"Marin, quel est votre métier !"
"Ahou ! ahou !"
En réalité, j'ai l'impression que j'aurais pu crier n'importe quoi que la réponse aurait était à peu près la même. Nous en sommes à un point de fatigue et de colère tel que c'est l'instinct qui nous tienne encore debout. Nous sommes une troupe de soldates détrempée et plus ou moins mal vêtue. Des guerrières qui avancent dans cette cohorte avec qu'un but en tête, non en fait deux.
"Les Rhinos ne laissent personnes derrière eux, allons cherchez les nôtres !"
Un pas après l'autre, le sable rose nous ralentit comme si l'île elle-même voulait nous stopper. Mais peu importe, contre vent est marée, nous vaincrons. Je compte bien repartir avec ceux qui ont eu la malchance d'attirer le dévolu des Okama. Pourtant chaque pas est plus dur que le précédent. Le sommeil nous susurre des mots doux à l'oreille dans le but de nous faire abandonner tout effort, mais c'est sans compter sur notre volonté et un certain goût pour la vengeance avouons le. Finalement, nous quittons la plage et l'épave de notre prison de bois. Un regard en arrière, il y en a certaines qui ont plus de mal que d'autre et qui sont aidé par d'autre pas forcement en meilleur état qu'elles.
Un pas après l'autre, la distance vers notre destination s'amenuise. Certaines en profitent pour récupérer des armes de fortunes si ce n'était pas déjà le cas. On a de plus en plus l'air d'une horde de pillardes amazone dont le rose est la couleur de ralliement. Et croyez-moi que la fesser va être musclé, bien qu'il ne faut jamais sous-estimer un adversaire, surtout si celui-ci arrive à survivre sur cet océan de tous les dangers. J'ai mal partout, j'imagine que je ne suis pas la seule. Que faire dans ce genre de cas alors que notre seule stratégie à venir et de frapper, puis frapper encore plus fort ? Essayer de remonter le moral, enfin plus ou moins.
"Sœur, vois-tu le vol noir qui se déchaîne ?
Entends-tu le croassement qui annonce leurs fins prochaines ?
Réveille-toi guerrière, le sanglot de nos hommes est l'alarme
De tes serres tu leur feras connaître le prix du sang, et des larmes !
Le corbeau d'ébène guidera, le corbeau d'ébène guidera.
Sœur, la sens-tu, la fatigue qui tente en vain de te retenir ?
Tu n'as qu'à suivre la flamme, puis tes ennemies vas punir.
Un pas après l'autre montre leur le feu de ta passion,
Tu iras jusqu'au bout et seras fière de ta détermination.
Le phœnix écarlate châtiera, le phœnix écarlate châtiera.
Sœur, d'un poing de bronze qui brise les chaînes de leur souffrance,
Montre-leur que tu ne laisseras jamais les tiens dans l'indifférence.
Tu es le rouage unique d'une machine indéfectible
Tant que ses rouages restent unis rien n'est impossible !
Le golem d'airain brisera, le golem d'airain brisera.
Sœur, aujourd'hui debout et quoi qu'il se passe,
Sache qu'avec nous, tu as toujours ta place.
Laisse la tempête en toi sortir de son sommeil.
Demain, du sang rose séchera au grand soleil.
Tes frères tu sauveras, tes frères tu sauveras !"
Je dois vraiment être fatigué pour en être réduit à faire ça tout de même...
"Ahou ! ahou !"
En réalité, j'ai l'impression que j'aurais pu crier n'importe quoi que la réponse aurait était à peu près la même. Nous en sommes à un point de fatigue et de colère tel que c'est l'instinct qui nous tienne encore debout. Nous sommes une troupe de soldates détrempée et plus ou moins mal vêtue. Des guerrières qui avancent dans cette cohorte avec qu'un but en tête, non en fait deux.
"Les Rhinos ne laissent personnes derrière eux, allons cherchez les nôtres !"
Un pas après l'autre, le sable rose nous ralentit comme si l'île elle-même voulait nous stopper. Mais peu importe, contre vent est marée, nous vaincrons. Je compte bien repartir avec ceux qui ont eu la malchance d'attirer le dévolu des Okama. Pourtant chaque pas est plus dur que le précédent. Le sommeil nous susurre des mots doux à l'oreille dans le but de nous faire abandonner tout effort, mais c'est sans compter sur notre volonté et un certain goût pour la vengeance avouons le. Finalement, nous quittons la plage et l'épave de notre prison de bois. Un regard en arrière, il y en a certaines qui ont plus de mal que d'autre et qui sont aidé par d'autre pas forcement en meilleur état qu'elles.
Un pas après l'autre, la distance vers notre destination s'amenuise. Certaines en profitent pour récupérer des armes de fortunes si ce n'était pas déjà le cas. On a de plus en plus l'air d'une horde de pillardes amazone dont le rose est la couleur de ralliement. Et croyez-moi que la fesser va être musclé, bien qu'il ne faut jamais sous-estimer un adversaire, surtout si celui-ci arrive à survivre sur cet océan de tous les dangers. J'ai mal partout, j'imagine que je ne suis pas la seule. Que faire dans ce genre de cas alors que notre seule stratégie à venir et de frapper, puis frapper encore plus fort ? Essayer de remonter le moral, enfin plus ou moins.
"Sœur, vois-tu le vol noir qui se déchaîne ?
Entends-tu le croassement qui annonce leurs fins prochaines ?
Réveille-toi guerrière, le sanglot de nos hommes est l'alarme
De tes serres tu leur feras connaître le prix du sang, et des larmes !
Le corbeau d'ébène guidera, le corbeau d'ébène guidera.
Sœur, la sens-tu, la fatigue qui tente en vain de te retenir ?
Tu n'as qu'à suivre la flamme, puis tes ennemies vas punir.
Un pas après l'autre montre leur le feu de ta passion,
Tu iras jusqu'au bout et seras fière de ta détermination.
Le phœnix écarlate châtiera, le phœnix écarlate châtiera.
Sœur, d'un poing de bronze qui brise les chaînes de leur souffrance,
Montre-leur que tu ne laisseras jamais les tiens dans l'indifférence.
Tu es le rouage unique d'une machine indéfectible
Tant que ses rouages restent unis rien n'est impossible !
Le golem d'airain brisera, le golem d'airain brisera.
Sœur, aujourd'hui debout et quoi qu'il se passe,
Sache qu'avec nous, tu as toujours ta place.
Laisse la tempête en toi sortir de son sommeil.
Demain, du sang rose séchera au grand soleil.
Tes frères tu sauveras, tes frères tu sauveras !"
Je dois vraiment être fatigué pour en être réduit à faire ça tout de même...