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dernière révérence à luvneel


Rencontre nocturne



Y'a pas à dire une bonne douche après un bon combat, y'a que ça de vrai. Surtout quand le combat en question est aussi lucratif. Et amusant. Y'avais longtemps que je n'avais pas affronté un lutteur comme celui-là, il a réussi à tenir ses trois minutes dans la cage. Il a empoché une jolie récompense certes, mais je suis beau joueur (enfin belle joueuse) et s'était bien battu. Je lui ai serré la main qui lui faisait la moins mal, tout remboîté ce que je lui avais démis et lui ai fait un massage sur ses marmas pour le soulager. De toute façon j'avais empoché bien assez pour ce soir.

Après une bonne douche, j'ai troqué mes vêtements et mon masque de catcheuse pour un ensemble plus habituel. Je cachais mon identité lors des combats clandestins, pour ma propre sécurité...ET parce que le catcheurs masqués je trouve cela super classe.

Bref, je sorts du bâtiments et prends les petites ruelles (c'est plus discret) pour rentrer avec Jackie sur les talons quand j'entends des cris .

REVIENT ICI PETITE GARCE !!


Je me tourne dans la direction du bruit et je vois trois mecs en costard bon marché (des mafieux) courir après...Une gamine ?! Attend elle doit avoir à peine 10 ans ! J'avance pour intervenir quand une main sur mon épaule m'arrête :

Oy Charlie! Tu devrais pas t'en mêler, tu sais que les familles t'ont dans les dos là ! Tu voulais pas t'mettre au vert ?


Je me retourne et je répond à Jackie :

-désolée frangin mais bon je peux pas rester sans rien faire ! En plus ce ne sont que des troufions de base, ils devrait avoir l'habitude maintenant de moi ! Je veux dire j'en ai tellement cognés, trois de plus ou de moins...

Facepalm de la part de jackouille, merci bro ! Puis il soupire et me répond avec son "big smile" habituel :

-d'toute façon si j'disais non t'en calculerait rien ! Va sauver le monde sainte marie je- botte-des-culs !

Yaaay ! Je fonce à leur poursuite pendant qu'il me suit discrètement. J'arrive dans une impasse où ils ont coincé l'autre gosse. Je choppe le plus proche parle cou et l'éclate au sol dans ma chute.


Attaque-toi à quelqu'un de ta taille !

Pauvre gars, comme si sa suffisait pas un type l'écrase au moment où je t'ai fait ma prise.

Attends...Wait what ?

Un type vient de sauter du toit le plus proche sur le type au même moment que je l'éclatais au sol, vu sa lame et la manière dont il l'a fait je dirais qu'il a tenté de le buter et n'avait pas prévu mon arrivée.

On passe un petit moment, là à se demander ce que fout l'autre. Mais on ne nous laisse pas le temps de se poser verbalement la question :

MAIS VOUS ETES QUI BORDEL ?! VOUS ALLEZ VOIR !

Je fais un relevé de carpe et me sert de l'élan pour envoyer mon poing dans la figure d'un type qui nous chargeait  qui l'envoie percuter le mur où il s'effondre comme une merde K.O pendant que mon...Ami ? Ennemi ? Égorge son camarade. Mmmmh...C'est un bon, je me tourne vers lui des fois qu'il veuille m’assassiner moi aussi. Il semble vouloir dire quelque chose, mais est interrompu :

Laisse cupidon, elle est clean.


Jakie, qui comme à son habitude a attendu que tout soit fini pour se montrer (contrairement à moi il ne peut pas s'offrir le luxe de se faire remarquer...).

-Tu le connais ?

-Oui : c'est cupidon, un assassin qui coupe régulièrement la gorge à quelques salopards pour la révo...

Cupi, je te présente Charlie Boyington, la fille du gars qui tiend le dojo ou je m'entraîne. Elle vient faire des combats clandestins comme catcheuse masquée et cogne de temps en temps les mafieux du coin...

Bon qu'est-ce que tu fous ici ?



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Dernière édition par Charlie Boyington le Mer 1 Juil 2015 - 13:14, édité 4 fois
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Un nouveau type de criminel fait de plus en plus mal à la population. Ils kidnappent des enfants pour en faire leur fidèle larbin. Ce qui est sur c'est que quelqu'un doit agir. Un chasseur de primes pourrait le faire, un marine pourrait le faire, un combattant du peuple aussi communément appelé révolutionnaire doit le faire. La différence entre tous ces groupes c'est que le révolutionnaire fait cela sans recevoir quelque chose en retour. Guillaume est chargé de résoudre cette histoire et n'a l'intention d'avoir que quelque chose de gratuit pour ses actions. Des émotions.

Les émotions de joies suite au bienfait accompli. Les membres de l'umbra ont quelques informations et réussis à localiser des membres actifs de cette nouvelle mafia. Vêtu de sa tenue traditionnelle d'assassin, il reste sur les bâtiments et suit discrètement les individus. Par malchance, ceux-là ne se dirigent pas vers leur repaire mais pourchassent une petite. Que vas-tu faire Cupidon? Laisser la petite se faire attraper et les suivre jusqu'au repère pour libérer tout le monde d'un coup ou... Je n'ai pas terminé ma phrase en tant que narrateur que le révolutionnaire les chasse avec la ferme intention de les arrêter immédiatement pour éviter que la petite soit traumatisée davantage.

D'un toit, il se laisse tomber sur l'une de ses cibles et sort sa lame secrète.

Technique : Tomber amoureux
Lorsque Guillaume est en hauteur, il se laisse tomber à toute vitesse. Sa trajectoire ne peut pas être changer mais l'impact final est puissant.


Au même moment une inconnue agit. A eux deux ils gèrent parfaitement la situation. Suite au combat éclaire, Jackie se montre. Guillaume a une dague en main et voulait savoir à qui il avait à faire.

Suite aux petites répliques de Jackie, cupidon se redresse et range ses armes. Sa capuche assombrit son visage et le rend méconnaissable, néanmoins, on peut constater qu'il aborde un joli sourire sincère et qu'une belle odeur de parfum émane de lui.

-Si je puis me permettre, je ne tue pas pour la révolution mais pour le peuple. C'est pour moi une énorme différence que je souhaite souligner. Ravi de te rencontrer Charlie.

Même si Charlie ne distingue pas le visage de coop, elle sent qu'il ne la regarde pas malgré le fait qu'elle soit une jolie jeune femme. C'est simplement le fait qu'il a pris l'habitude de baisser son regard face aux femmes et de se permettre de regarder seulement la sienne.

-Je suis sur une affaire qui me tient à cœur. Ces individus kidnappent des enfants et leur font un lavage de cerveau pour en faire des fidèles chiens à leur service. Je ne fermerais pas l’œil, ni me reposerais tant que je n'aurais pas fait tomber la tête de leur chef dans tous les sens du terme. Le travail m'appelle, bonne soirée.

La petite fille pleure et se met à courir pour se sortir de ce cul-de-sac.

Technique : L'amour est intangible
Guillaume est bien dans les parages, mais on ne le voit pas. Si vous le lâchez du regard un bref instant, il disparait.


Il profite de la mini diversion de la petite pour prendre le corps du maffieux qui n'est pas mort et disparaît. Charlie et Jackie ont à peine fait un mouvement de tête entre la petite et Guillaume que celui-ci a disparu. Avec le corps de malfrat sur l'épaule, Cupidon se déplace en hauteur et se dirige vers la planque des assassins pour questionner tranquillement sa prise.

Une fois arriver à destination il attend sagement que son ennemi se réveille en lui donnant des petites baffes et en lui lançant un seau d'eau glacée. Lorsque l'homme reprend enfin ses esprits il constate qu'il se trouve dans une salle vide qui possède seulement quelques bougies. Au sol, il grelotte, se lève et se met dos au mur.

-Pt'in mais t'es qui ?! Qu'est-ce tu m'veux? J'ai rien fait bordel de merde !

-... Où se trouvent ton boss et les enfants kidnappés?


-Pt'in mais de quoi tu parles ? T'es qui ?! Réponds !!

Cupidon se trouve à l'opposé de la pièce carrée, adossé contre le mur et croise ses bras. Il soupir et se met à marcher vers son ennemi en sortant sa lame secrète. On peut entendre le bruit du métal qui coulisse et voir la lame sortir.

-Où se trouvent ton boss et les enfants kidnappés?

-Arrête tes conneries putain !

L'homme commence à paniquer et il y a de quoi. Un couteau de lancer est saisi et est lancé juste à côté de la tête du criminel. Une petite éraflure est faite au niveau de l'oreille.

-Ha ha ha ha. T'es têtu toi. De toute façon tu peux me faire ce que tu veux je parlerais pas. Alors ton intimidation tu peux te la mettre où je pense.

L'homme change de comportement de façon surprenante. Alors Guillaume sourit comme s'il avait compris que son intimidation ne mènera nulle part. Puis faut dire que la torture ce n'est pas sa tasse de thé, non franchement c'est au dessus de ses moyens.

-Je ne vais rien te faire. En réalité, tu me fais de la peine. Comment un homme peu en arriver là? Une bien triste histoire que la tienne. Je vais simplement attendre que ton supérieur t'appelle sur ton escargophone que voici.

Guillaume sort de l'une de ses poches l'escargophone en question qu'il a dérobé pendant que l'homme était assoupi. Suite à cela l'assassin se repositionne vers le mur opposé à son ennemi et s'adosse contre le mur en croissant ses bras.

Le criminel a envie de l'insulter de con et de plein d'autres nom. Après tout, il n'est pas attaché et ne se fait même pas torturer. Pour lui, son coup de bluff de dire qu'il ne dira rien à marcher. Sur le coup, Cupidon c'est fait avoir en beauté. Mais une chose est sur, le bandit sait qu'il ne fait pas le poids face à l'assassin et c'est pourquoi il se tient tranquille et s’assit en tailleur.  


Dernière édition par Guillaume le Mar 7 Juil 2015 - 11:58, édité 1 fois
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Et dire que je voulais me mettre au vert...





suite à l'intervention de Jackie, mon nouvel "ami" range ses dagues et rajoute avec un sourire :

-Si je puis me permettre, je ne tue pas pour la révolution mais pour le peuple. C'est pour moi une énorme différence que je souhaite souligner. Ravi de te rencontrer Charlie.

Et en plus il est sympa et il a l'air d'être un convaincu, comme jackie. Et c'est lui cette odeur de fleur d'oranger ? Il prend même soin de son odeur. Pas étonnant qu'on l'appelle Cupidon...

Je sens qu'il ne me regarde pas...Quelque chose doit le gêner mais j'ai du mal a savoir quoi ; ça m'intrigue...

-Je suis sur une affaire qui me tient à cœur. Ces individus kidnappent des enfants et leur font un lavage de cerveau pour en faire des fidèles chiens à leur service. Je ne fermerais pas l’œil, ni me reposerais tant que je n'aurais pas fait tomber la tête de leur chef dans tous les sens du terme. Le travail m'appelle, bonne soirée.


Attend kidnapping de gosses ? Je tente de lui demander des explications mais la gamine essaie s'enfuir , je la stoppe doucement mais fermement.

Pourquoi des mafieux poursuivraient une gamine ? Je crois que j'ai ma réponse. Je souris de la manière la plus rassurante possible et lui demande :

Attend ma chérie, avant que tu ne parte je veut savoir si tu n'est pas blessée, c'est quoi ton nom ? Tu a mal quelque part ?

Elle me regarde, se calme un peu et me dit entre deux reniflements :

-Coraline, et non ça va j'ai pas trop mal...


-Pas trop ? Donc tu a mal quelque part ? Il faudra s'occuper de ça... Dis-moi ma chérie, pourquoi ces personnes te poursuivaient ? Tu t'est enfuie de quelque part ?


Elle me regarde, éclate en sanglots et déballe tout.

J'avait vu juste.

Je lui caresse les cheveux pendant qu'elle pleure dans mes bras. Comment ils ont pu faire ça à elle et à tant d'autres ? Comment IL a pu lui faire cela ? Ganabel sale enfoiré...Tu ne t'en tirera pas comme ça, je vais m'en assurer.

-Ssssh, c'est fini, on va te ramener dans un endroit sûr, tu est en sécurité à présent.


-Tu compte t'en mêler hein ?


-Pardon Jackie, je peut faire l'impasse sur certaines chose mais là... C'est trop gros ; et juste sous mes yeux. Je ne peut pas ne pas agir. T'inquiète, je ferait ça masquée pour l'occasion.


Il soupire puis me réponds :

-Viens je vais me charger de la gamine...Je pense que Cupidon aimerais savoir qui est sa cible et je pense savoir ou il est... Si tu compte t'en mêler, j'aimerait au moins qu'il soit avec toi.

-Merci bro


je prend Coraline par le main et on se dirige vers un entrepôt. Après que Jackie m'aie introduite aux garde et qu'on ai vérifié que cupi soit là ; il prend la gosse par la main et dit.

-bon sis', comme d'hab...

...Je n'ai jamais vu cet endroit


-parfait je te rejoindrait quand j'aurais déposé Caro ! A plus !

...Oui, a plus !


je le salue et rentre dans le bâtiment ou je retrouve mon nouvel ami dans la salle d'interrogatoire. Il à l'air extrêmement surpris de me voir ici.

Je suis venue te prévenir qu'on a découvert qui tu recherchait et ou il habite. Mais si tu veut le savoir, je vient avec toi ; pas de discussion. Surtout que tu pourrait bien avoir besoin d'une diversion cette fois : le gars en question est un gros poisson.









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Cupidon lance un petit sourire en direction de Charlie. Les femmes têtues il en connait, surtout une en particulier. Pas besoin de tenter de la convaincre de lui laisser cette affaire. Le simple regard de la future marine en dit long sur ses convictions. Des yeux loin d'être singulier.

-En réalité, je n'aime pas vraiment ton chantage... Je peux aisément acquérir les mêmes informations que toi. Mais bon, je peux comprendre ce qui te motive et ne serais probablement pas un frein pour toi. En route camarade.


Juste avant de sortir de la planque, Cupidon toujours souriant propose à celle qui doit l'accompagner de prendre une tenue d'assassin pour dissimuler son identité ainsi que des armes si elle le souhaite. Une fois cela fait, ils se mettent en route. Comme à son habitude, il escalade des maisons et se déplace en hauteur. Charlie donne finalement ses informations à l'assassin ce qui leur permet de s'approcher du lieu où se trouve Ganabel. Comme tout luvnelpraad, le coin est sinistre et possède pas mal d'angle de tir, parfait pour des criminels. La demeure qui nous intéresse possède deux étages. On y trouve une terrasse au second avec des plantes de cannabis. Deux individus sur des chaises longues en pleine relaxation.

-Je pense être le plus apte à l'infiltration. Je passerais par la terrasse. Si ta proposition de diversion tient toujours, ça me faciliterait grandement la tâche.

Reste plus qu'à attendre que Charlie ouvre le bal pour s'élancer dans la danse.
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Cogner avant d'entrer s'il vous plaît


-En réalité, je n'aime pas vraiment ton chantage... Je peux aisément acquérir les mêmes informations que toi. Mais bon, je peux comprendre ce qui te motive et ne serais probablement pas un frein pour toi. En route camarade.

Ce fus plus facile que prévu...tant mieux. Il a même la gentillesse de me filer une tenue d'assassin et de armes. Encore mieux ; je prend la tenue mais refuse poliment les armes. Pas mon style. Au moins je ne m'attirerais pas de problèmes, comme je le souhaitais. Nous nous déplaçons donc de toit en toit jusqu'à l'endroit que je lui ai indiqué.

-Je pense être le plus apte à l'infiltration. Je passerais par la terrasse. Si ta proposition de diversion tient toujours, ça me faciliterait grandement la tâche.
.

Certes. Bon au moins je pourrais bourriner sans trop avoir à réfléchir cette-fois-ci ; sauf a un moyen de m'enfuir quand tout sera fini. Ça me changera de planifier le moindre détail.

Bon quand faut y aller.

-Bonne chance !

Il me répond avec un sourire pendant que je prend mon élan et saute du toit ; m'élance devant la porte d'entrée et défonce la porte avec une magnifique coup de pied retourné.

Il ne fallu que quelques secondes pour voir débouler tout une division de gardes. Le les salues donc :

Toc !...Toc.

NON MAIS C'EST QUOI TON PROBLÈME  ?! TU NOUS CH...

j’interromps le gars qui gueulais dessus d'un coup de pied sauté de la face qui l'envoie bouler.

on ne crie pas après le dames, c'est très vulgaire daaarling !

je sais le darling avec l'accent c'est très cliché mais je ne veut pas qu'on reconnaisse ma voix.

Je sourie aux autres gardes et leur dis :

allons messieux, je n'ai pas toutes la nuit ! ne faites pas attendre les dames !

Spoiler:

et c'est parti pour la mêlée générale. Let's roll !

Si avec ça j'ai pas rameuté tout les gardes et que la diversion rate, je te paye un verre cupi !



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-A moi de jouer.

Les gardes du deuxième étage regardent par-dessus la rambarde pour voir ce qui se passe en bas tandis que Coop se déplace et se retrouve juste au-dessus d'eux sur le toit. Il se penche pour voir les deux autres et ces derniers viennent juste de redresser leur tête.

-Bouh.

Les gardes sursautent et font quelques pas en arrière pendant que Guillaume les rejoint sur la terrasse. L'un sort un pistolet mais l'assassin réagit plus rapidement en lançant deux couteaux, une par gorge. Coop enchaine rapidement en sautant sur eux et place ses mains sur leur bouche pour éviter qu'ils hurlent de douleur. Les corps tombent. Un peu trop bruyant pour le coup Guigui mais il a de la chance que Charlie se dérouille bien en bas.

L'infiltration commence pour notre assassin qui entre d'un pas léger dans le bâtiment. Il se déplace doucement mais surement, toujours à vérifier que son déplacement n'engendrera pas problème. Le vacarme au rez de chaussé couvre parfaitement l'infiltration et Cupidon peut avancer en tranchant quelques personnes sur son passage. Lorsqu'il trouve enfin les escaliers, il tombe en même temps sur un gros problème. Deux gamins lui font face. Il aurait préféré tous les trouver au sous-sol et les faire sortir d'un coup ou qu'une fois les gardes sont tous hors-service, mais il doit faire avec. C'est avec un sourire qu'il se dirige vers eux et place son doigt sur sa bouche pour leur dire chut.

-Ne vous inquiétez pas je vais vous sortir de là.

Un garçon et une fille. La petite fille avec une belle petite jupe a les larmes aux yeux et tend ses bras vers Guillaume. Cupidon la prend et tente de la consoler lorsque... Quelque chose de froid... Ce n'est pas que froid mais douloureux aussi. Un morceau de métal s'enfonce dans sa chair. La petite est une diversion qui a profité au petit. Ce dernier vient de poignarder Coop au niveau de l'estomac. Le petit sourire machiavélique de la petite veut tout dire. Elle mord le nez de l'assassin tandis que le petit poignarde de nouveau l'adulte.

Se faire avoir par deux petits... Peu d'assassins se seraient fait avoir de la sorte, mais nous parlons de Cupidon. Voir ces petits dans un lieu si sordide ça l'a touché. Le pire c'est le visage qu'avait la petite, c'est surtout ça qui lui a fait baisser sa garde. Il savait que des enfants avaient été manipulés mais pas à ce point. Voir les choses c'est toujours plus dur que de les entendre.

Alors Cupidon saisit la main du petit garçon qui le poignarde et pose la petite par terre en forçant un peu pour qu'elle le lâche. Il retire le couteau de la main du petit et se s’accroupit pour lui caresser la tête.

-On ne joue pas avec les couteaux c'est dangereux.

Mais il comprend que les raisonner va être difficile vu les yeux rouges qu'ont ces petits. Ils ont certainement été drogué... Pas de temps à perdre, Guillaume leur donne un coup derrière la nuque ce qui les assomme. Il n'avait pas vraiment le choix, les raisonner est impossible, les attacher est long et pas sans risque. N'oublions pas Charlie qui se bat seule.

C'est avec deux belles blessures que Cupidon prend les escaliers et descend au premier étage. Il se fait toujours discret et progresse dans l'ombre. Quelques coups de lame secrète son donner sur son passage. Il trouve à ce niveau des chambres avec des petits allongés sur des lits. On trouve des seringues juste à côté d'eux et c'est certainement pas de la morphine qu'elle contenait. Sortir ces enfants va être compliqué.
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Une promenade de santé...enfin...presque


Pi padou padaaaaa

voila bien quelques dizaines de minutes que je balade mes "hotes" d'un bout a l'autre du manoir en prenant soin d'éviter d'aller trop loin ; histoire d'éviter de griller cupi. En fait je me dirige vers tout ce qui peut ressembler à un sous-sol histoire de repérer là ou tout les gosses sont retenus prisonniers ; ou bien un éventuel passage par lequel pourrait s'échapper notre cible ; et accessoirement rameuter le plus de garde possibles tout en gardant un certain contrôle sur le nombre d'ennemis que j'affronte en même temps ( ben oui, c'est le concept de "balader" ). Bien sur pendant la mon jogging je pare un sabre, une balle, cogne un mec ou m'en sert de projectile ou de bouclier humain...

Une promenade de santé quoi. C'est pas comme s'il étaient 10000. De toute façons je les gère toujours par groupes de 10 ; s'ils sont une petite centaine ça devrait passer ; même si ça prend du temps.

En fait au bout d'un moment le vacarme du combat cesse. C'est déja fini ? Ben faut croire ; y'a plus grand monde de conscient...C'est quand même bizarre de la part d'un mec comme Ganabel.

Bon ben je vais commencer a les questionner. J'en prend un qui n'est pas (encore) mort et le traîne jusqu'au chiottes. En arrivant je...

OH MON DIEU ! C'EST PAS VRAI

même le p***** de trône est en or massif ! Non mais je veut bien croire que le mec a des goût de luxe mais quand même !

Ce type ne roule pas sur l'or...il chie dessus ça et me débecte de savoir qu' il a obtenu son fric de la souffrance de gosses qui n'ont rien demandé a personne. En fait maintenant que je me rends compte de toute l'opulence de la ville, j'ai envie de gerber. J'ai besoin de ma calmer les nerfs.

Pas de chance pour toi coco. Je lui plonge la tête dans la cuvette. Il glougloute pendant un moment, puis quand il commence a manquer d'air, il se réveille en prenant une grande inspiration.

Je ne lui en laisse pas l'occasion. Je le choppe par la gorge , le soulève et l'écrase conte le mur en explosant la mosaïque.

OU SONT LES GOSSES ?!

Garlgl...qwa ?

ECOUTE MOI BIEN CONNARD !! JE SAIT QUE TON PATRON KIDNAPPE DES ENFANTS, T'A 10 SECONDE POUR ME DIRE OU IL LES RETIENS PRISONNIERS OU JE...


et là je le vois . Ou plutôt son reflet dans le regard apeuré de l'autre types quand je lui plante mes rubis dans ses yeux. Les yeux perçants comme ceux d'un faucon (est-t'il relaté à taka no me ?). Jeune ; 12 ans a peine...

Bien trop jeune pour tenir un flingue.

Je me précipite derrière une armoire. Juste a temps ; j'entend les détonations ;  les balles qui sifflent en m'arrachant des cheveux et mon prisonnier hurler alors qu'il se fait plomber derrière moi. Comment il a fait pour se glisser derrière moi sans que je ne m'en rende compte ?!

Aie. Je grimace pendant qu'un douleur sourde se répand dans mon bras. Je jette un œil et voit ce que l'adrénaline m'a empêché de sentir : un impact de balle dans mon bras, et vu la taille c'est un gros calibre. J'ai de la chance que l'armoire soit en métal, le bois n'aurait pas arrêté les balles.

Une autre détonation...Et ma tête explose.








Ou du moins c'est comme cela que ressent. La douleur explose dans mon crâne et me sonne quelques instants. Mon masque tombe de mon visage et quelque chose de chaud coule de mon front . Je touche pour savoir et en regardant ma main je voit que c'est du sang. Je regarde au sol et je vois mon masque en morceaux et une balle. Et je percute lorsque je vois en face de moi un peu a gauche un impact sur le mur : il a fait ricocher la balle d'un flingue de plus petit calibre dans ma tête.

Dieu te bénisse cupidon car sans ton masque je serais morte.

Je frissonne a cette pensée. Ce gosse ; je ne dois pas le sous-estimer. Pouvoir tirer comme ça, ce doit être un prodige.

Tout comme moi.

Et cette pensée m’excite. Je souris a pleine dents tandis qu'il se rapproche.

A mon tour.

# seishin no jôka (purification de l'esprit)
grâce a une technique de respiration et de méditation , Charlie centre son esprit . Cela prend un moment plus ou moins long selon l'effort a fournir durant lequel elle ne peut pas bouger et ferme les yeux; mais quand elle est prête , elle peut déployer pendant une seconde une force considérable .

Je ferme les yeux prends de lentes et puissantes inspirations tout en visualisant ma future action. Mon esprit se calme. Je fait tout disparaître excepté mon mouvement et centre mon esprit. Mes muscles se tendent.

Puis je lâche tout.

L'armoire de 300 kilos vole vers le jeune pistolero qui l'esquive de justesse. Je m'élance vers lui et frappe... dans le vide.

-Malheureusement pour vous j'ai déjà analysé vos mouvements durant votre combat avec les gardes.


Merde, s'il dit vrai y'a qu'une seule solution.

# juyôna kurushimi (souffrance vitale )
Charlie remonte ses organes vitaux abdominaux dans sa cage thoracique, ce qui lui permet de se faire empaler ou trancher ou frapper sans danger a ce niveau-là. En cas d'empalement, elle peut coincer la lame avec ses muscles abdominaux

Je déboîte mon épaule pour parer son flingue derrière moi .

Je me retourne et lui rentre dedans mais il tire 5 fois dans mes abdominaux. Putain ça fait mal.

Je passe dans son dos, l'attrape et commence à l'étrangler.

Sois fier gamin, la seule différence entre toi et moi, c'est l’expérience, et c'est ce qui t'a perdu

Il se débat pendant quelques instants puis cesse de bouger.

Je vérifie son pouls : bien il est vivant. Je le met en PLS, puis je fouille trouver de quoi me soigner. Une fois les saignement de mes plaies coupé je pars en quête de quelqu'un d'autre à interroger.


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Guillaume atteint maintenant le rez de chausser et retrouve Charlie au niveau de la porte du boss. Comme dans les jeux vidéo, le dernier endroit accessible et le lieu où se situe le big méchant. Juste avant d'y entrer, les deux apprentis héros se regardent mutuellement comme pour se dire, eh ben, t'es dans un sacré état.

-J'ai fouillé tout l'étage. Il n'y a pas d'entrée pour les sous-sols. Il ne reste plus que cette pièce.
-Bien joué. De mon côté j'ai faits le ménage grâce à ta diversion. Par contre on a un souci. Au premier il y a des petits qui sont cloués aux lits à cause de substance pour le moins nocif et addictive. Terminons le travail.


Devant la grande double porte, Charlie pousse celle de droite tandis que Guillaume celle de gauche. Une belle entrée qui termine en cauchemars. Dans cette pièce il y a le fameux, d'ailleurs son prénom échappe de la bouche de Charlie qui doit bouillonner de l'intérieur tout comme son coéquipier.



Le criminel est installé au fond de la pièce comme un empereur romain. Il dispose d'une belle tenue vestimentaire qui doit couter la peau des fesses. Allongé, des petits s'occupent de lui. Une dizaine d'enfants soumis à sa seule volonté. On a l'impression d'être dans une salle de trône et que les deux intrus demandent une audience. Ganabel mange une grappe de raisin et se redresse à la vue de ses invités.

-Pardonnez-moi de cette accueille. Entrer donc ne restez pas devant la porte.

Il claque du doigt et des petits apporte des chaises.

-Un verre de vin vous fera le plus grand bien.

Il claque de nouveau des doigts et d'autre petits viennent pour offrir un verre aux deux justiciers du soir.

-Allons, installer vous nous allons discuter calmement.

Comme si la discussion était possible avec ce genre d'individu. Cupidon en a trop vu. Il se met à courir vers son adversaire et tous les petits cessent leur activité et sortent des armes. Ils convergent vers la menace, la fameuse menace qui se bat pour eux... Mais ils ne savent pas. Alors Coop esquive les attaques et bloque d'autres. Il se fait finalement ralentir puis arrêter dans son élan. Difficile de ne pas blesser ses enfants et de continuer d'avancer. Certain son assez doué. Pendant ce temps, Ganabel se lève et se dirige vers Charlie pour lui faire un baise-main tel le gentleman qu'il est. Sa démarche est gracieuse, légère.

Guillaume se défend comme il peut, mais le surnombre de l'adversaire lui cause des problèmes. S'il ne fait rien, il va subir de nombreux petits dégâts qui finiront par le mettre à terre. Pas vraiment de choix pour notre homme qui se décide à donner des coups aux corps à corps. Il range son épée qui lui permettait de parer des attaques et de garder une distance. Maintenant il n'hésite pas à frapper ces petits qui sont tenaces. L'un se prend un coup de poing en pleine poire et revient à la charge avec plus de niaque.

Difficile pour Cupidon de ne pas se retenir. Il est comme ça et c'est sa nature. Alors il continue de combattre en frappant légèrement les enfants qui lui saute dessus. L'un réussi à monter sur son dos et le mord au cou. L'assassin fait une roulade pour se débarrasser de lui et cela fonctionne.  
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Ganabel





Je retrouve guillaume devant une porte richement ornée. On se regarde mutuellement : il a pas mal souffert : il a une marque de morsure sur le nez et une blessure au ventre comme s'il avait été poignardé. Enfin je suis pas mieux lotie avec mes 5 bastos dans les abdos ( j'ai fait gaffe à ce qu'il ne touche pas la colonne vertébrale ) et mes plaies bandées de partout avec les rideaux de luxe.

Il est assez surpris de me voir a visage découvert. Je hausse les épaules mais il n'en rajoute pas.

-J'ai fouillé tout l'étage. Il n'y a pas d'entrée pour les sous-sols. Il ne reste plus que cette pièce.
-Bien joué. De mon côté j'ai faits le ménage grâce à ta diversion. Par contre on a un souci. Au premier il y a des petits qui sont cloués aux lits à cause de substance pour le moins nocif et addictive. Terminons le travail.

J'acquiesce tandis que nous passons la porte.

-Pardonnez-moi de cette accueil. Entrer donc ne restez pas devant la porte.

-Ganabel....


'Tain le mec il se refuse rien, on dirait un sultan avec tout ses esclaves. D'ailleurs il se fait servir rien qu'en claquant des doigt.


-Un verre de vin vous fera le plus grand bien.


Sérieusement tu espère nous amadouer avec cela ? Pathétique. Fine ! Je rentre dans ton jeu, mais tu va être surpris du vainqueur. Je prend le verre de vin.

-Allons, installer vous nous allons discuter calmement.


Là-dessus Cupi rentre dans le tas. Ce que j'ai très envie de faire. Mais ça me gâcherait mon fun.

Les enfants dégainent des armes qu'il avaient cachées jusque-là. Il a pas mal de difficultés. Normal ; ils sont très nombreux et comme ce sont des victimes elles aussi il les cognes a main nues. Et ce n'est clairement pas un expert, même s'il a visiblement reçu un entrainement dans ce but. En plus les gosses ont une résistance peu commune; peut-être est-ce dû aux drogues ?

Ignorant le combat Ganabitch me fait...un baisemain. Queeel gentlemaaaan. Mec ; Arsène lupin est charmant car même si c'est un voleur il ne tue ou ne réduit en esclavage personne. Toi si.

il me sourit, ma main toujours devant ses lèvres.

-Mademoiselle Boyington c'est un honn...

Tu l'a cherché. Tu a mis ma main pile devant ta gueule de pervers. Peut être pensait-tu que dans cette position je ne pourrait te frapper que de l'autre main. Mais si : il suffit juste de se fendre comme à l'escrime. Touché.

Il recule le nez en sang.

-SALE PETITE GARCE !

Pendant ce temps cupi roule vers moi.

-Occupe toi de Ganabiatch, je me charge des gosses. Je m'y connais en acupuncture, je pourrait les gérer sans les blesser.


# les marmas
Charlie frappe les points d’acupuncture de son adversaire, engendrant une paralysie plus ou moins instantanée; un adversaire  faible sera instantanément paralysé, un plus fort sentira un engourdissement croissant jusqu'à la paralysie ; cela dit, a moins d'avoir les bras bloqués , un utilisateur de l’acupuncture saura se débloquer les marmas. Cela vaut aussi pour Charlie, tout le défi sera donc pour eux deux de bloquer complètement ou de surpasser sa science de l’acupuncture de leur adversaire, a moins de le combattre par un autre moyen...


Là dessus, je jette mon verre (sûrement empoisonné de toute façon ) rentre dans le tas en frappant les pauvre victimes sur leurs points vitaux avec mes phalanges pendant que mon partenaire dégaine ses dagues.



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Information:

Couteau de lancé dans la main droite, un autre dans la gauche. Cette fois notre amoureux donnera tout ce qu'il a pour la victoire. Le criminel qui lui fait face lui rappel de vieux souvenir. Un passé douloureux qui a ouvert une blessure intangible, une blessure au niveau du cœur qui ne se fermera jamais. Le souvenir de son petit frère qui a disparu du jour au lendemain. Une disparition qui est certainement due à un kidnapping. Plus jamais ça. Personne ne doit vivre cela.

C'est parti, l'assassin lance un couteau, puis l'autre qui sont aussitôt parait par l'adversaire. Guillaume balance un couteau de lancé en l'air puis sort sa lame secrète. Cupidon bondit sur l'adversaire et tente de le poignarder mais Ganabel bloque l'avant bras qui possède la lame tout en restant debout. L'assassin tente un coup de poing gauche qui est aussi bloqué, le couteau de lancer précédemment jeté en l'air se dirige vers la tête de Guillaume qui l'attrape entre ses dents et tente une attaque avec qui coupe légèrement son adversaire au niveau de la joue. Les hommes reculent un instant.

Le criminel se touche la joue et essuie son sang avec son index.

-Reprenons.

Cette fois c'est lui qui lance l'attaque. Rapide, agile, il donne des coups de griffes grâce à ses gants assez spéciaux qui sont d'une duretés surprenantes. On note une différence de niveau entre l'attaque de Guillaume et de Ganabel. L'assassin a du mal à bloquer les attaques et d'ailleurs, il ne les part pas tous. L'une vient lui laisser la marque d'une belle griffure des cinq ongles au niveau du ventre tandis qu'une autre est réalisé de l'épaule gauche jusqu'au pectoraux de façon verticale. Coop recule pour briser l'échange et se ressaisir.

-Reprenons.

L'assassin prend son épée et se met en posture. La garde du faucon. Celle-ci consiste à lever l'épée et à la tenir au dessus de soit. Les mains sont au niveau du front et la lame est penchée en arrière. Cette garde permet de rabattre rapidement sa lame et de brisée l'attaque adversaire. Cependant Ganabel offre un sourire devant cette veine tentative. Il se déplace encore plus rapidement, de la main gauche il frappe le manche de l'épée de bas en haut pour l'envoyer dans les airs et, dans le même mouvement il vient frapper le visage d'un coup de poing qui fait décoller l'homme.

Il y a un écart important entre les deux hommes et Guillaume vient de le comprendre lors de cette attaque fulgurante. L'assassin est dans les air et n'a pas encore toucher le sol que son adversaire le rejoint et lui assène un coup de talon qui l’écrase contre le sol. Un beau coup dans le torse. Au moment de l'impact avec le sol Coop crache du sang.

-J'aime le regard de ta coéquipière. Si ça ne te dérange pas je vais en faire ma femme.


Puis il sort un mouchoir blanc et le lance à Guillaume tout en le regardant de haut.

-Essuie moi tout ce sang. J'ai été ravi de faire ta connaissance. Préviens moi la prochaine fois que tu veux une leçon.

Ganabel réajuste ses vêtement, passe sa main dans ses cheveux pour se recoiffer et marche toujours avec élégance en direction de son trône où il s'installe de nouveau. Guillaume est au sol et se tient le ventre. Il a perdu pas mal de sang à cause des petits et les coups de Ganabel étaient rudes. Sa vue se trouble un instant est il a l'impression de voir son petit frère se faire enlever sous ses yeux. Il lui tend la main mais guillaume n'arrive pas à la saisir. Puis dans ce monde imaginaire, il hurle comme une brute et réussis à se défaire des chaines qui l'entrave. L'assassin réussis à saisir la main de son frère et dans le monde réel, il réussi simplement à se lever.

-Rien n'est vrai tout est permis.

Dire que rien n'est vrai, c'est prendre conscience que les fondements de la société sont fragiles et que nous devons guider notre civilisation. Dire que tout est permis, c'est comprendre que nous sommes les architectes de nos actes et que nous devons en assumer les conséquences, qu'elles soient glorieuses... ou tragiques.

Guillaume n'abandonnera pas. La solution la plus logique est de fuir et revenir avec des renforts, mais notre assassin n'est pas un grand stratège, il se laisse bercé par l'amour. L'amour qu'il a envers les enfants qui souffre, des familles qui souffres, de tout ces innocents qui subissent les folies d'individu comme ça. Alors la seule solution que trouve Coop et d'étendre les lumières. Il détruire les bougies et toute sorte de chose qui émet de la lumière sous l’œil du maitre de maison.

-J'ai se défaut d'être un hôte miséricordieux.

La grand salle est désormais sombre et tout le monde met un certain temps pour s'y habituer. Il n'y a que les quelques fenêtres qui offre de la lumière provenant de la lune. Guillaume est bien dans les parages, mais on ne le voit pas. Si vous le lâchez du regard un bref instant, il disparait. Maintenant, Ganabel est sur ses gardes.

Comme l'assassin qu'il est, Cupidon se déplace en silence et s'approche de sa cible qui est désormais debout, attentif. La lame secrète est de sortie et le voilà qui vient frapper par derrière. Presque, le criminel esquive le coup dans le dos. Il est légèrement toucher sur une côte et vient frapper au visage son adversaire en effectuant une rotation. Cupidon savait qu'il allait échoué et c'est en acceptant sa défaite qu'il a réussit. Il a prévu de se prendre un coup et au moment de l'impact avec sa deuxième main, Guillaume lance un couteau au niveau de la gorge de son adversaire.

Avec l'obscurité, voir le départ du projectile et la distance est difficile. Néanmoins, Ganabel à le réflexe de baisser sa tête ainsi que la tourner pour encaisser au niveau de la joue. L'assassin est dans les air et il profite de l'impact du coup qu'il a reçu au visage pour effectué une vrille ainsi qu'un puissant coup de talon dans le visage de son adversaire. Il enfonce le couteau qui sort de l'autre côté du visage et lui abime des dents ainsi que lui transperce l'autre joue. La couteau tombe au sol au même moment que Coop qui est dans un sale état.

Il faut quelques instants à Ganabel pour comprendre ce qui s'est passé. Il finit par ramasser le couteau au sol et le fait tournoyer dans sa mains avant de le saisir. Il s'approche de Cupidon pour en finir.

-Tout est permis non? Alors permet moi de prendre ta vie.
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Dans le noir





Aie ! Mon coéquipier se prend une belle dérouillée. Ganabiatch est loin d'être un amateur, je doute que je pourrais rivaliser avec sa vitesse et ses réflexes seule. Mais avec cupi ça devrais passer. Je me dépêche  donc de bloquer les marmas de tout les marmots...Sans mauvais jeu de mots. Heureusement ils ne sont pas très forts. Ganapute comptait sûrement jouer sur le facteur émotionnel. Ça a marché sur Cupidon, ça marche aussi sur moi (ben oui je combat a main nue et tue personne ) ; mais moi j'y suis préparée.

Je pare, je frappe, D'abord les jambes pour qu'il ne puissent plus bouger, puis les bras. Un moment les lumières s'éteignent. Cupi sûrement. Les gosses sont perturbés par le noir . Conditionnement ? Ou un reste de peur infantile ? Dans tout les cas c'est un plus pour moi : Comme ils sont bruyants je les repère facilement, ce qui n'est pas leur cas.


Bientôt il grognent tous a terre luttant pour bouger leurs petits membres engourdis. Mais je sais qu'ils ne bougerons pas avant plusieurs heures. Pauvres gosses.

Au final la seule menace parmi eux était l'autre gunslinger. Je n'ose pas imaginer quel genres de choses il ont subit, lui en premier.

Je me tourne vers ganabel et le distingue dans la pénombre ( il est plus grand que Cupidon ) qui s'avance vers mon pote avec une de ses dagues à la main.

Vite une idée. Je me tourne vers le canapé. En voilà une belle idée. Je soulève le canapé et le jette sur l'autre tafiole . IL esquive, mais est suffisamment perturbé pou laisser le temps a mon compagnon de se rependre. Je décide de continuer ma diversion pour laisser le temps à l’assassin de préparer son prochain coup.

Devenir votre femme ? J'avoue que c'est tentant. Surtout si vous continuer ces baisemains dont vous avez le secret, il sont très amusants. En parlant de ça, ça va le nez?

Il se tourne vers moi. Je payerais cher pour voir sa tête a ce moment là. Surtout quand j'entend le ton de sa voix

Il semble qu'il me faille enseigner à une femme trop insouciante les respect qu'elle doit aux hommes.


Et en plus il est sexiste. Décidément il a toutes les qualités.

Car vous êtes un homme ? Navrée monsieur mais j'avait un doute. Mais peut-être puis-je vous aider ? L'acupuncture fait des merveilles sur les impuissants....

RAAAAH !



Oups, j'ai du toucher un point sensible vu (ou plutôt entendu ) le cris de rage avec lequel il s'élance vers moi. Mais je suis prête. J'ai eu un aperçu de sa vitesse lors du combat contre cupidon. J'esquive son coup de justesse en me mettant à genoux et frappe à l'aine. La douleur lui coupe le souffle mais il n' s'arrête pas pour autant. Il attrape mon bras alors que je tente de me dégager ; le déboîte et me projette contre un mur avec un coup de pied. Aie mes côtes...ça va elles ne sont pas cassées, mais c'est juste. Il s'approche de moi avec un sourire pervers pour m'achever...Mais mon ange de l'amour ne lui en laisse pas le temps.







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Mourir maintenant c'est comme s'il n'avait rien accompli. Cupidon n'a pas le droit de perdre la vie et ne se le permettraiT pas. Laisser une femme derrière lui, laisser Charlie seule, laisser ces enfants dans l'enfer. Par amour pour tout ce monde l'assassin doit vivre et réussir la mission. La lame qu'a Ganabel s'apprête à finir le boulot sous le regard impuissant de Coop qui n'arrive qu'à se mettre sur le côté au lieu de rester dos au mur. Heureusement que Charlie intervient, ou malheureusement. La mission est un vrai fiasco.

Guillaume voulait être gentil avec sa coéquipière et la faire participer mais ce n'est sans doute pas la meilleure chose qu'il aurait du faire. Un simple assassinat de Ganabel en toute discrétion aurait été sans doute plus efficace. Mais ce qui est fait est fait. De plus, ce n'est plus Coop qui est sur le point de rejoindre l'autre monde mais la demoiselle.

Cupidon tente de se lever une première fois, échec. Une deuxième fois, échec. Il s'appuie sur ses jambes et réussi à la troisième tentative. Sa tête tourne lorsqu'il se tient sur ses deux jambes. Le temps d'avoir les yeux en face des troue et c'est l'heure de la contre-attaque.

GANABEL !

Le prénom résonne dans la salle bien silencieuse. Le criminel s'arrête dans sa lancée et tourne légèrement son visage en direction de celui qui l'appel.

-Une seconde et je suis à toi.


Le laps de temps où il tourna la tête pour voir Guillaume a permis à Charlie de se remettre sur ses appuis pour assener un puissant coup de poing avec son bras valide. Ganabel bloque le bras et lui fait une clef pour la plaquer contre le sol et la maitriser.

-Tu es bien sotte. Cela dit, j'aime les tigresses dans ton genre. Rassures-toi, d'ici quelque temps tu seras mon petit chaton.

Ganabel relève sa tête mais ne vois plus Guillaume. Ce dernier est bien dans les parages mais il a disparu. Le bandit place une lame sous la gorge de Charlie pour s'assurer une victoire plus facile.

-Montre toi. Bien que ce soit fort possible qu'il t'ait abandonné chaton. Fuir est sa meilleure option.

-Je suis toujours là Ganabel.

-J'en suis ravi. Montre toi donc. Je n'ai pas tellement envie d'abimer plus que ça ton amie mais si tu me forces je le ferais.

-Toute action entraine une réaction. Je te laisse cueillir le fruit de ton labeur.


Sur ces belles paroles le criminel se pose des questions et tente de comprendre ce qu'a voulu dire son interlocuteur. Le silence qui règne en maitre pendant la minute de réflexion laisse finalement paraître un son, un bruit, une foule. Comme d'habitude les amis de l’assassin l'ont secondé dans cette mission en rassemblant le peuple. En révélant aux habitants les informations concernant les kidnappings. Les familles des victimes sont là prêtes à en découdre avec leurs amis proches et le nombre est rapidement impressionnant. Plus d'une centaine de personnes s'approchent du bâtiment.

Ganabel relève son otage et s'approche de l'une des fenêtres pour voir ce qu'il y a. Pour couronner le tout, des gardes accompagnent les civils, si ce n'est pas suffisant, il y a quelque assassin qui rode dans les parages. Cependant, même s'il semble cerner de toute part il ne panique pas. Il fait preuve d'un sang froid exceptionnel.

La foule investit les lieux et entre dans la grande salle. En première ligne les gardes et juste derrière eux des parents. Mais le criminel ne panique toujours pas.

-Soyez les bienvenues.

Maintenant ! Pendant que Ganabel est concentré sur la foule Cupidon passe à l'action. Il arrive sournoisement par un angle mort et bondit pour le poignarder à la lame secrète. Sauf que la foule qui est son atout pour cette attaque et aussi son point faible. Ils le regardent tous ce qui permet à Ganabel de se rappeler de Guillaume et d'agir rapidement.
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Oeuil pour Oeuil, bras pour bras.


GANABEL !
.


Pour un assassin tu n'est pas discret. Je voulais que tu l’assassine moi ! Pas que tu lui gueule dessus !
On dirait que cela va être a moi d'agir. profitant de cette petite diversion je remboîte subrepticement mon épaule et frappe avec mon bras valide...Et me fail lamentablement. Il choppe mon bras au vol et l'immobilise dans une clé tandis qu'il me plaque qu sol.

-Tu es bien sotte. Cela dit, j'aime les tigresses dans ton genre. Rassures-toi, d'ici quelque temps tu seras mon petit chaton.

Cause toujours, j'ai un bras valide ; ce que tu ignore et je peut sortir de ta clé en déboîtant l'autre. Dès que tu te relèvera...Tu mettre une dague sous ma gorge. Epic fail. On dirait que je vais devoir attendre mon heure.

En attendant guillaume à disparu.

-Montre toi. Bien que ce soit fort possible qu'il t'ait abandonné chaton. Fuir est sa meilleure option.

-Je suis toujours là Ganabel.

Me voilà rassurée. Mais il aurait été plus efficace que tu le surprenne et que tu le tue au lieu de discuter. En fait, on en serait pas là si tu avais fait cela tout à l'heure.

-J'en suis ravi. Montre toi donc. Je n'ai pas tellement envie d’abîmer plus que ça ton amie mais si tu me forces je le ferais.


-Toute action entraine une réaction. Je te laisse cueillir le fruit de ton labeur.
.

De quoi il parle ? Il a remarqué que j'avais remboîté mon épaule et attend que j'agisse ? Et c'est quoi ce bruit à la fin ? On dirait...Une foule en colère...

Une foule en colère ? Ganabitch semble avoir tilté lui aussi. Il nous relève et s'approche de la fenêtre pour voir, me donnant une vue imprenable sur les gens qui s’amassent devant le manoir. En peu de tant ils sont là...Les parents des gosses ? Intéressent développement.

-Soyez les bienvenues.
.

Jolie poker face gana-pute mais j'entend ton souffle s’accélérer. C'est aussi le moment que cupidon choisit pour agir... Sauf que le regard de la foule le grille. Heureusement que j'étais avec lui sinon il aurait morflé sur cette mission, il a décidément bien du mal à se faire discret.

# # puzzle humain.
En plus d'avoir une grande souplesse, Charlie peut déboîter/remboîter ses os a volonté. Elle peut donc frapper/parer dans des angles impossibles. Et si on lui déboîte un truc elle le remboîte juste à la force des muscles et sans aucun dommage.
[/i]

Avant que L'autre tache n'ait le temps de faire quoi que ce soit, je déboîte mon bras, choppe son col et le projette au sol ; attrape ses bras, met mon pied sur son dos et lui déboîte les épaules.
Il hurle de douleur. Il me regarde d'un air ahuri tandis que je me remboîte le bras juste a la force des muscles.

J'en profite pour me foutre de sa gueule :

Pas de bras, pas de chocolat. Finalement, je crois que je vais t'épargner ganabitch
.

Il me regarde avec une lueur d'espoir. Puis je désigne la foule.

Eux en revanche...Bon courage pour t'en sortir.


puis il commence à implorer. Moi pour que je sorte de là ou cupidon ; je l'ignore je ne l'écoute pas. Je me tourne vers mon partenaire et sourit en bougeant mes bras pour lui montrer que je n'ai rien.

Viens, sortons, c'est pas bon pour toi d'être en public. Laissons le peuple décider de son sort.




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Cupidon n'a plus assez de force et lorsqu'il bondit pour poignarder Ganabel, il s'échoue au sol un mètre trop tôt. Heureusement que Charlie prend le relai pour maitriser le criminel. L'assassin se trouve face au sol, allongé et pas vraiment en état de se mouvoir. Son allié l'aide en prenant le bras qu'elle passe sur sa nuque pour qu'il puisse prendre appui. Le duo se retire donc et laisse les forces de l'ordre se charger du vaincu.

Dans la fuite de nos protagonistes, Guillaume garda sa capuche comme toujours pour éviter qu'on le reconnaisse. La célébrité ce n'est pas vraiment sa tasse de thé. Ils se trouvent dans une ruelle à une vingtaine de mètres du bâtiment où ils ont livré combat. La douleur est tellement intense que Cupidon demande à celle qui a terminé avec brillo la mission de le poser délicatement.

Du sang il en perd et pas qu'un peu. C'est à se demander comment il a fait pour se mouvoir si longtemps. En réalité la réponse est simple, c'était par amour pour ces pauvres enfants qu'il s'est surpassé. Charlie déchire ses manches de sa tenue d'assassin pour faire des beaux bandages à son compagnon. Suite à cela elle effectue une série de massages qui soulage la douleur ce qui est une belle surprise pour Cupidon qui est tout de même gêné que des mains de femme touche son corps. Mais vu qu'il s'agit de médecins il tolère. Alors qu'elle vient de finir sous les gémissements de son camarade une petite silhouette s'amène dans la ruelle. Un enfant qui semble déjà avoir croisé la femme d'après le visage qu'elle aborde.

-Si ça ne te dérange pas, je te laisse effectuer notre dernière révérence pour ce soir.

De toute façon ce n'est pas comme s'il pouvait faire quelque chose de plus. Ah cher Coop! C'est sa femme qui va être contente, retrouver son mari dans un état critique, il risque d'avoir de sérieux problèmes avant de pouvoir avoir l'autorisation de madame pour reprendre les missions.
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