>> Elaine Cissa de son vrai nom Yumi Kojima
une image 200*300 | Pseudonyme : Patronne, boss Age: 33 ans Sexe : Femme Race : Humaine Rang : Métier : Patronne d’un bar naviguant sur les flots et Agent du gouvernement Groupe : gouvernement Déjà un équipage : Trancy Elizabeth But : Même si elle est au gouvernement pour donner des informations, son but premier, bien qu’utopique, est de sortir un maximum de filles des rues Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : aucune FDD ces capacités la parlotte et les armes à feux Équipements : un pistolet richement décorer Codes du règlement (2) :Buggy le clown the best !...ou pas Parrain : Mettez le nom de votre parrain ici, si vous en avez un bien sûr |
>> Physique Je suis d’une taille moyenne, donc ni trop grande ni trop petite, plutôt maigre, j’ai de longs cheveux noirs de jais qui m’arrive jusqu’au bas du dos et dont je prends soin de manière très régulière, et les yeux d’un noir tellement intense qu’ont a du mal à le distinguer de celui de l’iris que que je surligne de noir également. Pour ce qui est de ma peau, elle est beaucoup plus blanche que celle des autres ce qui me donne, malgré mes 33 ans, un air de poupée de porcelaine, un aspect plus jeune et un air inoffensif ce qui m’arrange bien. Au niveau de mes mensurations je pense que je n’ai pas à m’en plaindre. Ma poitrine est tout ce qui a des plus respectable du moins à en croire Yuko. En fait, même pour moi, je trouve que mon physique est en harmonie avec chaque élément de mon corps. Je n’ai aucun tatouage. Enfin si dans le dos, qui fut réalisé lors d’une fête bien arrosée avec Tréfle, c’est une phrase pour ne pas oublier qui je suis selon elle.. A part ça, quelques grains de beauté par-ci par là. Et je crois que c’est à peu près tout ce dont vous avez besoin de savoir. Ma tenue vestimentaire, elle est égale au style de que j’ai eu pendant de nombreuses années. C’est-à-dire très luxueuse et ce qui se fait de mieux. Car ce n’est pas parce que je traite avec des truands que je dois mal me vêtir. Le style plutôt traditionnel, en un peu plus extravaguant, mais rien d’extraordinaire >> Psychologie Mon caractère, je pourrais vous dire drôle, joyeuse et tout sorte de choses. Mais pour être honnête je suis capricieuse avec mon entourage, enfants gâtés pourris jusqu’à la moelle. Ma compagne pourra même vous dire que je suis une tête de mule qui ne veut rien entendre quand elle a une idée en tête, et c’est vrai. Qui plus est je ne suis pas des plus facile à satisfaire, enfin si, si vous m’offrez le luxe. Mais même si j’accepte cette offre ce n’est pas à n’importe quel prix. Vous touchez ceux qui me sont cher, à vos risques et périls, car même si je suis fille de riche, je ne suis de celles qui ont peur de se casser un ongle ou de se corrompre pour ces gens. Si elles me le demandaient, je me jetterais dans la gueule du lion, rien que pour les protéger. Je me donnerais corps et âme à ses hommes, reniant celle que je suis, pour pouvoir en sauver ne fusse qu’une. Au risque de décevoir celle qui partage mon lit depuis plusieurs années. Voilà dans les grandes lignes qui je suis. Certaines filles me comparent avec un chevalier, mais il n’en est rien, car je dois avouer que c’est en quelque sorte par pur égoïsme que je fais ça, même si je place leur désir avant toutes choses. Mais évidemment, quand je suis avec elles j’aime m’amuser, sans arrière penser bien sur, faire la fête, rire, bref passer du bon temps. Mais j’ai du changer, vu le milieu dans lequel j’ai décidé de vivre. La pitié ? Non ; Montrez vous compatissante envers ce genre de malfrat vous vous ferez tuer. Gentille ? Egalement le meilleur moyen pour vous faire tuer. La seule langue qu’ils parlent c’est la cruauté… Quant à la Naïveté, alors si vous êtes naïve dans ce milieu c’est la pire des choses >> Biographie Mon histoire la voici. Je suis née dans une chambre décorée par une multitude d’objets de valeur, des draps de soie, des tentures qui auraient ruiné n’importe qui. Bien qu’on puisse penser le contraire de personnes venant de mon monde, je fus aimée, mes parents faisaient attention à chacun de mes mouvements, un peu trop d’ailleurs. Si je tombais, ils se précipitaient sur moi avec un tas de produits pour panser mon éraflure, si je toussais leurs mains étaient armées d’un thermomètre. Je me suis toujours demandée : si j’avais eu des flatulences devant eux, auraient-ils sorti des masques à gaz pour éviter que je sois intoxiquée. Mais comme mes parents avaient pris soin de m’instruire les bonnes manières je n’ai jamais osé, n’y même pensé d’ailleurs à faire cela. L’éducation qu’ils m’offrirent ne s’arrêta pas simplement à l’art de se tenir en société, ils m’offrirent les meilleurs cours, autrement dit le meilleur précepteur. Donc on pouvait dire que ma culture générale était de bon niveau. Il essaya de m’apprendre bien d’autres choses sur la vie extérieure à mon milieu que mes parents étaient dans l’incapacité de m’enseigner ou de comprendre. Donc voilà, durant toute mon enfance j’étais dans le luxe, une cage dorée, loin des souffrances des autres. Jusqu’à mes 14ans. Mon père, sous les conseils de mon précepteur, avait décidé de m’emmener en ville avec lui, quelle fut ma joie quand il me l’annonça. Enfin j’allais pouvoir contempler toutes ces choses dont ce cher professeur m’avait tant parlé, et je ne fus pas déçu. Mon père lui me suppliait de rester auprès de lui, choses dont je n’avais pas envie. Moi, je voulais voir, explorer, sentir et même toucher, faire cette expérience par moi même, sans qu’on me tienne la main. C’est donc dans un rare moment où mon père ne faisait pas attention à moi, que je partis à l’aventure dans une insouciance et une naïveté totale, pensant que le monde ne pouvait être que magique et merveilleux. Quelle fut ma chute quand je mis les pieds dans cet endroit sombre et sordide, qui sentait la putréfaction de la mort. Cela dit, cela ne venait pas de ce que je pouvais voir. Les gens se comportaient comme si le malin avait pris possession d’eux, afin de révéler ce que l’être humain avait de plus mauvais caché en lui, mais il fallait que je continue, je devais savoir. Au loin, je pouvais entendre mon père m’appeler et dans l’autre sens, d’autres bruits que je n’arrivais pas à reconnaître, je décidais donc de m’avancer de plus en plus vers cette étrange sonorité. C’est là que je la rencontrais pour la première fois, dans cette atmosphère de peur et de dégoût si insoutenable que je faillis vomir. Pour ce démon elle n’était qu’un bidon qu’il pouvait remplir à sa guise, pour elle il était à la fois son tortionnaire et son mécène, car elle ne pouvait subsister sans lui. Elle subissait sans broncher et elle n’était pas plus vieille que moi. Mon père me rattrapa, il fut tout aussi choqué par cette scène mais il ne s’attendait pas à ma réaction. Dés qu’il était arrivé je le suppliais de la sortir de là, qu’aucun être humain méritait ce sort, plus il disait non, plus je faisais mon caprice. Et pour finir, j’avais tellement insisté qu’il se plia à mon caprice. Je ne sais comment il fit, mais il avait réussi et dés ce jour, cette fille vivait chez moi en tant que servante. Son nom était Yuko, elle devint mon amie et au fur et à mesure bien plus qu’une amie. Plus j’apprenais à la connaître, plus mon esprit et mon corps se retrouvaient attirés par elle. Elle était fascinante, une tête brulée comme moi et la seule qui osait me dire non dans cette cage dorée. Mais elle ne voyait pas que la gosse de riche que j’étais, elle allait beaucoup plus loin, jusqu’a me connaître sur le bout des doigts. Elle savait ce que je pensais, allait dire ou faire. Et encore maintenant, si elle n’avait pas été là je ne pense pas que j’aurais pu surmonter tous ses changements tout en gardant une part de moi même. Elle fut le premier gros bouleversement dans ma vie, le second fut mon bar mobile. J’avais encore de grande idée et j’étais encore bien naïve, j’avais décidée d’ouvrir un bar ou les employés ne seraient rien que des femmes, jeunes filles que j’aurais sortis de la rue. Il faut le dire ma grand idée ne plut guère à mon père, ni même à Yuko, ce qui est compréhensible. D’ailleurs pour la convaincre j’avais du user de tout mes charmes avec elle, mon père lui fut plus facile à convaincre. Il accepta de financer mon projet, me donna des gardes du corps ainsi que des cours pour utiliser les armes à feu et à mes 20 ans, je fus prête à partir dans ma nouvelle aventure. Les débuts ne furent pas facile je devais négocier avec des malfrats de la pire espèce et j’ai dû vite apprendre le même langage qu’eux, mais parfois cela ne suffisait pas. Je devais me montrer plus impitoyable qu’eux, que ce soit pour sortir ces filles de là, ou pour les protéger et pour éviter toutes retombées sur elles. Je décidais de changer de nom, désormais je m’appelai Elaine Cissa. Mais petit à petit mon bar se faisait connaître sous le nom d’Asylium, la maison close des mers, et les clients affluaient. Un jour, alors que je sortais d’une transaction assez difficile, et qui avait laissé quelques traces de sang, je rencontrai Trèfle. Elle était là, penchée sur le corps d’un homme recouvert de sang, elle avait un air satisfait et n’exprimait aucun remord quand soudain un changement s’opéra. Son visage se figea comme par magie, ses yeux commencèrent à se mouiller, puis les larmes coulèrent et un cri à vous percer le cœur se fit entendre. Je la regardai un instant, puis m’approchai d’elle sous les remontrances de mes gardes du corps, lui tendis un mouchoir tout simplement en lui souriant. Et depuis ce jour, Trèfle travaille dans mon bar. Mes actions intéressèrent fortement certaines personnes, et quand elles vinrent me voir, elles savaient bon nombre de choses sur moi que peu de personnes connaissaient, des choses dont j’avais eu du mal à m’habituer, actes qui était plus que punissables. Je passais donc un pacte avec eux je leur servais d’informateur en échange de quoi ils fermaient les yeux sur tous mes actes et me laissaient libre. C’est ainsi que je suis devenue un agent du gouvernement >> Test RP C’est tôt le matin, alors que le soleil montrait seulement le bout de son nez et que le monde émergeait de ses rêves, que je décidai de capturer ma proie. Ma proie, oui, car comment voulez vous que je nomme une personne autrement, tandis que je devais la capturer et obtenir certaines choses. Elle pensait certainement que ce serait une journée tranquille, qu’elle allait travailler, voir ses amis, boire un verre avec eux. Mais aujourd’hui, ce n’était pas le cas. Ma prise allait passé la pire journée de sa vie ce que je regrettais d’avance, malheureusement je n’avais pas le choix. La capture avait commencé dans son lit alors qu’elle s’éveillait à peine, je lui souris, lui dis un rapide « bonjour » et pour finir, je lui appliquai sans attendre un chiffon sur sa bouche et son nez, chiffon que j’avais imbibé d’éther auparavant. Je sentis ses mains m’agripper, ses ongles s’enfoncer dans ma chair me la déchirant, et lentement son étreinte se relâcha jusqu’à ne plus la sentir. Je sortai de la pièce pour retrouver mes hommes, à qui j’avais donnée l’ordre de m’attendre dans le couloir, puis leur fit signe qu’il pouvait l’emporter. Je n’aimerais décidément jamais faire ce genre de chose, mais il le fallait bien. J’avais choisis un endroit calme, discret et surtout en dehors de la ville, car je savais pertinemment que je n’allais pas obtenir ce que je voulais sans résistance. Et puis, ça aurait fait insulte à ce groupe qu’était les révolutionnaires. Mais s’il y avait une possibilité pour que tout cela se passe le plus doucement possible, alors elle était à prendre. Mais même avec cette infime chance, je devais prendre mes précautions, je l’attachai donc sur une chaise et de manière à ce que ses liens lui coupent un peu le sang. Puis j’attendis tranquillement assise, seule et dans un coin, que mon hôte se réveilla de ce sommeil artificiel. Et quand il se réveilla, je lui laissai reprendre ses esprits. Et quand celui-ci commença à vociférer un tas de chose que je n’écoutai pas, je m’avançai vers lui, me mis à sa hauteur et lui dit calmement : « - Si tu me donnes les informations dont j’ai besoin, je te laisserais partir. Parle-moi de la réorganisation des révolutionnaires.» Il me regarda droit dans les yeux, sans aucune crainte bien au contraire, rien qu’avec ça je savais que j’allais devoir lui extirper des entrailles les informations que je lui demandais. « - Je ne vois pas de quoi vous parlez. » Je me relevai, partis dans un coin de la pièce où se trouvait une table avec quelques ustensiles, quelques petits couteaux mal aiguiser et un bout de bois, c’était la tout ce qu’il me fallait, rien de plus. Je les regardai sans grande conviction, car dieu sait que j’ai horreur de faire ce genre de choses, je soupirai et me dis même que ça ne serait pas une bonne journée. Je sentais déjà la culpabilité m’envahir de manière sournoise, je pouvais même entendre les échos de ma conscience qui était en train de me dire d’arrêter, mais je devais le faire. Elle avait beau me supplier, j’essayais de mon mieux de ne pas l’écouter, et c’était moi qui me retrouvais en train de la supplier de se taire. C’est donc par acquis de conscience que je lui redemandais quand même et la réponse fut la même, je m’excusais donc de ce qui allait se passer. Je coupais donc des petits bouts de bois tout en parlant de choses et d’autres à mon hôte, sans attendre de réponses. C’était pour moi le moyen d’évacuer toute la culpabilité qui faisait déjà surface en moi. Et de l’autre côté je pouvais encore entendre ce murmure qui résonnait encore en moi. Je m’avançai de nouveau vers lui, avec les échardes que je venais de couper, toujours en lui parlant « - Tu sais ce qui se passe chez les révolutionnaire. Et ces informations je dois te les soutirer de gré ou de force, même si je préfère de gré. Je te le demande encore une fois, et après je plante ces bouts de bois entre ta peau et tes ongles. Donc, parle moi de la réorganisation des révolutionnaires. - Plutôt mourir. - Bien, comme tu le voudras. » Je commençai donc cette basse besogne que je haïssais tant, au début il résista à la douleur et à l’envie de crier, il me regarda même sans un battement de cils, certainement pour me montrer sa détermination et moi j’y allais sans envie donc c’était moins douloureux que ca ne devait l’être. Par moment je m’arrêtais et lui reposait la même question ce à quoi j’avais toujours la même réponse. Je décidais donc d’enfoncer les échardes lentement, parfois je m’arrêtais et tournais le bois de la même manière. A ce moment le silence fut rompu, ses cries remplissant la pièce dans une cacophonie insoutenable. Cette séance était une torture pour lui comme pour moi. J’avais l’impression également que ces bouts de bois s’enfonçaient lentement dans ma chair. Ils s’abreuvaient ainsi de sons sang comme du mien, ce délectant tel un vampire se nourrissant. Parfois je m’arrêtais lui redemandant ses précieuses informations, il me répondait toujours la même chose puis je lui parlais encore de choses et d’autres. Ca devenait un cercle vicieux dans lequel je m’y retrouvais à peine. Pour la dernière fois je lui parlai. « - Tout ceci serait plus facile et déjà terminé si tu me disais la vérité. J’ai horreur de faire ce genre de chose, crois-moi. Alors dis moi la vérité je t’en prie. En plus tu ne pourras tenir bien longtemps à ce rythme et j’aimerai assez éviter de te tuer. » La proie me regardait, elle ne croyait pas vraiment mes paroles, ce dont je ne pouvais le blâmer, après tout je l’avais bien enlevé et torturé pour obtenir ce que je voulais. Pour finir il me donna les informations dont j’avais besoin, au bout de plusieurs heures insoutenables. La suite, disons qu’on la retrouvé dans une ruelle près d’un bordel réputé pour être dangereux. J’avais au préalable retirée tout les bouts de bois que j’avais enfoncés et maquillée les traces que j’aurais pu laisser. Puis j’avais ordonné à mes hommes d’attendre la nuit, le moment où les rues retombent dans le silence, et surtout de faire attention à ce qu’on ne les reconnaissa pas. Puis je repartais en direction de l’Asylium. Quand j’arrivai Trèfle chantait une de ses chansons favorites, je la regardais un moment et me demandais comment elle faisait pour supporter les actes de son alter ego. Puis elle termina sa chanson, et moi je me dirigeai vers mes quartiers. La pièce était spacieuse, composée d’un séjour richement décoré, des tableaux ornaient certains murs, sur un autre quelques katana dont je n’avais aucune utilité, sur une table, adossée contre un mur, se trouvait un présentoir sous verre avec deux pistolets. Pour finir il y avait un bureau devant lequel se trouvait un divan et deux fauteuils. La deuxième pièce était la chambre où le style de décoration était très similaire à l’autre pièce, mise à part qu’il y avait un grand lit. Je m’assis au bureau, pris une feuille et commençai à écrire mon rapport pour ceux qui étaint derrière moi quand la porte s’ouvra timidement, je regardai du coin de l’œil et vis Elize dans l’embrasure, je souriais tout en continuant mon écrit, elle s’avança vers moi et d’une voix peu sûr d’elle. « - Est ce que ca va ? color=#660a0a]- Ne t’inquiète pas.[/color] » Elle me demanda si j’étais sûr, sinon qu’elle était là pendant l’absence de Yuko. C’est vrai Yuko n’était pas là, mais qu’importe tout ceci, je l’avais choisis, je devais m’y faire et accepter aussi dur que cela me paraissait. C’était donc toujours avec le sourire que je lui disais de ne pas s’inquiéter que tout allait bien. Elle m’embrassa sur la joue, non pas pour me provoquer, bien qu’elle soit une très belle femme, mais pour me dire tout simplement qu’elle était là. Ce pourquoi je la remerciai et repris mon rapport pour l’envoyer au plus vite. |
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Informations IRL
- Prénom : Shacka
Age : voyons on demande pas ce genre de chose
Aime : Pas mal de choses, les gâteaux au petits beures, mousse au chocolat, le hachis Parmentier ect…
N'aime pas :peu de choses
Personnage préféré de One Piece : Robin pas parce qu’elle fait partis de l’équipage de Luffy, mais parce que c’est un perso torturer qui pense que tout les malheurs du monde sont de sa faute
Caractère : b] Oula je suis tordu comme dirait une certaine personne que je connais. Mais très gentille, folle et un tas d’autres choses
[b]Fais du RP depuis : bo je dirai deux ans
Disponibilité : ba on va dire surtout le week end
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Dernière édition par Elaine Cissa le Mer 20 Avr 2011 - 20:55, édité 2 fois