Logue Town, coin abandonné
Milieu 1625
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" On y est presque. Continuez les gars. Au rapport !
Unité A prête au combat.
Unité B en place.
Unité C en position.
Unité D ...
... Unité D ?
En attente d'ordres.
Unité F prête.
J'vous rappelle les enjeux. Si on rate, on se retrouve tous muté à Perpète les oies, avec un peu de chance. Sinon ... "
Suivant la configuration des lieux, j'ai disposé mes hommes de manière stratégique. Je pense en tout cas. Unité A avec moi pour le combat rapproché, l'unité B sur les toits pour les tirs à longue distance et la couverture, s'assurer que personne ne quitte le périmètre, l'unité C s'occupe de la diversion par l'arrière, la D contient la seconde vague de soldats embusquée derrière ce qui traîne (palettes de transport, tonneaux, pans de murs effondrés ...), tandis que la F gère le périmètre terrestre, au cas où. " Rien n'entre ni ne sort sans mon consentement. A huit cent. Un. Deux. " Les hommes me regardent avec un air surpris. J'suis sérieux ou pas ? " Go ! Unité C, action. "
Aussitôt, on entend des petites explosions. Ils viennent de faire sauter la porte arrière. A l'intérieur, on entend des bruits. Les truands doivent être surpris et pris de court. L'assaut est donné. " Unité A, action. 1 à droite, 2 à gauche, 3 au centre. Rester à couvert. " Les coups de feu retentissent dans l'enceinte du refuge. Vu le bruit des balles qui rebondissent, les criminels visent l'autre côté. J'ouvre la porte discrètement. Puis on entre. Une trentaine de marins passent le seuil de l'ancienne demeure. Tous les criminels se tournent vers nous, ayant compris que derrière n'était qu'une diversion. Ça tire dans tous les sens. Ça dure quelques minutes.
" Rendez-vous, vous êtes cernés !
Si vous avancez, j'lui troue le portrait !
NON !
Alors reculez.
Cessez le feu !
On peut pas abandonner sergent.
Vous l'avez entendu. Il va trouer le portrait. Si ça arrive, vous pensez qu'il va nous arriver quoi en rentrant ? Vous avez entendu à quel point la mégère le veut. Vous connaissez le pouvoir des nobles. Vous voulez aller contre ? "
On se replie à l'extérieur. On entend un rire provenant de l'intérieur. Ce salop rigole, j'y crois pas, il se fou de nous. Il va pas rigoler longtemps. Tout se passe comme prévu. J'le laisse croire qu'il à l'avantage pour qu'il baisse sa garde à cause de la confiance récemment gagné en lui. Il nous fait part de ses exigences. Un moyen de partir rapidement, ne pas être suivit. Pas de soucis, je lui accorde ça. Je regarde ma montre. 14h13. Un peu de temps encore.
" J'vous conseille de sortir d'ici.
Pas avant d'avoir un véhicule !
J't'aurais prévenu. "
14h14. Une explosion retentit. Plus forte que les autres. Elle souffle le refuge qui s'effondre dans un nuage de poussière. Je les avait prévenu pourtant. Si la première diversion était évidente, ils n'ont pas anticipé que notre entrée n'était qu'une autre diversion. Je savais qu'ils allaient monnayer leur liberté, et qu'ils ne se rendraient pas. Alors ne pouvant leur reprendre l'otage, j'ai choisis de faire exploser des points bien précis dans le bâtiment. L'unité C a donc posé discrètement et rapidement des explosifs sur les murs soutenant les poutres porteuses. Résultat, le toit s'est effondré. Il n'y avait pas grand chose, mais juste assez pour blesser, surprendre, empêcher les criminels de fuir. L'unité F et l'unité B s'occupent de ceux qui ont échappé à l'explosion et qui essaient de partir. L'unité D s'occupe de ceux qui sont en bon état, mais sonné et désorientés. Nous, l'équipe A, on avance dans les décombres avec nos masques anti poussière. On ne voit pas grand chose. Le nuage de poussière se disperse assez vite. Là, surprise !
Unité A prête au combat.
Unité B en place.
Unité C en position.
Unité D ...
... Unité D ?
En attente d'ordres.
Unité F prête.
J'vous rappelle les enjeux. Si on rate, on se retrouve tous muté à Perpète les oies, avec un peu de chance. Sinon ... "
Suivant la configuration des lieux, j'ai disposé mes hommes de manière stratégique. Je pense en tout cas. Unité A avec moi pour le combat rapproché, l'unité B sur les toits pour les tirs à longue distance et la couverture, s'assurer que personne ne quitte le périmètre, l'unité C s'occupe de la diversion par l'arrière, la D contient la seconde vague de soldats embusquée derrière ce qui traîne (palettes de transport, tonneaux, pans de murs effondrés ...), tandis que la F gère le périmètre terrestre, au cas où. " Rien n'entre ni ne sort sans mon consentement. A huit cent. Un. Deux. " Les hommes me regardent avec un air surpris. J'suis sérieux ou pas ? " Go ! Unité C, action. "
Aussitôt, on entend des petites explosions. Ils viennent de faire sauter la porte arrière. A l'intérieur, on entend des bruits. Les truands doivent être surpris et pris de court. L'assaut est donné. " Unité A, action. 1 à droite, 2 à gauche, 3 au centre. Rester à couvert. " Les coups de feu retentissent dans l'enceinte du refuge. Vu le bruit des balles qui rebondissent, les criminels visent l'autre côté. J'ouvre la porte discrètement. Puis on entre. Une trentaine de marins passent le seuil de l'ancienne demeure. Tous les criminels se tournent vers nous, ayant compris que derrière n'était qu'une diversion. Ça tire dans tous les sens. Ça dure quelques minutes.
" Rendez-vous, vous êtes cernés !
Si vous avancez, j'lui troue le portrait !
NON !
Alors reculez.
Cessez le feu !
On peut pas abandonner sergent.
Vous l'avez entendu. Il va trouer le portrait. Si ça arrive, vous pensez qu'il va nous arriver quoi en rentrant ? Vous avez entendu à quel point la mégère le veut. Vous connaissez le pouvoir des nobles. Vous voulez aller contre ? "
On se replie à l'extérieur. On entend un rire provenant de l'intérieur. Ce salop rigole, j'y crois pas, il se fou de nous. Il va pas rigoler longtemps. Tout se passe comme prévu. J'le laisse croire qu'il à l'avantage pour qu'il baisse sa garde à cause de la confiance récemment gagné en lui. Il nous fait part de ses exigences. Un moyen de partir rapidement, ne pas être suivit. Pas de soucis, je lui accorde ça. Je regarde ma montre. 14h13. Un peu de temps encore.
" J'vous conseille de sortir d'ici.
Pas avant d'avoir un véhicule !
J't'aurais prévenu. "
14h14. Une explosion retentit. Plus forte que les autres. Elle souffle le refuge qui s'effondre dans un nuage de poussière. Je les avait prévenu pourtant. Si la première diversion était évidente, ils n'ont pas anticipé que notre entrée n'était qu'une autre diversion. Je savais qu'ils allaient monnayer leur liberté, et qu'ils ne se rendraient pas. Alors ne pouvant leur reprendre l'otage, j'ai choisis de faire exploser des points bien précis dans le bâtiment. L'unité C a donc posé discrètement et rapidement des explosifs sur les murs soutenant les poutres porteuses. Résultat, le toit s'est effondré. Il n'y avait pas grand chose, mais juste assez pour blesser, surprendre, empêcher les criminels de fuir. L'unité F et l'unité B s'occupent de ceux qui ont échappé à l'explosion et qui essaient de partir. L'unité D s'occupe de ceux qui sont en bon état, mais sonné et désorientés. Nous, l'équipe A, on avance dans les décombres avec nos masques anti poussière. On ne voit pas grand chose. Le nuage de poussière se disperse assez vite. Là, surprise !
Dernière édition par Clotho le Lun 1 Fév 2016 - 20:09, édité 2 fois