>> Ryuko Kuzuryu
Pseudonyme : Bang. Age: 24 ans. Sexe : Femme. Race : Une humaine, tout ce qu'il y a de plus normal. Métier : Poste dans la Marine dépendant du nombre de Dokiris accordés. Groupe : Marine Officielle. But : Trouver un but. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Aptitude de combat prévue, oui. Équipement : Deux petits pistolets, à portée de main, et le sabre de base de la marine, dans son dos. Codes du règlement : Parrain : Moi. Ce compte est-il un DC ? : Nop. Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
>> Physique
En observant deux secondes cette jeune femme, vous avez dû vous rendre compte d’un petit détail à propos de son physique. Vous ne voyez pas ? J’vous aide, les cheveux arc-en-ciel. Donc oui, Ryuko a adopté un style capillaire assez spécial, composé de cheveux taillés de manière totalement hasardeuse, bariolés de tout plein de couleurs, comme du rose, du blanc, du bleu ou du rouge. Et en plus de cela, elle en regroupe certaines touffes pour former deux cônes sur sa tête semblables à des cornes.
Et le visage n’est pas en reste non plus. Tout d’abord, trois petits piercings sont présents sous sa bouche, qui lui donne un petit style bad girl. Pour compléter cela, des pointes plantées dans les oreilles, se rapprochant plus cette fois du côté punk. Enfin, elle arbore un maquillage assez visible, qui lui donne un air un plus sombre, et qui rend ses cils petits à la base bien plus visibles.
Puis après vient les vêtements, et encore une fois, c’est un joli bordel. Au niveau de sa tenue de marine, elle a conservé l’emblème de la marine dans le dos, pour ne choquer personne, mais elle a par contre remanié le reste de son uniforme, principalement, en déchirant quasiment toutes les bordures, ainsi que les manches, et en cloutant ensuite ces parties. En parlant de clous, elle porte également un collier de ce type autour du cou, en cuir noir. En plus de cela, on ajoute de nombreux accessoires en tout genre, du type bracelets, gant en tissu, bottes de base recolorées en noir, et cetera…
Sinon, au niveau du reste du corps, elle mesure environ un mètre soixante-quinze pour un peu moins d’une cinquantaine de kilos, avec une poitrine de taille plus que satisfaisante. Un physique de mannequin en clair, qu’elle maintient grâce aux efforts physiques demandés par son entraînement quotidien, auquel elle ajoute elle-même de nombreux exercices supplémentaires pour garder une endurance de bon niveau. Mais ce n’est pas pour autant qu’elle possède des muscles bien visibles, sachant qu’elle se concentre principalement sur des exercices de course, et non de renforcement des muscles. Pour faire court, de bonnes formes, une rapidité et une agilité de niveau supérieur aux autres membres de son unité pour une force moins impressionnante que celle de ses compères.
Et le visage n’est pas en reste non plus. Tout d’abord, trois petits piercings sont présents sous sa bouche, qui lui donne un petit style bad girl. Pour compléter cela, des pointes plantées dans les oreilles, se rapprochant plus cette fois du côté punk. Enfin, elle arbore un maquillage assez visible, qui lui donne un air un plus sombre, et qui rend ses cils petits à la base bien plus visibles.
Puis après vient les vêtements, et encore une fois, c’est un joli bordel. Au niveau de sa tenue de marine, elle a conservé l’emblème de la marine dans le dos, pour ne choquer personne, mais elle a par contre remanié le reste de son uniforme, principalement, en déchirant quasiment toutes les bordures, ainsi que les manches, et en cloutant ensuite ces parties. En parlant de clous, elle porte également un collier de ce type autour du cou, en cuir noir. En plus de cela, on ajoute de nombreux accessoires en tout genre, du type bracelets, gant en tissu, bottes de base recolorées en noir, et cetera…
Sinon, au niveau du reste du corps, elle mesure environ un mètre soixante-quinze pour un peu moins d’une cinquantaine de kilos, avec une poitrine de taille plus que satisfaisante. Un physique de mannequin en clair, qu’elle maintient grâce aux efforts physiques demandés par son entraînement quotidien, auquel elle ajoute elle-même de nombreux exercices supplémentaires pour garder une endurance de bon niveau. Mais ce n’est pas pour autant qu’elle possède des muscles bien visibles, sachant qu’elle se concentre principalement sur des exercices de course, et non de renforcement des muscles. Pour faire court, de bonnes formes, une rapidité et une agilité de niveau supérieur aux autres membres de son unité pour une force moins impressionnante que celle de ses compères.
>> Psychologie
Tous les débuts de matinée tranquille pour les soldats de la base G-4 ne durent jamais bien longtemps, pour cause, Ryuko. Vrai torrent d’énergie ambulant, elle est la première debout chaque jour, pour s’affairer aux taches de début de journée. Et elle fait tout ça très bruyamment, souvent en chantant à la limite de l’extinction des cordes vocales. Au moins, ça a le mérite d’éviter à certains de manquer le rassemblement matinal, tenu par un officier supérieur assez grognon. Mais la plupart iront lui bugler dessus, bien qu’ils sachent d’avance que cela est inutile, vu qu’elle est tellement pris dans ses occupations qu’elle en oublie tout ce qui se passe autour d’elle.
Sinon, en dehors du boulot, c’est une jeune femme comme déjà dit plus haut, très énergique. Et donc, elle a besoin d’une stimulation constante, au risque de la voir prendre des initiatives par elle-même lorsqu’elle s’ennuie réellement. Et ses initiatives ne sont jamais bonnes, vu qu’elles tirent part de son irresponsabilité claire, n’hésitant pas à mélanger à boire un liquide qui passait par là ou à appuyer sur le premier bouton à portée de main.
Mais c’est surtout une personne possédant un grand esprit créatif. Car oui, s’il y a bien quelque chose par laquelle elle brille en dehors de son surplus d’énergie, c’est ça. Sa tête est un bazar à idées géniales et histoires farfelues. Une sorte de couteau suisse humain, capable de se sortir des situations les plus compliquées, en faisant marcher son petit cerveau. Seulement, assez souvent, ses plans ne se passent pas exactement comme prévu, et un évènement vient troubler tout ça.
Ce qui nous amène à un autre point, sa mauvaise entente avec Dame Chance. Dans les moments où elle en aurait bien besoin, sa chance décide de partir bien loin, faisant que de nombreux évènements contraignants arrivent par surprise. Mais la jeune fille vivant avec cela depuis sa naissance, elle ne se rend pas compte de sa malchance et vit avec sans problème, sans s’en inquiéter. Puis ce n’est pas ce genre de chose qui risque de gêner un esprit libre comme elle.
Au niveau de son attitude en combat, elle a tendance à se rendre faible aux yeux de ses adversaires. Par-là, je veux dire qu’elle a une attitude assez gamine, s’amusant de loin à faire un cadre avec ses doigts, imitant un scanner, agaçant fortement son ennemi. De son côté, la jeune femme, pourtant, est très sérieuse et analyse physiquement son ennemi, de toutes parts. Pendant que son opposant s’énerve peu à peu, elle réfléchis à un moyen de le battre, et s’y attaque ensuite.
Sinon, en dehors du boulot, c’est une jeune femme comme déjà dit plus haut, très énergique. Et donc, elle a besoin d’une stimulation constante, au risque de la voir prendre des initiatives par elle-même lorsqu’elle s’ennuie réellement. Et ses initiatives ne sont jamais bonnes, vu qu’elles tirent part de son irresponsabilité claire, n’hésitant pas à mélanger à boire un liquide qui passait par là ou à appuyer sur le premier bouton à portée de main.
Mais c’est surtout une personne possédant un grand esprit créatif. Car oui, s’il y a bien quelque chose par laquelle elle brille en dehors de son surplus d’énergie, c’est ça. Sa tête est un bazar à idées géniales et histoires farfelues. Une sorte de couteau suisse humain, capable de se sortir des situations les plus compliquées, en faisant marcher son petit cerveau. Seulement, assez souvent, ses plans ne se passent pas exactement comme prévu, et un évènement vient troubler tout ça.
Ce qui nous amène à un autre point, sa mauvaise entente avec Dame Chance. Dans les moments où elle en aurait bien besoin, sa chance décide de partir bien loin, faisant que de nombreux évènements contraignants arrivent par surprise. Mais la jeune fille vivant avec cela depuis sa naissance, elle ne se rend pas compte de sa malchance et vit avec sans problème, sans s’en inquiéter. Puis ce n’est pas ce genre de chose qui risque de gêner un esprit libre comme elle.
Au niveau de son attitude en combat, elle a tendance à se rendre faible aux yeux de ses adversaires. Par-là, je veux dire qu’elle a une attitude assez gamine, s’amusant de loin à faire un cadre avec ses doigts, imitant un scanner, agaçant fortement son ennemi. De son côté, la jeune femme, pourtant, est très sérieuse et analyse physiquement son ennemi, de toutes parts. Pendant que son opposant s’énerve peu à peu, elle réfléchis à un moyen de le battre, et s’y attaque ensuite.
>> Biographie
Né dans le royaume de Saint-Urea, Ryuko est la fille d’une belle jeune femme du nom de Lilas, comme la fleur, et de son mari, John, chasseur de primes renommé. Un petit couple qui gagnait bien leur vie, nageant dans le bonheur de l’amour. Mais comme dans toute bonne histoire tragique, tout ne dura pas éternellement. Deux ans seulement après cet heureux évènement, John dû partir à la recherche d’une grosse prime, qui avait déjà ôté la vie à plusieurs autres chasseurs. Il promit à sa femme, le jour de son départ, qu’il reviendrait entier, quoi qu’il arrive. Et c’est sur un baiser final avec elle qu’il finit par prendre la route du travail.
Malheureusement, il ne pût tenir sa promesse. Il avait effectivement tué sa cible, mais au prix de la sienne. L’info était divulguée dans tout le village, racontant le fait que le chasseur s’était volontairement empalé sur le sabre de son adversaire pour pouvoir lui porter le coup final. Ils s’étaient entretués en clair. Bien sûr, on le célébra comme un héros, et on offrit de nombreux cadeaux de condoléance à la veuve.
Veuve qui changea d’attitude radicalement… Autrefois douce et attentionnée, elle devint une sorte de larve ambulante, refusant de sortir de chez elle, et délaissant sa fille pour se morfondre dans ses propres regrets. Elle pleurait toutes les nuits, criant des insultes envers le défunt, sans cesse. Les habitants lui apportaient de temps en temps un panier de courses, pour que les deux puissent continuer à se nourrir convenablement, malgré le comportement de la mère. Et cela dura jusqu’aux sept ans de la petite fille. Le jour exact de ses sept ans en fait. Le même jour, les soldats du quartier général de la marine défilaient dans la rue, encerclant de nombreux criminels qu’ils avaient capturés le jour même. La petite fille était toute excitée en voyant les soldats depuis la fenêtre de sa cuisine, voyant en eux une silhouette de héros. Et elle prononça les mots qu’il ne fallait pas.
- Maman, t’as vue ? Ils sont trop forts ses soldats ! J’veux être comme eux plus tard, une vaillante combattante pour la justice !
La mère s’approche d’elle doucement, le regard furieux, la main levée. Elle frappa ensuite violemment sa fille à la joue, l’envoyant valdinguer à quelques mètres.
- Sale petite garce ! Toi aussi, tu comptes me laisser seule !? Si c’est ça, je ne te laisserais jamais sortir d’ici.
Et à partir de ce jour-là, la mère redevint à peu près active. Même un peu trop. Elle prit en charge tout, que ce soit la gestion de la maison de l’enfant, en lui faisant même son éducation scolaire. Mais elle couplait sans cesse cela à de la violence, et à des pleurs lorsqu’elle ne s’occupait pas de sa fille. C’était peut-être encore pire qu’avant en fait.
Mais le comportement de la petite fille était sûrement le plus étonnant. Elle continuait à sourire sans cesse, voyant tous les bons côtés de sa vie, et non les mauvais. Elle se disait que sa mère était seulement très attachée à elle, et rien de plus. C’en était presque surréaliste.
~
Dix ans plus tard, elle n’avait pas changée, elle restait la même fille souriante, ignorant les brimades de sa mère. Mais d’un autre côté, elle comprenait maintenant les raisons de sa mère, et ne souhaitait plus vivre avec elle, elle voulait aller vivre dehors, découvrir le monde et sauver des vies en rejoignant la Marine, dans ses rêves les plus fous. Mais d’un autre côté, elle ne pouvait abandonner cette pauvre femme.
Mais c’est aussi à cette période qu’un autre évènement arriva, un criminel fit son entrée dans la maisonnette. Armé d’un couteau qu’il tenait de toutes ses forces dans sa main gauche, il semblait franchement apeuré. Mais il avait aussi un petit côté un peu timbré, comme quelqu’un qui venait juste de péter les plombs. Il menaça la mère, tremblotant, et lui demanda de lui donner tout l’argent qu’elle possédait. Celle-ci répliqua qu’elle n’en possédait pas, ce qui était d’ailleurs la vérité vu que c’est les habitants du quartier qui continuaient à nous aider pour la nourriture et la maison, ce qui énerva encore plus le petit voleur. Il s’approcha encore plus de la mère, qui commençait à trembler de peur.
Ryuko s’approcha du voleur et sa plaça devant lui, le regardant presque avec pitié. Elle saisit son couteau à pleine main, avant que celui-ci tente de lui infliger un coup et le frappa d’un coup de pied au niveau du ventre, l’envoyant valser au sol.
- Ça veut jouer au grand méchant, mais ça ne tient pas sur ses guibolles ? Je n’sais pas ce qui t’as amené ici, mais c’est pas avec une volonté comme la tienne que tu réussiras quoi que ce soit. Tu pensais réellement que le meilleur moyen d’arriver à tes fins, peu importe lesquelles, c’était de faire le mal ?
- Ta gueule ! Tu ne sais rien de moi ! T’as pas le droit de me juger ! J’suis au fond du trou, plus personne ne veut de moi, même mes parents m’ont jetés à la rue. J’ai toujours été un enfant maltraité et…
- Arrête ça, j’en ai rien à foutre de ta vie. Mais ait au moins les couilles de montrer que t’es quelqu’un ! Tu comptes vraiment devenir le sale lâche qui s’en prend aux faibles ? Tu gagnerais bien plus à œuvrer pour la sécurité d’autrui.
Le jeune homme s’écroula en pleurs, résultat d’une accumulation de stress et de regrets. Les phrases de la jeune fille semblaient bien simples, mais elles avaient réussies à le toucher. Ryuko l’autorisa à s’enfuir, sans son couteau cependant, tandis que celui-ci lui promettait de se reprendre en main.
Sa mère, devant la scène qui venait de se dérouler sous les yeux, comprenait petit à petit quelque chose par le discours de sa fille, elle ne pouvait stopper ses envies. Elle était bien plus motivée et ambitieuse que la plupart des adolescents de son âge, tout comme son père au même âge. Elle partit quelques minutes et revint ensuite, un sac à la main qu’elle donna à sa fille.
-Ouvres, c’est l’héritage de ton père.
Dans le sac se trouvait deux pistolets à poudre, assez anciens, mais à la puissance bien présente, fait pour contenir des balles d’assez gros calibre. Cela s’accompagnait de leurs deux étuis et d’un petit message. Cela venait de son père qui lui souhaitait simplement bon voyage. Elle fit son premier et dernier câlin à sa mère, où les deux s’écroulèrent en pleurs, pour plusieurs raisons accumulées.
Elle entreprit ensuite son petit bout de chemin, où elle croisa de nombreuses personnes, qui lui permirent d’acquérir de l’expérience dans tous les domaines, que ce soit pour le combat ou pour sa propre mentalité.
Et deux ans plus tard, elle rejoignait la marine, où elle grimpa petit à petit les échelons pour arriver à son poste actuel.
Malheureusement, il ne pût tenir sa promesse. Il avait effectivement tué sa cible, mais au prix de la sienne. L’info était divulguée dans tout le village, racontant le fait que le chasseur s’était volontairement empalé sur le sabre de son adversaire pour pouvoir lui porter le coup final. Ils s’étaient entretués en clair. Bien sûr, on le célébra comme un héros, et on offrit de nombreux cadeaux de condoléance à la veuve.
Veuve qui changea d’attitude radicalement… Autrefois douce et attentionnée, elle devint une sorte de larve ambulante, refusant de sortir de chez elle, et délaissant sa fille pour se morfondre dans ses propres regrets. Elle pleurait toutes les nuits, criant des insultes envers le défunt, sans cesse. Les habitants lui apportaient de temps en temps un panier de courses, pour que les deux puissent continuer à se nourrir convenablement, malgré le comportement de la mère. Et cela dura jusqu’aux sept ans de la petite fille. Le jour exact de ses sept ans en fait. Le même jour, les soldats du quartier général de la marine défilaient dans la rue, encerclant de nombreux criminels qu’ils avaient capturés le jour même. La petite fille était toute excitée en voyant les soldats depuis la fenêtre de sa cuisine, voyant en eux une silhouette de héros. Et elle prononça les mots qu’il ne fallait pas.
- Maman, t’as vue ? Ils sont trop forts ses soldats ! J’veux être comme eux plus tard, une vaillante combattante pour la justice !
La mère s’approche d’elle doucement, le regard furieux, la main levée. Elle frappa ensuite violemment sa fille à la joue, l’envoyant valdinguer à quelques mètres.
- Sale petite garce ! Toi aussi, tu comptes me laisser seule !? Si c’est ça, je ne te laisserais jamais sortir d’ici.
Et à partir de ce jour-là, la mère redevint à peu près active. Même un peu trop. Elle prit en charge tout, que ce soit la gestion de la maison de l’enfant, en lui faisant même son éducation scolaire. Mais elle couplait sans cesse cela à de la violence, et à des pleurs lorsqu’elle ne s’occupait pas de sa fille. C’était peut-être encore pire qu’avant en fait.
Mais le comportement de la petite fille était sûrement le plus étonnant. Elle continuait à sourire sans cesse, voyant tous les bons côtés de sa vie, et non les mauvais. Elle se disait que sa mère était seulement très attachée à elle, et rien de plus. C’en était presque surréaliste.
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Dix ans plus tard, elle n’avait pas changée, elle restait la même fille souriante, ignorant les brimades de sa mère. Mais d’un autre côté, elle comprenait maintenant les raisons de sa mère, et ne souhaitait plus vivre avec elle, elle voulait aller vivre dehors, découvrir le monde et sauver des vies en rejoignant la Marine, dans ses rêves les plus fous. Mais d’un autre côté, elle ne pouvait abandonner cette pauvre femme.
Mais c’est aussi à cette période qu’un autre évènement arriva, un criminel fit son entrée dans la maisonnette. Armé d’un couteau qu’il tenait de toutes ses forces dans sa main gauche, il semblait franchement apeuré. Mais il avait aussi un petit côté un peu timbré, comme quelqu’un qui venait juste de péter les plombs. Il menaça la mère, tremblotant, et lui demanda de lui donner tout l’argent qu’elle possédait. Celle-ci répliqua qu’elle n’en possédait pas, ce qui était d’ailleurs la vérité vu que c’est les habitants du quartier qui continuaient à nous aider pour la nourriture et la maison, ce qui énerva encore plus le petit voleur. Il s’approcha encore plus de la mère, qui commençait à trembler de peur.
Ryuko s’approcha du voleur et sa plaça devant lui, le regardant presque avec pitié. Elle saisit son couteau à pleine main, avant que celui-ci tente de lui infliger un coup et le frappa d’un coup de pied au niveau du ventre, l’envoyant valser au sol.
- Ça veut jouer au grand méchant, mais ça ne tient pas sur ses guibolles ? Je n’sais pas ce qui t’as amené ici, mais c’est pas avec une volonté comme la tienne que tu réussiras quoi que ce soit. Tu pensais réellement que le meilleur moyen d’arriver à tes fins, peu importe lesquelles, c’était de faire le mal ?
- Ta gueule ! Tu ne sais rien de moi ! T’as pas le droit de me juger ! J’suis au fond du trou, plus personne ne veut de moi, même mes parents m’ont jetés à la rue. J’ai toujours été un enfant maltraité et…
- Arrête ça, j’en ai rien à foutre de ta vie. Mais ait au moins les couilles de montrer que t’es quelqu’un ! Tu comptes vraiment devenir le sale lâche qui s’en prend aux faibles ? Tu gagnerais bien plus à œuvrer pour la sécurité d’autrui.
Le jeune homme s’écroula en pleurs, résultat d’une accumulation de stress et de regrets. Les phrases de la jeune fille semblaient bien simples, mais elles avaient réussies à le toucher. Ryuko l’autorisa à s’enfuir, sans son couteau cependant, tandis que celui-ci lui promettait de se reprendre en main.
Sa mère, devant la scène qui venait de se dérouler sous les yeux, comprenait petit à petit quelque chose par le discours de sa fille, elle ne pouvait stopper ses envies. Elle était bien plus motivée et ambitieuse que la plupart des adolescents de son âge, tout comme son père au même âge. Elle partit quelques minutes et revint ensuite, un sac à la main qu’elle donna à sa fille.
-Ouvres, c’est l’héritage de ton père.
Dans le sac se trouvait deux pistolets à poudre, assez anciens, mais à la puissance bien présente, fait pour contenir des balles d’assez gros calibre. Cela s’accompagnait de leurs deux étuis et d’un petit message. Cela venait de son père qui lui souhaitait simplement bon voyage. Elle fit son premier et dernier câlin à sa mère, où les deux s’écroulèrent en pleurs, pour plusieurs raisons accumulées.
Elle entreprit ensuite son petit bout de chemin, où elle croisa de nombreuses personnes, qui lui permirent d’acquérir de l’expérience dans tous les domaines, que ce soit pour le combat ou pour sa propre mentalité.
Et deux ans plus tard, elle rejoignait la marine, où elle grimpa petit à petit les échelons pour arriver à son poste actuel.
>> Test RP
- Soldat, je vous prie de vomir ailleurs que sur le ponton, la mer est là pour ça !
Tss, on n’a pas idée de s’engager dans la marine en possédant le mal de mer. Heureusement pour lui que le voyage était de courte durée, Saint-Urea n’était plus qu’à quelques dizaines de minutes, il faut dire que le vent joue en notre faveur pour un coup, nous apporte une accélération notable par rapport à d’habitude. Et tant mieux, plus vite nous serons à destination, plus vite nous pourrons amorcer la mission.
Mission qui m’a été confié par mon supérieur direct, Laïos, et qui visiblement ne rigolait pas. Deux choses étaient en jeu aujourd’hui, et pas des moindres. Tout d’abord, la protection de « La dame de pierre », dont la vie est menacée par un dangereux agent de la révolution. D’un autre, c’est également l’occasion de récupérer une jolie petite promotion, sachant que je suis en compétition avec un agent, Hans qu’il s’appelle, je crois, qui prend part également à la mission. Chacun avec notre petit groupe d’hommes, que le meilleur gagne.
- Sous-Lieutenant, nous arrivons à destination !
Je jetai un coup d’œil à la fenêtre, tous les soldats étaient occupés à faire accoster convenablement le bateau. Une fois leur travail fini, je sortis de ma cabine, armes chargées et sabre affuté, l’air déterminée à réussir. Plus que réussir la mission, c’était surtout l’optique de pouvoir passer lieutenant qui me réjouissait. C’est pour ça que l’échec n’était pas une option possible, la victoire obligatoire. Et les soldats étaient visiblement aussi motivés que moi, car pour eux aussi, c’est une chance d’obtenir une promotion en se démarquant du lot.
Moi la première, nous descendîmes du bateau en rang, dans le plus grand calme, tel un rang de maternelles après s’être fait remonté les bretelles par leur professeur. On pouvait entendre une mouche voler. Ou le vent souffler aussi, vu qu’à ce moment-là, le vent aidant était devenu une petite tempête, qui risquait de s’aggraver par la suite. Si on pouvait finir avant qu’arrive la pluie, se serait pas plus mal.
Cela faisait du bien de retrouver mon île natale, que je n’avais pas vu depuis un certain temps. Enfin c’est ce que j’aurais dit si nous nous trouvions à l’intérieur d’un autre rempart, mais étant dans le central, les boutiques de luxe et les riches habitants pullulaient, ça changeait de la zone extérieure. Mais ça restait sympathique à l’œil, avec des maisons plutôt bien décorées et des rues remplies de fleurs en tout genre.
Je donnai ensuite mes ordres à mes hommes, c’est-à-dire se disperser à quelques points clés de la ville, pour empêcher le criminel de pouvoir faire toute action. Personnellement, j’avais prévu de me rendre au sommet de la cathédrale, pour avoir une vue d’ensemble sur mon environnement, vu que pour un coup, j’ai pensé à prendre les jumelles qui traînent dans ma cabine.
Il me fallut à peine une minutes pour monter les quelques centaines de marches du bâtiment, manquant plusieurs d’en louper une et d’aller m’écraser la tronche en bas. Et quand je fus arrivée en haut, je fus véritablement surprise de ma découverte. Un homme couvert d’une cape marron, fusil orné d’un viseur dans les mains. Aucun doute, c’était bien le larron qu’on cherchait, et même si ce ne l’étais pas, il était de toute façon dans tous les cas dangereux pour la populace. Je sortis mon sabre de son fourreau, et le pointa en direction du mystérieux homme, qui ne m’avait visiblement pas remarqué.
- Haut les mains, peau de lapin !
Pas trouvé mieux à dire. Mais en tout cas, ça a eu son effet, l’homme a sursauté de peur et s’est retourné instinctivement. Mais j’aurais dû être plus attentive, je crois. C’pas mon genre de sous-estimer un adversaire d’habitude, même quand il est de dos et en position de faiblesse par rapport à moi. Il dégaina rapidement une petite dague de sa manche et me désarma de mon sabre en un coup, profitant de l’effet de surprise. Zut.
- J’ai été repéré, c‘pas de cul, je dois annuler l’opération. Dommage soldat, mais tu ne ramèneras rien aujourd’hui.
A la suite de ces mots, il se laissa basculer de la rambarde derrière lui, me laissant apercevoir un masque craquelé sur son visage. C’tait mieux que rien, mais j’étais un peu déçue. L’opération était réussie, les plans du révolutionnaire contré. Mais j’aurais préféré le ramener avec moi, histoire de recevoir une jolie médaille brillante.
Au final, je laissais tomber mes petits regrets, pour réunir mes soldats, et repartir de cette île. En y repensant, je n’ai pas vérifié si le révolutionnaire était réellement parti. J’espère que oui, ç’risque de chauffer pour mes fesses sinon. Puis t’façon, il y a l’autre sous-lieutenant pour gérer un quelconque retour.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________Tss, on n’a pas idée de s’engager dans la marine en possédant le mal de mer. Heureusement pour lui que le voyage était de courte durée, Saint-Urea n’était plus qu’à quelques dizaines de minutes, il faut dire que le vent joue en notre faveur pour un coup, nous apporte une accélération notable par rapport à d’habitude. Et tant mieux, plus vite nous serons à destination, plus vite nous pourrons amorcer la mission.
Mission qui m’a été confié par mon supérieur direct, Laïos, et qui visiblement ne rigolait pas. Deux choses étaient en jeu aujourd’hui, et pas des moindres. Tout d’abord, la protection de « La dame de pierre », dont la vie est menacée par un dangereux agent de la révolution. D’un autre, c’est également l’occasion de récupérer une jolie petite promotion, sachant que je suis en compétition avec un agent, Hans qu’il s’appelle, je crois, qui prend part également à la mission. Chacun avec notre petit groupe d’hommes, que le meilleur gagne.
- Sous-Lieutenant, nous arrivons à destination !
Je jetai un coup d’œil à la fenêtre, tous les soldats étaient occupés à faire accoster convenablement le bateau. Une fois leur travail fini, je sortis de ma cabine, armes chargées et sabre affuté, l’air déterminée à réussir. Plus que réussir la mission, c’était surtout l’optique de pouvoir passer lieutenant qui me réjouissait. C’est pour ça que l’échec n’était pas une option possible, la victoire obligatoire. Et les soldats étaient visiblement aussi motivés que moi, car pour eux aussi, c’est une chance d’obtenir une promotion en se démarquant du lot.
Moi la première, nous descendîmes du bateau en rang, dans le plus grand calme, tel un rang de maternelles après s’être fait remonté les bretelles par leur professeur. On pouvait entendre une mouche voler. Ou le vent souffler aussi, vu qu’à ce moment-là, le vent aidant était devenu une petite tempête, qui risquait de s’aggraver par la suite. Si on pouvait finir avant qu’arrive la pluie, se serait pas plus mal.
Cela faisait du bien de retrouver mon île natale, que je n’avais pas vu depuis un certain temps. Enfin c’est ce que j’aurais dit si nous nous trouvions à l’intérieur d’un autre rempart, mais étant dans le central, les boutiques de luxe et les riches habitants pullulaient, ça changeait de la zone extérieure. Mais ça restait sympathique à l’œil, avec des maisons plutôt bien décorées et des rues remplies de fleurs en tout genre.
Je donnai ensuite mes ordres à mes hommes, c’est-à-dire se disperser à quelques points clés de la ville, pour empêcher le criminel de pouvoir faire toute action. Personnellement, j’avais prévu de me rendre au sommet de la cathédrale, pour avoir une vue d’ensemble sur mon environnement, vu que pour un coup, j’ai pensé à prendre les jumelles qui traînent dans ma cabine.
Il me fallut à peine une minutes pour monter les quelques centaines de marches du bâtiment, manquant plusieurs d’en louper une et d’aller m’écraser la tronche en bas. Et quand je fus arrivée en haut, je fus véritablement surprise de ma découverte. Un homme couvert d’une cape marron, fusil orné d’un viseur dans les mains. Aucun doute, c’était bien le larron qu’on cherchait, et même si ce ne l’étais pas, il était de toute façon dans tous les cas dangereux pour la populace. Je sortis mon sabre de son fourreau, et le pointa en direction du mystérieux homme, qui ne m’avait visiblement pas remarqué.
- Haut les mains, peau de lapin !
Pas trouvé mieux à dire. Mais en tout cas, ça a eu son effet, l’homme a sursauté de peur et s’est retourné instinctivement. Mais j’aurais dû être plus attentive, je crois. C’pas mon genre de sous-estimer un adversaire d’habitude, même quand il est de dos et en position de faiblesse par rapport à moi. Il dégaina rapidement une petite dague de sa manche et me désarma de mon sabre en un coup, profitant de l’effet de surprise. Zut.
- J’ai été repéré, c‘pas de cul, je dois annuler l’opération. Dommage soldat, mais tu ne ramèneras rien aujourd’hui.
A la suite de ces mots, il se laissa basculer de la rambarde derrière lui, me laissant apercevoir un masque craquelé sur son visage. C’tait mieux que rien, mais j’étais un peu déçue. L’opération était réussie, les plans du révolutionnaire contré. Mais j’aurais préféré le ramener avec moi, histoire de recevoir une jolie médaille brillante.
Au final, je laissais tomber mes petits regrets, pour réunir mes soldats, et repartir de cette île. En y repensant, je n’ai pas vérifié si le révolutionnaire était réellement parti. J’espère que oui, ç’risque de chauffer pour mes fesses sinon. Puis t’façon, il y a l’autre sous-lieutenant pour gérer un quelconque retour.
[justify]Informations IRL
Prénom : Romain.
Age : Quasi la quinzaine.
Aime : Les RPG, que ce soit forum ou jeux vidéos. J'mate pas mal d'animes aussi.
N'aime pas : Faire de gros efforts.
Personnage préféré de One Piece : Sunny, best perso ever.
Caractère : Joyeux ?
Fait du RP depuis : Deux ans.
Disponibilité approximative : 6/7
Comment avez-vous connu le forum ? Sais plus.
Si un admin pouvait changer le pseudo, merci d'avance à lui !
Dernière édition par Ryuko Kuzuryu le Mer 13 Mai 2015 - 18:43, édité 8 fois