>> Rey Bolgarski
Une image de 200*300 pixels. | Pseudonyme : Gamin Age: 25 ans Sexe : Homme Race : Homme Métier : Épéiste à la débauche. Formation de forgeron. Groupe : Révolutionnaire But : Se mesurer aux plus forts, et comprendre la nature humaine. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Aucune capacité particulière pour l'instant si ce n'est sa maîtrise de l'épée. Équipement : Deux katanas légers standards de 70 centimètres. Une bourse de quelques berrys( somme dérisoire ), un revolver ainsi qu'un couteau de poche. Codes du règlement : Parrain : Google est mon ami. Ce compte est-il un DC ? : Non Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
>> Physique
Rey est un jeune homme plutôt mince, le teint extrêmement pâle.Plutôt fin et pas bien grand qui plus est, du haut de son petit mètre soixante-dix pour soixante kilogrammes tout ronds, c'était le maximum qu'il pu atteindre avec l'aide de son traitement hormonal, son cas étant trop extrême. Sa musculature ne se développa pas parfaitement, loin des muscles saillants d'un Apollon, il parvînt toutefois à en faire quelque chose de potable juste ce qu'il faut pour pouvoir manier le sabre.
Son corps présente de nombreuse brûlures ici et là, de petite envergure car il fallait savoir qu'au camp d'esclave où il passa une bonne partie de sa vie, la cautérisation par le feu était la seule solution efficace pour refermer les plaies et éviter l'infection de ces dernières. De plus son dos présente de nombreuses cicatrices, des marques de coups de fouet qu'il reçu encore et encore jusqu'à apprendre à marcher droit comme bon esclave qui se respecte. Il lui manque une partie de l'annuaire de la main gauche, mais cela ne l'empêche pas de manier parfaitement avec cette dernière, sa main de prédilection, bien qu'il devint ambidextre par la suite.
Toutefois, malgré son corps souillé par les écumes du passé, il est relativement beau, le sourire au lèvre, charmeur et ravageur, le regard malicieux, des yeux en amende de couleur pourpre. Il cache ses lourdes cicatrices à travers de long et épais vêtements, généralement un large manteau polaire par dessus son T-shirt. Il est le plus souvent vêtu de noir à tout les étages, de la tête au pied. A sa ceinture, du coté droit, il dispose ses deux katanas l'un à coté de l'autre, étant principalement gaucher, il lui est ainsi plus facile de dégainer. Quant au flanc gauche on y retrouve un revolver en bois de chêne et d'acier, une très belle arme, dommage qu'il soit si mauvais tireur...
Quand à ses aptitudes physiques, à défaut d'être fort, il dispose d'une vitesse d’exécution et de mouvement très intéressante, sans oublier ses principales qualités, son endurance et sa tolérance à la douleur surhumaine. Cela était dû à ses expériences et à son vécu, son corps s'étant habitué à très peu de ressource pour fonctionner, ayant gardé le même train de vie à peu de chose près depuis seize ans, en doublant les rations journalières qu'il recevait et en y ajoutant plusieurs entraînements quotidiens affin de garder la forme, à défaut d'avoir un potentiel exceptionnel, il combla son absence de génie par cent pour cent d'effort et de sueur.
De par son apparence « frêle » et pas bien grande il donne l'apparence d'un pré-adulte de dix-sept ans tout juste, ce qui lui vaut le surnom de "gamin" par ses camarades révolutionnaires ce qui le dérange pas vraiment .
Il est loin d'être quelqu'un d'imposant, il n'inspire aucune crainte en général, son aura n'est ni meurtrière ni apaisante, elle génère un effet de "je ne sais quoi" qui provoque un malaise inconnu chez les gens, cela ajouté à sa discrétion le fait passer pour quelqu'un de parfaitement banal, et cela même une fois le combat lancé.
Son corps présente de nombreuse brûlures ici et là, de petite envergure car il fallait savoir qu'au camp d'esclave où il passa une bonne partie de sa vie, la cautérisation par le feu était la seule solution efficace pour refermer les plaies et éviter l'infection de ces dernières. De plus son dos présente de nombreuses cicatrices, des marques de coups de fouet qu'il reçu encore et encore jusqu'à apprendre à marcher droit comme bon esclave qui se respecte. Il lui manque une partie de l'annuaire de la main gauche, mais cela ne l'empêche pas de manier parfaitement avec cette dernière, sa main de prédilection, bien qu'il devint ambidextre par la suite.
Toutefois, malgré son corps souillé par les écumes du passé, il est relativement beau, le sourire au lèvre, charmeur et ravageur, le regard malicieux, des yeux en amende de couleur pourpre. Il cache ses lourdes cicatrices à travers de long et épais vêtements, généralement un large manteau polaire par dessus son T-shirt. Il est le plus souvent vêtu de noir à tout les étages, de la tête au pied. A sa ceinture, du coté droit, il dispose ses deux katanas l'un à coté de l'autre, étant principalement gaucher, il lui est ainsi plus facile de dégainer. Quant au flanc gauche on y retrouve un revolver en bois de chêne et d'acier, une très belle arme, dommage qu'il soit si mauvais tireur...
Quand à ses aptitudes physiques, à défaut d'être fort, il dispose d'une vitesse d’exécution et de mouvement très intéressante, sans oublier ses principales qualités, son endurance et sa tolérance à la douleur surhumaine. Cela était dû à ses expériences et à son vécu, son corps s'étant habitué à très peu de ressource pour fonctionner, ayant gardé le même train de vie à peu de chose près depuis seize ans, en doublant les rations journalières qu'il recevait et en y ajoutant plusieurs entraînements quotidiens affin de garder la forme, à défaut d'avoir un potentiel exceptionnel, il combla son absence de génie par cent pour cent d'effort et de sueur.
De par son apparence « frêle » et pas bien grande il donne l'apparence d'un pré-adulte de dix-sept ans tout juste, ce qui lui vaut le surnom de "gamin" par ses camarades révolutionnaires ce qui le dérange pas vraiment .
Il est loin d'être quelqu'un d'imposant, il n'inspire aucune crainte en général, son aura n'est ni meurtrière ni apaisante, elle génère un effet de "je ne sais quoi" qui provoque un malaise inconnu chez les gens, cela ajouté à sa discrétion le fait passer pour quelqu'un de parfaitement banal, et cela même une fois le combat lancé.
>> Psychologie
Le jeune révolutionnaire dispose d'une personnalité complexe, extrêmement dure à cerner, même pour ses propres alliés de la révolution. Il est typiquement le genre de personne capable du pire comme du meilleur, faisant abstraction de toute dignité il n'est guidé que par ses propres envies au gré des circonstances, si bien qu'il n'éprouve aucun scrupule à laisser dépérir de jeunes innocents sous ses yeux, sans même intervenir. De ce fait sa vision des choses lui valu le grade d’éternel soldat de la révolution, sans espoir de promotion possible mais cela ne le dérangeait pas vraiment car, à l'heure actuelle, il ne voit aucun intérêt à s'investir plus profondément pour la cause révolutionnaire.
Il est un véritable électron libre, énigmatique et mystérieux, qui donne toujours l'impression d'avoir quelques choses derrière la tête, ce qui n'est pas vraiment faux la plupart du temps…
Au vue de son passé houleux et tourmenté on s'attendrait sûrement à ce qu'il soit brisé intérieurement par la trahison de ses propres parents, toutefois il n'en ait rien il est passé à autre chose bien que cela se soit fait malgré lui, au gré des expériences traumatisantes successives à très bas ages, il arrivait même à les comprendre. Comprendre et non pardonner car pour pardonner il fallait déjà en vouloir, or ce n'était pas son cas sa curiosité maladive et son désire de mieux comprendre ce qui l'entoure de point de vu le plus objectif possible en fait sa force, même si parfois cela le fait paraître comme un parfait insensible au yeux des autres.
Il n'est pas pour autant violent comme on pourrait s'y attendre, s'il a un profil le rapprochant des plus grands psychopathes, il n'était ni violent ni foncièrement mauvais. Quand il lui arrive de blesser les gens autour de lui cela est bien souvent involontaire ou guidé par une innocence retrouvée à l'age adulte.
Notre héros est extrêmement malin et n'hésite pas à manipuler les autres pour arriver à ses fins, cela peut être interprété comme de la fourberie même si à ses yeux la notion de bien et de mal ne sont que deux appellations différentes pour designer la même tracé de vie dans des circonstances spatio-temporel et sociales divergentes. De se fait il n'a aucun sens de la justice, ce n'est pour lui qu'un moyen d'arriver à ses fins en s'aidant du soutien d'un majorité au détriment d'une minorité parfois muette, c'est d'ailleurs pour cela qu'il reste au sein de la révolution, ce groupe dont le sens de la justice se rapproche le plus au sien.
Castré physiquement, comme la majorité des esclave arrivé à la puberté, il n'est guidé par aucune tentation de luxure, ce sentiment lui étant étranger, toutefois cela ne veut pas dire qu'il ne sait pas en jouer pour obtenir ce qu'il désire. Un être chaleureux et froid à la fois, capable du meilleurs comme du pire et capable de se fendre parfaitement dans la masse, voila ce qu'était le jeune homme de vingt-cinq ans, à l'heure actuelle du moins.
Mais bien que dénué de toute fierté personnelle ou d'une quelconque once d'amour propre, il ne reste pas moins travailleur et discipliné dans ce qui se trouve être ses séances d'entraînements quotidiennes, il répète les bases du maniement du sabre encore et encore jusqu'à ce que son corps dise non, connaissant parfaitement la physionomie de ce monde, il sait que s'il veut avoir le droit de vivre le moindre jour de plus il lui faut devenir toujours de plus en plus fort.
>> Biographie
1590 : Destination les Blues !
Quelque part sur une île hivernale de Grand Line, la guerre civile avait pris d'assaut l'archipel de Givralia et ses centaines de milliers d'habitants, les jours heureux avaient laissé place à des terres en ruine, ravagées par les vagues de pirate et la négligence des interventions des Marines. Les hauts bâtiments recouverts de leurs manteaux blancs n'étaient plus. Parmi les victimes, des militaires impuissants par milliers et d’innombrables civils, de simple dommage collatéraux en une période aussi sombre.
Des centaines de personnes avaient tenté d'échapper au pire, tentant d'atteindre les Blues sur des radeaux de fortune, mais tous périrent malheureusement avant même d'atteindre Calm Belt.Quelques rares navires furent envoyés par le gouvernement pour secourir une partie de la population. Parmi elles, les parents de Rey, Patricia et Ivan Bolgaski, de modestes paysans.
Les rescapés n'étaient pas au bout de leur peine pour autant, entassé en masse dans des navires pas bien grands, sans ressources suffisantes pour un voyage d'aussi longue alêne. Et s'ils étaient une centaine à survivre à la guerre, ils furent qu'une quinzaine à atteindre bon port, dans un état plus que critique. Parmi les plus chanceux, notre couple de paysans.
1601 : Un heureux événement.
Onze ans après avoir rejoint les Blues, plus précisément East Blue, les deux russophones champêtres avaient fait leur vie sur une petite île isolée de moins de mille habitants et attendaient de surcroît un heureux événement, la naissance du jeune Rey.
Notre jeune héros vint au monde un beau jour d'été en l'an 1601 de notre aire au sein d'une famille toujours aussi modeste, mais à l'abri du besoin et de la guerre cette fois-ci. Et c'est traditionnellement qu'il fut élevé, baignant dans la culture nordique, bercé par les histoires que lui comptaient ses parents, les témoignages d'un vestige qui désormais n'était plus. Tout comme eux, il avait hérité de cette blancheur propre aux habitants originaires de l'archipel de Givralia. Il avait appris par exemple que le nom de l'archipel venait principalement du fait que la-bas les hivers étaient si rudes que l'air avait tendance à se transformer en givre par endroit, notamment en hauteur.
1610 : Descente aux enfers.
Le jeune Rey vécut une enfance des plus heureuses, certes ce n'était pas le grand luxe, mais il était satisfait sur tous les plans, bercé par l'amour d'une mère et d'un père présent. Toutefois, tout son univers bascula en 1610, l'année de ses neufs ans, lorsqu'il accompagna comme à l’accoutumé ses parents au marché, mais cette fois quelques chose étaient différents.
L'aire était étrangement pesante et l'itinéraire était différent, ce n'était pas vers le marché qu'ils se rendaient mais ça il s'en aperçu un peu tard. Ils se trouvaient au port, non loin d'un navire en bois massif, il n'y avait étrangement pas grand monde ce jour-là. Un homme plutôt grand les cheveux longs et assez large sorti du navire avant de descendre la rampe en direction de la parfaite petite famille. Les trois adultes échangèrent quelques paroles que le jeune Rey ne put entendre de manière distincte, mais sa curiosité enfantine lui permit de s'apercevoir de quelques choses, l'expression des visages de ses parents avait totalement changé, ils semblaient froids et insensibles, c'est à peine s'ils lui adressaient un regard entre deux phrases. Les trois adultes se serrèrent la main comme le symbole d'une transaction accomplie avant de pousser le jeune garçon vers l'immense inconnu. Ce dernier le menotta et le bâillonna, bien que cela n'était pas utile, le jeune enfant était encore sous le choc de la vision de ses parents acceptant une bourse contre sa propre vie pour pouvoir émettre le moindre sons ou se débattre.
Il en profita pour regarder de plus près l'inconnu qui le tirait tel du bétail, il avait un cache œil sur l’œil gauche et une balafre sur la joue, ses dents étaient quant à elles ornées de pierres précieuses, elles étaient si brillantes qu'il ne pouvait en détacher le regard. Toutefois, quand le regard glacial de l'homme croisa le sien il détourna instinctivement le regard, comme si son esprit innocent et inexpérimenté savait par avance ce qu'il encourait. C'est à ce même moment qu'il réalisa la situation, tout n'était que tissu de mensonge, toutes ces « preuves d'amours », tous ces sourires sur leurs lèvres, tout ces moments heureux. Rien de cela n'était vrai, tout ce en quoi il avait cru, tout son univers n'était que mensonge et à ce moment précis il aurait bien pleuré toutes les larmes de son corps, des larmes de déception, de rage mais aussi désabusé qu'il pouvait être rien coulait, comme si quelque chose l'en empêchait. Et de toute manière cela ne servirait à rien, il était déjà trop tard, avant qu'il ne s'en rende compte il était attaché à une solide poutre en bois à l'intérieur de navire, d'innombrables enfants tout autour de lui dans les mêmes conditions, certains pleuraient à chaudes larme, d'autre avaient le regard vide comme si plus aucune larme ne pouvait à jamais ruisseler sur leurs joues.
1618 : Libération et intégration de l'armée révolutionnaire.
Les années avaient passé depuis la trahison de ses parents. L'adaptation à sa nouvelle vie se fit progressivement, après la première semaine au bord du navire l'envie de pleurer lui passa. Il fut tout d'abord placé avec les autres enfants au marché des esclaves, sur une île dont il ignorait l'existence, tout ce qu'il en savait c'était qu'elle se situait à trois semaines de navigation de son île natale.On y trouvait de tout, cela allait du simple esclave domestique obéissant à ceux destinés aux envies plus « exotiques » dirons nous, enfant inclus. Il savait qu'à partir du moment où ses pieds avaient foulé cette terre immaculé du sang de tous ces pauvres innocents il n'avait plus son destin en main, il ne lui restait qu'à espérer tomber sur un acheteur aux envies plus traditionnelles, après tout quitte à rester en vie autant le faire le plus longtemps possible.
Il trouva finalement preneur, il fut envoyé avec un groupe d'enfants sur une estrade, nus comme des vers, des chaînes au cou et aux extrémités, il se souvenait qu'il faisait particulièrement chaud ce jour-là, les chaînes en plus d'être bien trop lourdes, lui brûlaient la peau. A ce stade là de son adaptation il avait certes appris à faire abstraction de toute dignité de manière assez précoce mais il gérait encore très mal la douleur.
L'acheteur quant à lui était un aristocrate dans tous ses clichés, petit , trapu grassouillet, un chapeau haute-forme sur la tête, Rey ne pouvait pas distinguer clairement son visage, le soleil tapait beaucoup trop fort pour cela, néanmoins il sentait fort ce que notre héros apprendra plus tard être le tabac, une odeur suffisamment désagréable pour le dissuader de ne jamais y toucher.
Il fut ensuite conduit avec un petit groupe d'enfant, une dizaine à peu près, vers une nouvelle embarcation, beaucoup plus petite que celle qui les avait amené sur l'île, les conditions de voyage y étaient encore pires que dans la première. Au bout d'une semaine seulement ils arrivèrent sur ce qui allait devenir leur nouveau lieu de travail, une exploitation minière sans aucune mesure de sécurité autour du site, après tout à quoi bon s'en soucier ce ne sont que des esclaves qui allaient faire le sale boulot.
Il y passa huit ans de sa vie, à dormir à même le sol dans des cages étroites où ils pouvaient parfois s'entasser jusqu'à six personnes. Les conditions de vie y étaient des plus déplorables, ils étaient nourris d'une maigre portion de lentille par jour et d'un verre d'eau. Il y multiplia les blessures diverses allant de simples brûlures à des fractures multiples suite aux accidents qui survenaient constamment à lamine. Une fois âgé de quatorze ans, il était devenu beaucoup « trop grand » ,malgré son problème de croissance évident, pour pénétrer les mines de charbon. Il fut donc affecté au service de recensement, chargé de pondre des rapports de toutes les sorties journalière, c'est la qu'il y apprit à compter et à écrire.
De par sa nouvelle affectation, il jouissait de certain « privilèges », à commencer par des rations supplémentaires, ce n'était pas énorme, mais cela lui permettait de compenser les carences qu'il encourait. De plus, il dormait dans des cages plus spacieuses où ils n'étaient « que » trois à s'entasser . Leurs habitations de fortune se trouvaient non loin du centre des gardes qui, vicieux qu'ils étaient , n'hésitaient pas à abuser de pauvres enfants dans le lot.
Mais s'il y avait bien une leçon à retenir de cette expérience c'était que la vie n'offrait pas de cadeau, il lutta jour à après jour pour rester en vie bien qu'à cette période de sa vie il n'avait pas vraiment d'objectif précis, il luttait quasiment par instinct, au nom du besoin le plus primaire qui soit : la survie ! Il n'avait pas le temps de se faire des amis et encore moins celui de les pleurer, au rythme de dizaine de morts par jour on ne pouvait jamais savoir qui serait encore à nos côtés au réveil.
C'est à l'âge de dix sept ans qu'il fut libéré avec une grande partie des esclaves par l'armée révolutionnaire. Ils furent pour la plupart rendus à leurs parents qui les attendaient en larme, car contrairement à Rey et certains autres, ils furent pris contre leur grès. Notre héros n'ayant pas d'attache nullipare, il demanda à rejoindre l'armée de ces briseurs de chaînes après de longs mois de convalescence le temps de combler au mieux les carences dont il souffrait,tel que mal nutrition, d'un problème flagrant de croissance, sa peau était totalement dépigmentée, ses muscles ne s'étaient pas suffisamment malgré ses dix-sept ans passés, il semblait en avoir treize en apparence, telles étaient les ravages de l'esclavages….
Le petit groupe qui l'avait secouru et pris sous leurs ailes n'était qu'une infime sous section de l’immensité du mouvement révolutionnaire, toutefois une fois remis sur pied et son traitement hormonal arrivé à terme, il y reçu la meilleur formation possible dans ces conditions et au vu de son état de santé. Il n'était pas doté d'un potentiel exceptionnel ni de capacité physique impressionnante, loin de là même…. Mais il y apprit à manier l'épée de manière correcte.
1626 : En quête de puissance.
Les années passèrent depuis son intégration au sein de l'armée révolutionnaire, mais malgré le temps passé et les entraînements suivis, Rey resta un éternel soldat, piètre certes, mais soldat tout de même. Cela était en partie dû à son faible potentiel, mais aussi surtout à son manque de bonne volonté, il s'entêtait à agir en électron libre malgré son appartenance au mouvement révolutionnaire.
Il s'était fixé comme objectif de défier les plus puissants combattants de ce monde, non pas pour faire ses preuves mais par simple curiosité. A vrai dire, même au sein du groupe il était difficile à cerner, c'était à se demander quel était vraiment son objectif au final…Toujours est il que dès 1620, date qui marque la fin de sa formation de base et de ses traitements, il parcourut les océans en solitaire en quête de puissance, sans toutefois se permettre de négliger ses devoirs de révolutionnaire si la mission était d'une importance capitale.
>> Test RP
À l'aube de ses vingt ans, suite à trois ans de formation intensive, le jeune révolutionnaire était enfin prêt à entamer son service au sein de la révolution. Il était devenu suffisamment fort pour pouvoir se mesurer aux meilleurs soldats présents à bord de ce petit navire isolé, seul le capitaine Hoodstone et ses lieutenants, Mickarty et Butch, pouvaient l'écraser à plate couture, et cela malgré ces trois années de dure labeur et de perfectionnement permanent. Il faut dire que ces trois hommes avaient l’expérience en leur faveur. Hoodstone était un homme particulièrement grand, approchant la soixantaine, les cheveux courts, poivre et sel, une moustache effilée, la barbe rasé de très près, le regard sévère, il avait jusque là servi la cause révolutionnaire pendant près de trente six ans, quand aux deux autres, ils avaient servi le capitaine depuis le premier jour où qu'il fut promu Capitaine, devenant assez apte à gérer toute une flotte. Les deux hommes, comme leur supérieur, étaient grands et assez corpulents, le premier était roux alors que le deuxième étaient blond, leurs age avoisinait la cinquantaine, ces deux amis d'enfance étaient surtout connus pour leur sens de la discipline et leur intransigeance, on ne savait pas grand chose sur eux si ce n'est peu être qu'ils étaient parmi les tout premier membre de cette flotte.
Savoir de tel monstre l'entouraient n'avait toutefois jamais perturbé notre héros, Rey avait pas vraiment la tête à ça en ce moment, il était en effet tout excité à l'idée de pouvoir enfin découvrir le monde de ses propres yeux, la mission qu'on lui destinerait l'importait peu à vrai dire, il était aussi dévoué à la révolution qu'un Pirate à faire régner la justice c'est vous dire…. Ce manque d’investissement et de discipline était la cause principale pour laquelle un soldat de sa qualité ne fut jamais promu ne serait ce qu'au rang de sous-lieutenant. Mais pour l'heure le jeune homme avait la tête ailleurs, il venait de recevoir son premier ordre de mission, le Capitaine Hoodstone avait convoqué dans son bureau un petit groupe de soldat, dont Rey. Sans attendre, le sexagénaire annonça les tenants et les aboutissants de l'opération.
-Messieurs si je vous ai convoqué ici vous vous en doutez cela concerne votre première opération sur le terrain. L'ordre de mission vient de tomber il y a peu, un navire d'esclavagiste serait à quelques milles d'ici en destination d'un potentiel acheteur, votre mission sera de l'intercepter et de l'infiltrer discrètement . *après un léger silence* Sachez tout de même que cette information n'est pas certaine, elle nous vient d'un informateur, de plus vous êtes probablement tous au courant de la rumeur qui circule à bord depuis plusieurs mois déjà concernant la présence d'un agent infiltré parmi les notre. Je me chargerais de mener l'enquête personnellement, et d'ici la tout opération est mise en suspens.
-Excusez moi capitaine, mais que faisons nous de tous ces innocents qui nous attendent dehors ? Lança un de soldat.
-Osez vous contredire des ordres directes de votre supérieur soldat Benet ?
-Non… Non monsieur !
Un silence prit place au sein de la pièce, l’atmosphère était de plus en plus pesante, le groupe d'homme se fusillait du regard les un des autres, tentant chacun de débusquer la taupe, car tous l'eurent compris, s'ils étaient tous réunis ici ce n'était pas dans le cadre d'une opération, l'enquête du Capitaine Hoodstone avait commencé à seconde où il les avait convoqué dans sa cabine qui faisait office de bureau. Assez vite, la majorité des regards s'étaient dirigés en direction de Rey, il savait déjà qu'il était l'individu le plus louche du modeste navire, cela n'était un secret pour personne.
Le jeune homme n'était pas bête loin de là même. Il avait profité de ce moment sous haute pression pour analyser ce qui l'entourait et là il comprit ce qu'il y avait à comprendre, tout en restant le plus impassible possible. Le capitaine mit enfin un terme à cet interrogatoire muet et invita le petit groupe à disposer dans leurs compartiments. Rey avait déjà son idée en tête il ne lui restait qu'à se munir des objets nécessaires pour s'innocenter au yeux de tous, car une chose était sure, si la situation s’éternisait il finirait inévitablement enchaîner au fond d'une cellule ou pire encore…
Le lendemain, après une nuit agité et éreintante, tout les soldats reprirent leur routine presque comme si de rien n'était. Le pale jeune homme savait qu'il était loin de n'avoir de des alliés à bord, et la situation était loin d'être à son avantage. Il profita de la pause déjeuné du capitaine à treize heure trente précise, le haut révolutionnaire était réglé comme une horloge depuis près de trente six ans. Et cela ne manqua pas ! En effet à peine fut il sorti que le jeune adulte se faufila dans ce bureau de son supérieur, une fois celui ci hors de vu bien sure, il n'était pas fou, il savait que s'il se faisait prendre c'en était définitivement terminé pour lui.
Une fois à l’intérieur, il se saisit du den den mushi du capitaine, celui dont il se servait pour effectuer les grande annonce à travers tout le pont. Une fois l'objet en sa possession il sortit aussitôt rejoindre la cabine du suspect qu'il avait en tête, le Soldat Rivers.
Sûrement l'Homme le plus insoupçonnable du lot choisi par le capitaine au vu de ces années de bons et loyaux services, mais si le capitaine, en homme perspicace qu'il était , l'avait convoqué également c'était bien le signe qu'il avait des choses à cacher,
A peine avait il ouvert la porte de la cabine que le soldat Rivers se saisit de son pistolet d'un geste vif et précis, Rey avait finalement bien fait de prendre son katana en main avant de franchir le palier de sa porte !
Les deux hommes se tenaient en position de combat, se regardant dans le blanc des yeux, tout deux prêt à bondir au moindre pas de plus. La porte se referma dans un grincement qui ne faisait qu'ajouter un coup de pression en plus. Rey savait qu'en terme de capacité il n'était que très légèrement supérieur à son opposant, c'est pour cela qu'il profita d'un moment d'inattention de la part de Rivers pour le désarmer et poser le tranchant de sa lame contre sa gorge. Toutefois un coup de feu s'échappa durant l’échange et frôla la joues gauche de l’épéiste, ce qui lui laissa une marque le brûlure au premier degrés, le sang avait giclé et les autres soldat n'allaient plus tarder à venir en leur direction, ce n'était qu'une question de minutes, il lui fallait soutirer des aveux au plus vite.
-Comment as tu su?
-Ton regard.
-Mon regard ? Comment ça ?
-Dans la cabine du capitaine, alors que tous me fusillaient de leur regard injecté de haine et de mepris, seul le tien était différent, tu compatissais, comme si tu étais désolé pour ce qui allait m'arriver.
-Ah, je vois. Je pensais pas que tu aurais compris aussi vite. Maintenant j'imagine que tu te demandes pourquoi j'ai trahi l'équipage.
-Effectivement je n'ai rien contre quelques explications. *mit en marche le den den mushi*
-Sais tu ce que ça fait de voir ton propre collègue de promotion réussir à devenir capitaine alors que toi, malgré toutes tes qualité, tout ton talent tu finis éternel soldat, un simple subordonné ! Pendant des années j'ai ravalé ma fierté mais j'ai fini par craquer. Un poste haut gradé au sein de la Marine contre l'équipage et la tête de Hoodstone !
-Il me semble que je comprend ce que tu ressens. Mais c'est fini désormais,j'en suis désolé.
L'homme remarqua que ses confessions étaient passé par les hauts parleur du pont, à l'écoute de tous, il était fait, Rey avait réussi son coup, avant qu'il n'eut le temps d'exprimer son mépris pour le jeune soldat, des dizaines de soldat forcèrent la porte et s'en saisir. L'homme au manteau polaire rangea son arme et le livra à ses collègues. Plus tard dans la journée, le Capitaine demanda à voir l'ex esclave.
-Vous vouliez me voir Monsieur ?
-Oui, je t'en prit entre Rey, je tenais à te féliciter pour ton audace, oser me voler pour mener l'enquête avec brio, cela prouve bien que tu n'es pas qu'un soldat talentueux.
-Merci Monsieur !
-Trêve de théâtralité, il se trouve que j'ai la permission ce promouvoir une recrue ce mois ci, pour te récompenser pour ta bravoure j'aimerais te l'offrir, toutefois, j'aimerais que tu répondes à cette question Soldat Bolgarski : Quelles sont tes intentions au sein de l'équipage ? Agis tu réellement au nom de la révolution?
-Sans vouloir vous manquer de respect capitaine vous connaissez déjà la réponse à votre question.
-Hah haa, je vois, j'apprécie ton honnêteté Rey. Compte tenu de ton action je vais ignorer le fait que tu te sois infiltré dans mon bureau pour y dérober quelques choses.
-Bien, puis je disposer ?
Le capitaine hocha la tête de manière affirmative. Hoodstone était quelqu'un de sévère et de stricte mais il semblait toutefois fortement apprécier le jeune homme malgré que celui ci enfreigne régulièrement les règles de bords et les principes révolutionnaire. Suite à ces éventements, Rivers fut transporté vers une prison révolutionnaire et l'équipage changea de cape affin d'éviter de se faire débusquer par la marine.
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-Messieurs si je vous ai convoqué ici vous vous en doutez cela concerne votre première opération sur le terrain. L'ordre de mission vient de tomber il y a peu, un navire d'esclavagiste serait à quelques milles d'ici en destination d'un potentiel acheteur, votre mission sera de l'intercepter et de l'infiltrer discrètement . *après un léger silence* Sachez tout de même que cette information n'est pas certaine, elle nous vient d'un informateur, de plus vous êtes probablement tous au courant de la rumeur qui circule à bord depuis plusieurs mois déjà concernant la présence d'un agent infiltré parmi les notre. Je me chargerais de mener l'enquête personnellement, et d'ici la tout opération est mise en suspens.
-Excusez moi capitaine, mais que faisons nous de tous ces innocents qui nous attendent dehors ? Lança un de soldat.
-Osez vous contredire des ordres directes de votre supérieur soldat Benet ?
-Non… Non monsieur !
Un silence prit place au sein de la pièce, l’atmosphère était de plus en plus pesante, le groupe d'homme se fusillait du regard les un des autres, tentant chacun de débusquer la taupe, car tous l'eurent compris, s'ils étaient tous réunis ici ce n'était pas dans le cadre d'une opération, l'enquête du Capitaine Hoodstone avait commencé à seconde où il les avait convoqué dans sa cabine qui faisait office de bureau. Assez vite, la majorité des regards s'étaient dirigés en direction de Rey, il savait déjà qu'il était l'individu le plus louche du modeste navire, cela n'était un secret pour personne.
Le jeune homme n'était pas bête loin de là même. Il avait profité de ce moment sous haute pression pour analyser ce qui l'entourait et là il comprit ce qu'il y avait à comprendre, tout en restant le plus impassible possible. Le capitaine mit enfin un terme à cet interrogatoire muet et invita le petit groupe à disposer dans leurs compartiments. Rey avait déjà son idée en tête il ne lui restait qu'à se munir des objets nécessaires pour s'innocenter au yeux de tous, car une chose était sure, si la situation s’éternisait il finirait inévitablement enchaîner au fond d'une cellule ou pire encore…
Le lendemain, après une nuit agité et éreintante, tout les soldats reprirent leur routine presque comme si de rien n'était. Le pale jeune homme savait qu'il était loin de n'avoir de des alliés à bord, et la situation était loin d'être à son avantage. Il profita de la pause déjeuné du capitaine à treize heure trente précise, le haut révolutionnaire était réglé comme une horloge depuis près de trente six ans. Et cela ne manqua pas ! En effet à peine fut il sorti que le jeune adulte se faufila dans ce bureau de son supérieur, une fois celui ci hors de vu bien sure, il n'était pas fou, il savait que s'il se faisait prendre c'en était définitivement terminé pour lui.
Une fois à l’intérieur, il se saisit du den den mushi du capitaine, celui dont il se servait pour effectuer les grande annonce à travers tout le pont. Une fois l'objet en sa possession il sortit aussitôt rejoindre la cabine du suspect qu'il avait en tête, le Soldat Rivers.
Sûrement l'Homme le plus insoupçonnable du lot choisi par le capitaine au vu de ces années de bons et loyaux services, mais si le capitaine, en homme perspicace qu'il était , l'avait convoqué également c'était bien le signe qu'il avait des choses à cacher,
A peine avait il ouvert la porte de la cabine que le soldat Rivers se saisit de son pistolet d'un geste vif et précis, Rey avait finalement bien fait de prendre son katana en main avant de franchir le palier de sa porte !
Les deux hommes se tenaient en position de combat, se regardant dans le blanc des yeux, tout deux prêt à bondir au moindre pas de plus. La porte se referma dans un grincement qui ne faisait qu'ajouter un coup de pression en plus. Rey savait qu'en terme de capacité il n'était que très légèrement supérieur à son opposant, c'est pour cela qu'il profita d'un moment d'inattention de la part de Rivers pour le désarmer et poser le tranchant de sa lame contre sa gorge. Toutefois un coup de feu s'échappa durant l’échange et frôla la joues gauche de l’épéiste, ce qui lui laissa une marque le brûlure au premier degrés, le sang avait giclé et les autres soldat n'allaient plus tarder à venir en leur direction, ce n'était qu'une question de minutes, il lui fallait soutirer des aveux au plus vite.
-Comment as tu su?
-Ton regard.
-Mon regard ? Comment ça ?
-Dans la cabine du capitaine, alors que tous me fusillaient de leur regard injecté de haine et de mepris, seul le tien était différent, tu compatissais, comme si tu étais désolé pour ce qui allait m'arriver.
-Ah, je vois. Je pensais pas que tu aurais compris aussi vite. Maintenant j'imagine que tu te demandes pourquoi j'ai trahi l'équipage.
-Effectivement je n'ai rien contre quelques explications. *mit en marche le den den mushi*
-Sais tu ce que ça fait de voir ton propre collègue de promotion réussir à devenir capitaine alors que toi, malgré toutes tes qualité, tout ton talent tu finis éternel soldat, un simple subordonné ! Pendant des années j'ai ravalé ma fierté mais j'ai fini par craquer. Un poste haut gradé au sein de la Marine contre l'équipage et la tête de Hoodstone !
-Il me semble que je comprend ce que tu ressens. Mais c'est fini désormais,j'en suis désolé.
L'homme remarqua que ses confessions étaient passé par les hauts parleur du pont, à l'écoute de tous, il était fait, Rey avait réussi son coup, avant qu'il n'eut le temps d'exprimer son mépris pour le jeune soldat, des dizaines de soldat forcèrent la porte et s'en saisir. L'homme au manteau polaire rangea son arme et le livra à ses collègues. Plus tard dans la journée, le Capitaine demanda à voir l'ex esclave.
-Vous vouliez me voir Monsieur ?
-Oui, je t'en prit entre Rey, je tenais à te féliciter pour ton audace, oser me voler pour mener l'enquête avec brio, cela prouve bien que tu n'es pas qu'un soldat talentueux.
-Merci Monsieur !
-Trêve de théâtralité, il se trouve que j'ai la permission ce promouvoir une recrue ce mois ci, pour te récompenser pour ta bravoure j'aimerais te l'offrir, toutefois, j'aimerais que tu répondes à cette question Soldat Bolgarski : Quelles sont tes intentions au sein de l'équipage ? Agis tu réellement au nom de la révolution?
-Sans vouloir vous manquer de respect capitaine vous connaissez déjà la réponse à votre question.
-Hah haa, je vois, j'apprécie ton honnêteté Rey. Compte tenu de ton action je vais ignorer le fait que tu te sois infiltré dans mon bureau pour y dérober quelques choses.
-Bien, puis je disposer ?
Le capitaine hocha la tête de manière affirmative. Hoodstone était quelqu'un de sévère et de stricte mais il semblait toutefois fortement apprécier le jeune homme malgré que celui ci enfreigne régulièrement les règles de bords et les principes révolutionnaire. Suite à ces éventements, Rivers fut transporté vers une prison révolutionnaire et l'équipage changea de cape affin d'éviter de se faire débusquer par la marine.
Informations IRL
Prénom : Che
Age : 21 ans
Aime : lire, faire du sport et la politique
N'aime pas :
Personnage préféré de One Piece : Aucun en particuliers
Caractère : Calme, peu loquace néanmoins sympathique, du moins j'aime à croire que c'est le cas.
Fait du RP depuis : quelques années
Disponibilité approximative : Tout dépend de la période de l'année.
Comment avez-vous connu le forum ? Google top site.
Quand vous estimez avoir terminé vos descriptions et votre biographie, signalez-le par un nouveau message et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous-titre de votre présentation par la mention [En attente de Test RP]. Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs ne vous loupent (ce qui n’arrive pas très souvent).
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Dernière édition par Rey Bolgarski le Dim 2 Aoû 2015 - 9:52, édité 40 fois