Le Cap du premier mois étai franchis. J’habitai donc cette ville depuis tous ce temps, enfin… Disons plus exactement que je squattais. Ayant fait la découverte de l’immense valeur de l’argent aux yeux des gens, j’avais d’abord étais contrainte à habiter sur tel ou tel banc. Hrem, oui, à y dormir. C’est vrai… Puis, après, deux semaines environs, j’étais tombée sur une maison abandonnée, devant laquelle je dormais assez souvent en fait. Je m’en rendais concrètement compte, qu’elle était vide d’habitants, seulement après ce temps dit. Ainsi, on peut considérai que j’habitai effectivement ici. Puisqu’en quelques sortes et au moins à mes yeux. Cette maison m’appartenait. Sans y être forcément heureuse, j’avais décidée de réfléchir, essayer de m’intégrer pour prendre un nouveau départ, reniant mon rêve de découverte du monde. Trop de dangers à mon gout et dans une ville aussi active, j’aurai loisir à écouter les histoires des marines de passage. Espérant que l’équipage qui m’avait amenées ici revienne un jour. Je ne les avais même pas remerciés. N’étais-ce pas un comble tout de même ? Enfin, peut-être pas pour vous mais pour moi ca l’étais. Ne pas remercier des gens qui m’aidaient, cela s’en approchai fortement. A cette pensée, j’avais plusieurs fois pensée à ce que je pourrais leur dire, et je me sentais déjà si bête, face à leur… Virilité, un peu ridicule mais tellement mise en valeur par leur uniforme. Avais-je quelques envies humaines ? Non, non il ne fallait pas. Jamais je n’avais eue de petit ami et jamais je n’en aurais. Aujourd’hui, avec ce corps, de toute façon, ca ne m’étais plus possible. Autant, autant ne jamais les revoir.
Voilà la décision que j’avais prise ce jour même ; froissant dans mon esprit cette dernière tentative de remerciement. Je sortais de mon petit chez moi improviser. A notez, pour les mauvaises pensées : Ouai enfin non… Y avais pas d’eau. M’enfin, pensez bien que l’Adamante ne s’oxyde pas alors, ile st facile à laver, juste besoin d‘une source d’eau. Pas trop difficile à trouver dans une ville de bord de mer hein… Et pour les vêtements et bien, idem, pas besoin d‘une machine à laver et heureusement. Quelques plantes et une source d’eau. N’importe quelle petite tête le serait. Alors oui, j’&étais propre malgré le semblant de squatte. Il m’était nécessaire, ou devenu presque habituel de sortir dans ses heures là. Pas que j’avais beaucoup d’argent, juste un petit magot présent dans un plancher fragile trouver par purs hasard me permettant a peine de m’acheter l’huile nécessaire au bon entretien quoi que théoriquement naturel de ma légère machinerie. Aucun extra. Je ne connaissais d’ailleurs personne et bien que l’envie d’essayer de rencontrer du monde me tiraillait. La honte de ce que j’&étais restait plus forte et continuellement je restai cloitrée ‘chez moi’. Sauf comme dit pour cet achat qui ce répétais chaque jour. Aujourd’hui cependant, la boutique était fermée. Quelque jurons sortant de ma bouche, les poings serrée, je tapai dans un caillou qui ce brisa sur le coup en un tas de poussière rocheuse s’envolant au gré de la légère volute venteuse. Et je repartais, non pas chez moi mais à la recherche d’une autre boutique. Voilà, maintenant vous savez comment j’en vint assez bêtement a sortir loin de ma maison. Au détour d’une petite rue j’entendis d’étrange son, sec, dur. Un peu comme des coups. Folie d’inconscience je m’étonnais de ses sons et m’engouffrai dans la ruelle.
Puis dans une seconde encore plus étroite, en vint une troisième, une quatrième et beaucoup d’autres en suite tant que je m’étonnai que cette bourgade fut pourvue d’autant de petites rues -peut-être la bourgade était elle, ce que je n’avais remarquée, une ville moyenne. Et donc, bien plus vaste que tout ce que j’avais connue jusqu’alors.-. Et passais devant la provenance du son. L’étroitesse n’enleva rien du charme de cet immense portail à ouverture latérale d’entrée. D’au travers duquel j’admirai une bonne quarantaine d’ado suivre les ordres d’un sensei, s’entrainant a ce battre dans le vide. Un flash me revint alors, des images de livres que j’avais pus lire. Kung Fu, Chi. Et toutes ses choses… Mes mains ce refermèrent, les poings serrer ; Moi aussi je devais devenir forte. Contrôler mon corps quel qu’il soit, et mon esprit. Découvrir le monde. Je le désirais si ardemment, mon rêve ne c’était pas éteint et bien que ma première expérience fut assez terrifiante… bientôt, des que je m’en sentirais capable, je reprendrai la route. Peut-être pas par la mer qui me terrorisai plus que tout, mais un jour, prochainement, je repartirai. J’en étais aujourd’hui convaincue. Il ne me faudrait que surmonter cette énorme appréhension. De toute manière, j’étais trop enfermée sur moi-même pour m’intégrer à une vie monotone dans une ville inconnue. Je repartais en courant, visiblement, pas du bon côté. Ou bien me trompais-je un peu après. Premier tournant, peut-être second… Ou même le troisième ? Rarg, ou que j’suis maintenant ? Les minutes passants, puis les heures. Le soir tomba, je courrais toujours. Mon corps était vraiment appréciable pour de tels cas, chose que je remarquai seulement. Quoi que je le détestai pourtant encore. La nuit était tombée, la lune et les étoiles cachaient par de gros nuages encore plus sombres que l’ébène de la nuit. Comprenant que je ne retrouverai pas mon chez moi, je m’arrêtais au beau milieu d’une rue déserte, le vent souffla sur les flags déchiré, balayant le sol poussiéreux, repoussant toute la poussière vers le nord. Je n’étais pas seule et a cette heure, c’était loin de me rassurée !
Voilà la décision que j’avais prise ce jour même ; froissant dans mon esprit cette dernière tentative de remerciement. Je sortais de mon petit chez moi improviser. A notez, pour les mauvaises pensées : Ouai enfin non… Y avais pas d’eau. M’enfin, pensez bien que l’Adamante ne s’oxyde pas alors, ile st facile à laver, juste besoin d‘une source d’eau. Pas trop difficile à trouver dans une ville de bord de mer hein… Et pour les vêtements et bien, idem, pas besoin d‘une machine à laver et heureusement. Quelques plantes et une source d’eau. N’importe quelle petite tête le serait. Alors oui, j’&étais propre malgré le semblant de squatte. Il m’était nécessaire, ou devenu presque habituel de sortir dans ses heures là. Pas que j’avais beaucoup d’argent, juste un petit magot présent dans un plancher fragile trouver par purs hasard me permettant a peine de m’acheter l’huile nécessaire au bon entretien quoi que théoriquement naturel de ma légère machinerie. Aucun extra. Je ne connaissais d’ailleurs personne et bien que l’envie d’essayer de rencontrer du monde me tiraillait. La honte de ce que j’&étais restait plus forte et continuellement je restai cloitrée ‘chez moi’. Sauf comme dit pour cet achat qui ce répétais chaque jour. Aujourd’hui cependant, la boutique était fermée. Quelque jurons sortant de ma bouche, les poings serrée, je tapai dans un caillou qui ce brisa sur le coup en un tas de poussière rocheuse s’envolant au gré de la légère volute venteuse. Et je repartais, non pas chez moi mais à la recherche d’une autre boutique. Voilà, maintenant vous savez comment j’en vint assez bêtement a sortir loin de ma maison. Au détour d’une petite rue j’entendis d’étrange son, sec, dur. Un peu comme des coups. Folie d’inconscience je m’étonnais de ses sons et m’engouffrai dans la ruelle.
Puis dans une seconde encore plus étroite, en vint une troisième, une quatrième et beaucoup d’autres en suite tant que je m’étonnai que cette bourgade fut pourvue d’autant de petites rues -peut-être la bourgade était elle, ce que je n’avais remarquée, une ville moyenne. Et donc, bien plus vaste que tout ce que j’avais connue jusqu’alors.-. Et passais devant la provenance du son. L’étroitesse n’enleva rien du charme de cet immense portail à ouverture latérale d’entrée. D’au travers duquel j’admirai une bonne quarantaine d’ado suivre les ordres d’un sensei, s’entrainant a ce battre dans le vide. Un flash me revint alors, des images de livres que j’avais pus lire. Kung Fu, Chi. Et toutes ses choses… Mes mains ce refermèrent, les poings serrer ; Moi aussi je devais devenir forte. Contrôler mon corps quel qu’il soit, et mon esprit. Découvrir le monde. Je le désirais si ardemment, mon rêve ne c’était pas éteint et bien que ma première expérience fut assez terrifiante… bientôt, des que je m’en sentirais capable, je reprendrai la route. Peut-être pas par la mer qui me terrorisai plus que tout, mais un jour, prochainement, je repartirai. J’en étais aujourd’hui convaincue. Il ne me faudrait que surmonter cette énorme appréhension. De toute manière, j’étais trop enfermée sur moi-même pour m’intégrer à une vie monotone dans une ville inconnue. Je repartais en courant, visiblement, pas du bon côté. Ou bien me trompais-je un peu après. Premier tournant, peut-être second… Ou même le troisième ? Rarg, ou que j’suis maintenant ? Les minutes passants, puis les heures. Le soir tomba, je courrais toujours. Mon corps était vraiment appréciable pour de tels cas, chose que je remarquai seulement. Quoi que je le détestai pourtant encore. La nuit était tombée, la lune et les étoiles cachaient par de gros nuages encore plus sombres que l’ébène de la nuit. Comprenant que je ne retrouverai pas mon chez moi, je m’arrêtais au beau milieu d’une rue déserte, le vent souffla sur les flags déchiré, balayant le sol poussiéreux, repoussant toute la poussière vers le nord. Je n’étais pas seule et a cette heure, c’était loin de me rassurée !