>> Koura
Pseudonyme : Aucun surnom à ce jour. Age: 21 ans Sexe : Homme Race : Humain Métier : Bureaucrate Groupe : Cipher Pol 3 But : Devenir le nouveau juge suprême à Enies Lobby. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Nous aurons le temps d'y venir, nous ne sommes pas pressés n'est ce pas? edit : j'aimerais faire passer ma Nyctalopie en tant que capacité, je compte m'en servir de manière plus complexe plus tard. Équipement : Un briquet à gaz, un revolver 6 coups, un sac à bandoulière et un code pénal. Codes du règlement : Parrain : Enzo.P Hisachi Ce compte est-il un DC ? : Non. Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
>> Physique
« Bonjour à toi, si tu es entrain de lire ces lignes, c’est que tu veux en savoir plus sur l’apparence physique de Koura. Sans te faire attendre, commençons.
Koura est un jeune homme de 21 ans, né en l’an 1605, sur East Blue. Il n’est pas à proprement parler ce qu’on appellerait un « colosse », bien au contraire, il possède une morphologie très svelte, sans aucun signe de musculature quelconque. Mesurant 1m79 pour 62 kilos, il donne la vague sensation de flotter dans les airs à l’effigie d’une feuille, symbolisant sa légèreté. Koura possède une couleur de peau de type clair, accompagnée de cheveux argentés semi-court qui tombent sous forme de mèches sur son visage. Il possède d’assez grandes jambes qui laisseraient penser par moment qu’il est longiligne à la vue de sa silhouette élancée.
Par ailleurs, depuis sa naissance, Koura possède un don assez rare chez les humains : la nyctalopie, c'est-à-dire la faculté de voir dans la pénombre (le noir complet est exclu), à la manière des chats. Cette vision crépusculaire lui permet donc de reconnaître la forme des objets dans les lieux sombres. Ce « don » lui à amener à avoir des yeux extrêmement clairs, d’une couleur se rapprochant étrangement du rouge. Certaines personnes voient en cette capacité une malédiction, une maladie, ce qui lui vaut parfois des réflexions désagréables, ce qui ne lui rend pas toujours la vie simple. Personnellement, je trouve que ça lui donne un côté très attirant… Pour rendre sa nyctalopie plus efficace dans les nuits un peu trop sombres, Koura utilise un briquet à gaz, qui projette une plus grande flamme que les briquets normaux, afin d’éclairer et de mieux voir les zones de pénombre qui l’entoure.
Concernant son visage, Koura aborde toujours un sourire au coin des lèvres, il a un regard intelligent qui a tendance à susciter la confiance aux premiers abords. Il a la fâcheuse tendance d’avoir très souvent les mains dans ses poches, mais c’est uniquement car cela l’aide mieux à réfléchir selon lui.
Le style vestimentaire de Koura est assez simple, tout en restant un minimum professionnel et classe. Il est le plus souvent vêtu d’une chemise de simple couture (quasiment toujours blanche), accompagnée d’une cravate (toujours noire ou rouge), avec un simple pantalon bleu et des chaussures de ville marron. Parfois, il lui arrive de mettre un sweat-shirt sans capuche en cas de trop basse température (il déteste porter tout type de couvre-chef). Sa façon de s’exprimer est compréhensible et clair, parlant de façon modérément rapide, il a tendance à élever un peu vite la voix si son interlocuteur a du mal à comprendre ce qu’il raconte, mais il redevient calme tout aussi vite.
La dernière caractéristique physique particulière de Koura est qu’il ne se déplace jamais sans son sac à bandoulière, lieu sacré dans lequel il entrepose tout ses objets de voyage (tel que son briquet). C’est un sac assez rare, solidement cousu grâce au cuir d’un roi des mers. Ce sac lui a été offert pour son 18ème anniversaire, il est de couleur noir et possède 4 compartiments différents.
J’ai fait le tour de l’aspect physique de Koura, permettant de te donner un avant goût de sa personne… Mais bien sûr il en reste beaucoup à découvrir sur lui, je pense que tu comprendras pourquoi il me plaît autant. »
Koura est un jeune homme de 21 ans, né en l’an 1605, sur East Blue. Il n’est pas à proprement parler ce qu’on appellerait un « colosse », bien au contraire, il possède une morphologie très svelte, sans aucun signe de musculature quelconque. Mesurant 1m79 pour 62 kilos, il donne la vague sensation de flotter dans les airs à l’effigie d’une feuille, symbolisant sa légèreté. Koura possède une couleur de peau de type clair, accompagnée de cheveux argentés semi-court qui tombent sous forme de mèches sur son visage. Il possède d’assez grandes jambes qui laisseraient penser par moment qu’il est longiligne à la vue de sa silhouette élancée.
Par ailleurs, depuis sa naissance, Koura possède un don assez rare chez les humains : la nyctalopie, c'est-à-dire la faculté de voir dans la pénombre (le noir complet est exclu), à la manière des chats. Cette vision crépusculaire lui permet donc de reconnaître la forme des objets dans les lieux sombres. Ce « don » lui à amener à avoir des yeux extrêmement clairs, d’une couleur se rapprochant étrangement du rouge. Certaines personnes voient en cette capacité une malédiction, une maladie, ce qui lui vaut parfois des réflexions désagréables, ce qui ne lui rend pas toujours la vie simple. Personnellement, je trouve que ça lui donne un côté très attirant… Pour rendre sa nyctalopie plus efficace dans les nuits un peu trop sombres, Koura utilise un briquet à gaz, qui projette une plus grande flamme que les briquets normaux, afin d’éclairer et de mieux voir les zones de pénombre qui l’entoure.
Concernant son visage, Koura aborde toujours un sourire au coin des lèvres, il a un regard intelligent qui a tendance à susciter la confiance aux premiers abords. Il a la fâcheuse tendance d’avoir très souvent les mains dans ses poches, mais c’est uniquement car cela l’aide mieux à réfléchir selon lui.
Le style vestimentaire de Koura est assez simple, tout en restant un minimum professionnel et classe. Il est le plus souvent vêtu d’une chemise de simple couture (quasiment toujours blanche), accompagnée d’une cravate (toujours noire ou rouge), avec un simple pantalon bleu et des chaussures de ville marron. Parfois, il lui arrive de mettre un sweat-shirt sans capuche en cas de trop basse température (il déteste porter tout type de couvre-chef). Sa façon de s’exprimer est compréhensible et clair, parlant de façon modérément rapide, il a tendance à élever un peu vite la voix si son interlocuteur a du mal à comprendre ce qu’il raconte, mais il redevient calme tout aussi vite.
La dernière caractéristique physique particulière de Koura est qu’il ne se déplace jamais sans son sac à bandoulière, lieu sacré dans lequel il entrepose tout ses objets de voyage (tel que son briquet). C’est un sac assez rare, solidement cousu grâce au cuir d’un roi des mers. Ce sac lui a été offert pour son 18ème anniversaire, il est de couleur noir et possède 4 compartiments différents.
J’ai fait le tour de l’aspect physique de Koura, permettant de te donner un avant goût de sa personne… Mais bien sûr il en reste beaucoup à découvrir sur lui, je pense que tu comprendras pourquoi il me plaît autant. »
- Extrait d’une lettre de Mélissandre Lazard, destinée à une cousine lointaine.
>> Psychologie
« Ma sœur, je vais tenter de t’expliquer à travers ces mots, pourquoi je suis amoureuse de cet homme depuis ma tendre enfance. Koura est quelqu’un qui essaye de soigner son apparence et qui a reçu une éducation très stricte. Son physique reflète sa détermination, mais ne montre pas ses ambitions. Je le sais, car je l’ai connu durant quasiment toute ma vie.
L’enfance de Koura a été caractérisée par 3 grands mots : « loi, ordre et justice ». L’île sur laquelle nous avons grandi est un endroit que les juristes pourraient considérer comme « paradisiaque » au vu de sa particularité. Sur cette île, la loi est respectée à la lettre, au sens littéral du terme. L’écart de conduite n’est aucunement permis là-bas, et les circonstances atténuantes (selon l’âge, une maladie ou tout autre chose qui pourrait éviter que l’on se fasse juger) n’existent pas. La loi est la même pour tous, que l’on soit riche ou miséreux. C’est dans ce climat que Koura et moi même avons été élevés. Les parents de Koura exercent la respectable profession d’avocats (il est très mal vu sur cette île d’exercer tout autre profession que celle liée au droit), vivant confortablement à la manière de bourgeois.
Baignant dans ce monde de loi depuis sa naissance, Koura est donc quelqu’un qui a un grand respect pour la justice. Attention, je parle de la vraie justice, celle qui est régie par les lois définies par le Gouvernement Mondial, et non de la « justice » que pourrait se rendre soi-même le bretteur du coin, car un pirate aurait assassiné sa femme et sa fille. Non, pour lui, tout doit passer par un jugement, et la sentence appliquée sera celle édictée par le texte de loi en rapport au délit commis. Il est donc inconcevable pour lui, de mettre quelqu’un à mort sans aucune forme de procès quelconque.
On pourrait donc croire que Koura est quelqu’un qui déteste tout ce qui est en rapport avec la mort et serait incapable de tuer si l’occasion se présente, mais il n’en est rien. Depuis petit, il a assisté à un grand nombre d’exécutions de criminels ayant commis des crimes impardonnables, il n’aura donc aucun soucis à tuer quelqu’un ayant commis un crime punissable de mort.
Concernant son habilité au combat, il n’est pas à proprement parler un combattant. Il n’a jamais reçu de « formation » au combat, son éducation étant essentiellement tournée sur l’apprentissage du droit. En revanche, le père de Koura lui a appris à se servir d’armes à feu depuis petit, lorsqu’il l’amenait avec lui à la chasse au gibier. Il se perfectionne donc dans l’art du tir et sa connaissance en armement rivalise avec celle des canonniers de la Marine, faisant de lui un redoutable combattant à distance, mais un piètre batailleur au corps-à-corps. Sa passion pour les armes à feu lui a permis l’acquisition d’un Revolver 6 coups, balles de 9mm, en métal argenté avec une crosse en ivoire, sur laquelle il a fait graver le symbole de la justice et de l’équité, une balance. Je ne l’ai vu que rarement en faire usage, mais à chaque fois qu’il a eu l’occasion de la sortir, c’est avec une grâce et une élégance rare qu’il manipule son arme, pas comme ces porcs de la Marine qui utilisent leurs fusils comme de vulgaires bouts de bois.
Il a une réelle aversion pour les pirates, qui pour lui ne sont que des vulgaires bandits, n’ayant aucun respect pour la loi. Autant dans la vie de tous les jours c’est quelqu’un de calme et rassurant, autant sa personnalité peut s’en trouver froide et cruelle contre quelqu’un ayant commis un crime… Je me souviens de ce jour, ou un pirate s’était fait exécuter sur la place publique à cause de divers crimes contre les habitants de l’île. Quand j’ai demandé à Koura ce qu’il en pensait, il a pris un regard terrible et les mots qui sortirent de sa bouche étaient aussi tranchants que la plus fine des lames :
- En enfreignant la loi, il n’a eu que ce qu’il méritait.
Pendant cette période, j’ai cru qu’il avait un fond cruel et que selon lui chaque personne enfreignant la loi méritait de mourir. Mon avis changea, le jour où il prit la défense d’un jeune garçon ayant volé une pomme chez un commerçant. Les villageois voulaient absolument envoyer
ce garnement à la prison de la ville, ou pire encore pour certains, lui couper une main :
- Aujourd’hui il vole une pomme, demain il volera la recette de la caisse !
Cette phrase hurlée par un commerçant mis Koura hors de lui, et il s’interposa entre le voleur et le volé. Ce moment fut assez confus, mais je me souviens que Koura menaçait le commerçant de son arme si jamais il tentait de se faire justice lui-même. Après négociation, le jeune garçon passa en procès et fut condamner à des simples travaux d’intérêts généraux. Je pense qu’à ce jour, si Koura n’avait pas été là, ce garçon ne serait peut-être plus de ce monde. C’est à partir de ce moment, que je compris que Koura détestait l’injustice et la vengeance gratuite.
Une chose que je pourrais lui reprocher, c’est sa façon hautaine de se comporter en public. Venant d’une famille plus qu’aisée, je pense que cela a du faire partir de son éducation de toujours montrer le meilleur de soi-même, mais je trouve qu’il en fait parfois un peu trop. Ce n’est pas un noble, mais je pense que son comportement s’en rapproche un peu trop, notamment le visage de dégoût qu’il possède lorsqu’un mendiant ou une personne pauvre lui demande l’aumône. Heureusement, il est le premier à me rappeler que nous sommes tous égaux devant la loi, peu importe qui nous sommes. »
L’enfance de Koura a été caractérisée par 3 grands mots : « loi, ordre et justice ». L’île sur laquelle nous avons grandi est un endroit que les juristes pourraient considérer comme « paradisiaque » au vu de sa particularité. Sur cette île, la loi est respectée à la lettre, au sens littéral du terme. L’écart de conduite n’est aucunement permis là-bas, et les circonstances atténuantes (selon l’âge, une maladie ou tout autre chose qui pourrait éviter que l’on se fasse juger) n’existent pas. La loi est la même pour tous, que l’on soit riche ou miséreux. C’est dans ce climat que Koura et moi même avons été élevés. Les parents de Koura exercent la respectable profession d’avocats (il est très mal vu sur cette île d’exercer tout autre profession que celle liée au droit), vivant confortablement à la manière de bourgeois.
Baignant dans ce monde de loi depuis sa naissance, Koura est donc quelqu’un qui a un grand respect pour la justice. Attention, je parle de la vraie justice, celle qui est régie par les lois définies par le Gouvernement Mondial, et non de la « justice » que pourrait se rendre soi-même le bretteur du coin, car un pirate aurait assassiné sa femme et sa fille. Non, pour lui, tout doit passer par un jugement, et la sentence appliquée sera celle édictée par le texte de loi en rapport au délit commis. Il est donc inconcevable pour lui, de mettre quelqu’un à mort sans aucune forme de procès quelconque.
On pourrait donc croire que Koura est quelqu’un qui déteste tout ce qui est en rapport avec la mort et serait incapable de tuer si l’occasion se présente, mais il n’en est rien. Depuis petit, il a assisté à un grand nombre d’exécutions de criminels ayant commis des crimes impardonnables, il n’aura donc aucun soucis à tuer quelqu’un ayant commis un crime punissable de mort.
Concernant son habilité au combat, il n’est pas à proprement parler un combattant. Il n’a jamais reçu de « formation » au combat, son éducation étant essentiellement tournée sur l’apprentissage du droit. En revanche, le père de Koura lui a appris à se servir d’armes à feu depuis petit, lorsqu’il l’amenait avec lui à la chasse au gibier. Il se perfectionne donc dans l’art du tir et sa connaissance en armement rivalise avec celle des canonniers de la Marine, faisant de lui un redoutable combattant à distance, mais un piètre batailleur au corps-à-corps. Sa passion pour les armes à feu lui a permis l’acquisition d’un Revolver 6 coups, balles de 9mm, en métal argenté avec une crosse en ivoire, sur laquelle il a fait graver le symbole de la justice et de l’équité, une balance. Je ne l’ai vu que rarement en faire usage, mais à chaque fois qu’il a eu l’occasion de la sortir, c’est avec une grâce et une élégance rare qu’il manipule son arme, pas comme ces porcs de la Marine qui utilisent leurs fusils comme de vulgaires bouts de bois.
Il a une réelle aversion pour les pirates, qui pour lui ne sont que des vulgaires bandits, n’ayant aucun respect pour la loi. Autant dans la vie de tous les jours c’est quelqu’un de calme et rassurant, autant sa personnalité peut s’en trouver froide et cruelle contre quelqu’un ayant commis un crime… Je me souviens de ce jour, ou un pirate s’était fait exécuter sur la place publique à cause de divers crimes contre les habitants de l’île. Quand j’ai demandé à Koura ce qu’il en pensait, il a pris un regard terrible et les mots qui sortirent de sa bouche étaient aussi tranchants que la plus fine des lames :
- En enfreignant la loi, il n’a eu que ce qu’il méritait.
Pendant cette période, j’ai cru qu’il avait un fond cruel et que selon lui chaque personne enfreignant la loi méritait de mourir. Mon avis changea, le jour où il prit la défense d’un jeune garçon ayant volé une pomme chez un commerçant. Les villageois voulaient absolument envoyer
ce garnement à la prison de la ville, ou pire encore pour certains, lui couper une main :
- Aujourd’hui il vole une pomme, demain il volera la recette de la caisse !
Cette phrase hurlée par un commerçant mis Koura hors de lui, et il s’interposa entre le voleur et le volé. Ce moment fut assez confus, mais je me souviens que Koura menaçait le commerçant de son arme si jamais il tentait de se faire justice lui-même. Après négociation, le jeune garçon passa en procès et fut condamner à des simples travaux d’intérêts généraux. Je pense qu’à ce jour, si Koura n’avait pas été là, ce garçon ne serait peut-être plus de ce monde. C’est à partir de ce moment, que je compris que Koura détestait l’injustice et la vengeance gratuite.
Une chose que je pourrais lui reprocher, c’est sa façon hautaine de se comporter en public. Venant d’une famille plus qu’aisée, je pense que cela a du faire partir de son éducation de toujours montrer le meilleur de soi-même, mais je trouve qu’il en fait parfois un peu trop. Ce n’est pas un noble, mais je pense que son comportement s’en rapproche un peu trop, notamment le visage de dégoût qu’il possède lorsqu’un mendiant ou une personne pauvre lui demande l’aumône. Heureusement, il est le premier à me rappeler que nous sommes tous égaux devant la loi, peu importe qui nous sommes. »
-Extrait d’une lettre de Natasha Vandercarmer, destinée à sa sœur, Elizabeth Vandercarmer.
>> Biographie
1605 – Naissance
Bien sûr, je n’ai aucun souvenir de ma naissance comme tout humain normal. Je n’aurais donc pas grand choses à dire sur cette étape de ma vie, mise à part ce que mes parents m’ont rapporté. J’ai été déclaré à la mairie de la ville le soir même de l’accouchement de ma mère par mon père. Etant un avocat influent, il n’a pas eu à faire la queue comme tout citoyen normal. Il paraît que ça fait partie des quelques privilèges que l’on peut avoir en tant que « personnalité ».
Mais tout ceci n’est que du favoritisme. Ridicule, l’administration devrait être la même pour tout le monde n’est ce pas ?
1612 – Apprentissage
Quand je fus enfin en âge de comprendre les choses, mes parents ont commencé mon éducation en ayant décidé à l’avance que je deviendrais un jeune prodige du droit qui perpétuera la tradition familiale : être un juriste de renom. Certaines personnes auraient certainement en voulu à leurs parents de ne pas leur laisser choisir leur propre voie, mais moi, ça ne me dérangeait aucunement. J’adore le droit et la justice, pourquoi leur en vouloir ? Disons plutôt qu’ils ont eu la chance d’avoir un enfant en accord avec eux.
Je ne compte plus le nombre de précepteurs, de docteurs du droit et de théoricien de la justice que mes parents m’ont fait rencontré cette année la. Etant un enfant, étais je capable de retenir autant d’enseignement ?
1614 - Exécution
Mon père jugea bon de me faire assisté à ma première exécution publique. J’étais assez effrayé à vrai dire, je n’avais jamais encore vu un homme se faire tuer de sang froid, même si j’avais déjà lu des textes de droit qui évoquaient cette sentence.
Ce jour là, je n’étais pas seulement accompagné de mon père, mais également de monsieur Vandercarmer et de sa fille Natasha qui a mon âge. Je l’aimais bien comme fille, c’était l’une des seules avec qui je pouvais vraiment avoir une conversation intelligente, toutes les autres filles de mon âge n’étaient occupé que par des futilités.
Je n’oublierais jamais ce jour. L’homme mis à mort était un pirate du nom de Don Selavior, attraper et capturer par une patrouille de Marine, il fût amener sur l’ile la plus proche pour être jugé, c'est-à-dire la mienne. Les chefs d’inculpations étaient nombreux : Trafic, contrebande, extorsion, vol, viol et même meurtre. Cet individu était une raclure de la pire espèce, il méritait de payer pour toutes les vies qu’il avait détruites. Je déteste les pirates, ces êtres n’ont aucun respect pour nos précieuses lois qui régissent notre société.
Cette exécution fût pénible. Ce misérable pirate pleurait et demandait pitié pour sa vie. Ne connaissait-il pas la dignité ? Je crois que le bruit de la balle de fusil qui lui ouvrit le crâne pour le faire taire à jamais, fût le plus beau son que j’ai pu entendre à ce jour.
1620 – Armes à feu
Probablement l’une des plus belles années de ma vie. Mon père qui n’était pas juste un talentueux avocat mais également un passionné d’armement, commença à m’enseigner tout ce qu’il savait dans ce domaine et il faut dire que j’étais plutôt doué ! Armes et justice n’est-il pas un mélange parfait une fois bien utilisé ?
Mon père me fit tester toute sorte d’armes, mais c’était indéniablement les revolvers qui m’allaient le mieux : discrets, facile d’utilisation et surtout mortels.
1626 – Ma nouvelle vie
Et voilà à quoi j’en suis réduit aujourd’hui : Tout simplement Koura. Je n’évoquerais pas mon nom de famille ici, par respect pour mes parents qui m’ont demandé de couper tout lien avec eux. Comment en suis-je arriver la ? Même pour moi c’est encore flou.
Un piège.
Un meurtre.
Un procès.
Un complot.
Mais tout ceci n’était rien. J’avais réussis à prouver mon innocence par mes propres moyens. Même si j’ai été innocenté, le scandale était tel que mes parents ont refusé tout contact avec moi. Mais je ne pourrais jamais leur pardonner, ils n’ont même pas cherché à me défendre, convaincus que j’étais le coupable, je leur laisse donc leur nom de famille, Après tout, ce n’est juste qu’un mot, Koura me suffit amplement. Mais tout ne s’arrête pas la. Après avoir passé 2 décennies sur mon île natale, il est temps pour moi de mettre en pratique tout ce que j’ai appris afin de supprimer la corruption et le laxisme du système judiciaire à tout jamais.
Monsieur le juge suprême « Couak » le Toucan, j’espère sincèrement que vous faites bien votre travail car je vais devoir le vérifié par moi-même. Atteindre une personnalité et un poste aussi influent dans la société ne sera pas chose facile, je vais donc devoir commencer par le bas de l’échelle et gravir les échelons 1 à 1 jusqu'à atteindre ce but.
Je pense que débuter dans les bureaucrates du Cipher Pol 3 pourrait être une bonne entrée en matière. Après tout, j’ai affronté l’administration toute ma vie, pourquoi un simple entretien d’embauche me ferait-il peur ?
Bien sûr, je n’ai aucun souvenir de ma naissance comme tout humain normal. Je n’aurais donc pas grand choses à dire sur cette étape de ma vie, mise à part ce que mes parents m’ont rapporté. J’ai été déclaré à la mairie de la ville le soir même de l’accouchement de ma mère par mon père. Etant un avocat influent, il n’a pas eu à faire la queue comme tout citoyen normal. Il paraît que ça fait partie des quelques privilèges que l’on peut avoir en tant que « personnalité ».
Mais tout ceci n’est que du favoritisme. Ridicule, l’administration devrait être la même pour tout le monde n’est ce pas ?
1612 – Apprentissage
Quand je fus enfin en âge de comprendre les choses, mes parents ont commencé mon éducation en ayant décidé à l’avance que je deviendrais un jeune prodige du droit qui perpétuera la tradition familiale : être un juriste de renom. Certaines personnes auraient certainement en voulu à leurs parents de ne pas leur laisser choisir leur propre voie, mais moi, ça ne me dérangeait aucunement. J’adore le droit et la justice, pourquoi leur en vouloir ? Disons plutôt qu’ils ont eu la chance d’avoir un enfant en accord avec eux.
Je ne compte plus le nombre de précepteurs, de docteurs du droit et de théoricien de la justice que mes parents m’ont fait rencontré cette année la. Etant un enfant, étais je capable de retenir autant d’enseignement ?
1614 - Exécution
Mon père jugea bon de me faire assisté à ma première exécution publique. J’étais assez effrayé à vrai dire, je n’avais jamais encore vu un homme se faire tuer de sang froid, même si j’avais déjà lu des textes de droit qui évoquaient cette sentence.
Ce jour là, je n’étais pas seulement accompagné de mon père, mais également de monsieur Vandercarmer et de sa fille Natasha qui a mon âge. Je l’aimais bien comme fille, c’était l’une des seules avec qui je pouvais vraiment avoir une conversation intelligente, toutes les autres filles de mon âge n’étaient occupé que par des futilités.
Je n’oublierais jamais ce jour. L’homme mis à mort était un pirate du nom de Don Selavior, attraper et capturer par une patrouille de Marine, il fût amener sur l’ile la plus proche pour être jugé, c'est-à-dire la mienne. Les chefs d’inculpations étaient nombreux : Trafic, contrebande, extorsion, vol, viol et même meurtre. Cet individu était une raclure de la pire espèce, il méritait de payer pour toutes les vies qu’il avait détruites. Je déteste les pirates, ces êtres n’ont aucun respect pour nos précieuses lois qui régissent notre société.
Cette exécution fût pénible. Ce misérable pirate pleurait et demandait pitié pour sa vie. Ne connaissait-il pas la dignité ? Je crois que le bruit de la balle de fusil qui lui ouvrit le crâne pour le faire taire à jamais, fût le plus beau son que j’ai pu entendre à ce jour.
1620 – Armes à feu
Probablement l’une des plus belles années de ma vie. Mon père qui n’était pas juste un talentueux avocat mais également un passionné d’armement, commença à m’enseigner tout ce qu’il savait dans ce domaine et il faut dire que j’étais plutôt doué ! Armes et justice n’est-il pas un mélange parfait une fois bien utilisé ?
Mon père me fit tester toute sorte d’armes, mais c’était indéniablement les revolvers qui m’allaient le mieux : discrets, facile d’utilisation et surtout mortels.
1626 – Ma nouvelle vie
Et voilà à quoi j’en suis réduit aujourd’hui : Tout simplement Koura. Je n’évoquerais pas mon nom de famille ici, par respect pour mes parents qui m’ont demandé de couper tout lien avec eux. Comment en suis-je arriver la ? Même pour moi c’est encore flou.
Un piège.
Un meurtre.
Un procès.
Un complot.
Mais tout ceci n’était rien. J’avais réussis à prouver mon innocence par mes propres moyens. Même si j’ai été innocenté, le scandale était tel que mes parents ont refusé tout contact avec moi. Mais je ne pourrais jamais leur pardonner, ils n’ont même pas cherché à me défendre, convaincus que j’étais le coupable, je leur laisse donc leur nom de famille, Après tout, ce n’est juste qu’un mot, Koura me suffit amplement. Mais tout ne s’arrête pas la. Après avoir passé 2 décennies sur mon île natale, il est temps pour moi de mettre en pratique tout ce que j’ai appris afin de supprimer la corruption et le laxisme du système judiciaire à tout jamais.
Monsieur le juge suprême « Couak » le Toucan, j’espère sincèrement que vous faites bien votre travail car je vais devoir le vérifié par moi-même. Atteindre une personnalité et un poste aussi influent dans la société ne sera pas chose facile, je vais donc devoir commencer par le bas de l’échelle et gravir les échelons 1 à 1 jusqu'à atteindre ce but.
Je pense que débuter dans les bureaucrates du Cipher Pol 3 pourrait être une bonne entrée en matière. Après tout, j’ai affronté l’administration toute ma vie, pourquoi un simple entretien d’embauche me ferait-il peur ?
>> Test RP
Le Test RP est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation une fois achevées les étapes précédentes. Faire un test RP avant cette intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________Informations IRL
Prénom : Loïc
Age : 21 ans
Aime : Les mangas, les animés, les jeux vidéo, l'informatique, la lecture, le droit.
N'aime pas : Les mathématiques.
Personnage préféré de One Piece : Rayleigh
Caractère : J'aime découvrir les nouvelles choses, et j'ai tendance à me donner au maximum dans les choses que j'aime.
Fait du RP depuis : Nouveau dans ce domaine, sauf que j'avais déjà posté le début de ce RP sur ce forum (la partie Physique et Psychologique, on m'avait demandé de recommencer ma biographie mais par manque de temps je n'ai pas pu et mon sujet avait été archivé, vous pouvez le consulter https://www.onepiece-requiem.net/t13054-tout-simplement-koura#154458 . Maintenant que j'ai du temps, je suis enfin prêt à reprendre le forum à toute motivation )
Disponibilité approximative : Très souvent dans la semaine, moins en week end
Comment avez-vous connu le forum ? Grâce à mon parrain de Forum
Quand vous estimez avoir terminé vos descriptions et votre biographie, signalez-le par un nouveau message et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous-titre de votre présentation par la mention [En attente de Test RP]. Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs ne vous loupent (ce qui n’arrive pas très souvent).
Prénom : Loïc
Age : 21 ans
Aime : Les mangas, les animés, les jeux vidéo, l'informatique, la lecture, le droit.
N'aime pas : Les mathématiques.
Personnage préféré de One Piece : Rayleigh
Caractère : J'aime découvrir les nouvelles choses, et j'ai tendance à me donner au maximum dans les choses que j'aime.
Fait du RP depuis : Nouveau dans ce domaine, sauf que j'avais déjà posté le début de ce RP sur ce forum (la partie Physique et Psychologique, on m'avait demandé de recommencer ma biographie mais par manque de temps je n'ai pas pu et mon sujet avait été archivé, vous pouvez le consulter https://www.onepiece-requiem.net/t13054-tout-simplement-koura#154458 . Maintenant que j'ai du temps, je suis enfin prêt à reprendre le forum à toute motivation )
Disponibilité approximative : Très souvent dans la semaine, moins en week end
Comment avez-vous connu le forum ? Grâce à mon parrain de Forum
Quand vous estimez avoir terminé vos descriptions et votre biographie, signalez-le par un nouveau message et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous-titre de votre présentation par la mention [En attente de Test RP]. Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs ne vous loupent (ce qui n’arrive pas très souvent).
Dernière édition par Koura le Lun 22 Juin 2015 - 19:15, édité 4 fois