>> Surebu Riku
Pseudonyme :/ Age: 12 Sexe : Masculin Race : Humain Métier : Charpentier Groupe : Révolutionnaire But : Évitez qu'une autre personne subissent le même sort que lui Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Neko neko no mi- fruit du félin, version chat. Équipement : une faux, plutôt légère Codes du règlement : Parrain :/ Ce compte est-il un DC ? : Non Si oui, quel @ l'a autorisé ? : / |
>> Physique
Riku n'est surement pas la personne que l'on remarquerait tout de suite dans un groupe, à moins qu'il soit devant celui-ci et encore...De petite taille, environ un mètre trente. Il n'est en plus pas vraiment enflé pour son âge, il y aurait de grande chance pour qu'il soit en sous poids. Tout ça Pourrait faire penser que ce jeune garçon à la peau légèrement pâle est quelqu'un de faible. C'est souvent à ce moment-là que certaines personnes se trompent. Riku à une très fine musculature, peu visible sur son corps de jeune garçon, dans tous les cas, on s'aperçoit rapidement que le jeune garçon est quelqu'un qui bouge beaucoup. Ses cheveux d'un blond délavé, presque gris, ne sont pas vraiment coiffé et cache souvent l'un de ses yeux gris, surtout l'oeil gauche. On rajoute à cela un bonnet marron orangé à motif léopard... Et de fausses oreilles de félin noir brodé dessus, un petit nez un très léger sourire et on a la tête de Riku. La plupart du temps, jeune blond porte un T-shirt noir sans manches, ainsi qu'une veste blanche à capuche noir et aux manches d'un doré délavé, sauf au poignet qui arbore la même couleur que la capuche. Pour finir avec les vêtements, il porte un pantalon et une ceinture noire à bande vertical blanche sur les cotés ainsi que des bottes marrons où le pantalon s'engouffre. Riku possède une faux, à peu près de la même taille que lui, voir un peu plus, elle est légèrement plus légère qu'une faux normal, ce qui lui permet de la manier sans trop de soucis. Sa voix de petit garçon ne semble pas avoir d'hésitation face à une personne qu'il ne connait pas, cependant, il lui arrive de bégayer devant une personne qu'il connait et qu'il aime bien, pas forcement une personne dont il est amoureux, cela peut être un simple ami aussi. Riku est aussi fort qu'habile de ses mains, notamment pour le dessin.
>> Psychologie
Décrire la vraie nature de Riku est chose simple, mais décrire le masque qu'il porte l'est un peu moins. Riku est un jeune garçon qui vit la peur au ventre, mais pas la peur comme si on effrayait une personne, il s'agit plus d'une peur de ne pas être à la hauteur de ce que l'on attend de lui, une peur de décevoir donc, qui pourrait facilement l'isoler, surtout quand il est seul, beaucoup de gens qui le fréquente régulièrement peuvent sentir cette petite chose. Cependant, le jeune garçon se voile lui-même la face, arborant un visage neutre, comme un masque, dont peu de choses sortent la plupart du temps, comme un masque donc. Parfois, un très léger sourire peut se montrer comme un regard d'assassin selon le moment donné. Riku est une personne peu fainéante et très appliquée et peu maladroite dans ses tâches, capable de suivre des instructions à la lettre sans soucis. Il a cependant peur de demander de l'aide qui, pour lui, est comme un signe d'échec et lui fais penser qu'il ne sait rien faire. Riku semble posséder comme un instinct, malgré qu'il déteste tuer, il sait quand il est obligé de le faire ou non, pour sa propre survie ou celle de ses alliés. Riku n'est pas du genre a casser l'ambiance, mais il déteste être considérer comme un gamin et fera tout pour prouver, souvent vainement, qu'il n'en est pas un.
>> Biographie
Je faisais tourner ma faux autour de moi, essayant d'être assez rapide pour dissuader mon adversaire d'attaquer, en même temps, je me concentrais, non pas sur mon adversaire, mais pour me calmer. J'avais beau me dire que cela n'était pas la première fois, mais mon cœur, ainsi que mon cerveau me disait que je ne devais pas le faire. Au début, je me disais que cela deviendrait une habitude et qu'au bout d'une ou deux fois, cela deviendrait une habitude…Mais j'avais tort . Je regarda l'homme en face de moi, armé d'un sabre commun, que l'on pourrait trouver dans n'importe quelle armurerie et mon environnement. Un trou, avec des cages comme mur, la plupart sont vide, mais d'autres onts un occupant, un prisonnier fraichement attrapé surement, ses cages ne servaient guère a grand-chose d'habitude, juste de cloison d'où les contrebandier regardait les combats...Combat ? Mise à mort plutôt !
Je voulais alors me rappeler… Comment étais-je arrivé ici ? Mes souvenirs étaient un peu flous, surement par le manque de nourriture ainsi que le combat. Je me souvenais d'abord que je n'avais pas vraiment eu de mère durant ma courte enfance, elle n'est pas morte, du moins, pour la dernière fois que je l'avait vu, quand mon père me porta sur le navire de son équipage, je devais avoir quatre ou cinq ans ce jour-là, il s'agissait plus d'un simple problème d'adulte pour moi, mais je ne comprenais pas vraiment encore. Mon père était le charpentier d'un équipage de révolutionnaire, un petit navire avec 5 personnes sans me compter. Un cuisinier, un canonnier, un médecin, un navigateur et mon père, le charpentier, il n'y avait pas de réel capitaine pour tout avouer. Sur le navire, ayant un peu peur des autres, je restais proche de mon père durant ses journées à renforcer la coque, dessiner des croquis de construction…Enfin, ce que fait un charpentier dans sa journée si vous préférez ! Au début, je me contentais de regarder, puis, au bout de quelques semaines, j'aidais mon père à porter les planches de bois. J'étais devenu l'apprenti de mon père, qui me laissait faire la plupart des travaux que je voulais faire tout en repassant derrière moi pour corriger mon travail, cependant, j'étais plus doué que mon père sur une chose : les plans. Je savais dessiner avec un certain sens logique les constructions imaginées par mon père, un membre de l'équipage ou encore moi-même et chaque plan que je voyais naitre de bois et de clous était comme une récompense.
Ce manège dura pendant quelques années, jusqu'à mes 10 ans, mon père m'avait caché dans la cale du bateau, je m'en rappelais bien, j'entendais des bruits de bataille et rester cloîtré dans le petit placard. Plusieurs minutes plus tard, je n'entendis que des bruits de pas. Mon père qui revenait me chercher ? je soupira de soulagement en souriant légèrement…Sourire que je perdit quand je vis un inconnu ouvrir le placard. Sans réfléchir, celui-ci m'attache les mains dans le dos et me porta sur le pont, moi, je ne pouvais rien faire, pétrifié par la peur. Je vis alors les corps des membres de l'équipage se faire jeter par-dessus bords, tous avaient péri, mais je n'avais pas vu le corps de mon père…Cela ne m'empêcha pas de pleurer en l'appelant à l'aide en vain.
La raison pour laquelle m'est encore inconnu aujourd'hui. Peut être que, dans le feu de l'action, les contrebandiers étaient allez un peu fort ? Sûrement, car ceux-ci capturaient des personnes pour leurs propres plaisir. Tout d'abord, ils nous affamaient dans des cages individuelles pendant au moins une semaine sur une petite île isolée je ne sais où…Après la semaine de jeun, quelques personnes avaient péri, mais le reste reçurent une nouvelle qu'ils ne pouvaient refuser : faire un combat, le gagnant avait le droit à un peu de nourriture, cependant, le perdant aurait aussi le droit a quelque chose…Comme tous les autres prisonnier d'ailleurs. Quelques heures plus tard, je me retrouvais dans une sorte d'arène de fortune, une faux de paysan à la main face à un gars avec un couteau. Les hommes semblaient aimer être cruel et pensait surement me voir perdre facilement face à l'homme en me donnant une arme visiblement trop lourde pour moi. Cette faux était lourde pour mes faibles bras et je regardai l'homme, qui avait surement une vingtaine d'années. Lui, il s'en fichait pas mal de qui il avait comme adversaire, tout ce qu'il voulait, c'est mangé quelque chose… Sans réfléchir, celui-ci fonça sur moi, couteau à la main et porta un coup un peu trop à gauche de mon torse, surement trompé par mon tissu de vêtement trop large pour mon corps. Cette faux ne m'a jamais paru aussi légère tout à coup, sans réfléchir, je profitai que l'homme ait pris trop d'élan et se soit effondré derrière moi pour lui donner un coup de faux, comme un réflexe de survie. L'homme ne bougea plus. Je regardais l'homme, puis le sang pour enfin me retourner vers les spectateurs contrebandiers, l'un d'eux arriva dans mon dos et me poussa dans une cage vide avant de me lancer un petit sac avec un morceau de pain, de la viande et une petite gourde d'eau.
Je ne mangeai pas avant deux jours, le temps que j'ai mis pour m'en remettre de ce que j'avais fait.
Le temps passait sans que je m'en rend compte vraiment, mais cela faisait environ deux ans que je faisais ça…Tuer pour survivre.
Retour au présent…Je me concentra enfin sur l'homme, effrayé par un gamin avec une faux qu'il faisait tourner autour de lui ? On dirait bien. En même temps, même si j'ai une certaine peur de tuer, mon visage ne le montrait plus, gardant un visage effroyablement neutre, un masque…Non…Une cagoule de bourreau. J'arrêta ma danse et laissa donc approcher mon adversaire, qui ne réfléchit pas vraiment et se mit a courir pour me porter un coup. Je parai alors le coup et trancha la main de la victime sans trop regarder. Je vis alors le regard des contrebandiers. Il était temps que j'en finisse. Je reculai, fis tourner un peu ma faux avant de lâcher un faible « désolé » et de lui décapiter la tête. Au risque de me faire tuer, je préférais toujours fermer les yeux et lâcher mon arme juste après, ne voulant pas réalisé ce que j'avait fais. J'attendais alors que l'un d'eux descende, tandis que j'étais tenu en joue par deux autres de loin au cas où je me rebellerais.. Mais rien n'arriva, j'attendais, mais les cris à l'aide ne semblait pas venir du même endroit que d'habitude, mais je m'en fichais pas mal. C'est alors que je ressentis quelqu'un me menotté. Cette action, qui n'avait jamais été fait sur moi, me fis tourner la tête et ouvrir les yeux. Je vis alors un homme habillé en blanc parmi tant d'autre, qui escortait les prisonniers ainsi que les contrebandiers restant dans un navire d'une grande taille. Alors, s'était la fin ? Je n'arrivais même pas à sourire et m'effondra sur l'homme, dans mes vieux vêtements et tâché du sang de la victime.
Quand je me réveilla, je vis que deux groupes avaient été fais, les prisonnier et les contrebandier, mais quelque chose clochait…Pourquoi avoir été mis avec les contrebandier ? J'étais considéré comme eux ? étrangement, je ne réagis pas vraiment de la façon que je voulais, je resta planté là et attendit dans ma cage. Un des hommes arriva alors et me menotta tandis que d'autres prirent toutes les armes trouvé sur place. On était sur une île que je ne reconnaissais pas avec une base Marine et une prison, je ne saurais dire où je suis, j'ai perdu un peu mon sens de l'orientation durant ses deux ans où je ne pensais qu'à survivre. Les armes furent entreposé dans un débarras qui se trouva juste à coté de ma cellule, il s'agissait surement d'armes de trop mauvaise qualitée pour eux.
Je restai assis dans ma cellule à regarder le sol pendant un bon bout de temps avant d’entendre un bruit. Je n’étais pas seul derrière ces barreaux. La luminosité et ma fatigue ne me permettait pas de voir correctement cette personne. Je dis alors mon prénom et lui demanda le sien
La personne qui était dans la même cellule que moi s’appelait Hana.
Je voulais alors me rappeler… Comment étais-je arrivé ici ? Mes souvenirs étaient un peu flous, surement par le manque de nourriture ainsi que le combat. Je me souvenais d'abord que je n'avais pas vraiment eu de mère durant ma courte enfance, elle n'est pas morte, du moins, pour la dernière fois que je l'avait vu, quand mon père me porta sur le navire de son équipage, je devais avoir quatre ou cinq ans ce jour-là, il s'agissait plus d'un simple problème d'adulte pour moi, mais je ne comprenais pas vraiment encore. Mon père était le charpentier d'un équipage de révolutionnaire, un petit navire avec 5 personnes sans me compter. Un cuisinier, un canonnier, un médecin, un navigateur et mon père, le charpentier, il n'y avait pas de réel capitaine pour tout avouer. Sur le navire, ayant un peu peur des autres, je restais proche de mon père durant ses journées à renforcer la coque, dessiner des croquis de construction…Enfin, ce que fait un charpentier dans sa journée si vous préférez ! Au début, je me contentais de regarder, puis, au bout de quelques semaines, j'aidais mon père à porter les planches de bois. J'étais devenu l'apprenti de mon père, qui me laissait faire la plupart des travaux que je voulais faire tout en repassant derrière moi pour corriger mon travail, cependant, j'étais plus doué que mon père sur une chose : les plans. Je savais dessiner avec un certain sens logique les constructions imaginées par mon père, un membre de l'équipage ou encore moi-même et chaque plan que je voyais naitre de bois et de clous était comme une récompense.
Ce manège dura pendant quelques années, jusqu'à mes 10 ans, mon père m'avait caché dans la cale du bateau, je m'en rappelais bien, j'entendais des bruits de bataille et rester cloîtré dans le petit placard. Plusieurs minutes plus tard, je n'entendis que des bruits de pas. Mon père qui revenait me chercher ? je soupira de soulagement en souriant légèrement…Sourire que je perdit quand je vis un inconnu ouvrir le placard. Sans réfléchir, celui-ci m'attache les mains dans le dos et me porta sur le pont, moi, je ne pouvais rien faire, pétrifié par la peur. Je vis alors les corps des membres de l'équipage se faire jeter par-dessus bords, tous avaient péri, mais je n'avais pas vu le corps de mon père…Cela ne m'empêcha pas de pleurer en l'appelant à l'aide en vain.
La raison pour laquelle m'est encore inconnu aujourd'hui. Peut être que, dans le feu de l'action, les contrebandiers étaient allez un peu fort ? Sûrement, car ceux-ci capturaient des personnes pour leurs propres plaisir. Tout d'abord, ils nous affamaient dans des cages individuelles pendant au moins une semaine sur une petite île isolée je ne sais où…Après la semaine de jeun, quelques personnes avaient péri, mais le reste reçurent une nouvelle qu'ils ne pouvaient refuser : faire un combat, le gagnant avait le droit à un peu de nourriture, cependant, le perdant aurait aussi le droit a quelque chose…Comme tous les autres prisonnier d'ailleurs. Quelques heures plus tard, je me retrouvais dans une sorte d'arène de fortune, une faux de paysan à la main face à un gars avec un couteau. Les hommes semblaient aimer être cruel et pensait surement me voir perdre facilement face à l'homme en me donnant une arme visiblement trop lourde pour moi. Cette faux était lourde pour mes faibles bras et je regardai l'homme, qui avait surement une vingtaine d'années. Lui, il s'en fichait pas mal de qui il avait comme adversaire, tout ce qu'il voulait, c'est mangé quelque chose… Sans réfléchir, celui-ci fonça sur moi, couteau à la main et porta un coup un peu trop à gauche de mon torse, surement trompé par mon tissu de vêtement trop large pour mon corps. Cette faux ne m'a jamais paru aussi légère tout à coup, sans réfléchir, je profitai que l'homme ait pris trop d'élan et se soit effondré derrière moi pour lui donner un coup de faux, comme un réflexe de survie. L'homme ne bougea plus. Je regardais l'homme, puis le sang pour enfin me retourner vers les spectateurs contrebandiers, l'un d'eux arriva dans mon dos et me poussa dans une cage vide avant de me lancer un petit sac avec un morceau de pain, de la viande et une petite gourde d'eau.
Je ne mangeai pas avant deux jours, le temps que j'ai mis pour m'en remettre de ce que j'avais fait.
Le temps passait sans que je m'en rend compte vraiment, mais cela faisait environ deux ans que je faisais ça…Tuer pour survivre.
Retour au présent…Je me concentra enfin sur l'homme, effrayé par un gamin avec une faux qu'il faisait tourner autour de lui ? On dirait bien. En même temps, même si j'ai une certaine peur de tuer, mon visage ne le montrait plus, gardant un visage effroyablement neutre, un masque…Non…Une cagoule de bourreau. J'arrêta ma danse et laissa donc approcher mon adversaire, qui ne réfléchit pas vraiment et se mit a courir pour me porter un coup. Je parai alors le coup et trancha la main de la victime sans trop regarder. Je vis alors le regard des contrebandiers. Il était temps que j'en finisse. Je reculai, fis tourner un peu ma faux avant de lâcher un faible « désolé » et de lui décapiter la tête. Au risque de me faire tuer, je préférais toujours fermer les yeux et lâcher mon arme juste après, ne voulant pas réalisé ce que j'avait fais. J'attendais alors que l'un d'eux descende, tandis que j'étais tenu en joue par deux autres de loin au cas où je me rebellerais.. Mais rien n'arriva, j'attendais, mais les cris à l'aide ne semblait pas venir du même endroit que d'habitude, mais je m'en fichais pas mal. C'est alors que je ressentis quelqu'un me menotté. Cette action, qui n'avait jamais été fait sur moi, me fis tourner la tête et ouvrir les yeux. Je vis alors un homme habillé en blanc parmi tant d'autre, qui escortait les prisonniers ainsi que les contrebandiers restant dans un navire d'une grande taille. Alors, s'était la fin ? Je n'arrivais même pas à sourire et m'effondra sur l'homme, dans mes vieux vêtements et tâché du sang de la victime.
Quand je me réveilla, je vis que deux groupes avaient été fais, les prisonnier et les contrebandier, mais quelque chose clochait…Pourquoi avoir été mis avec les contrebandier ? J'étais considéré comme eux ? étrangement, je ne réagis pas vraiment de la façon que je voulais, je resta planté là et attendit dans ma cage. Un des hommes arriva alors et me menotta tandis que d'autres prirent toutes les armes trouvé sur place. On était sur une île que je ne reconnaissais pas avec une base Marine et une prison, je ne saurais dire où je suis, j'ai perdu un peu mon sens de l'orientation durant ses deux ans où je ne pensais qu'à survivre. Les armes furent entreposé dans un débarras qui se trouva juste à coté de ma cellule, il s'agissait surement d'armes de trop mauvaise qualitée pour eux.
Je restai assis dans ma cellule à regarder le sol pendant un bon bout de temps avant d’entendre un bruit. Je n’étais pas seul derrière ces barreaux. La luminosité et ma fatigue ne me permettait pas de voir correctement cette personne. Je dis alors mon prénom et lui demanda le sien
La personne qui était dans la même cellule que moi s’appelait Hana.
>> Test RP
Une soirée normale pour beaucoup de personnes sur l'île... tout le monde vaquait à ses occupations sur cette petite île... seulement, de l'agitation vinrent troublé le calme. Une petite troupe de marine sur leur navire arriva avec un sacré lot de prisonnier, cela attira les passants assez rapidement. Les soldats, déjà débordés par la masse de prisonnier, devaient en plus repousser un peu les habitants trop envahissants. Ils ne cherchèrent alors pas à savoir qui était qui et mirent deux par deux dans les cellules le tout. il fallais les nourrir, certains ne tenaient plus,carils étaient en manque de nourriture.
Le cuistot, aider par une grande partie des soldats, vinrent alors donner un repas, certes peu appétissant, mais bien consistant. Je regardai mon assiette, bien remplie pendant quelques instants, ce que mon partenaire ne fis pas, c'est à peine si il n'allait pas avaler l'assiette...Enfin, je pris alors mon assiete et la regarda. Étrangement, je n'avais pas très faim. Pourtant, s'était pour ça que cet homme avait été tué avant l'arriver de la marine. Dans ma tête, je n'étais qu'un monstre sordide qui allait surement finir avec une corde au cou. Mes pensées étaient tellement grande que je mangeais sans m'en rendre compte tandis qu'un soldat me parlait, me disant que mon calvaire était fini et que j'irais dans une école spécialisée pour les enfants comme moi qui finirait chez les Marines. Je ne remarqua celui-ci que quand il parti, se disant surement que je devais être traumatiser parce que j'avais vécu... Après tout, il ne savait pas combien de temps j'étais resté là-bas.C'est quand les lumières s'éteignirent que je sortais de mes pensée et regarda autour de moi. Les ombres des arbres depuis la fenêtre à barreaux donnait une allure effrayante aux murs de la prison, de même que le tout en général...
Mais le plus effrayant était ce qu'il y avait devant moi.
deux formes blanches avec un point noir me regardait fixement, je ne savais pas depuis quand, mais surement depuis un bon moment, je mis du temps à me rendre compte qu'il s'agissait d'in homme, un autre prisonnier donc... La quarantaine surement, les cheveux sales et court, il ne devait pas être là-bas depuis longtemps. Ses vêtements, sales, n'était pas en lambeau comme les miens. L'homme me regardait avec un regard quasi effrayant. Je l'avais déjà vu un nombre de fois que je ne pouvais plus compter exactement, mais pourquoi maintenant? Je ne le savais pas. Ce face à face silencieux dura longtemps.
...Monstre.
Sur ces mots, l'homme se leva et se dirigea rapidement vers moi. L’instinct de se méfier me vint tout de suite à l'esprit et me leva cherchant une faux imaginaire puis en faisant une esquive pour éviter les mains de l'homme, trop lente à cause de la fatigue pour attraper. Avec mon "masque", je fixa de nouveau l'homme.
... Je ne vous ais rien fais.
ferme là le mioche! je vais te faire ce que tu a fais avec mon frangin!
De rage, l'homme me prit alors le bras et se mis à le serrer fort, très fort même, surement par rage. Cela me fis légèrement crier, mais je ne perdit pas ce masque d’indifférence, ce qui fis surement perdre patience l'homme qui me poussa violemment contre le mur en face de nous, me faisant tomber à terre, je tentait de me relever, mais mon bras douloureux et la fatigue m’empêchais le moindre mouvement.
C'est lui qui a attaquer, j'ai juste riposté...
L'homme ne répondait pas, assourdi surement par la colère. mon visage au sol, il s'avança et me souleva contre le mur, prêt a m’asséner un coup.Je tomba alors brusquement.je vis l'homme se remettre a sa place tandis que j'était couché à terre. Les bruits de pas de gardes se firent entendre, mais trop tard pour moi quand je m'en suis aperçu. Sans vraiment m'en rendre compte je fondis en larme discrètement, visage contre sol.C'est quand il me souleva du sol après de longue minutes qu'il ne vit plus un masque, mais mon visage, pleurant.
Vous croyez vraiment que je l'ai fais pour le plaisir???
L'homme ne répondit pas, mais me posa a terre, il semblait en vouloir plus sur moi...
Je sais pas combien de temps vous êtes rester, mais je suis là bas depuis plus longtemps que vous!!! et de loin, j'ai tuer pleins de personnes qui cherchait juste a manger un morceau...Je me retenait de manger pour évité d'en tuer plus... Alors oui je suis un monstre....Mais par obligation!!!
dans un mélange de colère et de tristesse, j'avais quasiment déballer mon sac... Je ne savais pas ce que ressentait l'homme à ce moment là, mais il ne m'attaqua pas...
Le lendemain matin, j'avait remis ce masque inexpressif qu'était mon visage, un soldat vis que mon bras était blesser mais ne se doutait pas qu'il s'agissait de l'homme je voulais leur dire, mais ma bouche s'est tût, peut êtes que s'était mieux ainsi, il pouvait encore vivre normalement après ça au moins...
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________Le cuistot, aider par une grande partie des soldats, vinrent alors donner un repas, certes peu appétissant, mais bien consistant. Je regardai mon assiette, bien remplie pendant quelques instants, ce que mon partenaire ne fis pas, c'est à peine si il n'allait pas avaler l'assiette...Enfin, je pris alors mon assiete et la regarda. Étrangement, je n'avais pas très faim. Pourtant, s'était pour ça que cet homme avait été tué avant l'arriver de la marine. Dans ma tête, je n'étais qu'un monstre sordide qui allait surement finir avec une corde au cou. Mes pensées étaient tellement grande que je mangeais sans m'en rendre compte tandis qu'un soldat me parlait, me disant que mon calvaire était fini et que j'irais dans une école spécialisée pour les enfants comme moi qui finirait chez les Marines. Je ne remarqua celui-ci que quand il parti, se disant surement que je devais être traumatiser parce que j'avais vécu... Après tout, il ne savait pas combien de temps j'étais resté là-bas.C'est quand les lumières s'éteignirent que je sortais de mes pensée et regarda autour de moi. Les ombres des arbres depuis la fenêtre à barreaux donnait une allure effrayante aux murs de la prison, de même que le tout en général...
Mais le plus effrayant était ce qu'il y avait devant moi.
deux formes blanches avec un point noir me regardait fixement, je ne savais pas depuis quand, mais surement depuis un bon moment, je mis du temps à me rendre compte qu'il s'agissait d'in homme, un autre prisonnier donc... La quarantaine surement, les cheveux sales et court, il ne devait pas être là-bas depuis longtemps. Ses vêtements, sales, n'était pas en lambeau comme les miens. L'homme me regardait avec un regard quasi effrayant. Je l'avais déjà vu un nombre de fois que je ne pouvais plus compter exactement, mais pourquoi maintenant? Je ne le savais pas. Ce face à face silencieux dura longtemps.
...Monstre.
Sur ces mots, l'homme se leva et se dirigea rapidement vers moi. L’instinct de se méfier me vint tout de suite à l'esprit et me leva cherchant une faux imaginaire puis en faisant une esquive pour éviter les mains de l'homme, trop lente à cause de la fatigue pour attraper. Avec mon "masque", je fixa de nouveau l'homme.
... Je ne vous ais rien fais.
ferme là le mioche! je vais te faire ce que tu a fais avec mon frangin!
De rage, l'homme me prit alors le bras et se mis à le serrer fort, très fort même, surement par rage. Cela me fis légèrement crier, mais je ne perdit pas ce masque d’indifférence, ce qui fis surement perdre patience l'homme qui me poussa violemment contre le mur en face de nous, me faisant tomber à terre, je tentait de me relever, mais mon bras douloureux et la fatigue m’empêchais le moindre mouvement.
C'est lui qui a attaquer, j'ai juste riposté...
L'homme ne répondait pas, assourdi surement par la colère. mon visage au sol, il s'avança et me souleva contre le mur, prêt a m’asséner un coup.Je tomba alors brusquement.je vis l'homme se remettre a sa place tandis que j'était couché à terre. Les bruits de pas de gardes se firent entendre, mais trop tard pour moi quand je m'en suis aperçu. Sans vraiment m'en rendre compte je fondis en larme discrètement, visage contre sol.C'est quand il me souleva du sol après de longue minutes qu'il ne vit plus un masque, mais mon visage, pleurant.
Vous croyez vraiment que je l'ai fais pour le plaisir???
L'homme ne répondit pas, mais me posa a terre, il semblait en vouloir plus sur moi...
Je sais pas combien de temps vous êtes rester, mais je suis là bas depuis plus longtemps que vous!!! et de loin, j'ai tuer pleins de personnes qui cherchait juste a manger un morceau...Je me retenait de manger pour évité d'en tuer plus... Alors oui je suis un monstre....Mais par obligation!!!
dans un mélange de colère et de tristesse, j'avais quasiment déballer mon sac... Je ne savais pas ce que ressentait l'homme à ce moment là, mais il ne m'attaqua pas...
Le lendemain matin, j'avait remis ce masque inexpressif qu'était mon visage, un soldat vis que mon bras était blesser mais ne se doutait pas qu'il s'agissait de l'homme je voulais leur dire, mais ma bouche s'est tût, peut êtes que s'était mieux ainsi, il pouvait encore vivre normalement après ça au moins...
Informations IRL
Prénom :Emmrick
Age :17
Aime : Dessiner
N'aime pas : Les araignées
Personnage préféré de One Piece : Chopper
Caractère : Un brin fainéant, tête en l'air... (Vous l'aurez vite remarquez: j'ai oubliez les majuscules sur le pseudo)
Fait du RP depuis :4 ans
Disponibilité approximative :5/10, mes période de connexion sont très aléatoire
Comment avez-vous connu le forum ?Par des amis
Quand vous estimez avoir terminé vos descriptions et votre biographie, signalez-le par un nouveau message et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous-titre de votre présentation par la mention [En attente de Test RP]. Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs ne vous loupent (ce qui n’arrive pas très souvent).
Prénom :Emmrick
Age :17
Aime : Dessiner
N'aime pas : Les araignées
Personnage préféré de One Piece : Chopper
Caractère : Un brin fainéant, tête en l'air... (Vous l'aurez vite remarquez: j'ai oubliez les majuscules sur le pseudo)
Fait du RP depuis :4 ans
Disponibilité approximative :5/10, mes période de connexion sont très aléatoire
Comment avez-vous connu le forum ?Par des amis
Quand vous estimez avoir terminé vos descriptions et votre biographie, signalez-le par un nouveau message et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous-titre de votre présentation par la mention [En attente de Test RP]. Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs ne vous loupent (ce qui n’arrive pas très souvent).
Dernière édition par Riku Surebu le Sam 15 Aoû 2015 - 5:42, édité 1 fois