteste mon autorité, pour
le vieux c'est une autre histoire. Une bonne raison pour moi de ne pas le rater.
Je plante alors mon regard dans le sien.
-Un problème soldat ?
Il essaye de le soutenir mais baisse les yeux. Ce truc marche à tout les coups !
-Aucun madame.
Je souris, satisfaite ; puis je continue:
-Appeler-moi par mon grade ou "sir" (bah oui, je suis trop jeune pour être une madame). Notre boulot va être de patrouiller dans la ville et arrêter les pirates qui font du grabuge. Mon boulot, lui c'est de m'assurer que vous fassiez le vôtre et que vous reveniez en vie.
Vous vous diviserez donc en patrouilles de vingt personne et chaque patrouille prendra une zone de la ville à surveiller et un den-den muchi au cas ou vous auriez besoin de renforts. Des questions ?
Apparemment non vu qu'ils appliquent les ordres sans rechigner. Une fois les patrouilles en place; je repère l'emmerdeur de tout-à-l'heure puis j'annonce à sa patrouille :
-Je prendrait personnellement la tête de votre groupe. Allons-y.
Parfait. Comme ça l'autre tâche pourra me voir à l’œuvre. Pas la peine de soupirer coco ! C'est moi la patronne que tu le veuille ou non. Et puis je me dit qu'avec la cohorte de marine qui me suivent, au moins si on me reconnaît, on y pensera à de fois avant de venir me chercher des poux.
La journée passe tranquillement...Trop tranquillement. J'ai même pris de temps de constater que Luvneelpraad était aussi délabrée que d'habitude. Pas faute d'avoir fait le tour des bars et autres tripots que je connaissait. D'habitude, y'a toujours au moins un équipage qui fout le boxon malgré l'interdiction des familles ; mais là , chou blanc. C'est pas comme ça que je vais prouver à mes hommes et à Pépé que je mérite mes gallons! J'allais demander à ce qu'on rentre quand j’entendis un coup de feu suivi par un cri. Alléluia un meurtre enfin! J'en aurait presque sauté de joie ( psycho moi ? Naaan...A peine.). Mais je m'abstins. Manquerait plus qu'on me croit folle. Cela venait d'un bar miteux juste à coté. Cela se voyait au clients qui sortaient en trombe. Très sérieusement me retourne vers mes hommes :
bon, les gars , y'en a dix qui qui se postent devant la porte d'entrée, les autres , avec moi , on prend la porte arrière. Quand je crie tirer!, vous débouler dans la salle et tirer sur tout ce qui est une menace, quand je crie charger, vous dégainez et vous rushez sur tout ce qui est une menace. c'est pigé ?
-Yes sir !
Bien. Comme convenu je contourne le bâtiment, entre par l'arrière et aboutit dans une cuisine. Puis un cri : ALORS ELLE VIENT CETTE BOUFFE!
La-dessus une serveuse, qui devait avoir a peine 14 ans entre en chialant; Je la stoppe et lui demande :
-bon, y se passe quoi ici ?
Affolée, elle bégaye:
-O-on reçoit s-souvent des p-pirates co-comme clients. d'habitude ils se t-tiennent relativement bien mais là, je sais pas ; l'un d'eux s'est d-disputé avec un client, puis il lui a t-tiré dessus.En suite il a commandé des tas de choses.
Pauvre gosse, elle doit avoir eu le peur de sa vie. Je lui fait un sourire rassurant et lui demande d'une voix douce :
-Comment tu t'appelle gamine ?
- Chinazu madame
Madame !? Mais j'ai a peine 20 ans Grrrrr! Bon on se calme, la gamine est bien choquée, elle ne sait pas trop ce qu'elle dit. Enfin c'est ce que je préfère croire. Ne montrant pas mon conflit intérieur, je continue imperturbable:
Chinazu ? C'est joli, ça te va bien. Moi je suis Charlie ; mes gars et moi, on est de la marine, on va prendre les chose en main ; tu n'a plus rien a craindre . Il faudrait juste que tu fasse un truc pour nous : tu vas nous dire de mémoire combien il y a de pirates, comment ils sont armés et ou ils se trouvent dans la salle. Tu peut faire ça pour nous ?
La gamine, un peu rassurée se calme sèche ses larmes et me réponds :
Okay, je vais essayer.
Heureusement la gamine a bonne mémoire. Elle nous donna un véritable rapport complet de l'état des lieux. Un plan germa dans ma tête , j'enlève mon uniforme et mes lunettes et je lui dit :
Merci , tu as été très courageuse. Tu sais quoi Chinazu ? tu va me donner ton tablier, c'est moi qui va servir. Vous les gars vous faîtes comme les autres de l'autre côté , vous attendez mon signal. Et que quelqu'un aille dire au autres l'état des forces ennemies. J'ai un plan.
Mon déguisement prêt, je prend le plateau e me dirige vers un pistolero. Je fait exprès de chuter et de tout renverser sur sa chemise avec un "hyaah !" du plus bel effet. Le gars se relève, furieux:
RAAAH! NON MAIS QUELLE CONNE ! MA CHEMISE TOUT NEUVE!
Il se tourne vers moi pendant que je me recroqueville , jouant les apeurées (tout en me mettant en place pour cogner bien comme il faut).
Et comme prévu cet animal en profite. Avec un grand sourire il me sort
Tu sais que cette chemise est très chère ? il va falloir me rembourser...
et il éclate d'un rire gras, suivi par ses collègues. Voyant que j'ai fait mouche, je continue avec ma voie la plus plaintive :
Non...s'il vous plaît...
Allez ; pour tes beaux yeux...Juste un petit bisou et on oublie ça...je te ferais pas de mal...je te jure...
"Juste un petit bisou", tu crois vraiment que quelqu'un de sensé goberait ça ? Surtout avec ta tête de dégénéré? T'est encore plus atteint que je pensait mon pauvre ! Je tend alors mes lèvres; toujours recroquevillée. Il ne pourra pas résister. d'ailleurs il est déjà là à se pencher pour m'embrasser, ravi de cueillir une si jolie fleur . Mais les plus belles roses on des épines, et il va l'apprendre à ses dépends vu comme il me présente sa tête sur un plateau d'argent. Ne pouvant plus me retenir je lui sort avec mon sourire le plus carnassier et un clin d’œil :
Naaante ne* !
La dessus, mon corps se détend d'un coup dans un formidable uppercut au menton qui l'envoie s'encastrer au plafond ou il reste accroché, inerte.
Let's roll !
sans laisser le temps aux autres de réagir je balance le plateau comme un frisbee à la tête d'un deuxième avec un fusil et fonce sur un troisième. Il tente de dégainer son flingue mais je met mon pied dessus avant et prend appui pour faire un salto tout en lui donnant un coup de pied sous le menton ; et le voilà qui rejoint son copain dans les combles.
pendant ce temps-là les autres avaient réagi :
MAIS C'EST QUI CETTE FOLLE ?! BUTEZ-LA !!!
Et les voilà qui sortent leurs guns pour me plomber; Je pare deux-trois bastos avec mes tekkôs et atterris sur une table, la renverse pour servir de barricade, atterrit en grand écart facial derrière et m'étale de tout mon long pendant que les balles filent au dessus de moi, traversant le bois. Et au bout d'un moment plus de coup de feu, mais les cliquetis caractéristique d'armes déchargées avec lesquelles on essaie de tirer. Ces imbéciles étaient encore plus débiles que je l'avait prévu : ils avait vidés leur chargeurs.
C'est bon, on l'a eu ?
Désolée mais...nan. Je me retourne et leur balance la table dessus avec un grand coup de latte, me remet sur mes pieds en relevé de carpe et leur rentre dedans en gueulant :
CHARGEZ !!!!
La-dessus, dans un formidable cri de guerre, tout mes gusses se ramènent sabre au poing et prennent les pirates en sandwich.
Et là, mêlée générale. j'écrase le crâne d'un mec avec mes coude, le ceinture et le lève bien haut pour le jeter sur un autre. Je décale le sabre d'un type qui m'attaque avec ma main et laisse le gusse avancer pris par son élan,puis lui colle un coude retourné dans la nuque. Et ainsi de suite jusqu'au moment ou je voie un gros mastaba avec une claymore tenter de découper l'autre emmerdeur de tout à l'heure avec un coup horizontal. Ni une-ni deux je le pousse hors de danger...et me prend le coup. Aïe!
Même en me décalant, il est quand même arrivé à me faire une sacrée plaie à travers ma cotte de mailles (fais chier je vais encore devoir la faire réparer ). Du genre de celle ou vous êtes censé agoniser ; une chance que je sache faire remonter mes organes internes dans ma cage thoracique, sinon il aurait repeint le parquet avec mes tripes.
D'ailleurs il tente de remettre ça, histoire de m'achever.
J'esquive par une roulade sous sa lame et lui cogne dans les partie avec mes bottes. Vu comme il se replie, ça a du faire mal. Et ça a le mérite de lui faire laisser une ouverture sous le menton.
Je me replie en chandelle et me détend d'un coup pour lui coller mes talons dans la mâchoire. Et de trois lustres ! C'est ce qui s'appelle crever le plafond !
Je me relève et constate que la baston est terminée et qu'on est les vainqueurs. Je demande alors, en pressant ma plaie avec mon bras :
Y'a des blessés ?
C'est chieur qui me réponds :
juste vous sir, a part quelques égratignures...vous...vous m'avez sauvé la vie. Merci
T'en fait pas coco ! C'est moins moche que ça en a l'air. Et ne me remercie pas : je te l'ai dit non ? Mon boulot, c'est de faire en sorte que tous rentrent en vie au bercail. Y compris ceux qui m'ont dans le nez.
La dessus il baisse les yeux, honteux mais je n'en est pas fini :
mais tout le monde mérite une seconde chance ; je suis sûre que t'a bon fond. Alors si tu veut bien on recommence tout à zéro. Moi c'est Charlie Boyington. Tu veut biens prendre le den-den mushi et dire au autres patrouilles de rentrer à la base, et à la base de faire chauffer les médecins ?
Je lui souris et il me rendit son sourire. Puis il me salue :
Aye sir !
Bon, tout le monde ! Ligoter les pirates en vie et ramasser les morts. Oublier pas de leur faire les premiers soins. On rentre à la base.
Yes sir !
* nante ne = je plaisante / je rigole / je déconne en japonais
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Informations IRL
Prénom :thibault
Age :18 ans
Aime : la littérature scientifique
N'aime pas : le langage sms
Personnage préféré de One Piece : luffy
Caractère : calme , sociable, attentif, créatif
Fait du RP depuis : a jamais fait de RP
Disponibilité approximative : un peut tout les soirs
j'ai trouvé moi-même en cherchant un forum rpg intéressant
Quand vous estimez avoir terminé vos descriptions et votre biographie, signalez-le par un nouveau message et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous-titre de votre présentation par la mention [En attente de Test RP]. Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs ne vous loupent (ce qui n’arrive pas très souvent).
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Napoléon à dit :- "un vrai chef n'a pas besoin de se retourner pour savoir que ses hommes le suivent"
-"un bon dessin vaut mieux qu'un long discours".
Un bon ami va vous voir en prison. Votre meilleur ami est dans la cellule d'à coté et vous dis que cela valait le coup.
Dernière édition par Charlie Boyington le Mer 20 Mai 2015 - 20:31, édité 67 fois