>> Trancy Elizabeth
 | Pseudonyme : La plupart des habitués du bar l'ont surnomé « Trèfle », en l'honneur du tatouage en forme de trèfle qui si situe juste à la naissance de sa poitrine. Un joli trèfle à quatre feuilles que l'on peut voir quand elle porte un vêtement décolleté. Age: 30 ans Sexe : Femme Race : Humaine Rang : Métier : Chanteuse dans un bar – Agent du Gouvernement Groupe : Gouvernement Mondial Déjà un équipage : Elaine Cissa But : Devenir la plus grande chanteuse de sa génération et retrouver son frère Sacha. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Manie un couteau. Équipements : Le couteau de son beau-père. Codes du règlement (2) :Buggy le clown the best !...ou pas ♪ Parrain : Mettez le nom de votre parrain ici, si vous en avez un bien sûr |
[center]>> Physique Ce qui frappe n'importe quel passant qui croise Elizabeth dans la rue : C'est sa beauté. Sans être vaniteux, la jeune femme possède de nombreux atouts qui en font pâlir plus d'une : Des mensurations généreuses (nous éviterons le tour de poitrine pour ne pas ameuter la gente masculine)et un bon mètre soixante-dix pour soixante kilos tout rond. Ses cheveux sont noirs comme l'ébène, avec de belles boucles anglaises, avec lesquelles elle aime jouer si souvent. Son visage fin, à le teint d'une poupée de porcelaine. Ses lèvres sont fines et elle aime les mettre en valeur avec une rouge à lèvre, pas trop pétillant non plus, elle préfère un maquillage discret. Son nez est légèrement pointu et elle a tendance, lorsqu'elle est émue, à faire bouger le bout de son nez délicatement. Mais ce qui frappe le plus les gens, et surtout la gente masculine qui l'a côtoie régulièrement dans le bar ou elle se produit, est ses yeux. D'un gris magnifique, semblable au ciel avant une tempête, son regard est à la fois teinté d'une certaine mélancolie et d'une certaine chaleur. Peut-être le signe avant coureur de sa double personnalité... Ses mains présentent quelques cicatrices, certainement à cause du maniement du couteau. On ne devient pas expert en assassinat, même à quatorze ans. Elle préfère donc cacher ses crimes en mettant de longues mitaines noires, en velour. Quand elle ne porte pas de belles et longues robes noires ou rouges pour chanter, elle arbore un style vintage, digne d'une représentante de Bettie Page.
>> Psychologie Si vous croisez Elizabeth dans sa bonne période... Admettons lorsqu'elle se produit sur scène, vous remarquerez tout de suite la délicatesse et le côté chaleureux de la belle brune. Elle n'aime pas l'exubérance et toutes ses prestations sont appréciés, de part leur côté « pur » et convivial. Timide, elle va rarement vers les autres, ou bien seulement après les avoir longuement observé. D'un naturel simple, elle aime rire et surtout manger de tout. Oh que son estomac est incroyable! On dit même que dans sa jeunesse, elle aurait gagné un concours de nourriture. Incroyable quand on voit sa taille. Bon vivante, elle semble cependant toujours en retrait, comme si elle était constamment sur ses gardes. Elle semble n'avoir pas confiance en elle et fait preuve de temps en temps de maladresse. Si vous êtes quelqu'un d'honnête, elle deviendra votre meilleur ami... Si vous n'êtes pas de ce bords là... Vous croiserez son alter égo, celui qui porte le même nom de scène... Trèfle... Trèfle est nerveuse, Trèfle n'aime pas les gens, car les gens lui veulent toujours du mal. Trèfle regarde toujours dans la rue dix fois de suite derrière elle, pour vérifier si la grand-mère qui fait son marché n'est pas un agent du gouvernement mondial. Oui... Trèfle est paranoïaque. Mais surtout, elle est violente. Elle préfère frapper la première, de préférence avec le couteau de chasse de son ex lieutenant de beau-père (qu'il repose en paix celui-là, trente-neuf coups de couteau ne lui ont pas réussis...), ou bien avec ses poings. C'est qu'elle a une sacré droite la Trèfle! Elle vit dans la tourmente, la frayeur d'être attrapé pour ses meurtres, mais en même temps, elle en a besoin. C'est toujours plus fort qu'elle, ça coule dans ses veines comme l'alcool ou la drogue pourrait le faire. Mais si Elizabeth est une fille intelligente, Trèfle l'est encore plus dans l'élaboration de ses crimes. La façon dont elle poignarde ses victimes n'est jamais réellement la même, de même que les indices volontaires qu'elle laisse sur place. A croire qu'elle prend un malin plaisir à faire tourner en bourrique les autorités locales. >> Biographie Il était une fois un adorable bébé, dans une belle famille unie et soudée... Ah non ce n'est pas la bonne histoire... Voici l'histoire sordide, d'une jeune femme qui aurait pu tout avoir, mais qui a finit dans les bas quartiers d'une ville, à chanter pour des poivrots la plupart du temps. Elizabeth est née un 15 mai, dans une modeste famille d’Orange. Son père était un marine et perdit malheureusement la vie au cours d'une mission. Sa mère ne s'en était jamais remise et avait sombré dans l'alcool et les hommes. Jusqu'au jour ou un lieutenant de la marine se présenta, soit disant ami de son défunt mari. Très vite, la mère d'Elizabeth tomba dans les bras de cet inconnue, et quand la jeune fille eut dix ans, elle reçu comme cadeau de Noël un petit frère. Sacha était son amour, son petit frère adoré. Elize passait la plupart de son temps à s'en occuper, le cajolant et le protégeant contre le monde extérieur. Si tout semblait aller pour le mieux pour ces deux adorables enfants, ce n'était pas sans compter sur la présence de leurs parents. Une mère alcoolique et un père violent n'aident pas trop pour l'épanouissement psychologique de n'importe quel enfant. Très vite, Elize se forgea une double personnalité, plus dure, plus forte et plus dangereuse. Lors de ses quatorze ans, elle revint avec un tatouage à la naissance des seins. Sa mère folle de rage l'avait frappé, mais quand elle appris que sa fille était devenue par la même occasion une femme ( elle était tombée amoureuse du tatoueur), sa colère fut telle, qu'elle frappa encore et encore sa fille. Petit à petit, la haine monta en elle et la veste de son beau-père a porté. C'était si simple, autant que couper du pain. Sa mère était devenu du pain... Le couteau de son beau-père était une arme parfaite, qu'elle maniait déjà avec précision. Trèfle était entrée en scène. Bien sûr, il restait un obstacle de taille : son beau-père. Déposant sa mère avec précision sur une chaise, à table comme si elle mangeait, elle attendit tapie dans l'ombre qu'il revienne. Et un deuxième pain fut coupé... Le tout était de maquiller les preuves, afin de ne pas se faire arrêter. Son plan marcha si bien, qu'elle oublia le détail principal : l'orphelinat. Elle n'était pas majeure et Sacha encore moins. C'est de cette façon, simple mais brutale, qu'elle fut séparée du seul être qu'elle chérissait. Ses quelques années en internat lui permirent de canaliser sa personnalité destructrice, pour permettre à Elizabeth un bel avenir dans un cabinet d'avocat. Mais Sacha lui manquait, et Trèfle était toujours là. A dix neuf ans elle partit, a la conquête du monde et surtout en cherchant maladroitement des informations. Son déclic meurtrier se fit en croisant un père qui tenait violemment sa fille par le bras. Un geste qui pouvait être mal interprété, mais qui fit bouillonner de rage la jeune demoiselle. Elle suivit la petite famille et le soir même, assassina le père. Elle maquilla une nouvelle fois le crime, en prenant l'alliance de celui-ci. La mère était partie en voyage, elle pourrait donc s'occuper de ses enfants. Elizabeth, ou plutôt Trèfle, ne voulait pas laisser d'orphelins. Puis s'enchaina les meurtres. Chaque fois un détail changeait, mais chaque fois, elle laissait quelque chose. Un objet pris à la victime précédente. C'était son jeu, sa façon de vivre. A l'âge de vingt cinq ans, elle croisa Elaine Cissa, rencontre qui changea sa vie pendant de longues années. Alors qu'elle venait de tuer un homme, la personnalité douce et fragile revint à la surface et pleura, encore meurtrie par ce qu'elle venait de faire. A cet instant, un mouchoir se présenta devant elle et au bout de se bras, une adorable personne. Elaine, qui désirait sortir les filles de la rue. Et c'est exactement ce qu'elle fit avec notre héroïne. Elizabeth travailla au bar, sous la protection de sa collègue, dans un bar particulier : Asylium. Très vite, la joie de vivre refit surface et elle se découvrit même un talent pour le chant, tout en naviguant sur les flots. Tout naturellement elle se produisit sur scène. Tout semblait aller pour le mieux... Pendant cinq bonnes années. Son alter égo meurtrier s'était calmé et elle avait un job et des amis. Mais elle ressentait toujours un vide. Il n'était pas là, il ne pouvait pas voir qu'elle était devenue une belle femme et surtout elle ne pouvait pas lui dire qu'il lui manquait. L'influence d'Elaine Cissa, qui venait de rejoindre le gouvernement mondial, allait certainement lui être utile. Elle resta donc et devint elle aussi agent du gouvernement mondial, . Dans un sens, elle voulait devenir une chanteuse reconnue, se produire sur les plus grandes scènes de ce monde, sous l'oeil admiratif de son frère, mais dans un autre sens, elle voulait tuer... Exprimer son art dans le meurtre... Un duel épique au somment de la jolie tête brune qui fredonne toujours : I'll fly to the moon and back if you be my baby... >> Test RP Sujet : Vous chantez dans un bar en ville et vous repérez dans la foule une fille. Il s'agit d'une des enfants de l'une de vos victimes. Comment réagirez-vous? [size=11]L'Asylium avait fait escale depuis peu, surtout pour sa ravitailler. Elizabeth en avait profité pour aller se dégourdir les jambes et faire quelques emplettes. Enfin quelques emplettes étaient un vaste euphémisme. Elle était chargée au maximum et chose rare elle ne tombait pas. Comme si ses achats la tenaient en parfait équilibre. Une vraie fille que voilà. Mais à une rue de remonter, elle remarqua une petite affiche : « Recherche chanteur ou chanteuse de jazz pour notre soirée spéciale jazz ce soir. » De retour sur le navire, la belle brune avait harcelée sa patronne pour avoir la permission de jouer autre part. Elle voulait que d'autres personnes la connaissent. Pas que les habitués d'Asylium, même si elle adorait y jouer. Après moult regard de chien battu, elle obtint un oui d'Elaine. Pour la remercier, elle l'embrassa avec passion... sur les lèvres. Bon d'accord, la copine du boss n'était pas dans les parages et la chanteuse connaissait les penchants de son boss. C'était une façon originale de la remercier. Armée d'une robe simple par rapport à ce qu'elle portait sur scène, elle alla au petit cabaret. Elle portait une belle robe rouge, dont le haut était délicatement tissé pour créer un effet sensuel et raffiné. La robe était taillée dans un tissu stretch et était ornée d'une belle ceinture avec un nœud. Une robe classique, mais qui mettait divinement bien ses formes en valeur. Pour accompagner le tout, elle avait un sac en cuir noir et pour seule coiffure, une fleur turquoise dans les cheveux. Un vrai pin up qui s'apprêtait à chanter du jazz. Avant de monter sur scène, elle avait apportée son propre texte. Timidement, elle l'avait montrée au chef d'orchestre, qui d'un air enjoué s'exclama : « C'est une de mes préférées! » Rassurée, elle se dirigea d'un pas maladroit derrière le rideau. Respirant un grand coup, elle reprit son calme. Elle était une artiste et ce soir, elle allait montrer son talent dans un lieu inconnu. C'était certes un petit cabaret, mais ça représentait beaucoup pour elle. La musique commença et le rideau se leva. Trèfle entrait en scène. I bought another dinner for one I sit and watch some pointless re-run And the tears fall down 'Cos this is not what I had planned Jilted, une de ses chansons favorites. Une des rares qui passait à la radio quand sa mère la laissait l'écouter. Elle se souvenait encore des moments ou elle dansait, avec son petit frère dans les bras. Il venait à peine de naître et elle le berçait avec du jazz. Elle espérait que plus tard, ils se produiraient ensemble, lui jouant du piano et elle au chant. C'était son rêve de petite fille, qui fut brisé quatre ans plus tard. C'est avec un pincement au cœur, mais avec beaucoup de talent qu'elle enchaîna sur le chorus, avant de remarquer une personne : Hmmm I've been Jilted again He packed his bags and left whistling a happy song I jumped through hoops to keep that man Oh how did I get it so wrong? C'est là qu'elle la vit. Une adorable demoiselle, qui devait avoir à peine vingt-ans et qui était assise avec un homme beaucoup plus âgé. Si Elize ne l'avait pas remarqué au début, maintenant ses yeux n'arrivaient plus à se détourner d'elle. Cette chevelure rousse… Sa seule erreur… Un crime qu’elle aurait préféré ne jamais perpétrer. Cela remonte à cinq ans, son dernier crime avec Trèfle. Dans un premier temps parce qu’Elaine l’avait aidé. Mais aussi parce qu’elle avait laissé un témoin, sans le vouloir. Une jeune fille de quinze ans, qui était l’objet des remontrances et violences de son beau-père. Trèfle lui avait fait jurer de ne rien dire, avant de monter à bord de l’Asylium. La gamine l’avait surtout remerciée, pour l’avoir sauvée… Mais que faisait-elle si loin de sa demeure ? Et pourquoi était-elle ici ? Allait-elle dénoncer Trèfle ? Tant de questions qui filaient à travers la chanson. Heureusement, la belle meurtrière resta professionnelle et elle finissait en beauté sa chanson. Une fois que le public avait applaudit avec enthousiasme, elle alla saluer le propriétaire. Nerveuse, elle bougeait délicatement le bout de son nez et se mit à rougir quand il la complimenta. Bizarrement, elle n’arrivait pas à entendre la suite de ses délicates attentions. Son esprit divaguait. Elle coupa donc court à la conversation, avant d’aller s’installer au bar et de commander un cocktail. N’importe lequel ferait l’affaire, du moment qu’elle se change les idées. Mais à quelques centimètres de l’artiste, la jeune rousse bavardait. « Vous pensez qu’elle m’a vu ? » Non ! Pas possible ! Elle était là pour Trèfle ! Son cœur battait la chamade, son sang bouillonnait et le couteau de son beau-père trônait majestueusement dans son sac en cuir. Mais comment l’attirer ? Comment la faire taire ? Il était évident que l’homme était de la police, ou de plus haut encore. Il était évident qu’ils allaient l’arrêter, la faire juger et la tuer ! Il était évident… Que la vraie Trèfle venait d’apparaître… Soudain, le couple se leva. Une chance pour elle ! Discrètement, elle paya sa consommation et s’apprêtait à frapper rapidement, de préférence dans une ruelle sombre. Mais avant de sortir, elle entendit une voix familière : « Je crois que tu as oubliée de chanter ton deuxième morceau.. » Elaine, chère Elaine adorée, tu étais donc là ! Profitant certainement du spectacle et aussi des dérives de Trèfle. « Ils nous veulent du mal. Ils doivent payer maintenant, sinon nous serons en danger. -Qu’est-ce que tu en sais ? Si ça se trouve, ils sont juste venus t’acclamer. N’oublie pas que cette petite te considère comme son héros. Tu l’as sauvé d’un beau-père tyrannique.» Et c’est de cette façon, que la patronne et amie d’Elize, fredonna discrètement : My baby don't care for shows My baby don't care for clothes My baby just cares for me My baby don't care for cars and races My baby don't care for high-tone places Un sourire se dessinait sur le visage de la chanteuse. « Tu me prends par les sentiments Elaine. J’allais justement en chanter une d’elle ensuite. Toujours là pour moi pas vrai ? -Toujours ma belle, je te l’ai promis. » Quelques instants après, Elizabeth Trancy, dit Trèfle, s’installait à nouveau devant le micro. Elle respira un grand coup, et adressa un clin d’œil à son boss. « Cette chanson est pour Elaine, assise au fond. Car c’est grâce à elle que je chante aujourd’hui. Merci ! » Et elle se mit à chanter, de sa plus belle voix : Birds flying high you know how I feel Sun in the sky you know how I feel Reeds driftin' on by you know how I feel It's a new dawn It's a new day It's a new life For me And I’m feeling good |
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Informations IRL
- Prénom : Fuji
Age : 21 ans et des brouettes
Aime : La musique (je suis un jukebox ambulant), la littérature (Conan Doyle, Poe, Dickens et Wilde, Werber aussi, Lian Hearn et j'en passe). Je suis une grande fan de Doctor Who, sinon je suis friande de séries policières, et de Kaamelott aussi ( comme le dit si bien Karadoc : Le gras c'est la vie).
N'aime pas : Je suis pas super difficile, donc peu de choses.
Personnage préféré de One Piece : Gecko Moria (oui Thriller Bark est mon arc préféré).
Caractère : Bavarde, trop même - Un peu folle par moment - Sympathique - qui aime rire - chiante - têtue - tendance à se parler à elle-même -
Fais du RP depuis : une année environ
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) Ca va dépendre de mes semaines de cours, dans les meilleurs cas : 4 jours par semaine, dans le pire des cas, je serais là surtout le week-end.
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Dernière édition par Elizabeth Trancy le Mer 20 Avr 2011 - 14:51, édité 12 fois
