>> Zu
Une image de 200*300 pixels.  | Pseudonyme : Zu le Démoniaque / Le collectionneur Fou Age: 30 ans Sexe : Homme Race : Cornu, Cyborg (Voir ICI) Métier : Inconuu / Saeba : Collectionneur Groupe : Inconnu / Saeba : Pirate But : Prendre la succession d'Edward Newgate Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Espère trouver un jour un Fruit du Démon et principalement Le Gura Gura no Mi Équipement : Bâton en Métal, une cape capuche de couleur noir, Botte de l'archipel Saobody Codes du règlement : Parrain : Ce compte est-il un DC ? : non Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
>> Physique
Zu est un Cornu de 2m20 dont les cornes sont assez proéminentes pour un cornu. Suite aux incidents qui c'étaient produit 3 ans auparavant il a pris l'habitude de porter une cape noire avec une capuche.
Il a une musculature imposante mais raisonnable (ne l’empêchant pas de faire aucun mouvement).
Il a les cheveux rouge arrivant aux épaules, une imposante barbe et de nombreuse cicatrices sur le corps ainsi que quelques modifications cybernétiques. Il a les yeux de la même couleur que ses cheveux.
Il se déplace avec un drôle de bâton.
Lorsqu'il réfléchi, il tape son pouce sur chaque doigt, se qui l'aide à ce concentrer; il le sait et essai de s'en empêcher. C'est un mouvement qu'il répète plusieurs fois (tic qu'il a pris, à la base, sur l’île Karaté pour bien sentir sa pulpe des doigts.)
Pour un corps de cette taille il a appris à marcher de la manière la plus silencieuse qui lui est possible, grâce à une découverte fort intéressante les Bottes de Saobody.
Il a une musculature imposante mais raisonnable (ne l’empêchant pas de faire aucun mouvement).
Il a les cheveux rouge arrivant aux épaules, une imposante barbe et de nombreuse cicatrices sur le corps ainsi que quelques modifications cybernétiques. Il a les yeux de la même couleur que ses cheveux.
Il se déplace avec un drôle de bâton.
Lorsqu'il réfléchi, il tape son pouce sur chaque doigt, se qui l'aide à ce concentrer; il le sait et essai de s'en empêcher. C'est un mouvement qu'il répète plusieurs fois (tic qu'il a pris, à la base, sur l’île Karaté pour bien sentir sa pulpe des doigts.)
Pour un corps de cette taille il a appris à marcher de la manière la plus silencieuse qui lui est possible, grâce à une découverte fort intéressante les Bottes de Saobody.
>> Psychologie
Zu a eu beaucoup d'évolution dans toute sa vie. Il est passé de l'enfant turbulent qui faisait les quatre cents coups, à l'adolescent bercé par les histoires de sa mère qui voulait être un aventurier, un Pirate; à un prêt adulte qui hésitait avec la Marine. Car sur son île la justice et le bien sont de rigueur.
Mais il compris bien vite à ses dépends que la Marine n'était pas forcement synonyme de "Bien" et que chaque individu pouvait être juste. Qu'il soit Pirate, Marine, Chasseur de tête.
C'est donc quelqu'un qui essai de passer inaperçu. Il cherche tous les objets qui peuvent l'aider et sait très bien les modifier. Pragmatique, il préfère s'adapter à la réalité immédiate que d'anticiper les répercutions que ces actions peuvent avoir.
Il souffre de la solitude, mais il se trouve face à un grand dilemme, car il a peur d'être avec des Nakama qu'il ne saurait protéger.
Trés entêté, quand il décide quelque chose il ne fera pas autrement, c'est d'ailleur pour ca qu'il veut un Fruit du Démon et devenir expert du Goyjin Karaté, choses qui sont un peu antagoniste.
Mais il compris bien vite à ses dépends que la Marine n'était pas forcement synonyme de "Bien" et que chaque individu pouvait être juste. Qu'il soit Pirate, Marine, Chasseur de tête.
C'est donc quelqu'un qui essai de passer inaperçu. Il cherche tous les objets qui peuvent l'aider et sait très bien les modifier. Pragmatique, il préfère s'adapter à la réalité immédiate que d'anticiper les répercutions que ces actions peuvent avoir.
Il souffre de la solitude, mais il se trouve face à un grand dilemme, car il a peur d'être avec des Nakama qu'il ne saurait protéger.
Trés entêté, quand il décide quelque chose il ne fera pas autrement, c'est d'ailleur pour ca qu'il veut un Fruit du Démon et devenir expert du Goyjin Karaté, choses qui sont un peu antagoniste.
>> Biographie
Je suis originaire de l’île Karaté et j'ai donc été initié à toutes les formes d'art martiaux.
Toute mon enfance j'ai essayé de fuir les entraînements qui pour moi étaient plus ennuyant que stimulant. Je faisais donc toutes les bêtises qui pouvaient me passer par la tête. Cela allait du seau remplit de fiente de Terreur Guma, posé sur le coin de la porte, à accrocher toutes les armes du Dojo à la cime des plus grands arbres. Mes parents me réprimandaient souvent pour ce genre de choses et par la suite j'ai compris bien vite à la mort de ma sœur que les arts martiaux nous était indispensable dans ce monde.
Ce fut un premier déclic, rien sur cette terre ne nous épargnera, rien sur cette terre nous sera donner, par contre tout sur cette terre nous sera pris!
Du coup je me suis mis sérieusement à ses pratiques ancestrales. Mais rien à faire! Cela ne me permettra pas de protéger mes proches, cela ne me permettra pas de devenir plus puissant.
Ma mère voyant tant de souffrance dans cette quête de protection me dit qu'à l’extrême nord de notre île se trouvait un Homme Poisson. C'est ma chance! Mon père dit toujours que c'est l'art martiale le plus puissant.
Un certain Toridé. Quelle ne fut pas ma surprise quand je trouve Maitre Toridé, il doit mesurer 1m60, à une grande et fine barbe blanche avec ses sourcil blanc eux aussi, n'a pas de cheveux.
Ma première impression fut la déception car malgré le faite que je ne suis âgé que de 13 ans je fais déjà une taille de 1m80. Je n'ose le déranger, il est en plein entrainement, j'observe, j'apprend et je me rend compte que son aspect chétif est en vérité une force car sous son kimono je distingue bien vite la réalité, une musculature parfaite et dans ses enchaînements, il n'y a place a aucun mouvement inutile.
Je senti le soleil me chauffer le bas des reins, il est à horizon bientôt couché, cela fait cinq heures que je l'observe, cinq heure qu'il répètes ses enchaînements et cela fait déjà un moment que je le vois mes que je ne l'observe plus. Tellement que je n'ai pas fait attention qu'il a arrêté et se dirige vers sa cabane. La porte se referme! Non! Quel idiot je lui est rien demandé!
Je n'ai rien pris à manger! Mon ventre grogne! Tampis j'essai de m'endormir. Je me fit réveiller par une douche froide, une pluie à damné un mort qui en quelques minutes m'avait mouillée jusqu'aux. Et là je pu assisté à un spectacle grandiose! Maitre Toridé s’entraînait sous la pluie, mais rien à voir avec les enchaînements qu'il faisait cette après midi. On pouvait voir littéralement des vagues, des faisceaux se former après chacun de ses coups.
Ce n'est même plus de l'art, c'est divin, c'est la plus belle chose qui m'est été donné de voir. De la ou je l'observer je peut sentir la déflagration de ses coups. Chaque coups faisait battre mon cœur plus fort. Tout en gardant une distance suffisante je me mis en position et suivi ses enchaînements. Les trois quart des techniques qu'il emploie me sont inconnu mais j'essai.
Les jours passent et je reste prés de chez lui, j'essai de suivre ses mouvements, ses techniques, de comprendre.
Cela fait un mois, je n'ai toujours pas trouvé le courage de lui parler mais les mouvements son plus clair dorénavant. Mais la malnutrition et le manque de sommeil eurent raison de moi.
Humm, cela sens trop bon!
"Tu as faim? Si oui sert toi."
Je sors du lit et m’élance sur la chaise, et commence à manger, avant d'avoir prit ma première bouchée ma cuillère n'était plus dans ma main.
Va te laver les mains et rejoins moi dit-il en me montrant le point d'eau.
Pendant tout le repas il ne posa aucune question et je ne parlais pas, je n'avais de cesse de manger.
Et à la fin, je termina le dîner par un gros rho. Avant que je puisse faire le moindre geste je me prit une pichenette sur le front qui me fit tomber de ma chaise.
"Pardon mais c'était trop bon!"
"Et c'est comme ça que tu me remercies? Que me veux-tu? Cela fait presque un mois que tu rodes autour de ma maison!"
"Je m'incline complètement et hurle "Apprenais moi le Gyojin Karaté"
"Non! Maintenant que tu es reposé et restauré, part et ne rode plus prêt de chez moi"
Mes cornes m'en tombaient. Il refuse comme ca.
Je part et me remis a ma place pret de l'arbre a coté de sa maison s'en oublier de lui tirer la langue.
Et de jours en jours je décide de me rapprocher pour effectuer les exercices. Jusqu'au jour où après encore un mois je me retrouve à ses côtés.
"En tout cas on peut dire que tu n'abandonnes pas toi"
"Non Sensei"
"Si tu veux devenir mon aprentit il va falloir que tu apprennes les bonnes choses. Tu as de bonnes bases en Karaté a ce que je vois."
"Oui Sensei!"
"Alors oubli les! et si tu es incapable de les oublier tu ne pourras jamais apprendre le Goyjin, cela fait deux mois que tu répètes mon entrainement! Dans 30 min il pleut montre moi!"
Fière qu'il m'accepte enfin, je voulais lui montrer tout ce que j'avais appris. Rien! Il ne se passa rien! Même pas une petite vaguelette, une mini onde ou quoique ce soit. Je m’effondre et pleure.
"Tu baisses déjà les bras? Observe!"
Il me remontre se spectacle divin et je ne comprend rien, je ne suis qu'un bon a rien. Je ferme les yeux, je ne veux plus voir cela et là alors que je n'ai plus la vision, j'entend... J'entend son souffle, il est différents alors que pour le karaté humain on coupe se respiration pour expulser avec force, là elle est fluide. Il respire avec son environnement.
"C'est ca la clef. Tu as compris!"
Les larmes coulant toujours surs mes joues, mais arborant un grand sourire je répondis oui sensei.
De mes treize à mes vingt quatre ans je resta avec lui à apprendre et parfaire ses technique et à essayer de trouver les miennes.
La vingt quatrième année je fut enrôlé dans la milice de l'île comme ma sœur avant moi.
Petit matin lors de ma 27 ème année
"Humpf qu'est ce que je fais là?" Des douleurs me traversent de la tête au pied.
En regardant à droite, à gauche, il n'y a rien; que des décombres. Je suis allongé là, à l'ombre d'un immense arbre dont la moitié des branches sont brisées. Je sens le vent qui caresse mes joues et je vois des oiseau virevolter dans le ciel. Mais c'est quoi ce bordel?
C'est le trou noir! Impossible de savoir où je suis ni même qui je suis. J'entends du bruit derrière moi et en me retournant je découvre la mer.
Elle est là! Magnifique! Le soleil chatoyant caressant les vagues. Cette mer , elle ne met pas inconnue c'est comme si elle m'appelait, un appel irrésistible, une sensation de vouloir voguer dessus. Je ne comprends pas pourquoi? Pourquoi avoir envie d'aller là bas? Je ne sais pas... Je ne sais plus.
Qu'est-ce qui me pousse à vouloir aller là-bas? Que puis-je trouver à cette horizon que je ne peut avoir ici?
Je ferme les yeux, sent c'est air marin remplir mes poumons, me calmer, calmer mes douleurs.
Je rouvre doucement mes yeux et remarque que la moitié de mes habiles sont déchirés et tachés de sang; je me tâte un peu de partout, tout est en place enfin je pense.
Je ramasse machinalement un bâton qui est non loin de moi et me met en route.
Après deux bonnes heures de route et une soif qui se fait de plus plus ressentir j'arrive à la lisière d'un village.
"Fear Town?? C'est quoi ça?? Qu'elle idée d'appeler son village comme ça?" C'est comme si moi j'appeler ma maison: Oh deux cornes?
Les villageois en me voyant prennent peur et cours se réfugier chez eux, je distingue quelques fusils pointant vers moi.
En tout cas pas de problème le village porte bien son nom!
"Non attendez!"
Rien à faire tout est bouclé, personne ne m'ouvre. Je n'ose pas approcher les baraques avec les fusils et je ne peux que continuer mon chemin où j'aperçois non loin sur une maisonnée.
"Mais qu'est-ce qui..."
Des céphalées, mais quelque chose d'indescriptible, ma vue qui se trouble, des sueurs froides et des pertes d'équilibres, je m’effondre de tout mon long et perd connaissance.
Trois jours plus tard.
J'entends une voix, mais qui me parle? Qu'est-ce que c'est..., ou suis-je?
"Chute c’était un cauchemars. Chute."
Une main douce me rafraîchi le visage et me caresse les cheveux. Dans un sursaut j'attrape cette main et lui pratique une clef. La personne se retrouve clouée au sol et je découvre une jeune femme d'une beauté saisissante. Elle est grande les cheveux mi dos, roux, ondulés voir bouclés à certains endroits, les yeux qui pétillent, ils sont bleu/vert avec un centre jaune/orangé rappelant la rouille d'une armature de bateau ayant sombré au fond des flots, quelques taches de rousseur parsemant ses joues, la taille fluette et la poitrine généreuse. Elle arbore un sourire plein de compassion.
Voyant une telle beauté je relâche automatiquement ma clef, il met impensable de lui faire du mal et a en juger par son corps je pense qu'elle ne peut pas vraiment me faire du mal.
Je ne sais quoi dire, je sens juste mon cœur battre la chamade.
Elle se lève et me ramène de l'eau et un peu de viande séché et me dit qu'elle doit aller faire des courses au village.
A son retour elle prépare le soupé. Je ne dis rien est essai de l'aider comme je peux et apparemment je ne suis pas très doué. Je me coupe en préparant les poireaux, elle se précipite pour appuyer dessus et en reculant je me fais tomber la marmite sur le pied. Mais quel Boulet!
Elle explose de rire en voyant tant de maladresse.
Un boulet oui, mais un boulet qui plait me dis-je.
Puis durant les jours, les semaines, les mois suivant.
J'apprends que Caroline c'est exilée du village lors de la mort de ses parents. Je vois que c'est un sujet difficile et décide donc de ne pas l'interroger plus en détail à ce sujet.
Je sais seulement que ses parents étaient des archéologues de la nouvelle Ohara; je remarque çà et là des objets qui ne me sont pas inconnu une grande table à dessin avec tous les objets qui vont avec comme si elle venait à peine de servir, un microscope et un den-den mushi à la carapace un peut bizarre.
Elle m'indique que je me trouve sur Amerzone, une petite île se trouvant sur la Sud Blue où il y a peu de villages et quelques villes. FreeTwon n'est guère loin, mais les gens du village évitent autant que possible ce repère de Tarés civilisés.
N'arrivant plus à me souvenir de qui je suis elle me donne le nom de Zuruk comme son grand-père.
Les villageois se familiarisent de plus en plus avec ma présence, ils ne s'enfuient plus, ne me menasse plus, ils me parlent et me vendent même des articles. J'ai pris pour habitude mettre une grande cape qui cache mes cornes et mes cheveux, car certains villageois me surnomme Zu le Démoniaque.
Je deviens meilleur pour faire la cuisine, ce que je fait est presque mangeable et vie une idylle parfaite avec Caroline.
Mais toutes les nuits les cauchemars continus. Les combats, les morts, les blessures... tout n'est que désolations pendant mon sommeil et un nom Saeba. Qui est-ce? Pourquoi je me souviens de ce nom? Je ne sais pas! Parfois, je vois une femme d'une extrême douceur me racontant une histoire sur un Pirate nommé Barbe Blanche, un ancien empereurs des mers, un des protecteurs des îles. Ces rêves me rendent joyeux, me réchauffe le cœur, mais ils sont si rare.
1094 jours après ma rencontre avec Caroline.
Apparemment ces temps-ci il y a beaucoup de grabuge à FreeTown, d’après les villageois un groupe de pirate semble rechercher un homme.
Mais pour nous cela n'a pas beaucoup d'importance, nous sommes en dehors de tout ça. Nous restons paisiblement dans notre village, nous veillons les uns sur les autres, c'est cela qui nous importe.
Je me réveil en sursaut mais qu'est-ce donc que ces rêves pourquoi je me vois tuer tant de gens et ne ressentir aucun scrupule à le faire. Pourquoi? Je prends ma tête entre mes mains et j'attends que ça passe, que mes idées deviennent plus claires. La fenêtre laisse passer une légère brise commune à cette île printanière et un rayon lunaire qui file sur Caroline.
Je l'observe dormir paisiblement, le temps semble s’arrêter.
Toute mon enfance j'ai essayé de fuir les entraînements qui pour moi étaient plus ennuyant que stimulant. Je faisais donc toutes les bêtises qui pouvaient me passer par la tête. Cela allait du seau remplit de fiente de Terreur Guma, posé sur le coin de la porte, à accrocher toutes les armes du Dojo à la cime des plus grands arbres. Mes parents me réprimandaient souvent pour ce genre de choses et par la suite j'ai compris bien vite à la mort de ma sœur que les arts martiaux nous était indispensable dans ce monde.
Ce fut un premier déclic, rien sur cette terre ne nous épargnera, rien sur cette terre nous sera donner, par contre tout sur cette terre nous sera pris!
Du coup je me suis mis sérieusement à ses pratiques ancestrales. Mais rien à faire! Cela ne me permettra pas de protéger mes proches, cela ne me permettra pas de devenir plus puissant.
Ma mère voyant tant de souffrance dans cette quête de protection me dit qu'à l’extrême nord de notre île se trouvait un Homme Poisson. C'est ma chance! Mon père dit toujours que c'est l'art martiale le plus puissant.
Un certain Toridé. Quelle ne fut pas ma surprise quand je trouve Maitre Toridé, il doit mesurer 1m60, à une grande et fine barbe blanche avec ses sourcil blanc eux aussi, n'a pas de cheveux.
Ma première impression fut la déception car malgré le faite que je ne suis âgé que de 13 ans je fais déjà une taille de 1m80. Je n'ose le déranger, il est en plein entrainement, j'observe, j'apprend et je me rend compte que son aspect chétif est en vérité une force car sous son kimono je distingue bien vite la réalité, une musculature parfaite et dans ses enchaînements, il n'y a place a aucun mouvement inutile.
Je senti le soleil me chauffer le bas des reins, il est à horizon bientôt couché, cela fait cinq heures que je l'observe, cinq heure qu'il répètes ses enchaînements et cela fait déjà un moment que je le vois mes que je ne l'observe plus. Tellement que je n'ai pas fait attention qu'il a arrêté et se dirige vers sa cabane. La porte se referme! Non! Quel idiot je lui est rien demandé!
Je n'ai rien pris à manger! Mon ventre grogne! Tampis j'essai de m'endormir. Je me fit réveiller par une douche froide, une pluie à damné un mort qui en quelques minutes m'avait mouillée jusqu'aux. Et là je pu assisté à un spectacle grandiose! Maitre Toridé s’entraînait sous la pluie, mais rien à voir avec les enchaînements qu'il faisait cette après midi. On pouvait voir littéralement des vagues, des faisceaux se former après chacun de ses coups.
Ce n'est même plus de l'art, c'est divin, c'est la plus belle chose qui m'est été donné de voir. De la ou je l'observer je peut sentir la déflagration de ses coups. Chaque coups faisait battre mon cœur plus fort. Tout en gardant une distance suffisante je me mis en position et suivi ses enchaînements. Les trois quart des techniques qu'il emploie me sont inconnu mais j'essai.
Les jours passent et je reste prés de chez lui, j'essai de suivre ses mouvements, ses techniques, de comprendre.
Cela fait un mois, je n'ai toujours pas trouvé le courage de lui parler mais les mouvements son plus clair dorénavant. Mais la malnutrition et le manque de sommeil eurent raison de moi.
Humm, cela sens trop bon!
"Tu as faim? Si oui sert toi."
Je sors du lit et m’élance sur la chaise, et commence à manger, avant d'avoir prit ma première bouchée ma cuillère n'était plus dans ma main.
Va te laver les mains et rejoins moi dit-il en me montrant le point d'eau.
Pendant tout le repas il ne posa aucune question et je ne parlais pas, je n'avais de cesse de manger.
Et à la fin, je termina le dîner par un gros rho. Avant que je puisse faire le moindre geste je me prit une pichenette sur le front qui me fit tomber de ma chaise.
"Pardon mais c'était trop bon!"
"Et c'est comme ça que tu me remercies? Que me veux-tu? Cela fait presque un mois que tu rodes autour de ma maison!"
"Je m'incline complètement et hurle "Apprenais moi le Gyojin Karaté"
"Non! Maintenant que tu es reposé et restauré, part et ne rode plus prêt de chez moi"
Mes cornes m'en tombaient. Il refuse comme ca.
Je part et me remis a ma place pret de l'arbre a coté de sa maison s'en oublier de lui tirer la langue.
Et de jours en jours je décide de me rapprocher pour effectuer les exercices. Jusqu'au jour où après encore un mois je me retrouve à ses côtés.
"En tout cas on peut dire que tu n'abandonnes pas toi"
"Non Sensei"
"Si tu veux devenir mon aprentit il va falloir que tu apprennes les bonnes choses. Tu as de bonnes bases en Karaté a ce que je vois."
"Oui Sensei!"
"Alors oubli les! et si tu es incapable de les oublier tu ne pourras jamais apprendre le Goyjin, cela fait deux mois que tu répètes mon entrainement! Dans 30 min il pleut montre moi!"
Fière qu'il m'accepte enfin, je voulais lui montrer tout ce que j'avais appris. Rien! Il ne se passa rien! Même pas une petite vaguelette, une mini onde ou quoique ce soit. Je m’effondre et pleure.
"Tu baisses déjà les bras? Observe!"
Il me remontre se spectacle divin et je ne comprend rien, je ne suis qu'un bon a rien. Je ferme les yeux, je ne veux plus voir cela et là alors que je n'ai plus la vision, j'entend... J'entend son souffle, il est différents alors que pour le karaté humain on coupe se respiration pour expulser avec force, là elle est fluide. Il respire avec son environnement.
"C'est ca la clef. Tu as compris!"
Les larmes coulant toujours surs mes joues, mais arborant un grand sourire je répondis oui sensei.
De mes treize à mes vingt quatre ans je resta avec lui à apprendre et parfaire ses technique et à essayer de trouver les miennes.
La vingt quatrième année je fut enrôlé dans la milice de l'île comme ma sœur avant moi.
Petit matin lors de ma 27 ème année
"Humpf qu'est ce que je fais là?" Des douleurs me traversent de la tête au pied.
En regardant à droite, à gauche, il n'y a rien; que des décombres. Je suis allongé là, à l'ombre d'un immense arbre dont la moitié des branches sont brisées. Je sens le vent qui caresse mes joues et je vois des oiseau virevolter dans le ciel. Mais c'est quoi ce bordel?
C'est le trou noir! Impossible de savoir où je suis ni même qui je suis. J'entends du bruit derrière moi et en me retournant je découvre la mer.
Elle est là! Magnifique! Le soleil chatoyant caressant les vagues. Cette mer , elle ne met pas inconnue c'est comme si elle m'appelait, un appel irrésistible, une sensation de vouloir voguer dessus. Je ne comprends pas pourquoi? Pourquoi avoir envie d'aller là bas? Je ne sais pas... Je ne sais plus.
Qu'est-ce qui me pousse à vouloir aller là-bas? Que puis-je trouver à cette horizon que je ne peut avoir ici?
Je ferme les yeux, sent c'est air marin remplir mes poumons, me calmer, calmer mes douleurs.
Je rouvre doucement mes yeux et remarque que la moitié de mes habiles sont déchirés et tachés de sang; je me tâte un peu de partout, tout est en place enfin je pense.
Je ramasse machinalement un bâton qui est non loin de moi et me met en route.
Après deux bonnes heures de route et une soif qui se fait de plus plus ressentir j'arrive à la lisière d'un village.
"Fear Town?? C'est quoi ça?? Qu'elle idée d'appeler son village comme ça?" C'est comme si moi j'appeler ma maison: Oh deux cornes?
Les villageois en me voyant prennent peur et cours se réfugier chez eux, je distingue quelques fusils pointant vers moi.
En tout cas pas de problème le village porte bien son nom!
"Non attendez!"
Rien à faire tout est bouclé, personne ne m'ouvre. Je n'ose pas approcher les baraques avec les fusils et je ne peux que continuer mon chemin où j'aperçois non loin sur une maisonnée.
"Mais qu'est-ce qui..."
Des céphalées, mais quelque chose d'indescriptible, ma vue qui se trouble, des sueurs froides et des pertes d'équilibres, je m’effondre de tout mon long et perd connaissance.
Trois jours plus tard.
J'entends une voix, mais qui me parle? Qu'est-ce que c'est..., ou suis-je?
"Chute c’était un cauchemars. Chute."
Une main douce me rafraîchi le visage et me caresse les cheveux. Dans un sursaut j'attrape cette main et lui pratique une clef. La personne se retrouve clouée au sol et je découvre une jeune femme d'une beauté saisissante. Elle est grande les cheveux mi dos, roux, ondulés voir bouclés à certains endroits, les yeux qui pétillent, ils sont bleu/vert avec un centre jaune/orangé rappelant la rouille d'une armature de bateau ayant sombré au fond des flots, quelques taches de rousseur parsemant ses joues, la taille fluette et la poitrine généreuse. Elle arbore un sourire plein de compassion.
Voyant une telle beauté je relâche automatiquement ma clef, il met impensable de lui faire du mal et a en juger par son corps je pense qu'elle ne peut pas vraiment me faire du mal.
Je ne sais quoi dire, je sens juste mon cœur battre la chamade.
Elle se lève et me ramène de l'eau et un peu de viande séché et me dit qu'elle doit aller faire des courses au village.
A son retour elle prépare le soupé. Je ne dis rien est essai de l'aider comme je peux et apparemment je ne suis pas très doué. Je me coupe en préparant les poireaux, elle se précipite pour appuyer dessus et en reculant je me fais tomber la marmite sur le pied. Mais quel Boulet!
Elle explose de rire en voyant tant de maladresse.
Un boulet oui, mais un boulet qui plait me dis-je.
Puis durant les jours, les semaines, les mois suivant.
J'apprends que Caroline c'est exilée du village lors de la mort de ses parents. Je vois que c'est un sujet difficile et décide donc de ne pas l'interroger plus en détail à ce sujet.
Je sais seulement que ses parents étaient des archéologues de la nouvelle Ohara; je remarque çà et là des objets qui ne me sont pas inconnu une grande table à dessin avec tous les objets qui vont avec comme si elle venait à peine de servir, un microscope et un den-den mushi à la carapace un peut bizarre.
Elle m'indique que je me trouve sur Amerzone, une petite île se trouvant sur la Sud Blue où il y a peu de villages et quelques villes. FreeTwon n'est guère loin, mais les gens du village évitent autant que possible ce repère de Tarés civilisés.
N'arrivant plus à me souvenir de qui je suis elle me donne le nom de Zuruk comme son grand-père.
Les villageois se familiarisent de plus en plus avec ma présence, ils ne s'enfuient plus, ne me menasse plus, ils me parlent et me vendent même des articles. J'ai pris pour habitude mettre une grande cape qui cache mes cornes et mes cheveux, car certains villageois me surnomme Zu le Démoniaque.
Je deviens meilleur pour faire la cuisine, ce que je fait est presque mangeable et vie une idylle parfaite avec Caroline.
Mais toutes les nuits les cauchemars continus. Les combats, les morts, les blessures... tout n'est que désolations pendant mon sommeil et un nom Saeba. Qui est-ce? Pourquoi je me souviens de ce nom? Je ne sais pas! Parfois, je vois une femme d'une extrême douceur me racontant une histoire sur un Pirate nommé Barbe Blanche, un ancien empereurs des mers, un des protecteurs des îles. Ces rêves me rendent joyeux, me réchauffe le cœur, mais ils sont si rare.
1094 jours après ma rencontre avec Caroline.
Apparemment ces temps-ci il y a beaucoup de grabuge à FreeTown, d’après les villageois un groupe de pirate semble rechercher un homme.
Mais pour nous cela n'a pas beaucoup d'importance, nous sommes en dehors de tout ça. Nous restons paisiblement dans notre village, nous veillons les uns sur les autres, c'est cela qui nous importe.
Je me réveil en sursaut mais qu'est-ce donc que ces rêves pourquoi je me vois tuer tant de gens et ne ressentir aucun scrupule à le faire. Pourquoi? Je prends ma tête entre mes mains et j'attends que ça passe, que mes idées deviennent plus claires. La fenêtre laisse passer une légère brise commune à cette île printanière et un rayon lunaire qui file sur Caroline.
Je l'observe dormir paisiblement, le temps semble s’arrêter.
>> Test RP
Le Test RP est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation une fois achevées les étapes précédentes. Faire un test RP avant cette intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.
Faut déjà que je me présente, Saeba, dit le Collectionneur Fou pour les intimes et en toute intimité on peut faire des trucs de fou. Je crois que vous savez déjà, que j'ai perdu ma sœur, pas cool et encore moins cool, je me suis mis comme un débile à m'entraîner comme un ouf aux arts martiaux. Non mais sans blague, les arts martiaux, déjà c'est fatigant, tu transpires donc tu pus et on ne peut pas vraiment dire que cela attire les filles et puis perso si tu veux une fille tu la prends, tu lui demandes gentiment et si elle ne veut pas tu la contrains mais toujours dans la gentillesse. Attention je ne suis pas un goujat quand même.
Mais ce qui ma rendu comme ça c'est de voir tous mes Nakamas se faire trucidés. Et quand je dis trucidés, c'est dessouder, j'étais recouverts de boyaux, d'abats et de cervelles, je me suis pissé et chié dessus pendant une semaine. Jusqu'à que l'équipe de secours arrive. Bah pour ramasser les morceaux. Je leur ai bien proposé un petit méchoui, mais ils ont dit que c'était de mauvais goût, je pensais que mes camarades étaient bon moi.
Et comme le dit ma mère ça ma laissé quelques séquelles psychologiques.
"Si on en revenait à mon métier ?"
Vous allez me demander, mais quel est le but d'un collectionneur ? Je répondrais simplement, quel est le but de la vie? La vie a le but qu'on lui fixe et moi c'est de prendre la succession de Edward Newgate, bon je sais que c'est un peu tardif. Mais bon, hein euh, j'y suis pour rien si je suis né à cette époque ! Dans tous les cas, c'est une grande ambition pour un homme, surtout quand il est Fou.
Mon but est d'arriver à mes fins et pour cela tous les moyens sont bons!! Et c'est comme cela que je me suis mis à collectionner, à marchander, à vendre et parfois à voler.
Ouai et franchement Collectionneur c'est mieux que marchand ou voleur et à la différence d'un simple marchand tous les objets que je trouve, fouine ou vole sont pour moi.... MOI vous entendez !
Hummm... Il y a, à travers le monde, beaucoup de personnes qui cherchent des objets spéciaux, des reliques, des dials... tient en parlant de Dials vous saviez qu'il y en a de toute sorte?? Eh Oh vous m'écoutez ! Quoi vous n'êtes pas là pour ça?? Bon d'accord?? J'en étais où? Ah oui... Ils cherchent aussi des morceaux de vêtement ayant appartenu à des personnes extraordinaires. Pfff qu'ils sont ringards ! Ils ont qu'à prendre ma garde de robes.
Et me voilà sur une demande un peu particulière un certain Joe Deceitful. Un mec louche qui se dit noble, bon d'accord il a une très belle baraque à Loguetown. Mais bon j'y reviendrais un peu plus tard, j'ai vu des objets qui m'intéressent.
Dans son bureau.
Je lui fais la révérence en remontant les pends de ma veste.
« Humpf assez! pas besoin d'être aussi formel ! Vous devrez me ramener une Hache. Cette Hache appartenait à mon Grand... »
« Vous avez l'impression que je suis venu pour connaître l'arbre généalogique de votre famille. Vous me dites où, comment elle est, ce qu'elle a de spéciale ! »
« C'est une Hache... »
« Version courte ! »
« Elle n'a rien de spéciale, c'est juste une arme qui n'a pas besoin d'être aiguisée et qui ne rouille pas, autrement c'est juste sentimental et apparemment elle aurait été vue sur Jaya »
« Donc vous me parlez d'une arme de qualité voir plus pour une telle démarche c'est au moins 300,000 Berrys et bien entendu un moyen de mit rendre»
« D'accord marché conclu !»
Je m'approche de lui esquive sa main tendue l'attrape par les joues et lui embrasse le front.
"Je vous préviens quand c'est fait."
Juste avant de partir, je lui demande s'il connaît ma réputation et comment il a fait pour me trouver. Apparemment par un de mes indiques. Va falloir que je lui rends une petite visite à celui-là , car il n'a pas compris le sens de TU NE DONNNES AUCUNES INFORMATIONS SUR MOI ET C'EST MOI QUI CHOISIS MES CLIENTS. Mais je pense que ses intestins s'enroulant autour de son cou vont lui rafraîchir la mémoire.
Tout ça pour dire que cette quête me gave profondément et que n'aillant aucunes informations tangible sur ce client je ne peux pas me permettre de refuser ou de le tuer.
Et en plus ça me mène, dans un trou paumé, sur une île paumée, prêt d'une ville paumée.
« Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que cette histoire pue, comme de par hasard cette hache perdue se trouve au fond d'une grotte, bah bien sûr ! »
Bon on va faire le crédule et je vais y aller.
« Oh mon dieu ! Non s'en rire, un cul de sac ! » Je trépigne sur place, une bonne vingtaine de fois, prends sa putain de Hache sur ce rocher miteux, je me retourne et la qu'est-ce que je vois ! La bande de demeurés qui m'a servi d'équipage pour venir ici.
Ces six clampins me font face. Aller on va être gentil cinq et demi, car il y en a un son œil droit dit bonjour au gauche.
« Sérieux les mecs, vous avez que ça à foutre ? En plus on c'est bien éclaté sur le trajet ! Vous voulez vraiment faire ça ? »
Pour le moment ils sont face à moi, le fait d'être seul, me donne l'avantage des mouvements dans cette grotte. Je cale ma respiration sur les gouttes d'eau qui tombent du plafond.
Sur les six, il y en a deux qui ont des mousquets, il faut que je me débarrasse d'eux en premier. Je m'élance sur le plus proche et lui assène un coup direct à la glotte. Il n'a pas pu réagir, il ne respire plus.
Je passe au deuxième, en évitant les deux simplets par des mouvements rapides de pas chassés et me sers de la hache pour couper son arme.
« Bas voilà même ça c'était de la merde »
La hache vole en éclats. J'ai seulement le temps d'éviter sa balle qui vient se loger dans la poitrine d'un de ses compère.
Je commence à me dire que j'aurais peut être du m'entraîner durant cette année. Mon corps se souvient de tous mes entraînements mais l'endurance allait être un problème et les trois et demi zigotos n'ont pas trop bougé encore.
Pendant qu'il recharge, je lui porte un Mawashi Geri dans la pattela lui brisant le genou. Suivi d'un uppercut et en voilà un autre qui a son compte. Je ne sais pas pourquoi, mais je relâche un peu mon attention.
Je me prends un grand coup dans le dos. Il ma frappé avec un bâton, un bâton en métal. Une douleur vive me traverse la colonne, je mets un genou a terre. Et il continue encore et encore à frapper, mais dans un éclair de lucidité je parviens le saisir au vol. Le bougre ne lâcha pas, je vis du coin de l'œil un de ses compagnons attraper arme vide et essayer de la recharger. De toute mes forces je pousse sur le bâton entraînant l'autre dans mon élan, celui-ci finit sa course dans la gorge de mon ennemi.
Je le ressors tout ensanglanté de sa gorge, le tout accompagné d'un bruit d'os en morceau et d'un corps qui s'écroule.
J'en profite pour lancer cette arme tel un javelot sur l'ennemi qui est en train de recharger, l'impact sur ses doigt et tellement foudroyant qu'on entend résonner ses os qui se brisent. D'un saut d'un seul je suis à sa portée et lui assène un Yoko Kekomi direct dans le plexus, il ne bouge plus.
Il en reste un, je jauge mon adversaire, il sort son sabre, sans arme je ne peux me permettre de rentrer dans son maai. Le problème c'est qu'il se trouve entre cette espèce de barre et moi. Je décide de jouer le tout pour le tout ; je m'élance et arriver à sa hauteur au moment où il porte son coup j'en profite pour glisser sous son sabre et pour chopper mon bâton.
J'espère de tout cœur qu'il ne casse pas avant la fin du combat et après deux ou trois passes d'arme je me rends compte que rien ne l'entame.
Je finis par reprendre plus d'assurance et je ne fais aucun mouvement inutile par la suite, chaque coups est bien calculé et fait mouche si bien qu'au final je parviens à lui faire lâcher son sabre.
« Pourquoi m'attaquer ? Réponds ! »
Il est en nage, mais il décide de ne pas me répondre. Je lui pratique une clef de bras et l'amène au sol.
« Réponds, ou je te casse le bras ! »
Ce fou s'obstine à garder le silence, la patience n'étant pas mon fort je lui disloque l'épaule. Et malgré ces hurlements de douleurs, je prends un certain plaisir à faire cela !
"Répond moi, ou je continu !"
« Non, non pitié, je ne peux pas parler il va me tuer, pitié... » il se met à pleurer.
Je ramasse une pierre qui se trouve sur ma droite et frappe sa main qui est encore valide. Ses doigts explose laissant place à la couleur rouge de son sang, une odeur de fer plane dans l'air.
« Parle car je ne m'arrêterais pas ! »
Je fus surpris, car il fit preuve de courage et ne dit rien. Le véritable carnage commença, à la fin ce n'était plus qu'un tas de chaire et d'os en bouillit.
« Il va voir ce connard! Je vais lui arracher les yeux et lui faire bouffer et après je le donnerais peut-être à un Roi des Mers. »
En reprenant mes esprits je me souviens qu'ils étaient sept sur ce putain de rafiot.
« Sept bordel de merde ! »
Et le septième n'est pas dès moindre, il fait a peu prêt ma taille, à des bras comme mes cuisses. J'espérais en sortant de la grotte ne trouver personne.
« Pffff, ouai t'es étonné, moi pas ! Tu croyais que tes petites copines aller pouvoir faire quelque chose ? »
Je faisais tout pour paraître le plus frais possible.
Il est devant moi, accouder sur une double hache de 1m80 et moi j'ai que ce putain de bâton. L'image que j'avais, un gars de plus de deux mètres avec des bras comme mes cuisses étaient tout à fait juste. Et en plus il arbore un sourire qui laisse apparaître ses dents pourries, mais un sourire malsain, un sourire qui dit je suis content que tu sois sortis je vais pouvoir me défouler sur toi !
Je n'ai pas souvenir d'avoir livré un combat aussi rude avec mes senseis ou encore lors de nos missions.
Mais ce gaillard n'est pas comme les adversaires que j'ai déjà affrontés et lui est beaucoup plus loquasse que ses collègues et j'appris que tout se stratagème était seulement pour connaître ma cachette !
Le combat est d'une intensité saisissante. Au début je parviens à esquiver tous ses coups grâce à mes techniques Uke Waza, mais je commençais à les éviter de moins en moins à être de plus en plus épuisé.
Le combat s'annonçait difficile.
Mais il est impensable que je perde contre un ennemi pareil, je recule et me trouve dos à un arbre, cela avait tout l'air d'être un arbre centenaire, un arbre robuste avec un énorme tronc. Il faut que je me reprenne, je ne peux pas craindre un tel adversaire. Rien ne pouvais me faire peur après ce que j'avais vécu sur cette île.
Je me rue sur l'adversaire avec le bout de mon arme pointé vers lui, il fait tournoyer sa hache au-dessus de lui, brisant la moitié des branches et m'assène un coup d'une rare violence. Je parviens de justesse à éviter le tranchant de la hache, mais le manche touche mon occiput. Je perds l'équilibre et dans un dernier réflexe je plonge le bout de mon arme dans le sol me permettant de passer par dessus mon adversaire et de le laisser terminer sa course dans le ravin. Où je n'entendis que son cri se mêler aux vagues s'écrasant sur la paroi de granite.
Je m'écroule comme une masse, près de cet arbre et je suis heureux, heureux d'avoir pu combattre encore une fois comme mes ancêtres. Je me sens partir, je ne pense plus à rien, toutes mes pensées deviennent flou, tous mes souvenirs se mélangent. L'île, le carnage, mes carnages, mes senseis, mes parents, les histoires de ma mère, ma sœur, Edward Newgate... Edward Ne...
Il n'y avais plus rien, plus un bruit a par celui de la mer, qui elle ne s'arrêtera jamais, continuera à travers les âges, à travers tous les âges.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________
Informations IRL
Prénom : Edouard
Age : 30 ans
Aime : Les Mangas, Marvel, les Jeux vidéos
N'aime pas : La bêtise humaine
Personnage préféré de One Piece : Edward Newgate, Ace et Chopper
Caractère : Infirmier depuis deux ans, je suis assez imprévisible.
Fait du RP depuis : forum jamais, JDR papier 10 ans
Disponibilité approximative : deux à trois fois par semaine
Comment avez-vous connu le forum ? par hasard
Quand vous estimez avoir terminé vos descriptions et votre biographie, signalez-le par un nouveau message et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous-titre de votre présentation par la mention [En attente de Test RP]. Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs ne vous loupent (ce qui n’arrive pas très souvent).
Prénom : Edouard
Age : 30 ans
Aime : Les Mangas, Marvel, les Jeux vidéos
N'aime pas : La bêtise humaine
Personnage préféré de One Piece : Edward Newgate, Ace et Chopper
Caractère : Infirmier depuis deux ans, je suis assez imprévisible.
Fait du RP depuis : forum jamais, JDR papier 10 ans
Disponibilité approximative : deux à trois fois par semaine
Comment avez-vous connu le forum ? par hasard
Quand vous estimez avoir terminé vos descriptions et votre biographie, signalez-le par un nouveau message et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous-titre de votre présentation par la mention [En attente de Test RP]. Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs ne vous loupent (ce qui n’arrive pas très souvent).
Dernière édition par Zuruk le Dim 28 Juin 2015 - 18:43, édité 23 fois
