Il fait froid ce soir. Il fait froid mais je suis néanmoins heureuse. Malgré que je n’aime pas la fraicheur. C’est vrai, pourquoi j’aimerais le genre de température qui m’à vus mourir une fois ? Ce serait complètement stupide voir inhumain. Enfin… Peut-être vous demanderez vous ce qui m’étais venus à l’esprit pour être si joyeuse ? Ou peut-être encore vous en fichez vous complètement. Alors, je me contenterais de supposée que c’était la première des situations qui vous concernais. Je repartais ! Oui, sa y est, j’allais pouvoir repartir. Oui oui, je l’avais toujours pue mais, j’y étais enfin psychologiquement prête ou.. En tous les cas, en avais-je l’heureuse impression. Il était huit heures du matin, pas une minute de plus. Je sortais de mon petit repère, au beau-milieu de cette petite ville portuaire aux grandes bâtisses de roche, de poutres et de chômes en guise de toiture. En plus, j’avais pas une supère tenue pour le froid : Débardeur et gants de toile montant juste au dessus des coudes. Une veste brune donnant l’apparence d’un désir de ce réchauffer trônai sur mes épaules mais… Il était grand ouvert. Virevoltant de sa longueur presque à l’image d’une cape. Mon bas était uni avec le débardeur en thermes de couleur, tant que de matière d’ailleurs. Noir. Ma seule extravagance était symbolisée à partir de mes genoux puisque je portai des protections de métal, descendant jusqu’au chevilles, dépassant de bandeau épais de laine rose bonbon passant aussi sur mes avants-jambes. Mes chaussures étaient elles des espèces de bottes fines, toujours sombre et sans talon. Bref, pas une tenue idéale. Étai-ce la joie ? Ou mon nouveau corps ? Toujours était-il que je ne ressentais ni la morsure du froid, ni celle des souvenirs du au temps quasi-similaire de mes derniers souvenirs. Ce qui aurait pus être le cas puisque c’était ma première journée depuis mon ‘réveil’ ou j’affrontai une pluie aussi douce et fraiche que la neige.
Les cheveux trempés, les vêtements dans un état similaire, me collant au corps. Je gardai mes mains en dehors, je ne gambadai pas… Sauf dans mon esprit bien sur. C’était peut-être mon premier jour joyeux. Encore loin de recouvrir mon sourire d’antan. J’avais comme, avancée d’une belle enjambée vers une acceptation. Après tout, je pouvais faire tellement plus qu’avant dans ma vie de tous les jours… Les gens quant je cachai mon corps me considérez comme humaine… Et tout ca malgré que je ne sois plus qu’un semblant de chose. Une créature infidèle à sa maitresse…. La pensée ne m’arracha aucun soupir. Dès que j’en serai capable, je retrouverai ma petite maitresse pour la protégée comme il ce devais d’être fait par une créature. Le vent battait quelques mèches rebelles qui, gorgées d’eau ce collaient à mon visage, inlassablement je les déplaçai et finissant par m'énervée à un point critique après la quinzième fois en certainement moins d’une minute je me résolue à la solution la plus basique. Un bon gros rugissement de rage un peu ridicule… De ma voie fluette et délicate habituellement. Le poing fermer, il s’abattit sur la coque d’un navire à côté duquel je passai. Passant au travers, non pas juste mon poing mais mon corps presque tout entiers. M’écrasant comme une loque les jambes sur le béton des docks et le haut de mon corps dans le navire. Quelques regards ce tournèrent vers moi dans le navire… Quelques injures, beaucoup de regards sombres, encore plus de menaces. Et tous arboraient ce même sourire démoniaque. Tous étaient forcément des pirates, à mes yeux. Ils étaient laids. L’un d’eux avait un bandeau sur l’un de ses yeux et un autre avait à la place des pieds, des bois. Et se déplaçait étonnement bien avec d’ailleurs, tant que je restât prostrée une seconde à le regarder, avant d’arrondir démesurément mes yeux, sourcils écarts et pupilles rétrécirent.
J’hurla. Qu’avais-je d’autre à faire ? Ah oui. Je me redressée aussi, manquant de tomber dans le petit creux séparant le navire des docks. Une fois debout, brisant de ma nuque une partie de la coque supplémentaire et sans vraiment sentir la douleur. Peut-être trop terrorisée, allez savoir… Je me retournai après un instant pour fuir, mon cœur d’adamantite battant à 800 à l’heure. Voilà que mon pied croisait une flaque d’eau à demi gelée. Je m’écrasai alors face la première, mon menton heurtant violemment le sol. J’eu au moins cette impression de ressentir la douleur cette fois-ci. Fermant l’un de mes yeux sous l’impact. Les truands, enfin, les pauvres hommes à qui je venais de briser un navire de belle facture, qui plus est… m’entouraient déjà. Comment pleurer quant votre maitresse à oubliée cette fonction dans votre corps ? J’expérimentais une fois de plus le gout amer de la tristesse enfermée aux seules limites d’un regard de terreur. La mort était trop douce pour ce que je venais de faire, celons eux. Comment ne pas craindre le pire à l’entente de ses seuls mots ? L’effroi me parcourue l’échine métallique, chose que je ressentis plus comme un souvenir que comme une réalité effective. Même avec mon nouveau corps, j’avais trop peur pour me battre, aucune confiance, aucune connaissance… Et ici, il n’y avais même pas ma maitresse pour me venir en aide. Quelle triste injustice me jouait la destinée.
Les cheveux trempés, les vêtements dans un état similaire, me collant au corps. Je gardai mes mains en dehors, je ne gambadai pas… Sauf dans mon esprit bien sur. C’était peut-être mon premier jour joyeux. Encore loin de recouvrir mon sourire d’antan. J’avais comme, avancée d’une belle enjambée vers une acceptation. Après tout, je pouvais faire tellement plus qu’avant dans ma vie de tous les jours… Les gens quant je cachai mon corps me considérez comme humaine… Et tout ca malgré que je ne sois plus qu’un semblant de chose. Une créature infidèle à sa maitresse…. La pensée ne m’arracha aucun soupir. Dès que j’en serai capable, je retrouverai ma petite maitresse pour la protégée comme il ce devais d’être fait par une créature. Le vent battait quelques mèches rebelles qui, gorgées d’eau ce collaient à mon visage, inlassablement je les déplaçai et finissant par m'énervée à un point critique après la quinzième fois en certainement moins d’une minute je me résolue à la solution la plus basique. Un bon gros rugissement de rage un peu ridicule… De ma voie fluette et délicate habituellement. Le poing fermer, il s’abattit sur la coque d’un navire à côté duquel je passai. Passant au travers, non pas juste mon poing mais mon corps presque tout entiers. M’écrasant comme une loque les jambes sur le béton des docks et le haut de mon corps dans le navire. Quelques regards ce tournèrent vers moi dans le navire… Quelques injures, beaucoup de regards sombres, encore plus de menaces. Et tous arboraient ce même sourire démoniaque. Tous étaient forcément des pirates, à mes yeux. Ils étaient laids. L’un d’eux avait un bandeau sur l’un de ses yeux et un autre avait à la place des pieds, des bois. Et se déplaçait étonnement bien avec d’ailleurs, tant que je restât prostrée une seconde à le regarder, avant d’arrondir démesurément mes yeux, sourcils écarts et pupilles rétrécirent.
J’hurla. Qu’avais-je d’autre à faire ? Ah oui. Je me redressée aussi, manquant de tomber dans le petit creux séparant le navire des docks. Une fois debout, brisant de ma nuque une partie de la coque supplémentaire et sans vraiment sentir la douleur. Peut-être trop terrorisée, allez savoir… Je me retournai après un instant pour fuir, mon cœur d’adamantite battant à 800 à l’heure. Voilà que mon pied croisait une flaque d’eau à demi gelée. Je m’écrasai alors face la première, mon menton heurtant violemment le sol. J’eu au moins cette impression de ressentir la douleur cette fois-ci. Fermant l’un de mes yeux sous l’impact. Les truands, enfin, les pauvres hommes à qui je venais de briser un navire de belle facture, qui plus est… m’entouraient déjà. Comment pleurer quant votre maitresse à oubliée cette fonction dans votre corps ? J’expérimentais une fois de plus le gout amer de la tristesse enfermée aux seules limites d’un regard de terreur. La mort était trop douce pour ce que je venais de faire, celons eux. Comment ne pas craindre le pire à l’entente de ses seuls mots ? L’effroi me parcourue l’échine métallique, chose que je ressentis plus comme un souvenir que comme une réalité effective. Même avec mon nouveau corps, j’avais trop peur pour me battre, aucune confiance, aucune connaissance… Et ici, il n’y avais même pas ma maitresse pour me venir en aide. Quelle triste injustice me jouait la destinée.