Rien n’était réellement différent, j’avais démarquée déjà et me retrouvais maintenant seule. Les rues étaient bondées, en cela résidait la principale différence avec l’unique ville que j’avais connue. Mais vous vous en doutez, à mes yeux, tout était différents. Les bâtiments, certes plus hauts, étaient à mes yeux aussi grands que des buildings de cent étages. Alors qu’il devait y avoir, quatre ; maximum cinq étages pour les plus grands des bâtiments. Six peut-être… Les rues bondées me paraissaient cent fois plus fréquentées. Il y avait certaine agitation. Beaucoup de navire avaient accosté cette dernière semaine sur ce chantier naval, et donc port de commerce secondaire, moyennement fréquenté. La Marine, des pirates, des voleurs, des petites frappes. Quelques arnaqueurs, pas mal de commerçants qui attiraient toute la ville et certainement les alentours. Un marché temporaire en face des pontons d’accès au navire avait était mit en place par les commerçants eux-mêmes ce qui n’arrangeais rien au manque de place général. Je me fouillais entre les gens, les mains dans les poches, non pas pour protéger une quelconque bourse, mais pour cacher ma main dénudée. Cacher la structure de mon corps. Je préférais paraitre pour une humaine frileuse et renfermée que pour une androïde. Détestant mon corps comme jamais. Il faisait chaud et j’aurai bien aimée avoir cette sensation si agréable… Celle de profiter des rayons solaire. En débardeur, il m’aurait suffit de retirer mon manteau et mes mitaines longues. Trop de honte pour que j’ose. Les gens me bousculez sans vergognes, me trinsballant de gauche à droite, d’avant arrière alors que j’étais toujours aussi émerveillée. On aurait pus me frappée, j’aurai pus pleurée par des insultes, que j’aurai gardée bonne impression de ma première réelle expédition dans une autre ville que celle qui m’avais vue naitre et mourir.
Je m’extirpai avec difficulté de la masse pour atterrir devant une étale d’un commerçant basané, posant lourdement mes mains dessus pour m’empêcher de tomber carrément dessus. D’un geste plutôt violent et d’un grognement désagréable il me repoussa me traitant de voleuse ; Enfin. C’est ce qu’il avait voulus faire, me repousser vers l’arrière. Tout en étant un matériau léger il fallait ajouter à cela mes protections aux jambes d’une quinzaine de kilos me faisant obtenir un poids, plus impressionnant qu’il n’y aurais cru, visiblement. Ignorant ce geste et ses paroles déplacées, je redressai mon visage vers le sien, posant mon regard dans ses yeux noisettes et lui décrochant mon plus doux sourire, hochant la tête de coter. « -Je passe pour une voleuse, j’ai une tête de méchante ou Quoi ?
Je m’éloignai donc, après tout, à mes yeux, ma dette était payée pour avoir dérangée légèrement son étale de babioles ridicules et sans le moindre intérêt. Visiblement, il n’y avais que moi qui pensai ainsi. A peine eu-je fais quelques pas, juste avant de m’engouffrée à nouveau dans la masse pour reprendre ma découverte de ce semblant de nouveau monde… A mes yeux tous du moins.. Que je le ré- entendît crier, le bruit de pas tapant lourdement au sol. Même moi qui n’avais pas pus courir avant mes onze ans, je connaissais mieux les technique de course que ce looser. Mes yeux s’arrondirent comme bien souvent quant j’avais peur, sourcils écartés, figée sur place. Prostrée à l’écoute de se son approchant. Mon cœur ce mit a battre fort et, lorsque j’entendis un pas différent, mon corps bondit plus haut que jamais. M’abaissant d’un reflexe incertain j’abattais mon coude par un pur hasard dans mon mouvement pressé, dans ses parties génitales. Une gerbe de sang passa devant mes yeux alors que son corps s’affaissait sur mon dos. Hors connaissance de ma force et prise par un réflexe uniquement dus à mon manque de confiance en moi : Je m’écroulais face contre terre. Décidément, en ce moment, je tombais souvent. Dans le désintérêt quasi intégral et général. Les gens s’écartant et regardant avec dégouts la scène. Quelques secondes passèrent avant que l’autre ne revienne à lui et ne recouvre ses esprits, une fois redresser. Je me retournai, toujours au sol pour être face à lui et non plus face vers le sol. Haut de mon corps redresser soutenu par mes bras tendus vers l’arrière. Rugissant et pestant contre ma personne. Encore une fois, un automatisme instinctif, l’animal craintif que je suis bondit sur ses pattes arrière et prit la fuite dans la foule, une minutes, puis deux puis beaucoup d’autres, jusqu’à ce que je ne sorte de la foule, jetant un regard derrière moi : BOUM : reculant d‘un pas je tombai sur mes fesses, quelque chose, quelqu’un ? Toujours est-il que je l’avais violemment heurtée. Cette personne, ou, chose… » me demandais-je alors assez niaisement. Y penser m’attristai beaucoup alors je replongeai ma main dans ma poche, sans avoir le souvenir quelle était a nus. Sortant les quelques pièces que j’avais emportée je les jetais habilement sur la table et me détournais après m’être excusée pour le dérangement. Ainsi qu’après une petite courbette de politesse. Maitresse m’avait dit qu’il fallait toujours l’être, en toute circonstances et face à toute personne pour ne pas s’attirer d’ennuis et mieux ce venger. Si j’avais connue ce mot, je ne me souvenais en aucun cas de sa signification, ni de son intérêt. Mais je n’avais osée le lui demander précision… Maitresse étais, est, du genre à s’emportée pour un rien. Enfin, quant on la contredit, ou qu’on parle de sa superbe taille. J’aimerais être comme maitresse ! Hrem, je m’écarte.
Je m’extirpai avec difficulté de la masse pour atterrir devant une étale d’un commerçant basané, posant lourdement mes mains dessus pour m’empêcher de tomber carrément dessus. D’un geste plutôt violent et d’un grognement désagréable il me repoussa me traitant de voleuse ; Enfin. C’est ce qu’il avait voulus faire, me repousser vers l’arrière. Tout en étant un matériau léger il fallait ajouter à cela mes protections aux jambes d’une quinzaine de kilos me faisant obtenir un poids, plus impressionnant qu’il n’y aurais cru, visiblement. Ignorant ce geste et ses paroles déplacées, je redressai mon visage vers le sien, posant mon regard dans ses yeux noisettes et lui décrochant mon plus doux sourire, hochant la tête de coter. « -Je passe pour une voleuse, j’ai une tête de méchante ou Quoi ?
Je m’éloignai donc, après tout, à mes yeux, ma dette était payée pour avoir dérangée légèrement son étale de babioles ridicules et sans le moindre intérêt. Visiblement, il n’y avais que moi qui pensai ainsi. A peine eu-je fais quelques pas, juste avant de m’engouffrée à nouveau dans la masse pour reprendre ma découverte de ce semblant de nouveau monde… A mes yeux tous du moins.. Que je le ré- entendît crier, le bruit de pas tapant lourdement au sol. Même moi qui n’avais pas pus courir avant mes onze ans, je connaissais mieux les technique de course que ce looser. Mes yeux s’arrondirent comme bien souvent quant j’avais peur, sourcils écartés, figée sur place. Prostrée à l’écoute de se son approchant. Mon cœur ce mit a battre fort et, lorsque j’entendis un pas différent, mon corps bondit plus haut que jamais. M’abaissant d’un reflexe incertain j’abattais mon coude par un pur hasard dans mon mouvement pressé, dans ses parties génitales. Une gerbe de sang passa devant mes yeux alors que son corps s’affaissait sur mon dos. Hors connaissance de ma force et prise par un réflexe uniquement dus à mon manque de confiance en moi : Je m’écroulais face contre terre. Décidément, en ce moment, je tombais souvent. Dans le désintérêt quasi intégral et général. Les gens s’écartant et regardant avec dégouts la scène. Quelques secondes passèrent avant que l’autre ne revienne à lui et ne recouvre ses esprits, une fois redresser. Je me retournai, toujours au sol pour être face à lui et non plus face vers le sol. Haut de mon corps redresser soutenu par mes bras tendus vers l’arrière. Rugissant et pestant contre ma personne. Encore une fois, un automatisme instinctif, l’animal craintif que je suis bondit sur ses pattes arrière et prit la fuite dans la foule, une minutes, puis deux puis beaucoup d’autres, jusqu’à ce que je ne sorte de la foule, jetant un regard derrière moi : BOUM : reculant d‘un pas je tombai sur mes fesses, quelque chose, quelqu’un ? Toujours est-il que je l’avais violemment heurtée. Cette personne, ou, chose… » me demandais-je alors assez niaisement. Y penser m’attristai beaucoup alors je replongeai ma main dans ma poche, sans avoir le souvenir quelle était a nus. Sortant les quelques pièces que j’avais emportée je les jetais habilement sur la table et me détournais après m’être excusée pour le dérangement. Ainsi qu’après une petite courbette de politesse. Maitresse m’avait dit qu’il fallait toujours l’être, en toute circonstances et face à toute personne pour ne pas s’attirer d’ennuis et mieux ce venger. Si j’avais connue ce mot, je ne me souvenais en aucun cas de sa signification, ni de son intérêt. Mais je n’avais osée le lui demander précision… Maitresse étais, est, du genre à s’emportée pour un rien. Enfin, quant on la contredit, ou qu’on parle de sa superbe taille. J’aimerais être comme maitresse ! Hrem, je m’écarte.