Bon, prochaine étape, apprendre à se repérer en pleine mer. Le hasard fait ne fait pas bien les choses. Quand on a pour seul vêtements que trois robes assez légères, le pays du père noël n'est pas une bonne idée. C'est très jolie, d'accord, mais Irae apprécierait plus en carte postal.
Quand elle en avait fini avec l'esclavagiste, Anna avait été assaillie par les villageois pour qu'elle reste. Elle avait refusé. Ils étaient gentils, certes, mais elle les mettaient mal à l'aise. Et puis Illa n'aurais jamais pu rester. Alors elle était partie. Mais sans bateau, elle aurait eu du mal. Pour monter leur gratitude, les villageois avait voulu lui offrir un bateau à voile de petite taille, mais qui était le plus grand qu'ils avaient. Mais le bateau n'était pas fait pour quelqu'un de sa taille. Alors ils lui avait offert une barque et quelques provisions. La barque, c'est facile à comprendre. Tu pousses à droite, ça va à gauche, tu pousses à gauche, ça va à droite, et tu pousses des deux côtés, tu avances. Alors elle avait avancé. Pas très droit, visiblement, mais elle avait avancée. Elle continuerait bien, mais elle n'avait plus de quoi manger.
Une belle tempête de neige soufflait sur l'île. Il lui restait beaucoup de chose, mais elle savait que quand il y a une tempête, il faut s’abriter. Le problème, c'est qu'une barque n'offre pas beaucoup d'abris valables. Alors elle était descendu. Histoire de lui faciliter les choses, elle voyait à peine ses pieds. Pieds qu'elle allait bientôt ne plus sentir mais que pour l'instant, elle sentait beaucoup trop. Ses chaussures fines étaient parfaite pour courir dans les champs. Moins pour marcher dans des quantités astronomique de neige.
sans cesse, les ombres se tordait pour donner l'impression qu'on approchait de quelque chose, une maison, une montagne, un rocher, un monstre antique mort congelé sous cette tempête venu du fond des ages. Mais rien. jamais rien. Juste du vent, de la neige, et parfois un peu de glace.
Ses poumons la brûlaient. Ses oreilles, ses mains et ses pieds lui donnait l'impression de pouvoir se décrocher à tous moment. Et ce vent qui semblait la narguer... Alors que tous son corps semblait avoir perdu jusqu'au souvenir de l'existence de la chaleur, elle décida de faire demi-tour. Au moins, il y aurait moins de neige dans la barque. Mais elle n'avait pas fais trois pas qu'il était déjà impossible de repérer où elle avait marché. Alors elle reprit sa marche.
Petit à petit, la tempête commença à tomber. Bientôt, elle put respirer sans avoir l'impression de manger de la neige. La vue se dévoilait, mètre par mètre. Et elle avait toujours aussi froid. elle aperçut une vague forme, au loin, comme tant d'autre. Mais contrairement aux autres, la forme ne disparut pas. Il y avait quelqu'un ou quelque chose. Elle ne pouvait pas savoir.
à l'aide !
Sa voix était faible, si faible. Elle aurait voulu crier à nouveau, mais elle avait froid. Si froid...
Quand elle en avait fini avec l'esclavagiste, Anna avait été assaillie par les villageois pour qu'elle reste. Elle avait refusé. Ils étaient gentils, certes, mais elle les mettaient mal à l'aise. Et puis Illa n'aurais jamais pu rester. Alors elle était partie. Mais sans bateau, elle aurait eu du mal. Pour monter leur gratitude, les villageois avait voulu lui offrir un bateau à voile de petite taille, mais qui était le plus grand qu'ils avaient. Mais le bateau n'était pas fait pour quelqu'un de sa taille. Alors ils lui avait offert une barque et quelques provisions. La barque, c'est facile à comprendre. Tu pousses à droite, ça va à gauche, tu pousses à gauche, ça va à droite, et tu pousses des deux côtés, tu avances. Alors elle avait avancé. Pas très droit, visiblement, mais elle avait avancée. Elle continuerait bien, mais elle n'avait plus de quoi manger.
Une belle tempête de neige soufflait sur l'île. Il lui restait beaucoup de chose, mais elle savait que quand il y a une tempête, il faut s’abriter. Le problème, c'est qu'une barque n'offre pas beaucoup d'abris valables. Alors elle était descendu. Histoire de lui faciliter les choses, elle voyait à peine ses pieds. Pieds qu'elle allait bientôt ne plus sentir mais que pour l'instant, elle sentait beaucoup trop. Ses chaussures fines étaient parfaite pour courir dans les champs. Moins pour marcher dans des quantités astronomique de neige.
sans cesse, les ombres se tordait pour donner l'impression qu'on approchait de quelque chose, une maison, une montagne, un rocher, un monstre antique mort congelé sous cette tempête venu du fond des ages. Mais rien. jamais rien. Juste du vent, de la neige, et parfois un peu de glace.
Ses poumons la brûlaient. Ses oreilles, ses mains et ses pieds lui donnait l'impression de pouvoir se décrocher à tous moment. Et ce vent qui semblait la narguer... Alors que tous son corps semblait avoir perdu jusqu'au souvenir de l'existence de la chaleur, elle décida de faire demi-tour. Au moins, il y aurait moins de neige dans la barque. Mais elle n'avait pas fais trois pas qu'il était déjà impossible de repérer où elle avait marché. Alors elle reprit sa marche.
Petit à petit, la tempête commença à tomber. Bientôt, elle put respirer sans avoir l'impression de manger de la neige. La vue se dévoilait, mètre par mètre. Et elle avait toujours aussi froid. elle aperçut une vague forme, au loin, comme tant d'autre. Mais contrairement aux autres, la forme ne disparut pas. Il y avait quelqu'un ou quelque chose. Elle ne pouvait pas savoir.
à l'aide !
Sa voix était faible, si faible. Elle aurait voulu crier à nouveau, mais elle avait froid. Si froid...