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Présentation Nel Fairwing

>> Nel Fairwing

       

   
Présentation Nel Fairwing 1433678614-oz-vessalius-600-1686584
Pseudonyme : N/A
   Age: 12 ans
   Sexe : Homme
   Race : Humain

   Métier : Aucun a priori
   Groupe : Civil
   But : Découvrir le nouveau monde

   Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Pas d'idées précises!
   Équipement : Rien

   Codes du règlement :

   Parrain : N/A

   Ce compte est-il un DC ? : Non
   Si oui, quel @ l'a autorisé ? : N/A
   
>> Physique

   
    En accord avec son jeune âge, Nel est doté d'un corps sain et d'un visage presque angélique. L’érosion des années ne l’ont clairement pas atteint, laissant transparaître une allure fraîche et trop pleine d’énergie. Sa peau très pâle et son teint blafard laissent penser que le soleil n’a que rarement eu l’occasion d’apposer sa marque, même après tant d'années. Loin d'avoir terminé sa croissance, sa taille avoisine néanmoins le mètre cinquante-quatre. Il fait de cette caractéristique un avantage en surprenant ses adversaires par d’agiles acrobaties nécessitant l’agilité de la jeunesse d’antan. L’ensemble de ses muscles fins lui donne une silhouette élancée et équilibrée.  Au final on le décrit souvent comme un gamin traditionnel au sourire bien marqué et à l'humeur joyeuse.

La couleur de son iris particulièrement rare scintille d’un vert émeraude qui seul suffit à éblouir chaque parcelle de nos corps. Des lèvres très minces forment sa bouche souvent éclipsées par sa dentition parfaite lors de l'un de ses nombreux éclats de rire. Sa chevelure or est relativement courte, déposant des mèches lisses et soyeuses sur le haut de son faciès aminci par les traits délicats de son nez ainsi que de ses pommettes. Aucun signe de pilosité apparente, ses sourcils sont d’ailleurs très peu fournis et contribue à l’équilibre de son esthétique. Les cils, eux, se noient sous le torrent d’émotions qu’il laisse sortir, parfois.

Étant tout jeune, il était un peu plus rustique, brut. En particulier au niveau vestimentaire: il portait une tunique en lin salie et trouée à de multiples endroits retenue par une ceinture de cuir rapiécée qu'il chérissait au point de ne jamais vouloir la quitter, au grand dam de ses parents qui s’efforçaient de laver au mieux le tissu mal en point. Mais à présent, il porte une tenue bien plus raffinée qu'il n'hésite pas à diversifier et agrémenter d'accessoires divers: une chemise en soie blanche couplée d’une cravate rouge ou noire. Par-dessus, une veste sans manche couleur d’ébène aux bordures dorées. Bien que les divers habits soient à sa taille, la désinvolture avec laquelle il les porte les laisse flotter donnant une impression de grandeur. La propreté de ses ongles est l'une de ses manies les plus sérieuses et il a parfaitement intégré les enseignements de manucure que lui a prodigué sa mère pour les garder ainsi. Jusqu’à ses genoux s’étend un bermuda aux humeurs verdâtres affublé d'un motif à carreaux. Enfin ses pieds sont revêtus en permanence de bottines en cuir châtain d'une excellente qualité.
   
>> Psychologie

   
    Nel, en quelques mots, ce sont des rires discordants, de grands éclats de voix et une joie de vivre sans faille. Énergique et athlétique, il n'hésite pas à se balader, en particulier dans les arbres qu'il adore escalader à toute vitesse pour accéder à leur vue magnifique une fois tout en haut. Une pratique redoutée par sa mère qui craint pour son fils unique, ce à quoi il  répond souvent par un grand sourire narquois et deux doigts redressés formant un V. Dans le village de son  île il est bien connu pour sa gentillesse qui se confond probablement avec une naïveté synonyme de son jeune âge. Ainsi bien qu'il connaisse parfaitement chaque variété de champignon en allant des plus goûteux aux plus mortels si redoutés, il pourrait se faire rouler par n'importe quelle personne éloquente. Un défaut fort peu enviable quand il est associé à son côté impulsif le poussant à agir d'abord et réfléchir ensuite … si on a le temps !

Il est la victime d'une profonde phobie envers les hyménoptères qui l'a envahi plus jeune après avoir marché sur une abeille à moitié morte, le dard s'enfonçant profondément dans son gros orteil. Bien qu'il les évite au maximum, il ne ressent aucune aversion pour ces bestioles collectives. Une caractéristique qui s'étend à tout ce qu'il connaît: il est émerveillé par tout ce qu'il voit et ne nourrit aucune rancœur envers quiconque, une des conséquences  de son esprit chétif.

Un de ses talents les plus marqués se trouve être l'art et en particulier le dessin. Nel manie le crayon comme quiconque et est capable de réaliser des œuvres d'une justesse et d'une beauté incroyable, talent que ne s'explique pas ses parents incapables de reproduire un arbre correctement sur un morceau de papier. Sa progression rapide traduit une autre réalité : l'apprentissage est quelque chose d'extrêmement naturel chez lui. Il assimile n'importe quelle notion – pour peu qu'elle l'intéresse – à une vitesse vertigineuse, une aptitude qui combinée à une persévérance hors du commun font de lui un individu très versatile. Cela étant, ne vous tentez pas à le transformer en un scientifique de génie, le moindre calcul risque rapidement de faire surchauffer son cerveau.
   
>> Biographie

   
          1626

    Une légère brise caressait la végétation environnante. Les feuilles commençaient tout doucement à rejoindre le sol en cette saison difficile. Celles qui s'accrochaient encore avec vigueur aux branches tremblaient en laissant entendre un bruit distinctif. Un écureuil volant grignotait une noisette fraîche à côté de l'une d'elles quand il ouït un craquement à l'aide de ses minuscules oreilles. Ici dans les bois, chaque élément dégage un son caractéristique. Aussi haut dans les arbres la moindre vibration inhabituelle ne pouvait signifier qu'une seule chose: un prédateur en chasse.  Les deux pupilles sombres du rongeur quittèrent la vue du fruit succulent pour observer tout autour de lui, sa tête se déplaçant par des mouvements secs et vifs. Finalement, un appel d'air presque imperceptible suivi d'une vibration provenant d'un rameau voisin alertèrent l'écureuil qui sauta majestueusement avant de déplier ses membres, planant fièrement en direction d'un lieu sûr pour terminer son repas. Un long soupir se décrocha des lèvres Nel.

  — J'allais l'avoir là, déplora-t-il en faisant la moue.

Après avoir frappé la paume de sa main droite avec son poing opposé, il se persuada de la réussite de la prochaine tentative.


    Non loin de là dans un village sans histoire

*Toc toc toc* Trois coups secs alertèrent Saskia, une femme d'une cinquantaine d'années à la bouille bien conservée qui met un point d'honneur à entretenir ses cheveux d'un roux étincelant. Occupée à ses tâches ménagères elle s'était contentée pour aujourd'hui d'un haut rouge et d'une longue jupe blanche lui couvrant les jambes jusqu'aux chevilles. Après s'être essuyée les mains sur un torchon accrochée à sa taille, elle se dirigea en direction d'une porte en bois légèrement bosselée qu'elle ouvrit en grand.

  — Joyeux anniversaire ma belle-sœur préférée !

Les bras grands ouverts, l'homme à la carrure imposante et à la barbe fournie plaqua Saskia contre son torse pour lui délivrer une étreinte affectueuse. L'embrassade terminée, la mère au foyer tata la chevelure de son interlocuteur du  bout des doigts. Une longue et soyeuse queue de cheval dévalait sur le dos de l'homme entre deux âges.

  — Tu as bien laissé pousser ces beaux cheveux ambrés, Elric ! Admit-elle en souriant. Entre, fais comme chez toi.

L'intérieur semblait en bon état, loin des manoirs luxueux que pouvaient posséder les Dragons Célestes certes, mais qui n'en restait pas moins une petite niche confortable. Une table ronde siégeait au milieu de la pièce. Saskia pria son invité de s'asseoir tandis qu'elle s'approchait d'une bouilloire rose.

  — Je te sers une tasse ? C'est un thé aux herbes diverses et à la menthe fraîche, précisa-t-elle.

Il acquiesça sans conviction et une fois la tasse devant lui ses yeux en dirent long sur son dépit. Sa main saisit un pichet de lait placé sur la table et il en versa une lichette dans la tasse fumante.

  — C'est l'un de tes nouveaux poisons ? Il reste noir même avec du lait dedans.

Elric éclata de rire avant d'en boire une petite gorgée. Sa tête se mit à pivoter à droite et à gauche puis il reprit la parole d'un air surpris :

  — Nel n'est pas là ?
  — Il est dans la clairière pour essayer d'attraper un écureuil volant. Chaque année il jure de m'en ramener un pour mon anniversaire et chaque année j'ai eu droit à un dessin très réaliste, admit-elle en souriant.

Elric ria à nouveau. En tant que marchand il voyageait souvent et loin dans des conditions particulièrement difficiles,  quand il débarquait à terre pour prendre repos il conservait en permanence une humeur taquine et joyeuse. Pourtant, malgré cette l'ambiance chaleureuse qui régnait, il décelait dans le regard de sa belle-sœur une humeur pensive voire même inquiète.

  — Il n'est toujours pas rentré c'est ça ?

Saskia hocha la tête en soupirant. Ce « Il » si mystérieux s'avérait être Alucard Fairwing, son mari et le père de leur fils. Faisant carrière dans la marine, ce dernier avait grimpé les échelons sans empressement et était actuellement en poste dans le Nouveau Monde. Cette nouvelle affectation rendait les visites vers sa famille extrêmement rare.

  — Tout ira bien comme toujours, c'est celui qui a réussi dans la famille. D'ailleurs, j'ai la réponse à la question que tu m'avais mandé de lui apporter, dit-il en tendant une lettre cachetée. Je sais que ça fait longtemps mais je ne passe que rarement là-bas et c'est un voyage long, très long.

Surprise et intéressée, Saskia s'empara instantanément du bout de papier. Quelques secondes plus tard les larmes envahirent ses joues avec autant d'empressement que les chutes d'une cascade.


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          1613

  — Et là bim je m'en prends deux cents sans aucun problème.
  — Ouai attends, p'tet les vingt premiers mais après tu fatigues.
  — Eux aussi, parce qu'ils devront grimper la montagne de cadavre pour m'atteindre.

Au milieu d'une taverne humectant une odeur de bière bon marché, deux marins discutaient avec aise malgré le brouhaha assourdissant. L'un d'eux fit un signe de la main au tavernier qui apporta aussitôt deux autres pichets du breuvage alcoolisée ainsi que du pain frais et une tranche de lard.

  — En tout cas je regrette pas mon escale ici Alucard, z'êtes pas les meilleurs niveau boisson mais question tambouille ça y va. A quelle heure vous avez votre coucher de soleil par ici ? Faudrait pas que j'me tire trop tard.
  — Oh en général on se débrouille pour le caser entre le jour et la nuit...

La phrase se termina sur un rire partagé qui éclipsa à lui seul le reste des voix de l'auberge. Heureusement pour lui, Alucard partageait plus avec son frère qu'un sens de l'humour douteux : ils avaient tous les deux un physique pratiquement identique bien qu'Alucard possédait des traits plus fins et se limitait à une petite touffe au niveau du menton en guise de barbe. Quand par chance ils se retrouvaient, c'était toujours autour d'un bon repas. Aujourd'hui était le dernier jour de permission pour Alucard. Des vacances calmes et tranquilles comme les autres. C'est du moins ce qu'il croyait. Quand la porte humide s'entrechoqua violemment contre le mur en pierre froide, il aperçut sa femme se dirigeant droit vers lui en courant. Une fois à son niveau elle laissa s'échapper quatre mots de sa bouche qui allaient changer sa vie.

  — Alucard, je suis enceinte !


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          1622


Le soleil brillait haut dans le ciel et était accompagné de bourrasques de vent passagères. Seuls quelques rares zones d'ombres laissaient une impression de fraîcheur. Au centre du village, l'agitation était à son comble. Des commerçants hurlaient les mérites des denrées déposées sur leurs étalages. Des fruits et légumes jusqu'aux outils de bricolage, en passant par des porcs bien gras et des fleurs magnifiques. Un peu plus loin, un roquet traversa timidement une rue assez fréquentée.

  — Oh papa t'as vu le chien ? On pourra en avoir un ?

Exaspéré, Alucard soupira lourdement avant de répondre.

  — Demande à ta mère.

Le blondinet arborait un énorme sourire comme à son habitude. Tandis qu'il réfléchissait à la manière dont il tournerait la question à sa gentille maman, un papillon aux humeurs violettes détourna son attention en s'approchant de son visage. Ses ailes translucides créaient un léger courant d'air sur le front du petit homme. Les pupilles de Nel s'écarquillèrent et sa bouche produisit un son d'admiration « Whoaaaaaaa ». Peu après, une petite patrouille de matelots supervisée par un Caporal marchait au pas en transportant un prisonnier peu convaincu de sa culpabilité :

  — Mais attendez, c'est pas moi vous savez. Il a juste glissé et il est tombé. C'est tout. Glissé et tombé. J'étais même pas là pour être tout à fait exact... Bon il m'a agressé. C'était de la légitime défense. Voilà, il a glissé et il est tombé sur sa propre dague … en légitime défense !

Sans prêter attention aux inepties qu'il débitait la troupe continua tranquillement son chemin. Nel et son père arrivèrent finalement au marché. Nel, attiré par l'odeur d'une viande rôtie suivit le chemin délicat que la fumée pleine de saveurs avait tracé. Tandis qu'il dévorait des yeux la venaison qui grillait à la broche, son père portait son attention sur des sucreries aromatisées à la menthe dont sa femme raffolait. Au même moment une silhouette étrange marchait furtivement à travers la masse. Une bure noire tâchée et ébréchée masquait sa maigreur maladive. Nel observa alors l'homme mystérieux que tout le monde semblait ignorer. Ce dernier profita de l'inattention du boucher, occupé à tailler un gros morceau de bœuf pour subtiliser un poulet cuit.

  — Attention ! Il vous vole ! Hurla une marchande voisine.

Tous les regards se tournèrent vers le coupable dont le teint très pâle tourna en un instant au rouge pivoine. Les battements de son cœur s'accélèrent jusqu'à frapper comme un tambour dans sa poitrine. Dans l'urgence du moment l'individu saisit un couteau de l'une de ses poches avant de saisir la personne la plus proche de lui : Nel.

  — Toi là, cria-t-il en désignant le boucher, verse tout dans le sac.

Le commerçant s'empressa de remplir la besace de nourriture mais aussi d'argent qu'il tendit aussitôt devant lui. Le brigand relâcha l'enfant – qui s'empressa de rejoindre les bras de son père affolé – et prit la fuite. Un jeune représentant du gouvernement mondial tenta d'intercepter le voleur. Il tira son épée, et d'un mouvement souple du bras par en dessus, manqua complètement le hors-la-loi qui en profita pour s'échapper. Heureusement, sa tentative maladroite força le voleur à lâcher son sac. La foule applaudit alors le brave gringalet encore tout tremblotant. Alucard, encore sous le choc, finit par rentrer chez lui avec son fils en. Nel en revanche semblait intrigué par les événements qui venaient de se dérouler.

    Un peu plus tard ~

Droite ? Gauche ? Personne. Au milieu de cette forêt Jake se sentait en sécurité, en particulier après la petite frayeur qu'il avait vécu. La lame aurait pu lui trancher le bras. Bien heureux d'être toujours en vie et en liberté, son ventre n'en restait pas moins vide. Il avait faim, très faim. En proie à la solitude, il maudissait intérieurement les pirates qui l'avaient dépouillé de tout quelques années auparavant. Il plongea alors son visage dans le creux de ses mains.

  — Tiens.

Une main enfantine tendait dans un petit récipient une dinde parfaitement cuite et encore fumante. Le pauvre bougre bégayait son incompréhension mais fut interrompu par une voix pleine de joie.

  — Tu as faim non ? Au fait, je m'appelle Nel Fairwing, enchanté !

Tant de questions se bousculaient dans la tête de Jake. Pourquoi, comment ? Sans vraiment comprendre l'homme prit simplement le plat que lui tendait Nel. Il s'agenouilla devant son sauveur et hurla à s'en déchirer le gosier.

  — Merci beaucoup !

La dernière syllabe commençait déjà à vaciller. Ses yeux humides luttaient pour retenir son sanglot et finalement après la première bouchée de viande une sensation de bonheur se dessina sur son visage décrépit.



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          Présent

Pour une fois Nel était rentré victorieux. Dans le creux de sa main il avait ramené un magnifique spécimen d'écureuil volant sous les yeux ébahis de son oncle. Celui-ci le félicita chaleureusement d'une tape amicale dans le dos « un homme, un vrai de vrai » avait-il ajouté en riant. Saskia – qui avait séché ses larmes – lui demanda alors de s'asseoir. La chaise émit un petit grincement quand il posa impatiemment son postérieur dessus.

  — J'ai reçu une lettre de ton père, il est d'accord, annonça-t-elle.
  — Trooooop bien ! Je vais faire mes affaires, fit Nel en jetant ses bras en l'air.

Il partit aussitôt dans sa chambre en courant, impatient de débuter son aventure au plus vite. Saskia fixa intensément Elric que la situation amusait.

  — Il est trop jeune, déplora Saskia.
  — Il a ça dans le sang belle-sœur et puis il est plus intelligent que la moitié clampins que je trimballe sur mon rafiot, s'exclama-t-il en riant

Toujours inquiète, son regard s'abaissa vers le sol alors que ses pensées étaient toutes dirigées vers son fils unique. Pendant ce temps, Nel terminait de boucler quelques vêtements dans un sac à dos. Il jeta un dernier regard dans sa chambre, cette partie de sa vie qu'il allait laisser derrière lui. Une grande inspiration et il prit la direction du couloir avant de sortir de la bâtisse. Sa mère et son oncle l'attendaient.

  — T'as intérêt à rester en vie demi-portion, ta mère se fait pas mal de soucis pour toi, déclara Elric.
  — Promis ! Je voyagerai partout, je découvrirai le nouveau monde et je reverrai Papa !

Saskia l'enlaça aussi longtemps qu'elle put, enroulant ses bras autour de lui et le serrant fort contre elle. Elle lui susurra tendrement à l'oreille ses ultimes paroles.

  — Tu m'écriras hein ? Et reviens quand tu veux. Et fais attention à toi.

Son discours se termina par un long baiser sur son front qui laissa une petite touche rosie sur les pommettes de Nel. Il commença à s'éloigner, se retourna et brandit son pouce levé accompagné de l'un de ses grands sourires dont il avait le secret. Une euphorie le traversait jusqu'au plus profond de son cœur jusqu'à la plus fine extrémité de ses membres.  Dans cette béatitude intense, il disparut en direction du port.
   
>> Test RP

   
Le Test RP est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation une fois achevées les étapes précédentes. Faire un test RP avant cette intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.
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Informations IRL

   Prénom :
   Age :19
   Aime :Le RP, le Sport et pleins d'autres bonnes choses!
   N'aime pas :Le café
   Personnage préféré de One Piece :Rayleigh
   Caractère : La modestie c'est ma grande qualité. Déterminé, dynamique (ça fait un peu CV ) et qui aime bien l'humour je dirais !
   Fait du RP depuis :Une petite année on va dire
   Disponibilité approximative :Vacance donc plutôt souvent!
   Comment avez-vous connu le forum ?Mon ami google

   Quand vous estimez avoir terminé vos descriptions et votre biographie, signalez-le par un nouveau message et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous-titre de votre présentation par la mention [En attente de Test RP]. Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs ne vous loupent (ce qui n’arrive pas très souvent).


Dernière édition par Nel Fairwing le Jeu 11 Juin 2015 - 8:42, édité 3 fois
  • https://www.onepiece-requiem.net/t14696-nel-fairwing-le-bcbg#170
  • https://www.onepiece-requiem.net/t14590-presentation-nel-fairwing
Bonjour à vous ! =D

C'est terminé, bonne lecture !
  • https://www.onepiece-requiem.net/t14696-nel-fairwing-le-bcbg#170
  • https://www.onepiece-requiem.net/t14590-presentation-nel-fairwing
B'jour Nel, bienvenue =)

Pour le test RP, donc :

Une usine de fabrication de sucreries. Ce sont les portes ouvertes, de nombreux visiteurs sont là. Malheureusement, pour une raison de ton choix, tu finis assommé dans un coin à l'abri des regards. Le soir, tu te réveilles, les lieux sont déserts, mis à part les patrouilles de surveillance. Raconte-nous cette nuit dans l'antre des bonbons !

Si t'en veux un autre, tu nous ^^

Bon courage o/
  • https://www.onepiece-requiem.net/t12258-alric-rinwald
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Une ville insipide, des rues étroites et des maisons délabrées pressées les unes contre les autres. Voilà ce qui constituait cette île perdue. Bien sûr les bars et autres refuges à ivrognes pullulaient dans ce coin, une perspective qui n'enchantait pas franchement Nel. L'occasion de rencontrer quelques femmes à l'aspect fiévreux et aux corps très légèrement couverts s'était également proposée. Malheureusement pour ces demoiselles, le blondinet ne s'adressa uniquement à elles pour leur demander si elles n'avaient pas froid. Ce n'est qu'à l'approche d'une immense bâtisse en forme de dôme et aux murs extérieurs vivement colorés que Nel s'enquit d'un visage radieux. « Usine Obirah : conceptrice de confiserie depuis 1610 » indiquait un panneau cloué sur la façade.  A côté un second panneau, sur pied celui-ci, faisait la promotion des portes ouvertes de l'entreprise.


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    — Et donc c'est ici que nous produisons les barres choco-fraises. Nous allons d'ailleurs tout de suite vous en faire une démonstration. (Il s'écarte en pointant la machine). Hum, je disais c'est maintenant  que nous allons faire une démonstration..

Sous le silence de plomb qui régnait, une petite goutte de sueur dégoulinait lentement sur le front du présentateur. Un assistant vêtu d'un costume noir et d'une chemise blanche arriva en courant. Il chuchota un message à l'oreille de son collègue tout en lui transmettant une feuille.


    — Mais avant toutes choses, faisons un petit tour de l'histor...  CRUNCH*


Les regards se tournèrent en direction de Nel qui croquait à pleine dent dans un biscuit sec. Sentant la pression doucement monter comme un voile de fumée s'enroulant autour des visiteurs pour les empêcher de respirer, il s'empressa de remettre les gâteaux dans son sac. Le public médusé, attendait alors la réaction du guide qui soupirait la tête entre les mains.


    — Pourquoi j'ai pas pris à manger moi...


Les quelques rires étouffés se turent rapidement à l'approche du directeur de l'usine qui allumait un cigare. Son expression suffit à rendre sérieux le guide qui toussota avant de reprendre la parole.

    — Donc oui, faisons un tour de l'historique. Cette machine fut construite par notre ingénieur en chef Al Kollyck – absent aujourd'hui pour des raisons d'ordre liqui... personnelles – né en 1595 de son père  Mélan Kollyck et euh... d'une femme sans aucun doute. Non mais ne me regardez pas comme ça, il y a rien d'écrit sur ce bout de papier.

Les soupires s'élevèrent à nouveau sous le regard du directeur forçant largement un rictus. L'après midi promettait d'être longue....

Malgré tout, Nel était très satisfait de cette petite visite guidée qui ne s'avérait pas du tout barbante contrairement à ce qu'il pensait. Mais l'attente se faisant sentir, il préféra se débrouiller par lui-même et arpenta lentement les couloirs de l'usine. Ses pas déterminés résonnaient sur le sol métallique. En ce jour spécial, une foule de personnes s'était déplacée pour venir assister aux miraculeux procédés de fabrication de leurs confiseries préférées. Nel espérait surtout pouvoir dévorer un maximum de bonbons avant que son estomac ne craque sous le poids du sucre. Par chance, une dégustation grassement offerte par l'usine se  trouvait juste devant lui à un nouveau stand. Un attroupement d'enfants mais aussi de parents qui considéraient leur progéniture d'un regard sévère se bousculait, riait, criait, mangeait, le tout dans une sorte de chorégraphie parfaitement maîtrisée. Nel se fondait parfaitement dans la masse attrapant guimauve et toute autre sucrerie avant de les déguster férocement. Les yeux ébahis des parents le dévisagèrent alors que les réserves de friandises en tout genre diminuèrent. Le festin terminé Nel entama une lente marche,  les deux mains posées sur son ventre gonflé tel une montgolfière.

    — Mch'était délichieux, déclara Nel en direction de l'employé s'occupant du stand.

Il ne lui restait plus qu'à trouver les sanitaires à présent.


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Souvent nommés « Gardes », parfois « Patrouille » voire plus simplement « Matelots », ces êtres ont pour fonction de se faire massacrer un par un par l'un des protagonistes du récit. C'est pourquoi ils auront la chance dans cet extrait de montrer l'étendue de leur volonté et de leur courage.


          — Tu vois ce qu'il faudrait c'est un genre de bateau mais pour aller dans les airs, avec des ailes comme un oiseau. Comme ça on pourrait aller beaucoup plus vite. Ce serait le rêve de l'humanité.
          — Pas le mien en tout cas, à chaque fois je me fais poursuivre par une carotte qui veut que je lui explique pourquoi est-ce que je mange des bananes. A chaque fois je me réveille en sursaut parce que je sais pas quoi lui répondre.
           — ...


Les portes ouvertes s'étaient terminées il y a une bonne heure déjà. Les braves gardiens faisaient un dernier petit tout pour s'assurer que l'usine était complètement vide et que personne ne s'était perdu. Leur petite trotte habituelle s'écourta à la vue d'un corps inanimé, un corps qui semblait jeune, très jeune.


          — Rah c'est pas vrai... On va encore avoir de la paperasse à remplir.
          — Attends, dit son coéquipier qui plaçait sa tête sur le torse de l'enfant. Il respire. Il est 17h59 ce qui veut dire que dans une petite minute notre service est terminé et que cela ne nous concerne plus. Donc soit on le signale et on est là encore pour une heure de plus, soit on l'a jamais vu et on laisse l'équipe de nuit s'en charger tranquillement pendant qu'on roupille au chaud.
          — On va pas laisser un petiot comme ça...
          — ...
          — ... une petite bière avant de rentrer ?


Le changement des équipes de sécurité se faisait toujours à 18h00 précisément, n'importe qui s'en rendrait compte en surveillant la fabrique. Les veilleurs de nuit saluèrent leurs collègues avant de rentrer par la grande porte. Ici, le boulot se résumait à roupiller huit bonnes heures d'affilé en attendant la relève. L'insouciance dont ils s'étaient épris depuis plusieurs années  les empêcha de voir les trois pirates qui s'infiltrèrent derrière eux. Assommés et ligotés les gardiens ne représentaient plus aucune menace. Les responsables? « La bande à Jake » comme ils se font appeler dans le business underground.  Jake fait partie de ces pirates qui comme tout ceux de son espèce recherche l'immortalité. Mais plutôt que de l'atteindre avec d'impressionnants faits d'armes, une cruauté sans nom ou encore une richesse inépuisable, celui-ci avait tout simplement décidé de s'assurer l'immortalité en évitant de mourir. Il ne se lançait ainsi que dans des missions de pillage sans risque aucun.

    — Bon, j'reste ici pour surveiller ces deux-là, affirma Jake en pointant du doigt les deux gardes. A vous de trouver le plan dont on avait parlé. Oh et (ses yeux se teintèrent d'une lueur sombre) pas de connerie cette fois, si c'est encore la merde je jure sur l'bon dieu que je vous attache à  une dalle de plomb avant de vous balancer dans la mer, c'est clair ?


Freak et Zevran hochèrent vivement la tête et quittèrent la pièce aussi rapidement que possible.


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Au début il se sentait bien, pensant à une verdure douillette quand une touche froide vint effleurer son cou. Un petit spasme tenta de le recroqueviller en une position fœtal plus confortable et préserver ainsi cette douce illusion, sans succès. Ses sens se réveillèrent petit à petit, un peu comme une crèche où chaque enfant réveillerait le précédent par son cri. L'esprit se décrocha peu à peu de son univers onirique pour laisser place à une dure réalité. Nel se réveilla avec une vive douleur derrière son crâne et tenta de calmer la douleur en vain en massant la belle bosse qui s'était formée. Quelques secondes de réflexion suffirent à lui remémorer la fâcheuse scène : une cuve de miel et une barre de fer horizontale. Nel étant allergique à toute forme de nectar il a éternué avec force et s'est complètement viandé sur ladite barre placée juste derrière lui.

    — Yoooosh. J'ai de nouveau faim, déclara Nel en faisant craquer ses doigts.

Une affirmation confirmée par le bruit épouvantable provenant de son estomac, un mélange entre un éboulement de roches et le son strident d'un vieux piano pas accordé. Parfois fort, parfois faible, l’écho rebondissait sur les parois jusqu'à faire vibrer le cœur de l'usine.



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          — T'as entendu ça ? C'était quoi ?
          — Un bruit, répondit Zevran en hochant les bras.
          — Joue pas au con c'était pas humain, on aurait dit … je sais pas mais c'était flippant.
          — Ouai... sûrement une machine.

Freak se tut même si il n'avait qu'une envie : partir d'ici. Il n'avait rien d'un guerrier et la bravoure ne faisait pas partie de ses atouts. Il voulait trouver un travail honnête depuis quelque temps, s'arrêter quelque part et y rester, y construire mais rien ne marchait. Il avait toujours ces souvenirs horribles qui le rongeaient. Il en cauchemardait. Ça finissait par voler peu à peu des bouts de son âme, lui retournant le cœur et l'esprit et l'empêchant aussi de demander de l'aide. Quant à Jake... non il n'acceptait pas qu'on le quitte aussi simplement sans en payer le prix.

          — Tu sais où on va au moins ?
          — Quand on a fait le plan ce matin t'étais avec moi nan ? On va d'abord chercher dans le bureau tout au bout. Pourquoi faut-il que tu paniques tout le temps ? Demanda Zevran avec irritation.

Freak garda le silence à nouveau, mais plus fort cette fois. Tous deux arrivèrent près d'un angle. L'ampoule normalement allumée à l'entrée par les gardiens était totalement inactive, plongeant la commissure dans une obscurité inquiétante. La seule veilleuse qui restait n'éclairait que la nuée de moucherons s'y accolant et s'y cognant en un mouvement misérable. Nel de son côté poursuivait tranquillement sa balade nocturne un sachet de bonbons aux goûts variés à la main. Il en prenait une grosse poignée avant de les larguer verticalement directement dans sa bouche et de mastiquer longuement dans un cocktail de salive et de saveurs exotiques. C'est au moment précis où Freak annonça à nouveau à son partenaire qu'il entendait quelque chose que les deux groupes se croisèrent. Nel venait d'ingurgiter une demi-douzaine de bonbon au miel. Les effluves florales et sucrées lui remontèrent à travers la trachée le titillant sur tout le trajet. L'éternuement provoqué se révéla assourdissant. Freak déjà paniqué tourna de l’œil sur le coup après avoir entendu ce bruit abominable venant d'une « chose » aussi proche. Nel bascula vivement en avant avec sa tête et perdu l'adhérence qu'il avait au sol, plongeant en direction de Zevran sous le réflexe spasmodique avec une force incontrôlée. Ce dernier n'eut pas le temps de comprendre et encore moins de contracter ses abdominaux et reçu de plein fouet le crâne de Nel dans le foie. Il expulsa une coulée de bave avant de rejoindre son coéquipier dans les bras de Morphée. Nel ployait sous l'incompréhension. Ses yeux clignèrent plusieurs fois alors qu'il essayait de déceler ce qu'il venait de heurter. Tout s'était passé si vite...


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Jake taillait des copeaux d'un bout de bois assis confortablement sur une chaise. Non pas qu'il espérait obtenir une arme quelconque, mais plus dans l'espoir de s'occuper l'esprit le temps que ses sbires reviennent, leur mission accomplie. Les deux gardes qu'il avait neutralisé étaient toujours inconscients allongés par terre contre le mur. La petite salle de repos dans laquelle il attendait avait le plafond bas et les murs étroits. Le carrelage couleur crème était tacheté de noir ainsi que de moisissures dans certains coins. Il s'était placé de sorte à pouvoir surveiller ses prisonniers tout en observant le couloir sur lequel donnait la porte en face de lui. Ainsi, mpossible de le prendre à revers. Il aperçut soudain une minuscule silhouette traînant avec lui deux objets manifestement lourds. Ses yeux s'écarquillèrent. Il se leva, le visage las, bien qu'animé d'une amère déception.

          — Zevran ! Freak ! Hurla-t-il en direction de la silhouette.

Elle se retourna s'avançant dans la lumière – sans entrer dans la pièce – pour y révéler un charmant garçon essoufflé par les charges qu'il traînait derrière lui.

          — Ah ! Vous les connaissez ? Fit Nel en lâchant brutalement les corps qui s'entrechoquèrent sur le carrelage. Ils sont louuuuuuuuuuuuuuuurds. Je vous les laisse alors, termina-t-il en remettant une poignée de bonbons dans sa bouche.

Il repartit aussi sec sans laisser le temps à son interlocuteur de rétorquer quoi que ce soi. Sur son index gauche, il faisait tournoyer un petit trousseau de clé qu'il avait emprunté sans réellement demander la permission. A l'autre bout, Jake restait pétrifié, comme une mauvaise expression de surprise qu'on aurait photographié. Il se répétait sans cesse « Mais... c'était qui ce type ? » tout en observant les corps inanimés de ses nervis.
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Yebah mon grand ! Premier commentaire pour toi, en te souhaitant encore une fois la bienvenue à bord !

Les descriptions sont super claires, assez dynamiques, faciles à lire et donnent une bonne idée du perso. R.A.S., ça fait le job et ça le fait bien.

La bio est très cool. Dans le sens où c'est pas linéaire, où y'a pas d'accouchement (je hais les accouchements, toutes les bios commencent comme ça, c'est ouf...), où tu racontes les choses sous forme de quelques images / clichés qui suffisent à faire marcher l'imagination de manière à reconstituer un ensemble cohérent. C'est très bien maîtrisé.

Seul commentaire un peu négatif que j'ai à faire : tu as tendance (malgré le fait que tu ais une écriture super cool et très claire à laquelle j'adhère carrément) à mal utiliser certains mots. Du genre, tu parles d'une robe ébréchée, alors que c'est un terme qui ne s'applique qu'à des matériaux durs (verre, terre cuite, métaux...). Plutôt fendu, déchiré pour un tissu ?

Autre truc, 12 ans pour s'engager dans la marine avec double consentement parental... c'est un peu Sasha de Bourg Palette qui part camper dans la nature au milieu de bestioles sauvages cracheuses de mort à 11 ans. Niveau crédibilité, je trouve pas ça super top. Dans le même genre, je sais qu'Uriko s'était retrouvé à monter un peu l'âge de son perso pour le rendre plus crédible. Mais bon, de toutes façons, ton perso prendra de l'âge au fil des années irp, et tu pourras toujours expliquer les circonstances en rp.

Niveau test rp, c'était assez fendart et bien pensé. La fin est très abrupte, sans doute trop, mais l'ensemble est tellement frais et bien maîtrisé que je te pardonne sans aucun problème.

Je suis sur un 780 dorikis. C'est précis.

Des bisous, en l'attente du prochain avis o/
Une belle soirée à toi !
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Salut Nel, et encore une fois, bienvenue sur OPR !

Je viens donc pour ton deuxième avis avec une validation à la clé ! Du coup, je te propose de commencer sans plus attendre.

Je vais être assez bref parce qu'encore une fois, Sören a tout dit.

Niveau longueur, t'as fait le job.
Peu de fautes, c'est cool, presque autant que ta plume qui est très chouette. Un style assez scolaire, mais en plus chaleureux et plus épuré, donc c'est mieux.

Ton physique et ta psychologie sont suffisamment détaillés, et ils ont mêmes l'avantage de te rendre humain. On a moins l'impression de faire face à un héros de fiction, ça change et en bien, donc c'est cool.

Ta biographie est complète, elle est belle et bien construite, là aussi c'est une style moins conventionnel et ça marche.

Mêmes remarques que Sö concernant l'âge et le test RP. C'était un moment très agréable globalement de toute façon.

Du coup, je tablerai également sur 780 dorikis, te voilà donc fixé !

Bonne aventure !

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Je poste juste pour les éventuelles personnes qui liraient ou pour quand on va me valider => Je ne m'engage pas dans la marine, l'autorisation qui est décrite dans l'histoire est uniquement pour partir en Mer.

Je souhaite donc devenir CIVIL, merci !


Et un gros merci pour mes deux noteurs et leur boulot, c'était très sympa de lire vos appréciations !
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