>> Ramui Oroi
Pseudonyme : La Faux Age: 27 ans Sexe : Homme Race : Homme Métier : Je touche à tout mais j'ai cependant une préférence pour la cartographie et l'ingénierie ou je me débrouille très bien Groupe : Pirate But : Devenir l'un des maitres des mers, quitte à y laisser le peu d'âme qu'il me reste Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Tout d'abord, le Supa Supa No Mi, avec lequel j'ai de très grande idées Ensuite, le Soru qui me permettra d'augmenter les capacité de mon Pamu Pamu no mi Et enfin, les haki de l'armement et de l'empathie, qui viendrons parfaire le tout ! Bien entendu ce sont des projections ! Je changerais peut être d'avis d'ici là ! Équipement : Au départ je commence avec des clopes, un nécessaire de toilette, des gants de boxe, des poids de musculation, des vêtements, des cartes, du matériel d'écriture et une faux bon marché mais bien aiguisée Codes du règlement : Parrain : Le nom du membre qui vous a fait découvrir le forum, le cas échéant. Ce compte est-il un DC ? : Non ! Si oui, quel @ l'a autorisé ? : X |
>> Physique
On commence donc par me décrire physiquement, intéressant, j'ai vécu 15 ans dans une cage d'acier, ou mes parents adoptifs m'utiliser comme cobaye pour leur expérience d'alchimiste, transformant mon oeil gauche en gouffre d'horreur, l'iris noir et la pupille rouge, pensant que cela me permettrait de voir dans le noir et à travers les murs, quelle idiotie ... De nature chétif, ses deux savants fou m'ont gavé de protéine et de calcium, cherchant à transformer mon corps en un bloc de muscle, me réveillant à 6 heures du matin et m'obligeant à pratiquer des sports de combat de tout genre, de la musculation et de l'athlétisme mais, étant éctomorphe, leur technique s'est avérer inutile. Je stagne donc à 70 kilos pour 1m83, certes je suis musclé agile, habile et rapide mais ils voulaient que je devienne une sorte de monstre de muscle et pas un combattant complet, à ce demander si ils ont ne serai-ce qu'un jour était intelligent. Passant plus de temps dans une cave qu'à l'extérieur j'ai la peau blanche, très blanche, faisant légèrement penser à celle des morts, sauf que je suis bel et bien vivant et les filles préfèrent les peaux bronzés alors je n'ai jamais connu les amourettes des jeunes, ni même l'amour. La dernière modification physique qu'ils ont osé m'apporter est une décoloration des cheveux, pensant qu'ils me serviraient de camouflage pendant l'hiver et me permettrai de me démarquer aux yeux des autres, au final ils avaient raison, j'ai du me protéger des cailloux que les paysans me jeter, me traitant de monstre, de goule. Pour ce qui est du reste, soit très peu, je me considérerai comme un beau garçon, mais je sais très bien qu'à part moi personne ne le croit, alors je me tais et je garde la tête haute, je leur ferai payer, ils se rappelleront de Oroi quand je faucherai leur amis et leur famille.
>> Psychologie
Ah, nous voilà donc sur le côté psychologique de ma personne, ce dernier est bien plus intéressant, je suis devenu un monstre, un vrai, déterminé, rempli de haine, intelligent, sans pitié et surtout fier, c'est quand je marche que les gens remarque le gouffre qui me sépare d'eux, j'ai le dos droit, la tête haute, les yeux rivé sur la route que j'ai finalement décidé d'emprunter, Grand Line et tout ces dangers, mourir pour mon objectif est surement la plus belle des morts, et mourir en tuant me plait encore plus. Je suis un prédateur, une bête en cage à qui on a redonner la liberté, plus rien ne me fais peur, la douleur est une notion inexistante pour moi, et ma haine s'étend sur tout le monde, pirate comme soldat, femme comme enfant, ils seront tous fauché par La Faux, qu'ils le veuillent ou non. Je n'ai aucun principe, je ne connais pas la gentillesse, et je rejette tout sur mon passé. Je suis intelligent et je sais que ce que je fais n'as en soit aucune raison valable, je sais qu'en m'imaginant tuer des gens, je ne fais qu'empirer mon cas, me rendant encore plus stupide que ceux qui m'ont fait du mal, mais je ne peux pas pardonner aux gens qui m'ont jeté des pierres, à ceux qui m'ont insulté, rouer de coups, voler les seuls plaisir que mes tortionnaire m'accordait, tout le monde est coupable, même ceux qui vous paraissent innocent. Je me considère donc comme le principe masculin de la Faucheuse, et je tue tout ceux qui doivent mourir, et vu que personne ne surpasse la mort, alors tout le monde doit mourir, voilà tout. C'est un raisonnement inhumain, hin hin, mais qui est humain ? Qui n'as jamais penser à mal ? Qui n'as jamais blesser ? Allez dites le moi ! Personne, pour avoir fait du mal autour de vous, vous méritez la potence, et je mourrai aussi alors rassurer vous, mais en attendant, je suis le messager de la mort, et je n'apporte que de mauvaise nouvelle. En bref, je suis colérique, froid, réfléchi, intelligent, courageux, fier et surtout terrifiant. Soit vous m'acceptez, soit vous me détestez, mais vous serai obligez de me tolérez, car je serai là encore longtemps.
>> Biographie
Parler de mon passé réveille en moi une colère que j'essaie de cacher en public, mais puisqu'il le faut, allons-y. Je suis né un jour de Décembre, sur North Blue, d'une famille modeste mais n'étant pas non plus pauvre, ayant des idées de justice et étant des gens très sympathique, qui sait ce qui se serait passé si ils n'étaient pas mort ? En effet mes valeurs et les leurs sont désormais totalement opposé, je veux tuer, et ils voulaient sauver, mais quand on dit que le bien triomphe toujours, c'est une blague de très mauvais goût. En effet un matin d'été, en Août, alors que je rentrais à la maison après avoir vu mes amis, je sentis au loin comme une odeur de fumée dont l'origine provenait de la direction de mon foyer, je me dépêchai donc de rentrer, courant de toute mes forces vers l'origine du feu jusqu'à que je comprenne qu'il s'agissait de ma maison, comprenant que quelque chose de grave c'était dérouler, j'hésita un instant avant de continuer ma course, étais-ce une bonne idée, un enfant comme moi pouvait t-il faire quelque chose ? Puis, la tête de ceux qui m'avaient élevé apparu dans mes pensées presque aussi lumineuse que le Soleil, je savais que je devais au moins rentrer pour les rassurer, en espérant qu'ils aient pu s'enfuir à temps. Une fois au sommet de la colline qui surplombait la petite demeure qui me servait de maison, je fût d'abord choquer par l'ampleur du feu, puis par ce qui se passer juste sous mes pieds. Deux brigands s'attaquait à mes parents, une femme et un homme, de corpulence importante, plus impressionnant encore, mon père tenait une arme et ma mère, blessé, se tenait à ses côtés, puisant dans ses forces pour tenir debout.
"PAPAAAAA, MAMANNNN" hurlai-je du haut de mon petit mètre
Ils me crièrent alors de fuir, avec les larmes aux yeux, cet instant de distraction suffit à l'homme pour tuer ma mère, mon père voulu riposter mais il fût contrer sans avoir le temps de rien faire, puis fût transpercer par une lame, derrière lui se tenait la femme. Comprenant rapidement que je n'étais pas de taille je décida de mettre à exécution les dernières volonté de mes parents, et j'utilisa ce qui me restait de souffle pour me cacher, espérant atteindre le village ou tout le monde me connaissait. A l'époque, j'étais élevé dans un cocon d'amour et de gentillesse, ce que je venais de voir briser toute mes croyances, et toutes mes bases venaient de s'effondrer, je tenais debout uniquement parce que mes parents m'avaient demander de le faire, je courrai en me raccrochant au fil le plus fin existant à ce moment dans ma vie, celui de l'espoir. Mais tout ses beaux sentiments ne suffisait plus, la haine, la tristesse et le désespoir côtoyaient le fil de l'espoir et semblant plus solide je m'accrocha au trois, laissant couler mes larmes, hurlant à ceux qui pouvaient l'entendre :
"JE VOUS TUERAIENT TOUS"
Puis, je sentis une présence dans mon dos, je savais qu'ils étaient là mais je n'osais pas le croire, des frissons plein le dos, je décida finalement de prendre ma haine à deux mains, plutôt que mon courage je me laissa contrôler par le sentiment le plus détestable qu'un humain puisse posséder, et du haut mes 12 ans, je les roua de coups, tout les deux, même si presque aucun ne les atteignaient et même si ils riaient de mon malheur, je ne voulais plus d'eux dans mon champs de vision, comme si j'avais le choix, comme si je pouvais en décider autrement mais, bien que conscient de contraire j'essaya tant bien que mal de leur mettre des coups puissant, jusqu'à qu'ils en aient marre et qu'ils m’assomme d'un direct unifié, frappant avec une cohésion incroyable, pendant ma chute qui me sembla durer des années je me répéta sans cesse le mot "vengeance" "vengeance" "vengeance" "vengeance" puis plus rien.
S'en suivirent 15 années de torture, me coupant des nouvelles, m'empêchant de vivre une vie normal, me transformant petit à petit en animal, en monstre. Comment est-ce que j'ai fais pour tenir et garder un semblant d'humanité ? Je me suis répété "vengeance" pendant 15 ans, me rappelant que je tuerais avant tout parce qu’on m'avais tuer, et parce qu’on les avaient tuer eux, des innocents. Et ils me modifièrent tellement que je finis par ne plus être humain, j'étais désormais un être à part, une nouvelle espèce. Finalement, pendant le seul jour de sortie qu'ils m'accordaient, je transforma les paroles en acte, et utilisant mes nouvelles capacité mentales et physique, je les tua tous les deux, les réduisant en bouillie à l'aide de la faux qu'ils avaient utiliser pour me corriger lorsque j'essayais de m'enfuir. Ensuite, je les découpa en 900 carré de viande, 900 c'est le nombre de pompes qu'ils me demandaient d'effectuer chaque matin, puis je les fis cuire pendant 40 minutes, 40 c'est le nombre de traction qu'ils me demandaient de faire par minute et enfin je les mangea en précisément 5 heures, le temps du marathon qu'ils m'imposaient entre midi et 17 heures, et enfin, alors que n'importe qui aurait pleurer devant cet excès d'ignominie, je me mis à sourire puis, à rire, je venais de les tuer, je venais de tenir ma promesse, j'étais libre de faire ce que je voulais ! Je me tourna alors vivement vers la faux, elle serait mon ami, j'apprendrais à l'utiliser et j'en ferai l'arme la plus redouté des blues puis de Grand Lines, rien ne lui échapperai elle détruirai tout ceux qui avait eu le malheur de faire du mal à autrui, et désormais, pour moi, tout le monde est coupable de crime. C'est en sortant dehors, en ressentant de nouveau d'autres émotions que le froid et la douleur que je compris qu'il me faudrait du temps et du courage pour me construire une réputation, et que je deviendrai pirate, car la société actuelle ne protégeait personne, elle ne m'avait pas protéger, elle n'avait pas protéger mes parents, elle ne protégerai personne. Et moi, je n'oublierai plus rien, si ce n'est la compassion, la pitié et la gentillesse. Fini le temps du petit Ramui, laissez place à Oroi, dit "La Faux".
"PAPAAAAA, MAMANNNN" hurlai-je du haut de mon petit mètre
Ils me crièrent alors de fuir, avec les larmes aux yeux, cet instant de distraction suffit à l'homme pour tuer ma mère, mon père voulu riposter mais il fût contrer sans avoir le temps de rien faire, puis fût transpercer par une lame, derrière lui se tenait la femme. Comprenant rapidement que je n'étais pas de taille je décida de mettre à exécution les dernières volonté de mes parents, et j'utilisa ce qui me restait de souffle pour me cacher, espérant atteindre le village ou tout le monde me connaissait. A l'époque, j'étais élevé dans un cocon d'amour et de gentillesse, ce que je venais de voir briser toute mes croyances, et toutes mes bases venaient de s'effondrer, je tenais debout uniquement parce que mes parents m'avaient demander de le faire, je courrai en me raccrochant au fil le plus fin existant à ce moment dans ma vie, celui de l'espoir. Mais tout ses beaux sentiments ne suffisait plus, la haine, la tristesse et le désespoir côtoyaient le fil de l'espoir et semblant plus solide je m'accrocha au trois, laissant couler mes larmes, hurlant à ceux qui pouvaient l'entendre :
"JE VOUS TUERAIENT TOUS"
Puis, je sentis une présence dans mon dos, je savais qu'ils étaient là mais je n'osais pas le croire, des frissons plein le dos, je décida finalement de prendre ma haine à deux mains, plutôt que mon courage je me laissa contrôler par le sentiment le plus détestable qu'un humain puisse posséder, et du haut mes 12 ans, je les roua de coups, tout les deux, même si presque aucun ne les atteignaient et même si ils riaient de mon malheur, je ne voulais plus d'eux dans mon champs de vision, comme si j'avais le choix, comme si je pouvais en décider autrement mais, bien que conscient de contraire j'essaya tant bien que mal de leur mettre des coups puissant, jusqu'à qu'ils en aient marre et qu'ils m’assomme d'un direct unifié, frappant avec une cohésion incroyable, pendant ma chute qui me sembla durer des années je me répéta sans cesse le mot "vengeance" "vengeance" "vengeance" "vengeance" puis plus rien.
S'en suivirent 15 années de torture, me coupant des nouvelles, m'empêchant de vivre une vie normal, me transformant petit à petit en animal, en monstre. Comment est-ce que j'ai fais pour tenir et garder un semblant d'humanité ? Je me suis répété "vengeance" pendant 15 ans, me rappelant que je tuerais avant tout parce qu’on m'avais tuer, et parce qu’on les avaient tuer eux, des innocents. Et ils me modifièrent tellement que je finis par ne plus être humain, j'étais désormais un être à part, une nouvelle espèce. Finalement, pendant le seul jour de sortie qu'ils m'accordaient, je transforma les paroles en acte, et utilisant mes nouvelles capacité mentales et physique, je les tua tous les deux, les réduisant en bouillie à l'aide de la faux qu'ils avaient utiliser pour me corriger lorsque j'essayais de m'enfuir. Ensuite, je les découpa en 900 carré de viande, 900 c'est le nombre de pompes qu'ils me demandaient d'effectuer chaque matin, puis je les fis cuire pendant 40 minutes, 40 c'est le nombre de traction qu'ils me demandaient de faire par minute et enfin je les mangea en précisément 5 heures, le temps du marathon qu'ils m'imposaient entre midi et 17 heures, et enfin, alors que n'importe qui aurait pleurer devant cet excès d'ignominie, je me mis à sourire puis, à rire, je venais de les tuer, je venais de tenir ma promesse, j'étais libre de faire ce que je voulais ! Je me tourna alors vivement vers la faux, elle serait mon ami, j'apprendrais à l'utiliser et j'en ferai l'arme la plus redouté des blues puis de Grand Lines, rien ne lui échapperai elle détruirai tout ceux qui avait eu le malheur de faire du mal à autrui, et désormais, pour moi, tout le monde est coupable de crime. C'est en sortant dehors, en ressentant de nouveau d'autres émotions que le froid et la douleur que je compris qu'il me faudrait du temps et du courage pour me construire une réputation, et que je deviendrai pirate, car la société actuelle ne protégeait personne, elle ne m'avait pas protéger, elle n'avait pas protéger mes parents, elle ne protégerai personne. Et moi, je n'oublierai plus rien, si ce n'est la compassion, la pitié et la gentillesse. Fini le temps du petit Ramui, laissez place à Oroi, dit "La Faux".
>> Test RP
Et elle était enfin de retour, après m'avoir abandonné pendant des années, la liberté. Une amie qui remuer le couteau dans la plaie me rappelant ce que j'avais perdue, et ce que je ne retrouverai jamais. C'est un sourire qui se dessinait sur mes lèvres, après tout, pourquoi pas ? Pourquoi toujours se renfermer sur soi, pleurer, se plaindre ? Ce n'était et n'est toujours pas moi, je suis un battant et je l'étais déjà à ce moment. Je savais désormais à quoi je ressemblais, j'étais une bête, un loup solitaire, que dire de plus ? Qui de par le monde avait un œil rouge et des cheveux blancs à 27 ans ? Qui avait la tête aussi blafarde que la mienne en pleine saison des moissons ? Non je n'étais plus le petit Oroi, j'étais la Faux et il allait falloir que je m'y habitue, mais c'est tellement dur, et c'est de par cette difficulté que j'ai compris comment soulager ma douleur, il fallait que je tue, j'avais soif de chair, comme un vampire, une goule, un de ces monstres mythologique. Trêve de comparaison, il était temps de me montrer, de m'imposer avec le peu d'humanité qu'il me restait et pour ce faire, la seule voie qui s'ouvrait à moi était celle de la piraterie, où tout était permis et tout le monde accepter après avoir fait ses preuves. Cela dit je ne savais pas de quoi j'étais réellement capable, il me fallait une victime, quelqu'un que je puisse contrôler pendant un moment puis tuer de sang-froid, c'est uniquement de cette manière que je pourrai partir à la conquête des Blues. Par chance, une occasion se présenta rapidement bien que je pensasse devoir patienter longtemps étant donnée mon apparence physique, une jeune fille m'interpella d'une manière totalement décomplexer, surement une jeune fille de la région qui ne se doutait pas que quelqu'un de mauvais puisse y vivre, tout était si calme dans cette partie du monde ...
- Oh ! Bonjour !
Je ne répondis pas, choqué que quelqu'un ose m'adresser la parole, je me tournais lentement vers mon interlocutrice
- Oui c'est bien à vous que je parle ahaha !
Elle riait, elle riait de mon mal-être, je me mis à respirer bruyamment, mes iris se mirent à rétrécir de manière presque invisible mais je pouvais le sentir, cela dit, je devais me contrôler, elle était l’opportunité, celle qui allait me permettre de savoir où me diriger alors, je lui devais un sourire :
- Excusez moi aha, je suis un peu fatigué comme vous pouvez le remarquer.
- Dites moi, ça fais combien de temps que vous marcher comme ça ?
- Quelques heures tout au plus pourquoi ça ?
- On dirait que vous êtes à la recherche d'un abris depuis des années ... s'exclama-t-elle sur un ton désolé.
En effet, mes vêtements étaient sales, mes cheveux gras, mon corps couvert de crasse et de sueur "Depuis combien de temps je n'ai pas pris un bain ?" Je ne savais pas, je ne savais plus, au fond, j'avais besoin de me refaire une santé avant de commencer ce que j'appellerai ma "Croisade".
- Oh ça ! Je ne suis pas très riche en effet hum
- Ne soyez pas gêné voyons, nous ne sommes pas très riche non plus, mais vous avez une faux et nous avons une maison si vous voyez ce que je veux dire aha ! dit-elle en me lançant un clin d'oeil
- Hmmm pas vraiment non ...
- Et bien, mon grand-père n'as plus vraiment l'âge de cultiver et je dois m'occuper des courses, du linge et de la maison alors ...
- Ohhh je vois ... ma fois, ça me ferai beaucoup de bien de me reposer un petit peu ! Et tout ça avec un sourire, mon jeu de comédien commençait bien jusqu'à que je remarque son absence de remarque par rapport à mon œil, je décidai donc de la questionner par rapport à ce sujet d'une manière détournée.
- Dites moi, ça ne risque pas de gêné votre grand père, hum, vous voyez ...
- Tu parle de ton œil ? Aha on accepte tout ceux qui veulent bien nous apporter leur aide, leur vie ne nous regarde pas et les mettre mal à l'aise n'est pas quelque chose que nous aimons faire.
- Très bien ça m'arrange, je préférerai garder les deux yeux ouvert aha
- Pas de soucis !
Elle se mit à sautiller jusqu'à sa maison, 50 mètres plus loin, intérieurement, je concevais déjà un plan pour les tuer tous les deux, et je savais déjà que je devrais les tuer le lendemain, afin de me réhabituer seul à vivre comme un humain, et surtout parce que son côté niais m'énervé d'ores et déjà, elle ne vivait pas dans ce monde, pour elle tout était beau, et cela m’exécrait au plus haut point.
Au final, la maison était coquette et les provisions étaient présentes en quantité suffisante pour me faire tenir pendant deux ou deux semaines si je rationalisais mes journées, j'enregistrais toutes les informations que me fournissait le grand-père sur le maniement de la faux, la manière la plus simple de trancher un épi de blé était de trancher à l'aide de ses deux mains d'un mouvement latéral de gauche à droite ou inversement en fonction de la main utilisée, en était-il de même pour un être humain ? Hinhin c'est que nous allions voir. En allant me coucher, je me demandai si ce que je faisais était réellement nécessaire, est-ce que je ne pourrais pas plutôt chercher à me faire accepter par ces gentilles personnes qui m'avaient accueilli malgré ma différence ? Mais que ce serait-il passé si j'avais été les voir il y a 10 ans, à quatre pattes, à la recherche d'une pomme, n'importe quoi ? Aurait-il réagi de la même façon ou m'aurait-il chassé à coup de bâton et de pierre ? Forcément devant un adulte tout le monde réagit différemment. Au final, ma décision était prise, le lendemain, je les tuerai puis les brûleraient, j'avais vu mes bourreaux allumer un feu jadis, pour me marquer au fer rouge sur la cuisse, afin d'affirmer que j'étais leur "propriété". Il fallait du bois, j'irai donc en couper tout en jouant le gentleman, leur disant que c'était normal de faire ça pour eux, puis je demanderai au grand-père de m'accompagner dans les champs afin qu'il m'affirme que mon mouvement de rotation était bon, en espérant qu'il accepte j'en profiterai pour le décapiter afin de ne pas avoir trop de sang à essuyer sur ma lame puis je me retournerai à la ferme en simulant des pleurs comme j'avais appris à le faire à la fin de l'enfer qui m'a servi de vie de tortionnaire, car la douleur n'avait plus aucun effet sur moi, mental ou physique. Je dirais à la jeune fille que son grand-père est tombé par terre et qu'il n'arrive plus à se relever, je lui dirais aussi que j'irai chercher du secours, en profitant pour prendre le couteau de boucher que j'avais repéré dans la cuisine, je lui trancherai alors la gorge et je pourrai profiter de la maison seul, c'était un plan parfait ahahahaha
- Pourquoi ris tu ?
Elle m'observait, comment pourrai-je m'expliquer ? Mais oui !
- Je me rappelle une blague que m'avait raconter un ami aha, tu connais la blague du Petit Poucet ?
- Non mais dis moi tout ça m'intéresse !
- Et bien, le petit poussait, mais rien ne sortait !
Je fis semblant de rire, puis je fis semblant de m'intéresser à sa vie afin d'endormir sa méfiance, depuis combien de temps m'écoutait-elle ? J'avais fait un résumé à voix basse car cela m'aidait à me rappeler de toutes les ficelles de mon plan, avait-elle tout entendu ? Au final elle partit ce coucher et je finis par m'endormir.
Le lendemain, je me levai à l'aube à peu près en même temps que le grand-père qui me demanda pendant le petit déjeuner ce que je comptais faire, je lui répondis donc que j'allais couper un peu de bois afin de réchauffer mes muscles pour le fauchage de l'après-midi, il me sourit et m'indiqua l'endroit ou je pourrai trouver la hache, je m'y dirigeai donc d'un pas énergique comme le ferait un jeune homme de mon âge, et une fois seul, je testa réellement ma force. Ce fût pour moi une surprise incroyable de voir que je pouvais couper le bois comme je tranchais le beurre, ma force était-elle si grande que ça ? Je voulus effectuer un autre test et frapper une bûche de bois, les yeux plus grands que le ventre comme on dit, je mis pas moins de 5 minutes à m'en remettre. Mes petites expériences terminées, je me retournai rapidement dans la petite chaumière afin d'être à l'heure pour le repas du midi. La suite de mon plan se déroula comme prévu, le grand-père m'amena jusqu'à ses champs et me montra le mouvement à suivre, alors sans prévenir, je lui fauchai la tête, mais je du m'y reprendre à deux fois car le premier coup n'avait qu'entaillait la boîte crânienne et le vieux hurlait de douleur, comme s'il était possédé par le démon "tant mieux ça ajoutera de la crédibilité à mon histoire" sauf qu'il y avait une chose qu'on ne m'avait pas dite, en effet, la jeune fille avait invité des amis à elle, et l'une d'elles était venu pour nous aider dans la fauche.
-Mais voilà un bel épi de blé dites moi hinhin
Je m'avançai, la tête sur le côté, l'adrénaline montante, le sang chaud, les tempes cognant de toute leur force, tout était si bon, tout était comme ce jour-là, c'était quand déjà ? La veille ? Je n'ai rien vu passer.
-A L'AIDE !!!!
Et elle se mit à courir vers la maison, malheureusement pas suffisamment éloigné pour que je puisse m'occuper d'elle sans attirer l'attention de tout le monde "eh merde"
Je devais soit fuir soit tous les tuer, ils étaient dix, c'était peine perdu, peu importe mes capacités physiques, en plus de devoir dire adieu à mes jours de repos je devrai dire bonjour à la Marine, hummm décidément.
Je décidai de m'amuser une dernière fois avant de prendre la fuite en courant, je commençai donc par écrire aussi rapidement que possible mon nom et mon surnom sur le corps du vieillard à l'aide de son propre sang afin que tous sache qui venait d'entrer dans le monde du crime "Je suis Oroi, mon surnom et la Faux." puis, voyant que tous accourez fourche à la main prêt à en découdre, j'empoignai la tête du vieillard et utilisant ma faux dans le sens inverse, je l'envoyai sur mes poursuivants qui se mirent à gémir d'horreur, la jeune fille qui m'avait si gentiment recueilli se mit à vomir, ils s'arrêtèrent pendant 5 minutes, stupéfiés, puis commencèrent la battue, j'avais rabâché ma capuche, courber mon dos et m'étais enfui à travers les champs de tournesol se trouvant à quelques dizaines de mètres des champs de blé, ces derniers, haut de plus d'un mètre 80, empêchaient à quiconque ne mesurant pas 2 mètres de me voir progresser et, me retenant de rire, je progressai silencieusement jusqu'à une destination inconnue, à la recherche d'autres proies, car personne ne m'échapperait, c'est mon histoire, je suis la Faux.
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Je ne répondis pas, choqué que quelqu'un ose m'adresser la parole, je me tournais lentement vers mon interlocutrice
- Oui c'est bien à vous que je parle ahaha !
Elle riait, elle riait de mon mal-être, je me mis à respirer bruyamment, mes iris se mirent à rétrécir de manière presque invisible mais je pouvais le sentir, cela dit, je devais me contrôler, elle était l’opportunité, celle qui allait me permettre de savoir où me diriger alors, je lui devais un sourire :
- Excusez moi aha, je suis un peu fatigué comme vous pouvez le remarquer.
- Dites moi, ça fais combien de temps que vous marcher comme ça ?
- Quelques heures tout au plus pourquoi ça ?
- On dirait que vous êtes à la recherche d'un abris depuis des années ... s'exclama-t-elle sur un ton désolé.
En effet, mes vêtements étaient sales, mes cheveux gras, mon corps couvert de crasse et de sueur "Depuis combien de temps je n'ai pas pris un bain ?" Je ne savais pas, je ne savais plus, au fond, j'avais besoin de me refaire une santé avant de commencer ce que j'appellerai ma "Croisade".
- Oh ça ! Je ne suis pas très riche en effet hum
- Ne soyez pas gêné voyons, nous ne sommes pas très riche non plus, mais vous avez une faux et nous avons une maison si vous voyez ce que je veux dire aha ! dit-elle en me lançant un clin d'oeil
- Hmmm pas vraiment non ...
- Et bien, mon grand-père n'as plus vraiment l'âge de cultiver et je dois m'occuper des courses, du linge et de la maison alors ...
- Ohhh je vois ... ma fois, ça me ferai beaucoup de bien de me reposer un petit peu ! Et tout ça avec un sourire, mon jeu de comédien commençait bien jusqu'à que je remarque son absence de remarque par rapport à mon œil, je décidai donc de la questionner par rapport à ce sujet d'une manière détournée.
- Dites moi, ça ne risque pas de gêné votre grand père, hum, vous voyez ...
- Tu parle de ton œil ? Aha on accepte tout ceux qui veulent bien nous apporter leur aide, leur vie ne nous regarde pas et les mettre mal à l'aise n'est pas quelque chose que nous aimons faire.
- Très bien ça m'arrange, je préférerai garder les deux yeux ouvert aha
- Pas de soucis !
Elle se mit à sautiller jusqu'à sa maison, 50 mètres plus loin, intérieurement, je concevais déjà un plan pour les tuer tous les deux, et je savais déjà que je devrais les tuer le lendemain, afin de me réhabituer seul à vivre comme un humain, et surtout parce que son côté niais m'énervé d'ores et déjà, elle ne vivait pas dans ce monde, pour elle tout était beau, et cela m’exécrait au plus haut point.
Au final, la maison était coquette et les provisions étaient présentes en quantité suffisante pour me faire tenir pendant deux ou deux semaines si je rationalisais mes journées, j'enregistrais toutes les informations que me fournissait le grand-père sur le maniement de la faux, la manière la plus simple de trancher un épi de blé était de trancher à l'aide de ses deux mains d'un mouvement latéral de gauche à droite ou inversement en fonction de la main utilisée, en était-il de même pour un être humain ? Hinhin c'est que nous allions voir. En allant me coucher, je me demandai si ce que je faisais était réellement nécessaire, est-ce que je ne pourrais pas plutôt chercher à me faire accepter par ces gentilles personnes qui m'avaient accueilli malgré ma différence ? Mais que ce serait-il passé si j'avais été les voir il y a 10 ans, à quatre pattes, à la recherche d'une pomme, n'importe quoi ? Aurait-il réagi de la même façon ou m'aurait-il chassé à coup de bâton et de pierre ? Forcément devant un adulte tout le monde réagit différemment. Au final, ma décision était prise, le lendemain, je les tuerai puis les brûleraient, j'avais vu mes bourreaux allumer un feu jadis, pour me marquer au fer rouge sur la cuisse, afin d'affirmer que j'étais leur "propriété". Il fallait du bois, j'irai donc en couper tout en jouant le gentleman, leur disant que c'était normal de faire ça pour eux, puis je demanderai au grand-père de m'accompagner dans les champs afin qu'il m'affirme que mon mouvement de rotation était bon, en espérant qu'il accepte j'en profiterai pour le décapiter afin de ne pas avoir trop de sang à essuyer sur ma lame puis je me retournerai à la ferme en simulant des pleurs comme j'avais appris à le faire à la fin de l'enfer qui m'a servi de vie de tortionnaire, car la douleur n'avait plus aucun effet sur moi, mental ou physique. Je dirais à la jeune fille que son grand-père est tombé par terre et qu'il n'arrive plus à se relever, je lui dirais aussi que j'irai chercher du secours, en profitant pour prendre le couteau de boucher que j'avais repéré dans la cuisine, je lui trancherai alors la gorge et je pourrai profiter de la maison seul, c'était un plan parfait ahahahaha
- Pourquoi ris tu ?
Elle m'observait, comment pourrai-je m'expliquer ? Mais oui !
- Je me rappelle une blague que m'avait raconter un ami aha, tu connais la blague du Petit Poucet ?
- Non mais dis moi tout ça m'intéresse !
- Et bien, le petit poussait, mais rien ne sortait !
Je fis semblant de rire, puis je fis semblant de m'intéresser à sa vie afin d'endormir sa méfiance, depuis combien de temps m'écoutait-elle ? J'avais fait un résumé à voix basse car cela m'aidait à me rappeler de toutes les ficelles de mon plan, avait-elle tout entendu ? Au final elle partit ce coucher et je finis par m'endormir.
Le lendemain, je me levai à l'aube à peu près en même temps que le grand-père qui me demanda pendant le petit déjeuner ce que je comptais faire, je lui répondis donc que j'allais couper un peu de bois afin de réchauffer mes muscles pour le fauchage de l'après-midi, il me sourit et m'indiqua l'endroit ou je pourrai trouver la hache, je m'y dirigeai donc d'un pas énergique comme le ferait un jeune homme de mon âge, et une fois seul, je testa réellement ma force. Ce fût pour moi une surprise incroyable de voir que je pouvais couper le bois comme je tranchais le beurre, ma force était-elle si grande que ça ? Je voulus effectuer un autre test et frapper une bûche de bois, les yeux plus grands que le ventre comme on dit, je mis pas moins de 5 minutes à m'en remettre. Mes petites expériences terminées, je me retournai rapidement dans la petite chaumière afin d'être à l'heure pour le repas du midi. La suite de mon plan se déroula comme prévu, le grand-père m'amena jusqu'à ses champs et me montra le mouvement à suivre, alors sans prévenir, je lui fauchai la tête, mais je du m'y reprendre à deux fois car le premier coup n'avait qu'entaillait la boîte crânienne et le vieux hurlait de douleur, comme s'il était possédé par le démon "tant mieux ça ajoutera de la crédibilité à mon histoire" sauf qu'il y avait une chose qu'on ne m'avait pas dite, en effet, la jeune fille avait invité des amis à elle, et l'une d'elles était venu pour nous aider dans la fauche.
-Mais voilà un bel épi de blé dites moi hinhin
Je m'avançai, la tête sur le côté, l'adrénaline montante, le sang chaud, les tempes cognant de toute leur force, tout était si bon, tout était comme ce jour-là, c'était quand déjà ? La veille ? Je n'ai rien vu passer.
-A L'AIDE !!!!
Et elle se mit à courir vers la maison, malheureusement pas suffisamment éloigné pour que je puisse m'occuper d'elle sans attirer l'attention de tout le monde "eh merde"
Je devais soit fuir soit tous les tuer, ils étaient dix, c'était peine perdu, peu importe mes capacités physiques, en plus de devoir dire adieu à mes jours de repos je devrai dire bonjour à la Marine, hummm décidément.
Je décidai de m'amuser une dernière fois avant de prendre la fuite en courant, je commençai donc par écrire aussi rapidement que possible mon nom et mon surnom sur le corps du vieillard à l'aide de son propre sang afin que tous sache qui venait d'entrer dans le monde du crime "Je suis Oroi, mon surnom et la Faux." puis, voyant que tous accourez fourche à la main prêt à en découdre, j'empoignai la tête du vieillard et utilisant ma faux dans le sens inverse, je l'envoyai sur mes poursuivants qui se mirent à gémir d'horreur, la jeune fille qui m'avait si gentiment recueilli se mit à vomir, ils s'arrêtèrent pendant 5 minutes, stupéfiés, puis commencèrent la battue, j'avais rabâché ma capuche, courber mon dos et m'étais enfui à travers les champs de tournesol se trouvant à quelques dizaines de mètres des champs de blé, ces derniers, haut de plus d'un mètre 80, empêchaient à quiconque ne mesurant pas 2 mètres de me voir progresser et, me retenant de rire, je progressai silencieusement jusqu'à une destination inconnue, à la recherche d'autres proies, car personne ne m'échapperait, c'est mon histoire, je suis la Faux.
[justify]Informations IRL
Prénom : Antoine
Age : 17 ans
Aime : Le combat, la lecture, les animés, les amis, le sport et la musique
N'aime pas : Les gens qui s'inventent une vie, les gens qui juge et tout autre genre de nuisible
Personnage préféré de One Piece : Doflamingo et Aokiji
Caractère : Sympatique et réfléchis, en dire plus me transformerai en prétentieux
Fait du RP depuis : 6-8 ans en alterné
Disponibilité approximative : Je vous dirai 2 jour par semaine, comme ça je pourrai être la plus souvent en cas de besoin
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Dernière édition par Oroi Ramui le Mar 1 Sep 2015 - 18:13, édité 3 fois