>> Gates
Pseudonyme : Le Cavalier. Age: 57 ans. Sexe : Homme. Race : Humain. Métier : Quartier-Maître. Groupe : Pirate, un vrai de la vieille. But : Rester en vie et Vivre. Aptitude : Ombre de la Mort. Une aura morbide suit Gates, tout semble dépérir autour de lui... les plantes, les rires, les visages... Équipement : Il possède un panier en osier contenant de mystérieuses cartes et divers bricoles. Si certaines sont pour la navigation, d'autres cachent peut être de futurs trésors... Ainsi qu'un long couteau de 30cm à la lame effilée et pour tout habit une vieille soutane délavée par le temps et l'air salin. Codes du règlement : Ce compte est-il un DC ? : Non |
>> Physique
Que dire… Il n’a pas une gueule d’ange ? Ma foi, on nait avec la tête qu’on a et certains ont moins de chance que d’autres. D’une taille d’1m83, moins 5 cm avec son dos voûté, à une époque il n’aurait pas fait tache au milieu de la foule.. mais ça c’était avant. Maintenant, il doit faire attention à l'endroit où il s’endort pour ne pas risquer d'être enterré pendant son sommeil. Il vécu l’expérience une fois, elle n’avait pas été plaisante…
Pour excuser ses bons samaritains, comprenez que le corps de Gates a mal vieilli. Ici, on ne parle d’une petite ride en trop, non… Très jeune, les cheveux sales entourant sa caboche tombèrent en touffes irrégulières clairsemant rapidement le haut de son crâne, jusqu’à ce que plus un seul poil ne s’y dresse. Rien de méchant encore, mais ça ne s’arrêta pas là. Au fil des années qui suivirent, son corps se courba et flétrit d’une manière anormalement rapide pendant que sa peau se drapait d’un teint cadavérique. Avec son regard blanchâtre, passé la trentaine il paraissait déjà plus mort que vif.
L’évolution surprenante qu’il subit, il le dut à l’aura lugubre l’accompagnant pas à pas depuis sa tendre enfance. Au première loge de son effet néfaste, il grandit avec un corps noueux avant de subir ces incroyables transformations. A ce triste tableau, on rajoutera les diverses blessures reçues au cours de ses combats.
Malgré son état lamentable, il reste toujours aussi tenace qu’une vieille peau, comme si la Mort elle même ne souhaitait pas revoir son rejeton. Il n’est plus en état de danser la gigue toute la journée, mais même avec les montagnes qu'il s'est pris dans les dents, il conserve son plus beau sourire en toute circonstance.
>> Psychologie
Comme bon nombre de pirates, Gates n’avait pas rejoint le camp des boucaniers pour se prendre la tête. Cette insouciance se manifestait à tous les niveaux de son existence. Les trois quarts du temps, on le retrouvait totalement chargé sans que la dangerosité de la mer ou d’un combat ne l’encourage à revoir sa conduite. Il ne s’intéressait pas non plus à la politique, sa vision du monde était dès plus simple. Il considérait les pirates comme ses camarades de toujours tout en méprisant les pseudo-pirates-bisounours et les corsaires. Il percevait les marines comme les empêcheurs de tourner en rond de ce monde sans leurs jeter la pierre, et donnait aux révolutionnaires le rôle de drôles d’hurluberlus dans les nuages. Les chasseurs de primes étaient des emmerdeurs à abattre et les civils les agneaux à croquer.
Le Cavalier avait depuis longtemps perdu toutes formes d’humanités. Il ne s’encombrait jamais des sentiments de pitiés ou de regrets lors de ses exactions. Au contraire, il s’en amusait. Il avait appris très jeune à rire de la meilleur blague de l’univers, la Vie. Les problèmes du quotidien devenaient rapidement les futilités d’une bonne plaisanterie. Il ne s’encombrait pas non plus d’honneur dans ses affrontements, la laissant aux idiots, et lui préférant les coups-bas. Le sentiment de fidélité ou de loyauté lui était aussi étranger, si bien qu’un compagnon de boisson d’un soir pouvait se retrouver avec son couteau dans le dos au matin. Il témoignait le même sentiment à ses compagnons de bord, il suivait les hommes forts mais ne se retournait pas s’ils tombaient à terre, et il n’attendait pas d’autre traitement de leurs parts.
Un homme simple, débrouillard, se contentant de ce qu’il avait et sachant animer ses journées si l’envie lui prenait. La richesse l’intéressait peu, il lui préférait l’ivresse des batailles et des océans déchainés. Un bon vivant, avec vivre et se sentir vivant pour crédo. Il était le genre d’homme qu’aucune entrave ne pouvait le priver de sa liberté.
>> Biographie
1569 : Naissance de Gates dans la délicieuse ville de Last Camp._ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________
De père inconnu, sa mère l’abandonna peu de jours après sa naissance. On la disait fille de joie dans les bas-fonds, à quelques berrys le service. Pas toujours facile de garder l’esprit maternel dans un milieu qui ne s’y prête pas. Menant sa grossesse à terme, pour répondre à l’offre allez savoir, on racontait qu’elle ne versa pas une larme quand l’adorable bambin arriva dans l’air vicié du logis. Ou peut être était ce du à l’atmosphère pesante se dégageant du nourrisson. Tout ce qu’il sait, c’est qu’il se retrouva à la rue avant de mouiller sa première couche. Il n’allat jamais chercher plus loin.
Dans son malheur, il eu la chance de ne pas se retrouver dans la gueule d’un chien errant. Son histoire en aurait été raccourcie. A la place, un gaillard bien bâti le ramassa. Son parcours n’avait rien de reluisant comme nombre de la population de Last Camp, mais il eu le mérite de lui sauver la vie. L’attrapant par le pied en sortant les poubelles, il le renifla un coup pour vérifier s’il ne sentait pas le faisandé et le ramena à l’intérieur. Présentant sa prise au Boss, il l’apporta ensuite à la Nourrisse sans s’en préoccuper d’avantage.
La matrone s’occupait d’une main ferme de tous les morpions qu’on lui ramenait. Elle les nourrissait, les lavait et les baffait chaque jours afin de les préparer à leur nouvelle vie. Vu le peu qu’ils mangeaient, l’investissement retombait rapidement sur ses pieds. Certains endroits demandaient de petites tailles pour se faufiler dans des espaces hors d’attente des adultes. On les glissait au travers de barreaux ou par des cheminées, pour qu’ils ouvrent les portes cadenassées de l’intérieur. Ils n’avaient droit qu’à une seule chance. S’ils avaient la mauvaise idée de se faire attraper dans le nid ennemi, il subissait le courroux des habitants sans espoir de recevoir une quelconque aide (ou un soubresaut de pitié pour leurs jeunes âges). Les orphelins ne manquaient pas dans la rue. Par contre si l’opération se soldait pas un succès, le sésame prononcé, des hommes plus robustes s’invitaient et plongeaient l’habitat dans le chaos à coups de matraques et de poignards sans que les occupants ne comprennent ce qu’il leur tombait dessus. Une fois plus âgés, les jeunes garnements rejoignaient le rang des coupe-jarrets et autres brigands, dépouillant et bataillant dans les rues pour leur Boss. Ce système bien rodé qu’employaient certains des gangs les plus abjectes avait de multiples fois fait ses preuves.
Pierre angulaire de Last Camp, les gangs formaient les véritables rouages de la cité. Certains constituaient les pièces d’engrenages encore plus imposants dont le sens pris secouait toute la machinerie. Ils officiaient dans la totalité des domaines, du larcin au meurtre, sans parler des trafics en tout genre. Contrebande, prostitution, tout y passait. Les forbans mouillaient leur ancre au large pour venir fourguer leurs prises à terre, qui repartaient ensuite à bord de navires marchands peu scrupuleux. L’ensemble se déroulait sous la houlette d’intermédiaires mafieux. L’autre occupation de ces bandes de malfrats consistait à défendre et étendre leurs zones d’influences au sein de la ville. Chacun avait ses rues et ses quartiers et tous se les disputaient. La violence tenait un rôle crucial dans leur existence.
Quand il fut en âge de prendre ses jambes à son cou, Gates rejoignit le groupe des pickpockets. Si leur rôle premier consistait à voler, la manière importait peu. Ils apprenaient très vite que dérober les biens d’une personne assommée ou poignardée simplifiait l’acte et repoussait le risque. La qualité première pour survivre à ce métier était de savoir différencier les bonnes cibles des mauvaises. Le reste coulait tout seul. Le logis et le couvert leurs étaient offerts s’ils ramenaient suffisamment, toujours sous la surveillance de la matrone. Ils formaient un petit groupe de cabochards, des gamins de tous âges qui faisaient ce qu’on leurs avait appris. Comme partout, la loi du plus fort primait. Le plus grand et méchant écrasait ses camarades pour mieux régner.
Depuis son enfance, Gates avait toujours été un garçon atypique au corps rachitique. Son nom provenait de l’endroit où on l’avait trouvé, les gangsters manquaient cruellement d'imagination... Sa faible constitution lui avait décerné le rôle de parfait souffre douleur, idéal pour assoir l’autorité des petits durs. Il essuya de nombreuses branlées au cours de son enfance, et la Nourrice lui en aurait donné le double s'il était venu s'en plaindre. Mais le petit homme savait encaisser. Il avait déjà l’âme d’un dur à cuir, de ceux qui craignent pas les coups. La matrone avait bien fait son boulot. Il prenait cher, il rendait peu mais par son sourire et à la manière dont il se comportait, on comprenait bien qu’ils ne l’atteignaient pas autant que souhaités. Puis une aura malsaine se dégageait de lui, même le nez en sang, un regard au plissement de ses lèvres donnait des sueurs froides à ses petits tortionnaires. Il arrivait régulièrement à ceux s’en étant pris à lui d’être victime de mystérieux accidents. Parfois certains tombaient dans les escaliers ou d’autres étaient assommés par derrière et roués de coups. Rien ne le reliait à ces incidents, mais son ricanement perpétuel poussait ses camarades à le lâcher petit à petit pour d'autres moins inquiétants.
Les années passèrent, plus ils prenaient de l’âge plus les combats éclataient fréquemment. Gates maniait maintenant avec une certaine aisance les couteaux et autres lames courtes. Dans ses temps libres, il quittait ses camarades pour rejoindre une taverne en bord de mer. Une bicoque vendant du tord-boyaux bas de gamme à tous les flibustiers du coin. Il n’était pas rare de les entendre raconter leurs histoires, fantasmées le plus souvent, autour d’une chope. Ils contaient leurs exploits, les tempêtes essuyées et les pillages répandues. Ils relayaient aussi les histoires de grands pirates en chantant. Assommés par l’alcool, tous se lançaient dans des hymnes à la piraterie, au fracassement des armes et des vagues. Des rixes s'engageaient régulièrement sans signe avant-coureur et se déroulaient sous les acclamations. Un monde haut en couleur, loin de la grisaille et des rues étroites de la ville, qui appelait Gates par le son de multiples voix.
Vint le jour où il céda à ses envies et lâcha tout. Il commença par s'engager dans un équipage qui appareillait le lendemain à l'aube. Il ne chercha pas longtemps, ils avaient toujours besoin de sang neuf pour remplacer les pertes des précédents abordages. Sachant tous les éclopés embarquant chaque jours, la seule prérogative pour rejoindre un équipage pirate était d’avoir des tripes. Tout le reste n'était pas indispensable. Ayant conclu son embarquement, il retourna préparer ses maigres affaires en toute discrétion. Quitter un gang sans l'aval de son Boss n'était pas bien perçu par ses dirigeants, le sort d'un déserteur n'était pas envié. S'éclipsant pour la nuit, Gates ne réapparut qu'aux premières lueurs du jour et monta sur une passerelle qui le conduisait vers sa nouvelle destinée.
1586 : Gates devient Pirate.
L’équipage rejoint pillait en périphérie de Last Camp, en attendant d’amasser suffisamment de richesses pour s’offrir un aller sans retour sur Grand Line. Avec l’Ile aux esclaves et celles de Kage Berg et Hinu Town, les cales juteuses leurs tendaient les bras. Après l’achat d’informations, ils se positionnaient en pleine mer sur les zones de passages et ramassaient les prises promises. Il arrivait régulièrement aux embarcations convoitées de posséder de solides gardes pour le plus grand plaisir des forbans. De véritables batailles s’engageaient alors entre les navires. Une vie de tumultes et d’ivresses. L’histoire aurait pu devenir routine, mais un élément chamboula le long fleuve tranquille.
Si Gates avait toujours perçu l’aura l’entourant, il n’en avait jamais mesuré les conséquences. Sa ville natale s’étendait sur des kilomètres carrés, si bien que les habitants rentraient et sortaient de l’halo, amoindrissant ainsi son impact néfaste. Dans l’espace restreint disponible à bord d’un navire, semaines après semaines, mois après mois, l’affaire était toute autre. Ses compagnons subissaient pleinement l’effet insidieux de l’aura, rongeant peu à peu leur moral et leur entrain. Plus le temps passait, plus les pertes s’accentuaient lors des abordages. Le navire était devenu l’ombre de ce qu’il avait été à son arrivé. Alors il l’abandonna pour un plus imposant. Il appareillait vers d’autres Blues, loin de Last Camp qui menaçait sa vie à chaque escales. Le nouvel équipage possédait le même souhait que le précédent : atteindre Grand Line, et il mettrait moins de temps à y parvenir.
La nouvelle troupe de gredins surpassait la précédente sur tous les plans. Ils chevauchèrent ensemble de multiples mers, explorèrent de nombreuses iles et combattirent d’innombrables ennemis. Si Gates sut très jeune rire de l’ironie de la vie, il apprit à savourer l’ivresse des combats sous le drapeau noir. Rien n’égalait au petit matin l’odeur de la poudre chaude et du sang frais. Sous la sonnerie des canons ils se jetaient sur les flancs des navires et entamaient un long ballet avec le Mort, tournoyant parmi les cadavres qui s’amoncelaient. Son aura continuait à engloutir les âmes, mais seuls les hommes remplaçables flanchaient. Si les débuts de Gates n’avait pas été facile au sein du précédent équipage, il savait maintenant défendre sa place. Il avait aussi compris que tout le monde n’était pas égal à bord. Le Capitaine tenait le rôle de meneur d’hommes, seigneur en mer et cible à abattre, mais il existait d’autres fonctions à convoiter et bien moins hasardeuses. N’importe quel poste était moins harassant que celui des manœuvres, on balançait les mauvais cuisiniers par-dessus bord et un charpentier incompétent coulait son navire. Ne possédant aucun talent dans ces domaines, il s’intéressa plutôt à celui du quartier-maitre.
A bord d'un navire, on laissait le Capitaine à ses rêves de grandeur, il se contentait le plus souvent de donner le cap à suivre et de montrer sa force. Derrière par contre, le quartier-maitre s’occupait de la bonne marche des ordres. La discipline relevait de son ressort tout comme le respect des instructions. Il s’occupait aussi de mesurer la température de l’équipage pour le compte du Capitaine. John Waters, le quartier-maitre, savait se faire respecter et en se mettant à son service, Gates apprit beaucoup. Tout l’exercice consistait à demeurer dans les bons papiers du Capitaine pour rester intouchable et en même temps à savoir gérer une bande d’énergumènes pour garder le poste. Les pirates n’étaient le plus souvent qu’une bande d’ignares bons qu’à brandir le sabre, le quartier-maitre s’occupait alors aussi à terre de la négociation des prises contre de l’or sonnante et trébuchante. Un jour son mentor tomba pas dessus bord. La place était à pourvoir, il savait compter, l’affaire fut conclue. Il cognait violemment les récalcitrants jusqu’à les faire rentrer dans le chemin. On l’aimait pas, mais il était aussi juste qu’un pirate pouvait l’être. Pour le Capitaine, du moment que le navire avançait le reste lui importait peu.
De nombreuses étendues de flottes salées avaient été parcouru quand ils se lancèrent à l’assaut du cimetière des pirates. Le Capitaine avait vu sa prime gonfler au fil de ses méfaits, dotant par la même occasion son équipage d’une sale réputation pour leurs plus grand plaisir. Le moment était venu d’atteindre la route de tous les périls, ici ils avaient déjà bien ratissé. Une sacré bande de sacrés pirates qui fonçait porté par le courant en direction de leur futur. Ils foncèrent au milieu des flots déchainés en direction du canal qui leurs ouvrirait un nouvel horizon. Sous la pluie battante, leurs voiles gonflaient par la tempête les conduisaient à vitesse croissante vers l'entrée de Reverse Mountain. Au moment de l'atteindre, un déchirement se fit entendre, le navire prit dans le courant s'écrasa violemment contre la paroi et disparu de l’horizon avec tous ses espoirs.
1596 : Gates échoua à rejoindre Grand Line pour la première fois.
Emporté par les eaux, il reprit conscience au cimetière d’épaves accroché à un débris de l’embarcation. Errant parmi les déchets, il récupéra doucement de ses blessures. Quand l’occasion se présenta, il rembarqua pour la même destination et s’écrasa de nouveau contre Red Line. Tous ses autres essaies pour rejoindre la route de tous les périls se soldèrent par une suite de déconvenues plus pitoyables les unes que les autres. A chaque fois qu’il tenta de passer la barrière rouge, un coup du sort l’en empêcha. A la troisième tentative la quille lâcha, une autre fois le timonier se suicida entrainant tout l’équipage avec lui dans les récifs. Il y eu aussi l’attaque du poulpe géant à l’entrée de Reverse Moutain ainsi que le jour où un autre navire ne voulait pas les laisser passer, si bien que les deux s’entrechoquèrent à l’entrée du canal. Il essaya de passer par la flaque aussi, mais les résultats ne répondirent jamais à l’appel. Les tentatives s’enchainèrent tellement qu’il en perdit le compte.
La liste de ses mésaventures grandissait invariablement, si bien que germa au fil des saisons le surnom de Gates : Le Cavalier. Partant de plaisanteries aux tables de tavernes, l’appellation s’enracina dans les esprits côtoyant notre héros, jusqu’à s’imposer. Dans certains de ses points de chute entre deux naufrages, il en devint quasiment une légende : Avatar de la Mort, l'homme annonce par sa venue la fin d’un équipage. Il n’y avait pas pire porte-malheur. L’aura et la faux qu’il utilisait pour combattre augmentaient encore la légitimité du surnom. Gates s’en amusait et se faisait une joie d’entretenir l’image, glacer le sang d’un adversaire avant le combat restait le meilleur moyen de gagner. Par contre, seul ceux ne connaissant pas l’histoire acceptaient de l’embarquer. Mais heureusement la flibuste n’avait jamais été aussi populaire, il y en avait toujours pour se faire avoir. Pour ceux là, le surnom qualifiait son tempérament lors des combats, sa préférence pour les mouvements détournés et traites.
Le Cavalier vécut ainsi sa vie, gravitant d’équipages en équipages, espaçant plus ou moins ses tentatives de traverser Red Line. Il arriva qu’il ne tenta pas l’épreuve des années durant avant de retourner la tête la première contre ce mur infranchissable. Dans son malheur, il eu la chance de survivre à tous ses essais infructueux. Il ne tint souvent qu’à un fil, mais ne passa jamais l’arme à gauche. Aujourd’hui comme souvent, il se contente de boire dans la cacophonie berçante des tavernes de boucaniers. Le nez penché dans une choppe.
1626 : Le Cavalier commence une nouvelle histoire.Prénom : Olivier
Age : 22
Aime : Beaucoup de choses.
N'aime pas : Beaucoup de choses.
Personnage préféré de One Piece : Hummmmm... Señor Pink a un niveau de coolitude extrême.
Caractère : C’est toujours plus rigolo de laisser les autres se faire leur propre avis.
Fait du RP depuis : Longtemps à rythme variable.... longtemps... à rythme variableeeeuh.
Disponibilité approximative : Variiiableeeuh.. Je commencerai en rp solo, en attendant d'avoir un rythme plus soutenu.
Comment avez-vous connu le forum ? Sais plus.
Dernière édition par Sigurd Dogaku le Jeu 23 Juil 2015 - 13:28, édité 66 fois (Raison : Corrigé la partie : équipement.)